AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Howard Phillips Lovecraft (1127)


- "Yi-nash-Yog-Sothoth-he-Igeb-fi-throdog Yah !"

~ L'affaire Charles Dexter Ward ~
Commenter  J’apprécie          00
- "Per Adonai Eloim, Adonai Jehova,
Adonai Sabaoth, Metraton On Agla Mathon,
verbum pythonicum, mysterium salamandrae,
conventus sylvorum, antra gnomorum,
daemonia Coeli God, Almonsin, Gibor, Jehosua,
Evam, Zariatnatmik, veni, veni, veni."

~ L'affaire Charles Dexter Ward ~
Commenter  J’apprécie          00
- "DIES MIES JESCHET BOENE DOESEF DOUVEMA ENITEMAUS."

~ L'affaire Charles Dexter Ward ~
Commenter  J’apprécie          00
- "Si un homme meurt, revivra-t-il ? Tous les jours du temps qui m'est compté j'attendrai, jusqu'à ce que vienne ma relève."

* Job XIV, 14 *

~ L'affaire Charles Dexter Ward ~
Commenter  J’apprécie          00
- "Et si votre lignée ne s'éteint pas, viendra dans les années futures celui qui regardera en arrière et se servira des Sels ou de la Matière pour les Sels que vous lui laisserez."

* Job XIV, 14 *

~ L'affaire Charles Dexter Ward ~
Commenter  J’apprécie          00
- "Et de la semence d'autrefois naîtra Celui qui regardera en arrière sans scavoir ce qu'il cherche."

~ L'affaire Charles Dexter Ward ~
Commenter  J’apprécie          00
- "DEESMEES-JESHET-BONE DOSEFE DUVEMA-ENITE-MOSS."

~ L'affaire Charles Dexter Ward ~
Commenter  J’apprécie          00
- "Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn."

* Dans sa demeure de R'lyeh la morte Cthulhu rêve et attend. *

~ L'appel de Cthulhu ~
Commenter  J’apprécie          00
Je repensais aux mystérieux mythes primitifs qui m'avaient hanté si obstinément depuis ma première image de ce monde antarctique mort - celle des démoniaques plateau de Leng, des Mi-Go ou abominables hommes des neiges de l'Himalaya, des Manuscrits pnakotiques avec leurs implications pré-humaines, du culte de Cthulhu, du Necronomicon, et des légendes hyper boréennes de l'informe Tsathoggua et du frai d'étoile pire qu'informe, associé à cette semi-entité.
Commenter  J’apprécie          00
Qui avant nous a connu tout le mal
Ou les secrets tyranniques du temps
Bien que nous n'égalions pas les morts qui nous ont
donné naissance
Pour une chanson, un baiser ou un crime -
Bien que les païens nous dominent et nous survivent
et nos vies, nos désirs sont ambigus -
Ah, pardonne-nous nos vertus, pardonne-nous,
Vierge de Douleur.
Commenter  J’apprécie          00
« Plus grand qu'une grange... plein de cordes qui se tortillent... ce gros truc qu'a la forme d'un œuf, plus grand que tout avec des dizaines de jambes, qu'elles sont comme des tonneaux pis qu'elles disparaissent quand y marche... y a rien qui tient là-dedans – c'est tout comme de la gelée et tout comme des cordes entortillées toutes ensembles... et pis des gros yeux qui sortent tout partout... pis dix bouches, vingt, qui sortent de par tous les côtés, qu'elles sont grandes comme le tuyau d'un poêle, qu'elles s'ouvrent, qu'elles se ferment.... Tout gris, avec des genres de ronds bleus pis mauves... et par le bon dieu dans son paradis – ce visage tout en haut... »
Commenter  J’apprécie          00
Était-ce déjà la délivrance? Mes atroces appréhensions avaient-elles été sans objet? Le guide était-il parti à ma recherche dans ce labyrinthe de calcaire après avoir remarqué mon absence anormale? Alors que ces questions me trottaient dans la tête, j'étais sur le point de me remettre à crier afin de précipiter mon sauvetage lorsque, soudain, la jubilation fit place à l'horreur ; mon ouïe, fine de nature et rendue plus sensible par le silence absolu qui régnait dans cette caverne, apprit à mon cerveau embrumé - et pour ma plus grande terreur - que ces pas n'avaient rien d'humain.

In : Le monstre dans la caverne
Commenter  J’apprécie          00
Je ne hurlai pas, mais toutes les horreurs qui chevauchent le vent nocturne s'en chargèrent pour moi à la seconde où, d'un seul coup, s'abattirent sur mon esprit, en une fulgurante avalanche, des souvenirs à vous anéantir l'âme. Je me rappelai instantanément tout ce qui avait été ; je me souvins de ce qui avait précédé l'effroyable château et les arbres, et reconnus, malgré les changements, l'édifice dans lequel je me trouvais ; pire que tout, à l'instant où je rompis le contact entre nos doigts souillés, je reconnus la diabolique abomination qui se tenait face à moi avec son regard mauvais.

In : L'étranger
Commenter  J’apprécie          00
C'est dans la douce lumière de la fin d'après-midi que j'entrai pour la première fois dans le tombeau du coteau oublié. J'étais comme ensorcelé, et mon coeur battait à tout rompre sous l'effet d'une exultation que je ne saurais décrire de la manière qui conviendrait. Je refermai la porte derrière moi et, à la seule lumière de ma chandelle, descendis les marches dégoulinantes. J'avais l'impression de connaître le chemin et, malgré le grésillement de la bougie qui s'étouffait dans l'atmosphère viciée des lieux, je me sentais étrangement à l'aise parmi ces odeurs de caveau et de moisissure.

In : La tombe
Commenter  J’apprécie          00
Je me couchai tôt, car j'étais très fatigué ; mais je fus tourmenté par des rêves de la pire espèce : il me semblait que je contemplais depuis une immense hauteur une grotte crépusculaire au sol couvert d'une couche de déchets qui arrivait aux genoux d'un porcher démoniaque à barbe blanche menant avec son bâton un troupeau de bêtes flasques et fongueuses dont l'apparence m'inspirait une indescriptible répulsion. Tout à coup, alors que le porcher venait de s'arrêter et commençait à piquer du nez, une formidable nuée de rats s'abattit sur l'abîme malodorant et dévora aussi bien les bêtes que leur gardien.

In : Les rats dans les murs
Commenter  J’apprécie          00
Des avenues plongées dans une nuit infinie semblaient rayonner dans toutes les directions, si bien que l'on pouvait se demander s'il ne s'agissait pas des racines d'une contagion destinée à corrompre et dévorer des villes, à étouffer les nations dans la fétidité de cette peste hybride. C'est là que le mal cosmique avait pénétré ; là qu'il s'était envenimé sous l'effet de rites impies ; et c'est là qu'avait commencé sa marche macabre et grimaçante qui devait, à force de pourrissement, faire de nous tous des monstruosités fongueuses, trop hideuses pour mériter une sépulture. C'est en ce lieu que Satan tenait sa cour babylonienne, et que l'on lavait dans le sang de l'enfance innocente les membres lépreux de la phosphorescente Lilith.

In : L'horreur de Red Hook
Commenter  J’apprécie          00
Finalement, sur le conseil de mon oncle, je décidai de tenter ma chance de nuit ; aussi, un soir de tempête, à minuit, je promenai le faisceau de ma torche électrique sur le sol moisi, les silhouettes mystérieuses et les champignons biscornus et à demi phosphorescents. Les lieux m'avaient curieusement découragé, ce soir-là, et j'allais partir quand je vis - ou crus voir -, parmi les dépôts blanchâtres, une version particulièrement nette du "corps recroquevillé" entraperçu dans mon enfance. Sa netteté était étonnante, sans précédent... et alors même que je la contemplais, j'eus l'impression de revoir la légère exhalaison jaunâtre et chatoyante qui m'avait tant surpris, par un après-midi pluvieux, des années auparavant.

In : La maison maudite
Commenter  J’apprécie          00
Ainsi, la nuit du 18 juillet 1910, Herbert West et moi contemplions, dans le laboratoire de la cave, une silhouette blême et silencieuse à la lumière éblouissante du projecteur fixé au plafond. Le procédé d'embaumement s'était révélé prodigieusement efficace, car, alors que je fixais un regard fasciné sur le corps robuste qui était resté allongé là deux semaines sans être gagné par la rigidité cadavérique, je ne pus m'empêcher de demander à West si le sujet était bien mort. Il me l'assura sans hésiter, en me rappelant qu'il n'injectait jamais la solution de réanimation sans avoir effectué au préalable un test soigneux de l'état du spécimen, la moindre trace de vie résiduelle empêchant la formule de fonctionner.

In : Herbert West, réanimateur
Commenter  J’apprécie          00
Si certains le crurent fou à cette période, c'est à cause des bruits que l'on entendait à toute heure dans le laboratoire installé au grenier où il passait le plus clair de son temps : des psalmodies, répétitions et déclamations tonitruantes sur des rythmes insolites, et bien que tout cela fût prononcé de sa voix, cette dernière, ainsi que les accents des formules qu'il récitait, avait un caractère particulier qui glaçait le sang de tous les auditeurs. On remarqua que Nig, le vénérable chat noir adoré de toute la maisonnée, se hérissait et faisait le gros dos en entendant certains de ces sons.

In : L'affaire Charles Dexter Ward
Commenter  J’apprécie          00
Il est nécessaire aussi, avant de s’abandonner à l’histoire, de se replacer dans le contexte de l’époque. L’imaginaire géographique de la planète est incomplet. La découverte du continent antarctique est déjà ancienne, mais garde son mystère : les astronomes et physiciens en avaient annoncé l’existence par des calculs de masse, en fonction de l’orbite terrestre, bien avant qu’on y parvienne. Les premiers voyages n’en atteignent que les rebords. Dans ce début du XXe siècle, c’est la course de Roald Amundsen et de James Ross pour deux incursions jusqu’au pôle lui-même, mais le continent dans son ensemble demeure inconnu.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Howard Phillips Lovecraft Voir plus

Quiz Voir plus

L'Affaire Charles Dexter Ward

Dans quelle ville débute l'histoire ?

A Providence
A New York
A Los Angeles
On ne sait pas.

9 questions
81 lecteurs ont répondu
Thème : L'affaire Charles Dexter Ward de Howard Phillips LovecraftCréer un quiz sur cet auteur

{* *}