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Critiques de Jean Clair (33)
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Le livre des amis

L’ancien conservateur du patrimoine publie un magnifique livre de portraits, d’où se dégage une certaine idée de l’art libéré des snobismes.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Le temps des avant-gardes : Entretiens et c..

Après un séjour à New York où triomphe l’expressionnisme abstrait, Jean Clair regagne Paris où le climat intellectuel depuis mai 68 est propice à s’ouvrir à « l’avant-garde ». Temps des premières « installations », des premiers « concepts » et des premiers « happenings »…

Jean Clair est de ceux qui écrivent, avant les autres, sur la nouvelle génération d’artistes, les Buren, Boltanski, Sarkis, Le Gac, Viallat, dans une revue que venait de fonder Aimé Maeght, Les Chroniques de l’art vivant, et qu’il dirigea de 1969 à 1975. Cette revue, qui vit le jour avant Art Press (1972) était un lieu d’observation privilégié pour rendre compte des mutations qui agitaient le milieu de l’art, tant dans les arts plastiques, que dans la musique, le cinéma et la danse. Parallèlement, il écrit dans la NRF à propos des grandes manifestations internationales, Biennale de Venise et Documenta et, à mesure, prend de plus en plus ses distances par rapport à cette avant-garde qui s’institutionnalise avant de devenir, à ses yeux, sous le nom d’« art contemporain » ce qu’avait été l’art pompier pour les amateurs fortunés du XIXe siècle.

Les chroniques consignées dans ce livre témoignent d’une époque où, sous l’influence des États-Unis qui promeuvent et vendent un art autochtone qui balaie l’art ancien, essentiellement européen, un nouveau marché se crée, de plus en plus spéculatif, qui ne cessera de s’étendre de New York à Moscou et de Venise à Pékin, destiné à une riche oligarchie internationale.
Lien : http://salon-litteraire.com/..
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Les derniers jours

Utiliser une langue classique et des plus élégantes pour tenir des propos dignes du café du commerce, toujours en faisant mine d'être érudit [...] On est ainsi ébloui et en même temps un peu embêté. Que cherche à dire au fond Jean Clair ?
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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Les derniers jours

Jean Clair, de son véritable nom Gérard Régnier, né en 1940 à Paris, est conservateur général du patrimoine, écrivain, essayiste et historien de l'art. Ancien directeur du musée Picasso, il a également été commissaire d'un grand nombre d'expositions nationales telles que « Duchamp » (1977), « Les Réalismes » (1980), « Vienne » (1986), « L'âme au corps » (1993), « Balthus », « Szafran », « Mélancolie » (2005), « Crime et Châtiment » (2010) et a dirigé la Biennale de Venise du Centenaire. Membre de l'Académie française depuis mai 2008, son nouvel ouvrage, Les Derniers jours, est paru en 2013.

Première question sans réponse réelle, à quel type d’ouvrage le lecteur s’attaque-t-il avec Les Derniers jours de Jean Clair ? Ce n’est pas un roman, ce n’est d’ailleurs pas mentionné sur la couverture et l’auteur s’en défend, « je me méfie du roman » ; par contre on y trouve des traces d’autobiographie quand il revient sur son enfance à la campagne en Mayenne, puis son adolescence à Pantin en région parisienne, après la guerre. Par contre il y a beaucoup de réflexions et tentatives d’analyse du monde dans lequel nous vivons aujourd’hui ; donc un essai, penserez-vous, pourtant ce n’est pas cela non plus, car trop disparate, trop éclaté dans les sujets abordés, même si, in fine, toutes ses réflexions aboutissent à la même conclusion nous allons le voir. Objet littéraire non identifié, donc.

Jean Clair a la réputation d’être un polémiste, ce bouquin le confirme assurément. Je ne vais pas détailler tous les sujets abordés par l’écrivain, mais tous, peu ou prou se concluent par un sinistre, c’était mieux avant ! Que ce soit l’éducation scolaire des jeunes enfants, le français comme on le parle aujourd’hui, précipitant « le monde dans la folie » ; ou bien qu’il s’attaque à des sujets plus graves, supposant une Europe s’abandonnant – à contre cœur - à une charia mais espérant en retour, une revalorisation des principes moraux ; ou encore évoquant la gestation pour autrui comme « une victoire posthume du nazisme »… A ce point, le lecteur commence à essuyer la buée sur ses lunettes, s’inquiétant un peu de ce qu’il lit.

Globalement, j’ai eu la nette sensation de lire un bouquin écrit par un vieux réac, s’interrogeant sur notre monde devenu, se demandant si une telle vie de merde valait la peine d’être vécue. Mais, exprimé dans une langue châtiée parfaitement maîtrisée, voire désuète parfois, très cultivée, le moins qu’on puisse attendre d’un académicien me direz-vous. Je dois néanmoins être juste aussi, certains passages sur l’écriture, la vie rurale d’hier par exemple, m’ont beaucoup plu. Des critiques du monde moderne ont trouvé des échos avec mes propres constats, d’autres m’ont entrainé dans des chemins que je ne veux pas emprunter quand je raisonne objectivement mais que je sens (avec horreur) attendre leur heure au fond de mon esprit.

Bref un bouquin avec du bon (un peu) et du moins bon, très bien écrit certes mais s’éparpillant trop, ouvrant la porte à la discussion et à la polémique.

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Les derniers jours

Une quasi lecture en aveugle : auteur inconnu (il est indiqué "de l'Académie française", ce qui n'a rien éclairci), titre encore plus inconnu, pas de bandeau laissé par la médiathèque, une quatrième de couverture proposant quatre passages. J'ai poussé l'amusement jusqu'à m'interdire de fouiner sur internet avant d'en avoir terminé.



Au travers de ces courts textes, l'on découvre des grands parents paysans (chez moi aussi on disait "ne te décache pas..."), la montée des parents en banlieue parisienne, les études parmi des condisciples de milieux bien moins modestes, un poste de professeur à Harvard (ouah quand même)(mais, le jour où il découvrit qu'il rêvait en anglais, "je décidai de quitter les Etats-Unis") et moult considérations sur l'art, Venise, l'Europe, les camps nazis, fort originales et pas forcément dans l'air du temps.Un peu passéiste et pessimiste, fort érudit, belle et agréable écriture, l'impression d'aérer ou secouer ses neurones au détour d'une page devant une réflexion. Ainsi que des pages superbes sur la lecture, la vie paysanne, l'ambiance à Pantin il y a un demi-siècle. Bref, je recommande.



Quelques bribes:

Un démarrage qui a mis à mal mon stock de marque pages (ensuite ça s'est un peu calmé) car on parlait de lecture, relecture, écriture. "Lire avait été une aventure, relire est une retraite." "Le seul voyage qui vaille n'est pas d'aller vers d'autres paysages, mais de considérer les anciens avec de nouveaux yeux.""On relit pour vérifier que ce que l'on a lu autrefois était toujours là. Mais on écrit pour vérifier que ce que l'on a vécu jadis a bien été vécu. L'angoisse est tout autre." "Nul temps n'est plus compté que celui employé à lire, et nul temps n'est, dans le même temps, aussi libéré du temps que le temps de la lecture."



Et ça aussi:

"On savoure un plaisir secret à commencer la lecture d'un livre qu'on a tiré de sa bibliothèque pour la prolonger dans un autre exemplaire, par hasard découvert chez un ami dont la maison duquel passagèrement on loge. Le don d'ubiquité est le propre des livres.

C'est le même texte, c'est la même impression et c'est la même année d'édition, mais la lecture en sera différente. (...) Il existe à travers le monde une fraternité secrète des gens qui possèdent, dans leur bibliothèque, les livres que vous avez chez vous."



"La lecture n'est jamais plane ni linéaire. Un livre est d'abord un "volume", qu'on saisit dans son épaisseur. On creuse dans sa masse, on fouille, on sonde, on attrape un éclat, on dégage une pépite. Rien de cette lecture superficielle du déroulement électronique, qui clignote ou s'efface aussi vite. Sa pesanteur dans la paume renseigne immédiatement sur le moment où l'on est arrivé, vers le milieu ou vers la fin. La lecture ne se perd pas sur une surface homogène, mais se renforce par mille sensations, une infinité de détails inconsciemment enregistrés par le cerveau, et ce poids dans la main atteste la gravité, ou la lourdeur, des idées que l'esprit y découvre." (OK, l'auteur n'est pas pour les liseuses...)



"La pyramide en verre transparent qui sert d'entrée au Louvre est le signe le plus éclatant de cette dérision moderne: jadis destinée à conserver les Pharaons morts dans l'obscurité et la sécurité de la terre, elle ouvre à la lumière aveuglante du jour des œuvres destinée jadis à défier la mort, aujourd'hui réduites aux produits interchangeables des comptoirs commerciaux du monde civilisé."



"Pourquoi la monnaie européenne , l'euro, (...), ne porte-t-elle pas sur ses faces les portraits de grands Européens?" (tiens oui, je n'avais même pas remarqué)



Plein de passages sur les campagnes et les haies, la religion et l'art, mais je ne peux tout citer. Un peu "fourre-tout", oui, mais chacun y trouvera de quoi réfléchir.


Lien : http://enlisantenvoyageant.b..
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Malaise dans les musées

Jean Clair publie en cette année 2007 un pamphlet particulièrement intéressant. Il s’insurge contre la politique culturelle française et la gestion particulière de ses musées. On ressent beaucoup de tristesse et de regrets de la part de l’auteur. Il regrette profondément la transformation des musées en entreprises qui cherchent désormais à faire des bénéfices, à « marchander »  l’art. Il oblige le lecteur à se poser beaucoup de questions sur le changement de statut du musée. On peut toutefois reprocher à l’auteur de ne pas soutenir son propos par des références écrites. Il est donc nécessaire de prendre du recul par rapport à la diatribe de Jean Clair qui se compose parfois d’affirmations gratuites.
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Malaise dans les musées

« Ce petit livre est né d’un désenchantement », ainsi Jean-Clair commence-t-il son essai dans lequel, effectivement, désenchanté, amer il s’insurge et dénonce la faiblesse des politiques culturelles françaises et les menaces qui pèsent sur notre patrimoine du fait des dérives dues à la globalisation et à la marchandisation muséologiques à l’œuvre.

Pour exemple, il cite notamment l’opération du Louvre d’Abou Dhabi qu’il estime avant tout purement mercantile et scélérate. Mais plus globalement c’est toute une réflexion sur notre monde occidental englouti par une décadence qui affecte l’art en général, mais aussi la culture dans son ensemble qu’il nous propose.

Il sera facile de le taxer de nostalgique d’un temps où… et du reste d’aucuns ne s’en sont pas privé à la sortie de cet essai (mais il suffit d’y aller voir leurs conflits d’intérêts) ; il n’en reste pas moins que, malgré peut-être quelques excès dus sans doute à sa passion pour l’art, cet essai, nourri de sa grande culture, a le mérite d’être brillant et de mettre le doigt et alerter sur une dégringolade de plus qui affecte nos modèles occidentaux.

Qu’importe les grincheux, cela ne l’aura pas empêché d’en remettre une couche quelque temps après avec « L’hiver de la culture », tout aussi brillant et utile, et il a bien raison.



A noter aussi, un passage intéressant sur le système de la fondation Guggenheim (éclairant !)

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Marcel Duchamp

Recueil d'articles dans la revue l'ARC, ce livre ouvre de nombreuses portes pour analyser la portée de l'œuvre de Marcel Duchamp, autant sur la trajectoire de l'art contemporain que pour la place de l'art et de l'artiste.

Quelques articles drôles et fantaisistes, d'autres difficiles à pénétrer.

L'occasion de jeter un nouvel œil sur Duchamp et le ready-made.
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Paradoxe sur le conservateur

Jean Clair conservateur, historien d'art, critique et essayiste empêcheur de tourner en rond, trouble fête et poil à gratter du monde de l'art et de l'institution muséale n'est pas que le passéiste que l'on croit. S'il fulmine ce n'est pas contre la modernité mais plutôt contre l'idée que cette dernière serait la mesure de toute chose, déplorant la religiosité de certains de ses pairs devenus grands prêtres des processions et des cérémonies d'un art contemporain adulé (nouvel art officiel qui se suffirait à lui-même ?), plus soucieux d'avant-garde que de sauvegarde et de transmission. Paradoxe. Jean Clair s'interroge sur la notion même d'art contemporain et ce qui pourrait, sous les piques acérées volontiers polémiques d'un conservateur agacé, n'être qu'un prolongement du combat entre anciens et modernes pointe en réalité quelque chose d'autrement plus dérangeant pour notre époque avant tout centrée sur elle-même. L'explosion du nombre des musées ces nouveaux temples festifs de la culture, leur évolution aussi bien que celle des missions du conservateur dans la deuxième moitié du vingtième siècle – plus particulièrement après les années soixante, ne seraient-elles pas tout bonnement les symptômes de la corrosion d'une pensée en quête d'artifices, déconnectée des pratiques et des oeuvres du passé pour mieux s'affranchir du sens originel de l'art ? Les Romains ne multiplièrent-ils pas les temples quand ils ne crurent plus en leurs dieux… le soupçon redoutablement étayé justifierait à lui seul qu'on lise et relise cet opuscule de faible tirage (je dispose d'une réédition à mille exemplaires de 1990, la première datant de 1988 peu de temps – deux ans – après l'installation des Colonnes de Buren dans la cour d'honneur du Palais-Royal à Paris qui firent tant gloser). Le texte très court parfois magnifiquement inspiré quand il est question de peinture et de matière, de simples pigments, d'usages et de rituels, du culte des morts, ne fait que rendre plus pénétrante une réflexion sous-jacente passionnante (véritable sujet de ce tout petit livre) sur les sources et la finalité de l'art prenant à contre pied la vision de Malraux ; battant en brèche le concept si répandu d'autonomisation de l'art. J'aime quand Jean Clair propose un sens enfoui des oeuvres inscrit dans la conscience humaine de sa propre finitude, qu'il rappelle leur portée depuis la nuit des temps, totalement occultée aujourd'hui, qu'il relie le geste du paléolithique à celui du peintre d'aujourd'hui et qu'il écrive « L'art n'est pas né du culte des dieux : il est né d'abord de l'obligation d'envisager la mort et d'en surmonter en esprit l'inéluctabilité ». Une lecture flash qui donne à réfléchir longuement avant de s'engouffrer dans les files d'expositions estivales et d'y rejoindre le peuple des fidèles…









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Retour à Milan

« L’Echoppe » s’est spécialisée dans l’édition de textes courts, inédits, indisponibles ou rares. Il suffit de s’attarder sur le catalogue pour être saisi de vertige : Marcel Duchamp, Lucian Freud, Pierre Soulages, Balthus, Alberto Giacometti, Sean Scully ou Giorgio de Chirico. Dans le volume que voici, nous trouvons la réédition d’un texte (ici, en quinze pages) paru en janvier 2011 dans « Il Giornale dell’Arte ». Il est dû à Jean Clair, de son vrai nom Gérard Régnier. Cet historien de l’art a été, entre autres, le directeur du Musée Picasso, de 1989 à 2005. Dans plusieurs écrits restés fameux, il s’est révélé être un virulent polémiste fustigeant l’art contemporain, jugé sans racines (françaises). Ainsi, dans ce texte rédigé lors de l’inauguration du Museo del Novecento à Milan, il tente de corriger l’idée fausse qui veut que l’Italie, berceau de la Renaissance et du Baroque, n’ait pas donné d’artistes majeurs à la modernité. Bien entendu, les plus célèbres sont les Futuristes, d’Umberto Boccioni à Gino Severini, qui, sous la férule de Filippo Tomasso Marinetti, ont participé à la déstructuration de l’unité spatio-temporelle de l’image. Mais tant d’autres ont été incompris, négligés ou purement et simplement oubliés : Giorgio de Chirico est phagocyté par l’ogre surréaliste ; Giorgio Morandi n’est connu que des spécialistes ; Mario Sironi, par son réalisme, est jugé rétrograde ; Arturo Martini, lui, est formellement trop classique. Mais, en même temps, Jean Clair évoque surtout les intellectuels, les galeristes et les collectionneurs italiens qui, lors de son premier séjour milanais en 1978, l’ont initié à la modernité péninsulaire, tout en déplorant l’intérêt porté à Piero Manzoni et à l’Arte povera.

Le style inimitable de Jean Clair est tout de suite reconnaissable par sa fluidité et le fait qu’il est souvent concis. Quant au propos, au fond tout à fait louable, il relève presque du vœu pieux, tant l’histoire de l’art, pour le grand public, est articulée par de grosses charnières. Elle est, et là Jean Clair a raison, trop souvent envisagée selon un schéma d’une chaîne dont chaque maillon serait la conséquence du précédent et l’initiateur du suivant. Rien de plus faux : de tout temps, il y a eu des artistes aux fulgurances extralucides et d’autres aux reculades passéistes. Non, l’histoire de l’art n’est pas un fleuve tranquille… et n’en déplaise à Jean Clair, heureusement que dans le lit du cours d’eau, se trouvent des rochers pour déchirer la sécurité de nos certitudes.
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Terre natale

Jean Clair, homme de passion et de colère raconte....se raconte.

Biographie éclatée, souvenirs emmêlés, ce récit plonge le lecteur, dans la nostalgie des années enfantines et dans le regret d’ un monde traditionnel disparu .

L’ écrivain , parfois révolté, souvent pessimiste, critique sévèrement l’ art contemporain et s’ inquiète de l’ évolution de notre société.

ce féru d’art et de littérature, écrit des pages émouvantes sur les pietàs du moyen âge, les vierges à l’enfant de la renaissance ou l’ œuvre de Marcel Proust.

Même , si je ne suis pas, toujours, son indignation, lire Cet auteur, est un régal.

L’ écriture est sublime, sa culture impressionnante.

« L'écriture est un filet de mots pour attraper les papillons de l’ âme « 

Finir l’année avec une telle phrase, un vrai bonheur.
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Terre natale

L’écrivain et académicien publie un journal non daté où il mêle souvenirs et considérations personnelles, et aussi ses rêves.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Zoran Music à Dachau

Avec ce nouvel ouvrage dédié à Zoran Music, l’historien d’art et conservateur des musées Jean Clair se fait tour à tour polémiste, poète et défenseur des Humanités .
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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