Jeff Abbott

Au moment de sa sortie, ce roman policier a bénéficié d’un bouche à oreille très favorable.



A lecture, la déception fut pourtant là. Pas pour le rythme (effréné), mais pour le côté invraisemblable des rebondissements. Voilà un monsieur tout le monde qui doit faire face à un enchaînement de situations : ses proches ne sont pas ce qu’il croit, il tombe dans un sac de nœuds avec des services secrets (qui ne prennent pas trop de précaution pour le rester) et des méchants (vraiment méchants).



La lecture n’est pas désagréable, mais même pour passer le temps dans le même genre, il y a mieux.

Dans ce thriller psychologique Jeff Abbott déploie son imagination dans le cadre d'une réalité parfaitement documentée : le syndrome post-traumatique.

Au passage l'auteur renseigne sur cette pathologie psychologique qui touche les victimes de traumatismes d'une violence intense les handicapant véritablement et en les coupant de la vie sociale.



Malin, prenant et implacable, ce thriller se lit facilement malgré quelques longueurs et répétitions.

Le lecteur se prend d'empathie pour ces héros solitaires qui cherchent à retrouver l'équilibre.

Sam Capra et sa femme Lucy sont très heureux, lui à une très bonne place dans la Compagnie à Londres, elle est enceinte travaille aussi dans la même boite. Un jour Sam fait une présentation à son travail, sa femme l'appelle et lui demande sortir des locaux de l’entremise tout de suite, il l'écoute et à peine sorti sur le trottoir tout l'immeuble explose. Dans la précipitation il aperçoit sa femme dans une voiture, un homme étrange est au volent. Il ne l'a révéra plus...



Cette première partie assez courte, m'a bien plus et je me suis dite que ça commençait bien, mais la suite m'a paru assez étrange tout par dans tous les sens et l'auteur Jeff Abbott fait partir son personnage en héros genre Bond 007 pour ne tourner en rond tout le reste du livre...



Quand on n'aime pas on ne va pas plus loin... je m’arrête ici... Il y a tant d'autres livres à lire bien plus intéressants !!! Je vais m'y concentrer...
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Histoire et personnages insipides. Je ne comprends pas que ce livre soit référencé "thriller" dans la collection. Aucune montée d'Adrénaline. La psychologie du "héros" a une profondeur... je sonde encore ses pensées. Une en particulier me laisse particulièrement perplexe :

« Allez, mets-lui la pression, me dis-je, ne lâche pas. [ J'ai pensé qu'il s'adressait à moi... ]. Transforme le monde en enclume qui lui fracasse la crâne, comme dans un cartoon. » p. 330

—J'ai laissé la coquille, ce n'est pas la seule ^^—

La quatrième de couverture le décrit quand même comme :

- un "brillant agent de la CIA" : Ahouuuu !!

- "qui mène la vie dont il a toujours rêvé" : c'était ça.. j'ai rêvé les 569 pages !

Premier livre de cet auteur. Je vais attendre un peu avant de tenter une nouvelle expérience.

Quelle tristesse pour Lucy, son oncle Patch Gilbert 70 ans qu’elle adore et sa compagne Thy ont disparus. Après une battue de la police, on les retrouve dans le terrain appartenant à Path, dans une fosse de 2 m par 2 m, leurs cadavres sont t tellement défigurés que les policiers qui les ont découverts sont malades de voir cette horreur. En faisant le constat de police et en bougeant un peu les corps pour les photos, ils découvrent des ossements plus anciens. Que se passe-t-il sur quoi sont-ils tombés ? Pourquoi cet acharnement et cette cruauté ? Avec beaucoup de tristesse Lucy et son compagnon le juge whit Mosley vont mener l’ enquête. Dans ce thriller on retrouve tout pour faire un bon suspens. La famille et les questions d’argent n’amènent jamais rien de bon.

J’ai adoré ces 19 récits d’écrivains diffèrent dont Harlan Coben. Entre les histoires d’amour de trahison. Un mari trompé, pour lui ca femme n’a plus le droit de vivre. Quelques-unes que je n’ai pas aimé, mais les autres fabuleuses. (Mon avis)

Dommage, c'était bien parti !



Les 150 premières pages sont passionnantes, les événements se succèdent, l'histoire est vraiment bien construite et l'auteur arrive vraiment à nous convaincre que ce Sam Capra n'est pas n'importe qui !



Un vrai héro, le cousin à 007, le fils spirituel de John McClane, l'ami d'enfance de Jack Bauer, le type capable de sauter du toit d'un immeuble de 4 étages et de retomber sur ses pieds.... même pas mal.



Seulement voilà, à la moitié du bouquin, l'auteur, manifestement en panne de grandes idées originales, (avant de passer aux dernières 100 pages qui reprennent une certaine hauteur), n'a rien trouver de mieux, après avoir fait de Sam Capra l'agent spécial hors de contrôle le plus dangereux du monde, après l'avoir entouré d'une infrastructure technique et financière sans limites, que de le cantonner a chasser quelques malfrats locaux au fin fond des ruelles d'Amsterdam. Des petites frappes locales se comportant de manière ignoble mais n'ayant strictement aucune envergure.



Bref, 200 pages qui tournent en rond dans le but d'aller voler un chargement de cigarettes dans un camion et qui ne collent pas à la grandeur qu'on a voulu donner à Sam Capra, dommage, on s'ennuie....



Tout était là, le plus dur était fait et paf... le soufflé se dégonfle :-(



M. Abbott a sans doute d'autres idées pour le prochain Sam Capra car tout est prêt pour enchainer les épisodes....

La critique de ce livre n’est pas aisée. En effet, j’ai eu du mal à m’imprégner de l’histoire de Evan. Ce thriller commence à toute vitesse : Evan est appelé par sa mère pour qu’ils se voient le plus rapidement possible. Arrivé dans la maison parental, il trouve le cadavre de sa mère, se fait assomer, puis, une fois qu’il est pris en charge par les policiers, se fait enlever… Tout va très vite, peut -être trop vite… Il y a des rebondissements tout au long de l’histoire mais ils sont assez prévisibles et peu réalistes. On assiste à une surenchére d’événements et d’actions lors de la course-poursuite entre Evan et Jargo (qui retiendrait le père du héros) qui affaiblit la portée du livre qui aurait méritée bien mieux vu la complexité de l’intrigue (l’espionnage international, les agents doubles et ceux qui sont à leur propre compte).

De plus, certains personnages deviennent agaçants : Evan à cause de sa chance inouïe qui se sort sans probléme de toutes les situations dangereuses et Dezz, l’archétype du méchant grossier sexiste qui tire sur tout ce qui bouge…



J’ai donc été emballée par l’intrigue complexe de ce thriller mais pas par la forme que Jeff Abbott lui a donné. Trop d’invraisemblances et de déjà-vu ne m’ont pas permis d’avoir des montées d’adrénaline… Ce qui est dommage pour un thriller dont le titre est « Panique »!




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Un livre de 2007 que j’ai déniché dans une boite à livre et que j’ai mis de côté, parce que j’ai toujours un livre à lire et que je me suis dit que ça pouvait attendre.

Mais il y a 3 jours, je me suis enfin décidée à commencer ce livre. Le résumé m’avait beaucoup plu et la couverture m’avait intrigué.

Dés les premières pages j’ai été directement entrainé dans l’histoire, qui est d’une facilité à suivre.

Rebondissements, espionnage, amour, trahison, mensonge, on a ici un cocktail bien fourni pour un seul livre, et c’est tant mieux parce que j’adore.

On y retrouve du suspense qui avec son rythme insoutenable nous tient en haleine du début jusqu’à la fin, appart quelques répétitions mais rien de bien méchant, j’ai beaucoup aimé ce livre.

On vit avec les personnages, mais je n’ai pas été complètement attaché à eux, ce qui ne m’a rien enlevé au livre.

En bref un très bon livre pour moi, ou j’ai passé un agréable moment avec une lecture rapide et facile… tout ce que j’aime !

Fuyez ! Le Lecteur est l’otage des intentions inachevées d’un industriel, lourdaud, du tourne-pages et du prêt-à-porter à l’écran.



Jeff Abott représente le mirage de la technique d’écriture américaine. La technique doit être au service du talent ; ici le talent a disparu derrière la technique.



Jeff Abbott a choisi de mettre en exergue cette phrase attribuée à Lewis Carroll : "Ce me serait égal d’être un pion, pourvu que je puisse prendre part au jeu". C’est exactement l’impression produite dès les premiers paragraphes. Je suis un pion et l’auteur m’embrouille. Un personnage, Henry, surgit chargé de mystères puisque vous n’en savez rien ; arrive un autre personnage, Luke, tout aussi mystérieux entretenant des relations mystérieuses avec le premier et poursuivant un but mystérieux voir machiavélique; survient un troisième mystérieux personnage, Eric, agressant Eric pour des raisons mystérieuses. Nous sommes déjà page 75 et de ce qu’ils fabriquent et de ce qu’ils sont, vous ne le saurez qu’au compte- goutte si vous notez soigneusement ce que vous appris sur un petit papier vous permettant d’aller pisser !



Jeff Abbott joue les mystérieux et je n’ai pas envie de jouer Cluedo.



Lectori salutem, Pikkendorff


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Agréablement surprise par ce livre dont il est difficile de s'arracher de la lecture. Au premier abord, un thriller tout ce qu'il y a de plus classique; finalement, un suspense haletant, des personnages avec qui l'on frémit, et des rebondissements toujours plus surprenants. je comparerais cet auteur (dont c'est le premier livre que je lis) à David Baldacci (Un homme sous contrôle, Une femme sous influence). Espionnage, amour, mensonge, traitrises, trahison: tels sont les maîtres mots de ce bon roman.

Un bémol cependant: sous prétexte d'espionnage, un couplet sur les "mauvais" russes et les "bons" américains, la louange de la "liberté" aux États-Unis, pays merveilleux contre la Russie, pure dictature et méchants individus. La réalité est plus nuancée....

A part çà, j'ai passé un bon moment.

Ça commence fort, Miles écrit une confession : j'ai tué mon meilleur ami.

Andy, son meilleur ami, l'obsède, le hante, il est là, il le suit, il lui en veut et veut se venger.

Miles est victime du syndrome post traumatique. Qui est très bien décrit. On le comprend

que trop bien, au vu des recherches minutieuses faites par Jeff Abbott.

ll va essayer plusieurs thérapies pour reprendre une vie normale.

Mais est-ce aussi simple?

Un thriller purement américain, complots, conspirations, une thérapie nouvelle, des

traitement miraculeux... Autant d'ingrédients nécessaire à cette intrigue réussie.

C'est indubitablement bien foutu, rythme, suspens, retournements de situation, scènes de combat, poursuites en voiture, on sent le film poindre (mais c'est peut-être déjà fait).



Avec cette invraisemblance, récurrente dans ce genre de roman, le personnage central, monsieur tout le monde, dame le pion à des hordes de professionnels du meurtre et de la violence.



Il semble qu'à l'instar de la commedia dell'arte, les codes du thriller imposent une bibliothèque d'archétypes comme autant de passages obligés.

Ces figures récurrentes, soumises aux aléas de la mode (flic alcoolique, avocat raté, handicapé, femme médecin...) constituent une sorte de contrainte oulipienne, à but marketing, incontournable pour qui veut espérer être publié puis éventuellement lu.



Ceci dit le résultat reste distrayant.



J'ajouterai un détail que j'avais oublié en rédigeant cette petite chronique.

Vers la fin du livre l'auteur fait dire au père du héros "Nous avons vu ce qu'était l'Amérique. La liberté. L'honnêteté. Les perspectives qu'elle offrait. Malgré tous ses défauts, tous ses problèmes, L'Amérique était un paradis."

Je ne sais pas si cette phrase traduit les convictions de l'auteur, mais qui se souvient de la mascarade diplomatique du président Bush avant la seconde guerre du Golfe et des aveux embarrassés du pauvre Colin Powell après que l'irréparable fût commis, manifestera sans doute quelques réserves quant aux valeurs d'honnêteté de ce pays.

Avec Adrenaline, j'ai la chance de tomber sur le 1er titre consacré à un personnage qui deviendra récurrent, Sam Capra.

Sam est un agent de la CIA, basé à Londres, adepte de parkour, futur jeune papa, amoureux de son épouse Lucy, travaillant elle aussi pour l'Agence. Parfaite petite vie qui explose le jour d'un attentat perpétré dans les locaux même de la CIA et dont Sam est le seul survivant.

A ce moment, Sam se retrouve seul... ou quasiment.

Confronté à ses employeurs, retenu arbitrairement, prisonnier, torturé, il parvient à s'échapper pour mener à bien sa mission personnelle: retrouver sa femme disparue, son enfant qui a dû naître depuis, et les responsables de ce massacre. Quoi qu'il en coûte.

Le moins que je puisse dire, c'est que je me suis laissée emporter par le rythme effréné de cette traque-poursuite à en perdre le souffle.

Cette histoire mêle le thriller à la géo-politique et au terrorisme, entremêle le parcours et le destin d'individus avec l'intérêt national et les lobbies; montre que la loyauté envers son pays peut avoir des limites ou d'autres manières de s'exprimer et que rien n'arrête un homme déterminé.

Tous les ingrédients d'un très bon livre nous empêchent de le lâcher en cours de route: de l'action, de l'action, de l'angoisse, du suspens, des rebondissements, de l'émotion et de l'action... et encore de l'action.

Et il faut bien cela pour suivre les multiples traques et affrontements entre les divers protagonistes dont l'auteur nous taille un portrait à la serpe, sans maniérisme mais avec une précision incisive.

Et de cette action, on ne s'en lasse pas, tant le nœud de la situation est riche, dense et le dénouement, aléatoire.

Ce nouveau perso, Sam Capra, se retrouve transformé par les drames personnels, les trahisons, les rares amitiés, anciennes ou inattendues; confronté à des choix cornéliens, des priorités viscérales.

Bien attachant cet agent... à dimension humaine, et non une caricature de super héro à qui rien ni personne ne résiste. Le restera-t-il d'ailleurs? Versera-t-il dans la vengeance? Se laissera-t-il tenté par le côté obscur de la force pour arriver à ses fins et mener sa quête à son terme?

Peut-être le saurai-je au prochain épisode de ses aventures, ou pas... mais ce qui est certain, c'est que je ne raterai sous aucun prétexte le prochain rendez-vous avec Sam Capra!

A suivre...
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Trauma est à classer au rayon des thrillers "de vacances", hyper documentés, avec une intrigue assez échevelée et typiquement américaine. Il est question de labos pharma, de recherches scientifique, de propriété intellectuelle, de gros sous, de témoins protégés et de vétérans de guerre (celle du Golfe).



Là où Jeff Abbott innove (si je puis dire) c'est qu'il n'y a pas les bons et les méchants, répartis en deux camps qui s'affrontent et se poursuivent. Il y a une multitude de camps qui se tirent dans les pattes. A tel point qu'il faut parfois réfléchir à qui est qui et qui fait quoi. Ce n'est pas top pour une lecture de plage.



Récupéré au hasard d'une boîte à livres (à Beaucaire dans le Gard à deux pas du Drac pour être précis), ce livre se lit assez vite. Cela permet de ne pas trop s'interroger sur les personnages, leurs motivations, les incohérences (inévitables) et les rebondissements à deux balles (quand elles ne sont pas dans la tête). C'est violent, avec une violence gratuite et des scènes de torture qui n'ajoutent rien au récit. Je ne suis pas un perdreau de l'année, les scènes de torture ne me dérangent pas particulièrement si elles servent l'histoire. Ici, ce n'est pas toujours le cas, àmha. De même, certains personnages (parmi les principaux) sont assez sommairement élaborés, de façon assez schématique/dichotomique. Pas particulièrement convaincant.



Bref, un livre qui ne laissera pas énormément de traces. Idem pour l'auteur que je ne lirai sans doute plus. Pourtant, on sent le gros travail de documentation sur le PTSD, le syndrome de stress post traumatique, dont souffrent plusieurs protagonistes du récit. Jeff Abbott en présentent plusieurs, et c'est plutôt bien foutu "médicalement". Détail: la traduction date un peu et donne "Désordre de Syndrome post traumatique"... ce qui n'est pas top. Idem, ce qu'Abbott décrit me semble relever du PTST, soit Trouble de stress post traumatique, dont le PTSD est un cas particulier (de mémoire), car tous les personnages présentés dans le roman ne sont pas atteints de la même manière et avec la même intensité. Mais c'est un détail.

Un thriller bien fait, mais pas suffisamment prenant pour me donner envie de lire d'autres Jeff Abbott.

Ne vous fiez pas au 1er § qui m’a semblé écrit par un auteur de seconde zone. Persévérez, passé ces quelques lignes (14 pages) vous découvrirez un grand auteur de suspense. Plus j’avançais dans la lecture et plus il m’était difficile de refermer le livre aussi cela m’a valu deux nuits blanches !

Un témoin protégé, une psychiatre spécialiste des traitements du syndrome de stress post-traumatique, un médicament « miracle » encore secret et convoité pour l’argent qu’il génèrera au laboratoire qui le commercialisera, des gens sans scrupules, des tueurs, tous les ingrédients pour un très bon suspense d’autant plus que l’auteur s’est très bien documenté.

Ce livre m'a été prêté par la maman d'un ami de mon fils au collège. Je ne l'ai pas commencé tout de suite car Michael Connelly en disait "impossible à lâcher" donc j'ai patiemment attendu la période propice. Et j'ai bien fait !!!!

Ce livre est un thriller addictif .... un jeune documentaliste dont la vie est de rêve est appelé par sa mère qui lui demande de venir sur le champ. Il s'exécute et trouve sa mère assassinée dans sa cuisine. A partir de là, il va découvrir que ses parents ne sont peut être pas ce qu'il pense ....

Les coups de théâtre et les rebondissements ne vont jamais s'arrêter et on peine à quitter ce livre qui va vous mettre en "panique" ...

Un des mes coups de coeur ... malgré certains clichés américains inévitables !!

C'est un roman que j'ai dévoré ! Tout ce que j'aime dans un bouquin policier est réuni. Je suis entièrement d'accord avec le quatrième de couverture : rythme parfait et soutenu, rebondissements et retournements de situations s'enchaînant naturellement et une fin étonnante. La plume de l'auteur convient parfaitement à cette histoire. Les héros sont chouettes, certes quelque peu atypiques pur certains et très ordinaires pour d'autres mais c'est ce mariage des deux genres qui a tenu mon intérêt intact tout au long de l'enquête. Une très belle découverte d'un auteur dont j'ai noté le nom dans mes petits papiers !



Ce que j'ai aimé : le rythme qui ne s'essouffle pas, l'enchaînement des situations et des rebondissement qui a fait revoir mes jugements tout au long de l'histoire.

Ce que j'ai moins aimé : rien...
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C’est sur les chapeaux de roue que commence ce thriller qui, pendant 440 pages, ne perd jamais en intensité. Une nouvelle série de Jeff Abbott, mettant en scène l’agent Sam Capra, dont ce premier volet est très réussi.



Sam Capra est un agent de la CIA, tout ce qu’il y a de plus normal. Jusqu’au jour où, en pleine réunion de crise autour d’un homme qu’il recherche ; le « Tsar de l’argent » ; sa femme Lucy l’appelle lui ordonnant d’une voix paniquée de sortir du bâtiment. Enceinte, il pense qu’il y a un problème avec leur bébé. Mais il déchante vite quand l’immeuble dont il sort explose et qu’il aperçoit Lucy à l’arrière d’une voiture qui fuit.



Dès lors que Sam est le seul survivant, il est le coupable désigné. La seule solution est la fuite. Et dans cette fuite, il va avoir pour principal objectif de retrouver Lucy et son bébé, et de prouver qu’elle n’a pas trahi son pays mais qu’elle est une victime collatérale. Et pour ce faire, une véritable course poursuite de met en place. Et tout ce début de roman se déroule très rapidement, ce qui implique que le lecteur est immédiatement plongé au cœur de l’intrigue et de l’action. Pas le temps de souffler, pas de mort, on avance littéralement au rythme de Sam.

Au cours de son périple, il va rencontrer divers personnages, plus ou moins suspects, avec qui il va devoir pactiser pour atteindre son but ultime, Lucy et son enfant. Parmi eux, il y a une femme, Mila. D’où vient-elle ? Pour qui travaille-t-elle ? Autant de zones d’ombre qui n’empêche pas le lecteur, ni San Capra, de se rendre compte qu’elle est peut-être la rare personne sur laquelle il peut compter dans sa cavale.



Un thriller digne de ce nom, qui n’est pas effrayant : tout l’intérêt est dans le suspense haletant qui nous tient jusqu’à la dernière page. D’ailleurs, une énigme est élucidée à la fin mais l’histoire n’en est pas moins terminée. En effet, la saga ne fait que commencer : tous les mystères ne sont pas résolus. Et c’est pour cela que j’attendrai avec impatience la sortie du deuxième volet des aventures de San Capra !