Citations de Hervé Bourhis (169)
Monsieur Chadeau, depuis que je travaille ici vous avez du envoyer, allez, à la louche, 20 cassettes de vos chansons.
_ 21.
_ 21, d'accord. D'ailleurs, l'une d'entre elle était une compil de Jonaz, vous vosu étiez trompé.
_ Ah bon, désolé.
_ C'est pas grave, je l'ai bien aimée, celle-là.
- Combien de fois j'ai haï ce père, combien de fois j'ai rêvé que je le tuais.
- Ah oui. Mais moi aussi, remarque. J'ai aussi révé souvent que je tripotais maman.
- Mais je veux pas les savoir, tes trucs malsains. Là !
- Attends, c'est pas tout. Tu vas rire...Une fois j'ai rêvé que je te tripotais et que tu aimais ça.
PAF
- Bonne nuit.
- Bonne nuit. Tu m'as fait mal.
Au clair de la lune, mon ami Valksgaard, prête-moi ta lame pour couper du lard. Ta maman est morte, je l'ai tué un peu. Ses entrailles ressortent, recousons-la mieux.
Non, je ne suis pas sérieux.
Je ne suis plus sérieux.
J'ai décidé d'^tre coruscant.
Tiens, c’est mon dernier roman. Encore un pour allumer la cheminée.
Regardez-moi la tête d’abruti de mes futurs collègues. Est-ce que je vais leur ressembler dans quelques années ?
- C’était qui ?
- Mister Spice.
- Tu as filmé ?
- Oui.
- Quelle mode grotesque de les appeler tous Mister ou Miss quelque chose…
- Bonjour John-John. Tu ne me connais pas. Mais j’ai bien connu ton père.
- Pas moi. Mais j’ai bien connu la pension.
La serrure a été forcée. C'est la troisième fois ce mois-ci. Pourtant je filtre en bas, je vous assure...
Vous êtes qui ?
Bah... C'est moi, j'ai juste mis ma capuche.
(Lennon qui veut prouver à ses copains, qu'il est toujours connu. Il s'adresse à une serveuse) :
- Je suis qui ?
- Je ne sais pas monsieur, je suis désolée. Je viens d'arriver à Hamilton.
- Mais tu viens d'où ?
- Paris.
- (à ses copains) : Ah oui, mais ça compte pas, elle est française !!
- C'est quoi cette odeur âcre?
- Les gaz d'échappement. Vous aviez oublié?
Un sourcil souligné. Un vendredi noir. Une corde pour se pendre… Parce que leur dégoût du bonheur véritable nous condamne à la rage… A décrocher la lune, mais l’écume aux lèvres… Plus rien ne pourra naître de leurs cœurs putréfiés… De leur désirs mort-nés. Mais parce que l’espoir s’est levé… Parce que nous avons en nous la force infinie de l’amour… Nous avons la certitude que le monde de pacotille que nous vomissons est mort ce matin… Et que nos lendemains seront radieux.
- Monsieur Salvador, on va vous faire une greffe de jambes. On va improviser…
- j’ai mal aux pieds.
- oui, c’est normal, c’est un souvenir nerveux. Vous avez mal aux pieds, mais vous n’en avez pas…
- j’ai mal au cerveau aussi…
- Hmm… c’est le même phénomène…
Si tu veux me tuer, il faudra d’abord m’assassiner.
- Agenouille-toi.
Je fais de toi mon apprenti.
Ton nom sera désormais… Salvador !
- oui, mon Maître…
Mais techniquement comment ça ce passe, le changement de nom, je dois aller à l’état civil ?
- non mais t’inquiète pas, j’ai un service en interne qui s’occupe de la paperasse.
Suzy-Wan ne devrait pas me vexer ainsi en pleine adolescence…
S’il continue, je vais devenir une personne sombre et irritable.
- Arlekin ! Comme tu as grandi ! Te voici un ado boutonneux au visage ingrat !
- HaHaHa
- Je revois le joli petit bonhomme d’autrefois !
- ha ha Attendez, vous avez dit quoi, juste avant ?
Rends-moi ma fille tas de ferraille pourri !
- tiens, je t’ai fabriqué ce pendentif.
- oh merci ! C’est très beau.
C’est quoi cette texture ? C’est à la fois dur et mou et ça sent bizarre...
- oui, c’est de la bouse de dromadaire.