Jean-Côme Noguès

Lu en primaire... Il me faudrait le relire pour rédiger une critique un tant soit peu en lien avec ma lecture.

Ce livre était bien,une lecture sympathique , mais ce roman était un peu long ( 159 pages ) . j'ai aimé le moment où Guilhem lui donne la permission de récupérer le faucon . Je trouve que ce livre nous permet de mieux comprendre le moyen âge,car on comprend les conditions de vie des paysans à cette époque. J'ai été déçu quand Martin a était emprisonner a cause du fauconnier car il a essayé de dressé le faucon mais le faucon est destiner a chasser .

La forme journal est suffisamment souple pour permettre une écriture vivante, tour à tour enjouée, mélancolique, elliptique… C’est un solide roman classique.
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J’aime les beaux livres. J’aime aussi ceux dont il reste quelque chose la dernière page tournée. C’est pourquoi j’ai beaucoup aimé Le génie du pousse-pousse, raconté par Jean-Côme Noguès, enseignant à la retraite qui met à profit son temps libre pour le consacrer à l’écriture, et illustré par Anne Romby.



Agrémenté d’un lexique qui traduit en français les mots en chinois qui servent d’intercalaires et qui donnent le ton (pouvoir, souffle, doux, effort, chemin, etc.), ce conte qui se déroule en Chine met en scène Chen, un jeune garçon qui n’a pour tous biens qu’un pousse-pousse et un chapeau de paille desquels il se contente jusqu’à ce qu’il désire acquérir des objets plus somptueux. Mais rien ne se gagne en claquant des doigts et c’est ce que le jeune garçon apprendra en même temps qu’il découvrira la valeur de ce qui l’entoure et de ce auquel il tient, comme l’amitié.



Raconté avec finesse, avec une sagesse toute orientale, Le génie du pousse-pousse nous livre des illustrations si réussies qu’on peut rester longtemps à en admirer tous les détails tout en ne perdant pas de vue la mission que l’auteur s’est donnée de nous prouver que tout se gagne à la sueur de son front et pas autrement. Un livre pour qui aime les beaux livres. Les très beaux livres.
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L’héroïne (âgée de 14 ans au début) tient son journal intime durant l’ensemble de l’année 1855 lorsque Paris est animé par l’exposition internationale et l’on suit les déplacements de la reine Victoria durant son séjour à cette occasion. Fille d’un commerçant aisée, Charlotte fréquente une école privée (non catholique) de jeunes filles et reçoit des cours de piano à la maison. Sa professeure de musique la quitte et elle est remplacée par un jeune professeur. Un engouement à sens unique pour ce dernier s’empare de Charlotte. Cette dernière se rend quelques jours en Normandie chez ses grands-parents.



En faisant de la tante de l’héroïne une amie de la fille de la comtesse de Ségur, un large passage est consacré dans le récit aux ascendants et descendants de l’auteure devenue célèbre lors du Second Empire.



Des pages strictement documentaires évoquent en particulier l’accès progressif des jeunes filles à la possession du baccalauréat et à l’université.


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Est ce que quelqu'un cest si il y a des personnages historique dans se livre ? SVP.

[...] J'ai beaucoup aimé ce titre ! Très court, il se lit en deux heures à tout casser. Le jeune héros, Martin, est attachant : il est courageux mais têtu et passioné, ce qui peut lui valoir des ennuis. Ce qui est surprenant dans ce récit, c'est qu'il est construit pour apprendre des choses sur le Moyen-Age aux jeunes lecteurs, mais que c'est si bien fait qu'on n'est pas gêné comme parfois dans ce genre de livres. On comprend parfaitement les relations entre les paysans, les serfs et le Seigneur et ses alliés comme le fauconnier. Il y a également une bataille qui permet de voir comment on défendait et attaquait un château-fort. Bien sûr, tout cela est teinté de bons sentiments car le Seigneur est bon (contrairement au fauconnier) et finalement Martin est assez libre.

La fin est tout simplement tragique, je ne m'y attendais pas c'est même presque gore par rapport au reste du roman. J'espère que ça ne choque pas trop le jeune lecteur ?! Mais ça permet de bien montrer les conditions de vie des paysans à cette époque.



Une lecture sympathique ! [...]
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Un album jeunesse parfait qui se relit à volonté!



Les contes chinois sont souvent très poétiques et très fins et Le génie du pousse-pousse n'échappe pas à la règle. L'auteur possède une écriture très travaillée, à la fois légère, douce et émouvante. L'histoire est plutôt originale donnant ainsi un intérêt particulier à l'album. Les illustrations d'Anne Romby sont sublimes et nous entraînent dans la Chine ancienne avec ses couleurs et sa raffinerie. On sentirait presque les odeurs du marché!



Un album jeunesse à dévorer!
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Le faucon déniché est un roman jeunesse qui nous plonge au Moyen-Age. Martin, jeune serf, nous fait partager sa vie, celle d'un enfant qui doit avec sa famille vaincre la famine, les épidémies... C'est donc un formidable voyage que nous offre Jean-Côme Noguès

C'est aussi un roman du rêve : Martin rêve de posséder un faucon et ce rêve devient réalité. J'aime l'idée que les jeunes lecteurs puissent s'identifier à Martin et se dire que chaque rêve peut se réaliser, non sans mal parfois mais il ne faut pas désespérer !

Par ailleurs, ce roman narre une belle histoire d'amitié entre le jeune serf et son faucon.

J'ai enfin beaucoup apprécié les illustrations présentes dans l'édition Pocket jeunesse !

Comme vous l'aurez compris, c'est une lecture que je vous recommande à la fois pour découvrir ou redécouvrir le Moyen-âge et pour passer un agréable moment en compagnie de Martin et son faucon.


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C’est par des chemins détournées que nous allons rencontrer Molière, car notre personnage principal est en fait un jeune garçon prénommé Gabriel qui ne rêve que d’une chose : travailler dans le monde du théâtre, être comédien.



Une rencontre inattendue



Tous les jours, Gabriel se rend au Pont-Neuf où il joue de courtes pièces improvisées afin de gagner son pain du jour. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est que Molière l’observe, intéressé par son jeu de scène, sa façon d’être. Il va ainsi se présenter à un Gabriel complètement abasourdi qui ne croit pas à sa chance.



Mais le métier auquel aspire Gabriel cache de nombreuses difficultés sous les paillettes et les rires mondains....



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Jean-Côme Noguès est un auteur français de romans historiques pour la jeunesse il est anciennement enseignant. Publié en 1972, Le faucon déniché est l’une de ses œuvres les plus connues, elle est d’ailleurs très souvent étudiée dans les écoles.



Une période cruelle pour les gens dits « modestes »



Bienvenue au Moyen-âge, une époque bien particulière où être simple paysan ou fils de bucheron n’ouvre à aucun droit ....

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Entre la Fantasy et la Science-fiction, la Citadelle du vertige est un roman fantastique pour la jeunesse vraiment atypique. Tout se déroule dans une église immense qui fait un nombre d’étages tellement astronomique que la Terre est invisible vue d’en haut.



Les habitants de la citadelle habitent au dernier étage de la bâtisse, leur unique raison de vivre est de construire un étage supplémentaire de l’église pour leur Seigneur, leur but ultime étant un jour d’atteindre justement leur dieu.... lire la suite sur le blog !
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J'ai été bluffée par la fin de l'histoire à laquelle je ne m'attendais pas ! ça commence comme un roman historique mais...

Aussi lut pour le college il y a deux ans j'avais adoré !

Cette citadelle qui est pendu dans le vide(si mes souvenirs sont bons :s) m'avait vraiment intrigué !

C'est à travers un théâtre d'ombres que les éditions Nathan ont décidé de donner une nouvelle interprétation des voyages d'Ulysse, et on peut dire que l'expérience a donné un résultat très réussi.

Les somptueuses ombres chinoises de Jacques Guillet, nous projettent dans un univers onirique qui va bien à l'œuvre abordée.

Le talent de romancier de Jean Côme Noguès dessine avec poésie et justesse un univers antique où la vie de tous les jours palpite au milieu des rêves et des dieux.

Les immortels racontent l'histoire au fur et à mesure qu'elle se fait.

Les humains traversent les épreuves et le temps en les côtoyant avec évidence.

Le chapitre trois de cet ouvrage s'intitule Pénélope.

Au chapitre sept, intitulé" Télémaque", Pénélope propose l'épreuve de l'arc d'Ulysse, puis, se déroule le massacre des prétendants. Enfin, avertie du stratagème d' Ulysse par Euryclée, elle quitte sa chambre pour aller le retrouver.

... et c'est Télémaque qui fait reconnaître à sa mère le père que son coeur a reconnu... Pourquoi pas ?

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Lecture jeune, n°127 - Paris, 1661 : le jeune Gabriel vit dans une chambre de bonne. Il survit en faisant le mime sur le Pont Neuf. Remarqué par Molière, il devient « moucheur de chandelles » pour sa fameuse troupe installée au théâtre du Palais-Royal. Gabriel finit ainsi par côtoyer les grands personnages de l’époque : Mazarin, Anne d’Autriche, Fouquet et, bien sûr, Louis XIV. Mais il découvre aussi l’ambition, la jalousie et le pouvoir de l’argent. Victime d’une intrigue, il préfère fuir la capitale et choisir la liberté en montant sa propre compagnie.



Ce roman historique permet aux lecteurs de découvrir un Paris vivant, mêlant « petites gens » et personnages de la Cour. En outre, l’ouvrage dépoussière l’image scolaire et parfois figée de Molière dont on découvre ici les différentes facettes : celle de l’artiste pressé par l’urgence de la création, celle du directeur de troupe qui doit composer avec l’humeur de ses comédiens, celle de l’homme amoureux… On soulignera les qualités d’écriture de Noguès, parfaitement maîtrisée, alerte et qui rend compte avec brio d’une vie riche en rebondissements.



Agnès Donon