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Critiques de Jenny Colgan (1923)
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Toute résistance serait futile

Vous connaissez peut-être l'autrice Jenny Colgan, qui brille dans le style littéraire feel-good ? Et bien Jenny ( suivie d'un T ) Colgan, c'est le nom qu'elle a choisi pour changer de style, et nous offrir un roman SF...

Si le grand écart est audacieux, il ne m'a pas convaincue , je me suis ennuyée à fond, à la lecture de ce livre, me demandant sans arrêt quand allait décoller cet OLNI ! Mais je ne suis pas le bon public, la maison d'édition annonce la couleur dés les premières pages, Jenny Colgan est une fan absolue de Doctor Who et je n'ai jamais regardé cette série (et pas l'envie , non plus...) et le "T" ,avant Colgan, fait référence à "Tardis" . Cette référence m'échappant totalement, il était donc prévisible que je n' accroche pas...



Il est question ici, de mathématiciens qui sont convoqués dans une université. Connie pense que c'est pour un poste d'enseignante mais ce n'est pas cela... Il a été capté un code mystérieux (venu d'une autre planéte ?), que les six génies devront décrypter. Parmi, les collégues de Connie se trouve un ex ( Sé ) et un homme un peu étrange ; et si j'ai cru que ça partait en comédie romantique à la Ali Hazelwood,il n'en est rien. On est dans la SF, on est dans l'originalité la plus totale (ça c'est pour le côté positif). Mais c'est long, terriblement longet, bref, j'aurais aimé suivre jenny Colgan, (avec un T ! ) dans ses délires, mais je n'y suis pas arrivée. Vivement qu'elle revienne au style feel-good dans lequel elle excelle.



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L'hôtel du bord de l'eau sous la neige

Mais comment fait Jenny Colgan pour toujours se renouveler avec cette série " Au bord de l'eau" ?

A partir d'une pure invention, que cette charmante île de Mure au large de l'Ecosse, , elle a créé de toutes pièces un endroit, des gens qui y habitent , des histoires qui s'interpénétrent, des problèmes, qui toujours trouvent une solution, un joli moment de plaisir, une halte dans la vie d'une lectrice entre deux lectures plus difficiles.

Nous avions laissé Fintan en plein deuil de son mari Colton, celui-là même qui lui a laissé un sacré héritage : un hôtel de luxe, tout neuf à gérer, lui qui ne sait que faire des fromages... Très vite, la cuisine se remplit, avec un chef français, Gaspard (très colérique) , Isla (débauchée du café de Flora), Konstantin, un jeune homme norvégien, qui doit fait ses preuves et Flora, qui bien que jeune maman, ne peut s'empêcher de veiller à ce que tout se passe bien.

L'histoire tournant principalement autour de cette cuisine, soufflera sans cesse le chaud et le froid...

Froid , comme les températures glaciales qui sévissent sur l'île, comme la mère d'Isla, comme une jounaliste sans pitié, comme la façon dont sera accueilli les inaptitudes de Konstantin , froid, comme tout ce qui ne tourne pas rond sur cette île ..

Chaud , comme la nourriture, comme cet hôtel douillet, comme cette île où tout le monde se connait depuis la naissance, comme les personnages qui se soucient de leur prochain, comme cet amour naissant entre Fintan et Gaspard, comme celui qui ronge Saif, le réfugié syrien et Lorna...

C'est un roman feel good et pourtant, cette histoire de médecin réfugié syrien va au-delà du feel good. Elle est poignante et m'émeut à chaque fois... Parce que cette histoire rejoint la grande histoire, celle des guerres, des destins brisés, des espoirs fous, des mauvaises nouvelles, des petits arrangements avec soi-même, des instants où l'on voudrait être "grands" mais où l'on est qu'un homme... C'est d'autant plus magnifique qu'elle est glissée au milieu de celles des autres, des autres pesonnages, ceux qui ont un destin d'une banalité affligeante, ceux qui n'ont jamais pris , ou subit de risques sans qu'elle soit plus importante, parce qu'aucun personnage ne l'est dans cette série, ou plutôt , ils le sont tous...

Et puis, il faut saluer le personnage de Agot, odieuse, et pourrie gâtée, qui gouverne son monde et même au-delà , grace à son ton autoritaire du haut de ses cinq ans ! Si rigolote , pour nous lecteurs (mais si épuisante pour son entourage...).



Amusant, sympathique, émouvant, charmant, frais, et agréable...
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La petite boulangerie du bout du monde

Vous avez envie d'un roman léger pour l'été, un roman drôle et touchant, un roman doudou qui vous fait vous sentir bien ? Ne cherchez plus, j'ai ce qu'il vous faut : La petite boulangerie du bout du monde.



Polly souhaite prendre un nouveau départ après une séparation et la faillite de son entreprise et par donc s'installer sur une toute petite île de Cornouailles. C'est un changement de vie radicale pour cette citadine, qui se retrouve seule et sans argent. Les débuts sont difficiles, mais elle va faire de très belle rencontre. "Des années plus tard, quand elle serait bien vieille, et à des kilomètres de là, Polly aurait du mal à trouver les mots pour expliquer que tel était leur quotidien, à l'époque. Que certains jours, ils pouvaient rejoindre la côte en voiture, et d'autres, ils étaient obligés de prendre le bateau. Parfois même ils se retrouvaient complètement isolés pendant de longues périodes, et personne ne savait vraiment alors combien de temps cela allait durer. Le tableau des marées vous disait à quelle heure la mer allait monter ou se retirer, il n'annonçait pas la météo.

- Mais ça devait être affreux, dirait Judith. De se savoir coupé du monde, comme ça...

Alors, Polly repenserait aux reflets du soleil scintillant à la crête des vagues, quand la mer était haute, aux changements de lumière et aussi à l'eau qui se teintait de rose, de mauve et de violet lorsque le soleil se couchait, à l'ouest. Vous compreniez qu'un autre jour était sur le point de se terminer, sans que vous ayez eu envie d'aller nulle part ailleurs.

- En fait, pas du tout, répondrait-elle. C'était magnifique. Un peu comme se pelotonner sous une doudoune, bien à l'abri. En sécurité, avec tous les autres, sur le Mount. Il fallait s'assurer de tout avoir surélevé, et si l'électricité marchait encore, c'était tant mieux, sinon, eh bien, tu te passais aussi de ça. Tu pouvais voir dans ce cas les flammes des bougies briller derrière toutes les petites fenêtres. C'était chaud et douillet.

- On dirait que ça fait un siècle, au moins...

- Je sais, dirait Polly en souriant. Pourtant, c'était il n'y a pas si longtemps... Pour moi, ça semble hier. Lorsque tu as trouvé l'endroit où ancrer ton cœur, il reste à jamais en toi.

Mais bien sûr, tout cela arriva bien plus tard. Car au début, ce fut affreux."



Et puis elle a une passion : elle adore faire du pain. Et je peux vous garantir que vous allez vous léchez les babines avec toutes les descriptions gourmandes. Les dernières pages du roman contiennent d'ailleurs quelques recettes que je suis bien tentée de tester......



C'est un roman très agréable et je dois dire plutôt bien écrit. C'est la première fois que je rencontre l'auteur Jenny Colgan et je suis plutôt conquise par ce roman que j'ai lu en une après-midi toute grise, confortablement installée dans mon canapé.


Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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La charmante librairie des flots tranquilles

Zoe rencontre de grandes difficultés à Londres avec son petit garçon qui ne parle pas encore à 4 ans. Son semi-compagnon, Jaz, a bien quelques jours de présence auprès d'eux mais il pense surtout à réussir sa carrière de disc jockey . Il ne gagne pas un rond pour aider Zoe matériellement.

La soeur de Jaz, Surinder, vient à l'aide de Zoe en lui proposant du travail dans son village en Écosse.

C'est là que nous retrouvons Nina de "La charmante librairie des jours heureux" qui a besoin d'aide dans sa librairie ambulante car elle est enceinte.

Zoe doit aussi accepter un travail de nounou dans une maison sinistre où le père des enfants est seul avec ses enfants difficiles, seul et absent la plupart du temps. Il a bien une piètre gouvernante mais ça ne suffit pas.. Tout ce petit monde doit vivre dans un total dénuement dans une grande maison qui en impose mais seulement de l'extérieur.

Je n'ai pas de chance avec les seconds tomes de séries de Jenny Colgan. J'adore les premiers et pour les autres, je déchante et je m'ennuie.

Contrairement à beaucoup de lectrices, j'ai donc mis deux étoiles pour cette lecture.

J'avais pourtant fort envie de retrouver l'ambiance écossaise.
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Noël à la petite boulangerie

J'avais lu le début de la série avec « La petite boulangerie du bout du monde », un feel good sympathique que j'avais bien aimé, certainement lu entre 2 romans historiques qui étaient mes romans de prédilection de l'époque (ils le sont toujours d'ailleurs mais pas que...). Quelques temps plus tard, j'avais repéré « Noël à la petite boulangerie » mais n'ayant pas lu le 2ème, j'attendais pour les lire dans l'ordre.



Et puis, il y a eu le défi d'Onee et ses romances de Noël ;) ! J'ai donc emprunté ce livre pensant y trouver l'ambiance de Noël.

Mais ce roman, pourtant emballé dans une jolie couverture ne m'a pas passionné.



L'histoire se déroule sur une petite île des Cornouailles au sud-ouest de l'Angleterre. Le cadre est idyllique. Polly, notre boulangère dynamique et dévouée, accompagnée d'un macareux apprivoisé qui refuse de la quitter et de vivre avec ses congénères, un amoureux transi récolteur de miel, la vie, pas toujours très confortable mais néanmoins romantique dans un phare, le décor était planté et me plaisait bien.

Mais bon, tout cela était déjà posé dans le 1er tome.



Les amis de nos amoureux, milliardaires, Kerenza et Reuben sont toujours là aussi mais j'avoue avoir été un peu agacée par le côté sûr de lui de Reuben qui, gràce à son argent illimité se permet tout, même s'il investit aussi dans de nobles causes. Ces 2 personnages sont moins attachants que le couple Polly/Huckle du 1er tome.



Des bons sentiments, du romantisme, une quête d'identité, de bons ingrédients donc mais je n'ai pas été très convaincue. Des petits drames, des secrets de famille, mais de Noël, il n'y a pas grand-chose puisque l'histoire commence 9 mois avant. La préparation d'un repas de fin d'année pour milliardaires débarquant en hélicoptères mais pas de magie de Noël, à part bien sûr le Happy end mais qui aurait pu se passer à n'importe quel autre moment de l'année.



En résumé un livre sympathique, léger, mais qui ne correspondait pas à ma recherche du moment et surtout que j'ai trouvé très en dessous du 1er tome.
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Rendez-vous au cupcake café

Izzy est une belle jeune femme au charme surrané. Elle a grandi auprès de son grand-père qui lui a transmis l’amour de la pâtisserie. Mais surtout c’est une vraie gentille qui ne se met jamais en avant et passe tout son temps libre à faire des gâteaux pour régaler ses amis, ses collègues, ses compagnons de bus.



Izzy a une autre passion : Graeme, son chef de service. Amoureuse, elle ne voit pas qu’il se moque d’elle. Quand il lui apprend son licenciement, Izzy perd pas mal d’illusions et son travail. Heureusement son appartement lui appartient.



Elle habite un quartier populaire mais charmant et elle y a repéré une boutique à louer. Un rêve un peu fou de créer son cupcake café l’habite. Elle arrive à convaincre le banquier et se lance dans ce défi. Elle n’oublie pas pour autant son grand-père malade en maison de retraite et va le voir régulièrement. Celui-ci,pour aider Izzy, lui envoie des recettes de gâteaux. Ces recettes se retrouvent à chaque début de chapitre et je peux vous assurer que ce n’est pas sans dommages car gourmande, j’avais une faim terrible !



J’ai traîné tout ce que j’ai pu dans cette histoire, j'étais bien avec Izzy, Léna, Pearl, Caroline. Ces femmes complices, amicales, bienveillantes malgré les coups durs de la vie, donnent une belle leçon de solidarité.



Le Cupcake café est un lieu convivial où tous les clients, riches ou pauvres, adultes et enfants, s'y côtoient avec respect et politesse.



Un autre monde dans le nôtre pourtant, une parenthèse bien agréable et parfaite pour cet automne. À déguster.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Une saison au bord de l'eau

Flora MacKenzie , juriste, travaille dans un cabinet d'avocats londoniens.

Elle a quitté son île au-delà d'Aberdeen après la mort de sa mère. Hélas, son père et ses frères sont restés seuls et bien incapables d'assumer leur vie quotidienne.

Un milliardaire américain, Colton Rodgers a racheté une grande partie de l'île et ne veut pas qu'un parc éolien s'y installe. Il a entendu qu'une juriste originaire de l'île travaille dans le cabinet de Joël , l'élégant patron de Flora dont elle est amoureuse en secret. Elle a le béguin pour lui, elle a un crush : terme fort employé ces derniers temps dans la jeune génération. Une leçon donnée par ma petite-fille de 10 ans à son grand-père l'autre jour.

Joël, le patron et Colton vont donner une mission à Flora, retourner sur l'île de Mure, inventée pour les besoins de l'imagination de l'auteure afin de convaincre les habitants de se liguer contre le parc d'éoliennes également.

Ce ne sera pas chose facile car les iliens ne connaissent pas ce milliardaire qui ne les associe en rien à ses projets.

Flora va d'abord renouer avec sa famille, les découvrir et Jenny Colgan oblige, elle retrouve un carnet de recettes de sa mère et va se mettre aux fourneaux.

Dans son premier livre et dans celui-ci, cela a été contagieux, il a fallu que je cuisine plus que d'habitude également.

Flora vit à fond ces mois au contact de l'île, de ses habitants, de son patron venu pour les besoins de la réussite du contrat.

Le choc va être total entre cette vie en plein air et la vie chahutée et polluée de Londres.

Un très beau roman différent de la série de " La petite boulangerie" dont j'avais apprécié le premier seulement.

Dans celui-ci, on retrouve la plume et la personnalité de Jenny Colgan.

La plus grande qualité du roman, c'est qu'on ne se rend absolument pas compte qu'il s'agit d'une traduction : très bien écrit et bien traduit par Laure Motet.

Un régal, vraiment !
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La Confiserie de Rosie

La mission de Rosie, si elle l'accepte ? Partir dans un petit village afin de s'occuper d'une tante, octogénaire, qu'elle n'a vue qu'une poignée de fois et pour cela, laisser un peu son petit-ami se débrouiller tout seul. La mère de Rosie habitant en Australie, elle est la seule référente pour trouver une maison de retraite digne et sympathique à Lilian, et vendre sa petite boutique laissée à l'abandon. Mais Rosie aura un grand coup de coeur pour la boutique laissée en état depuis des années, une boutique de bonbons qui fait remonter tous ses souvenirs d'enfance. Ah, la nostalgie...



On retrouve dans ce premier tome d'une future série, tout ce qui fait le bonheur de Jenny Colgan et son succés : une petite boutique à retaper, une héroïne qui ne le sait pas encore mais va trouver un nouveau sens à sa vie en changeant de métier et d'environnement, l'amour qui l'attend dans un petit village, forcément plus cosy que la grande ville Et la gourmandise...

Mais le tout sent un peu la recette déjà testée dans d'autres séries, et cette histoire m'a moins plue pour plusieurs raisons.

Tout d'abord, le caractère de l'héroïne . un peu carpette sur les bords avec son petit ami, un peu trop maternante, gentille, pas très sûre d'elle . Aide soignante à Londres, on comprend pourquoi elle part aider sa tante, mais elle va aider d'autres gens au niveau santé, le tout gratuitement. Elle travaillera également dans la boutique gratuitement ,une personne la remplacera au pied levé sans qu'aucun contrat de travail soit fait... Pas très réaliste et légal tout ça !

Je n'ai pas du tout aimé l'histoire d'amour qui ressemble beaucoup à celle du roman Avant toi de Jojo Moyes dans ses débuts. D'ailleurs cette histoire d'amour arrive très tardivement dans l'histoire, ce qui intéresse surtout l'auteure , c'est la petite boutique et les bonbons, le côté je retape, je brique, je bosse.

Hélas pour mes papilles, je ne connaissais pas toutes ces friandises , toutes les marques citées et la nostalgie, camarade, n'a pas fonctionnée sur moi. Je pense que les références sont très anglophones. Je ne me pâme pas pour des chocolats fourrés à la menthe ou à la framboise, et pour tout dire tous ces bonbons m'ont plutôt écoeurés. Je pense que le palais français est très différent du palais anglais...

Chaque chapître commence avec l'histoire d'une douceur sucrée décrite . Et à l'histoire contemporaine de Rosie, Jenny Colgan oppose l'histoire de sa tante Lilian, sa seule et grande histoire d'amour et sa jeunesse pour mieux la comprendre et montrer que le temps ça file, et qu'il faut savoir cueillir le bonheur quand il passe devant sa porte.



J'ai eu l'impression qu'avec ce roman, Jenny Colgan brassait tous les thémes qui ont fait son succés, les mettait dans un shaker, agitait le tout et nous sortait une histoire déjà vue et lue. Ce qui n'empêche pas que sa plume soit agréable, mais

rien de nouveau...

Elle a posé ses valises dans un nouvel endroit, ses prochaines héroines seront forcément différentes de Rosie, en espérant qu'elles soient moins lisses...

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Une saison à la petite boulangerie

Quand j’ai trouvé ce roman en brocante, je me suis réjouie à l’idée de retrouver Polly Waterford… J’ai encore failli écrire Waterproof… tant la résistance à l’eau semble essentielle dans ce décor de Cornouailles !

A la fin du précédent roman, Polly nageait en plein bonheur auprès de son bel Américain prénommé Huckle et accompagné de son petit macareux adoptif, Neil. Un bonheur fait de choses très simples : un métier qu’elle adore, un amoureux charmant, bien sous tous rapports, et un petit compagnon à plumes un peu polisson, mais si attachant.

Mais, d’emblée, la disparition de Mrs MANSE, propriétaire de la boulangerie, entraîne la redistribution des cartes. Malcolm, le neveu de la défunte, est bien déterminé à gérer le commerce à sa guise dans le but d’une plus grande rentabilité…

A partir de là, notre vaillante Polly sera entraînée dans de nouvelles péripéties.

Ce deuxième volet de la série mettant en scène Polly Waterford m’a moins séduite que le premier. J’ai moins ressenti l’attrait du métier de Polly. Mais il m’a fait encore passer un moment très agréable et m’a encore dépaysée complètement. J’ai encore été confrontée au fait que le bonheur est quelque chose de tout simple comme un moment partagé en couple ou entre amis. C’est, pour moi, une très belle suite, qui valait la peine d’être lue.

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Rendez-vous au cupcake café

Izzy tombe de haut lorsqu’elle apprend qu’elle est licenciée de l’entreprise immobilière où elle était jusque là une assistante zélée et appréciée de ses collègues. Pourquoi Graeme, son patron, ne l’a-t-il pas prévenue, alors qu’ils entretiennent une relation secrète depuis plus de huit mois ? Effondrée, trahie et désemparée, Izzy finit par penser que c’est peut-être là une occasion de commencer une nouvelle vie et de faire ce qu’elle aime vraiment : la pâtisserie. Il faut dire que la jeune trentenaire a grandi dans la boulangerie de son grand-père et qu’elle a profité de ses précieux conseils pour réussir tartes, beignets et gâteaux. Grâce à sa prime de licenciement, elle décide d’ouvrir un petit salon de thé spécialisé dans les cupcakes. Au fond d’une impasse, dans un quartier cosmopolite un peu bobo, le Cupcake Café voit le jour à la plus grande joie d’une Izzy à la fois fière et pleine d’appréhension. Gentille, généreuse et naïve, saura-t-elle réagir en cheffe d’entreprise et faire prospérer son petit commerce ?



Bienvenue dans le monde doux et sucré du Cupcake Café ! Ici tout n’est que bons sentiments, amitiés indéfectibles et petits gâteaux recouverts de crème au beurre. On y cultive l’entraide, la générosité, les rapports de bon voisinage, l’altruisme. Bien sûr, il y a des obstacles, des méchants, des gens qui ne pensent qu’à l’argent, à leur petit confort personnel. Mais à la fin, c’est l’amour et la bonté qui triomphent.

Jenny Colgan utilise toujours la même trame. Une fille gentille, jolie sans le savoir, perd son travail et finit par vivre de sa passion. On trouve aussi une meilleure amie un peu excentrique, un ex pas très sympathique, un possible nouvel amour et une bonne dose de bienveillance et d’optimisme.

Alors non, ce n’est pas de la grande littérature, mais cela fait un bien fou de se plonger dans ce monde de bisounours, de se réchauffer d’un bon chocolat chaud, de se gaver de cupcakes et de s’assoir dans ce salon de thé convivial, en compagnie d’amis dont on partage les joies et les peines. Une lecture réconfortante.

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La charmante librairie des amours lointaines

Troisième tome d'une série se passant en Ecosse, dans le même petit village où l' on retrouve à chaque fois des personnages croisés précédemment, et c'est très sympathique de savoir où ils en sont (sans que l'histoire soit forcément centrée sur eux ).

La librairie, ne sera pas le sujet de ce roman (ou à dose microscopique) , mais cela permet au lecteur français de s'y retrouver dans la bibliographie de Jenny Colgan, chaque tome de cette série a le mot "librairie" dans le titre...Le titre anglais est bien plus judicieux : 500 Miles from you. Car de distance, il sera question .





Lissa infirmière libérale londonienne se voit proposer un programme d'échange de trois mois , suite à un traumatisme (elle a été témoin d'un meurtre ) avec un infirmier écossais.

Chacun devra prendre la patientèle de l'autre , ainsi que son logement.

Elle habite le sud de Londres dans un foyer d'infirmiers, et n'a qu'une chambre spartiate, mais profite à fond de la vie dans une capitale. Son quotidien professionnel est plein de dangers et "surprises" diverses .

Cormac, est un ancien militaire, il loue une maison avec vue sur les prés, et partage son jardin avec Ted le hérisson. Dans son village tout le monde se connait et se salue.



Même métier, même âge (à peu près) , mais des conditions de vie diamétralement opposées en termes d'espaces, de chéreté de la vie, d'air, de pollution, de danger, de convivialités, de nouveautés, de routine, de " branchitude". La misère sociale existe des deux côtés mais n'est pas la même que l'on soit rat des villes ou rat des champs...

Changeront-ils ? Et que préféreront-ils à la fin ?



Cette "expérience " nous permet d'appréhender le métier d'infirmier dans deux lieux différents du Royaume Uni, la pénurie de soignants, les conditions de vie des émigrés, les différences entre Anglais et Ecossais, leurs préjugés sur l'autre. C'est très instructif, très vivant. Jenny Colgan est très objective sur les qualités et défauts de ces deux modes de vie.

Ce roman est dédié aux donneurs d'organes, et cet aspect là du roman est magnifiquement traité. Pudeur, émotion et aucune lourdeur. Beaucoup d'émotion à la fin, lorsqu'on se met à la place d'une maman... et puis les mots trouvés qui réparent (un peu) , qui essaient , du moins, avec beaucoup d'élégance...

Les petits dessins de Cormac viennent ponctuer avec beaucoup d'humour et de simplicité, cette histoire délicieuse.





Roman feel good (mais pas mièvre ).

Comédie romatique , mais pas que...

Encore un excellent cru Jenny Colgan à se procurer en librairie (écossaise ou pas !).
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La petite boulangerie du bout du monde

Un roman qui se déguste comme un petit pain frais au miel. Des personnages croustillants à souhait, avec Polly, délicieuse héroïne, fraîche et moëlleuse à coeur, sa copine, Kerensa, chaude et sucrée parfois jusqu'à l'excés telle une viennoiserie sortie du four, de belles tranches de bienveillance tartinées d'amour et de bonne humeur, quelques miettes de suspense mais pas trop, une vieille croûte un peu rance mais au coeur tendre, sans oublier un peu de sel du bord de mer ou des quelques larmes versées...

La Petite Boulagerie du bout du monde régalera les amateurs de feelgood stories même si, très vite, on sait où l'on va. Après tout, il est parfois bon de se laisser aller et cette jolie boulangère n'a pas besoin de vous mener à la baguette et permettra à beaucoup de lecteurs de se fondre dans la mie profonde de ce récit que l'on pourra déguster comme une chocolatine.

Je tenais beaucoup à terminer sur cette note, n'en déplaise aux amateurs de pains au chocolat! ;-)
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Noël à la charmante librairie

Alors, c'est étrange, mais je n'ai pas eu l'impression de lire un Jenny Colgan...





Au départ , il y a une héroine un brin agaçante, un brin rebelle, un brin égoïste, un brin jalouse...

N'ayant pas voulu faire d'études, Carmen est vendeuse dans un magasin jusqu'au jour où elle est licenciée et doir repartir vivre chez ses parents. Heureusement pour elle, elle sera sauvée par sa soeur qui lui trouve un job à Edimbourg, dans une librairie décrépie. A charge pour elle de dépoussiérer le local, (au propre comme au figuré) et de faire repartir les ventes avant Noël, pour sauver de la ruine, le vieux monsieur propriétaire du commerce. Pendant tout ce temps, elle sera logée gracieusement par sa soeur, brillante avocate, brillant mariage, trois enfants et enceinte du quatrième. Et c'est que les deux soeurs ne s'entendent pas, Sophia parce qu'elle juge, et Carmen parce qu'elle n'a pas tout ça... Carmen n'est pas du tout la tante attentionnée qui fait des calins et des cadeaux, elle n'aime pas trop ses neveux et nièces.





Bien sûr, on retrouve le théme de la série des librairies, le petit commerce qu'on doit lancer, retaper, imaginer, et cette partie est assez magique avec ce local au multiples pièces, puisque le vieux monsieur y habite. La librairie est pleine de vieux livres et de vieux jouets, et tout ceci ajouté à la ville d'Edimbourg, son ambiance fêtes de fin d'année, ses montées, son froid glacial etc.. tout ceci est charmant à lire.

J'ai aimé aussi la relation entre soeurs et la relation entre la "tata-pas-gateau" et neveux qui s'apprivoisent et finissent par bien s'entendre.

Ce que j'ai moins aimé , c'est toute la partie romance avec ce triangle amoureux auquel vient s'ajouter le personnage de la nounou qui met des batons dans les roues de Carmen, chaque fois qu'elle le peut. J'ai trouvé ça gros (Sophia ne réagit pas...) et puéril.

Les "princes charmants " ne font pas rêver du tout.



Mais l'ambiance famille + Edimbourg font de ce livre un joli moment de lecture...
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Noël à la petite boulangerie

J'ai, tout d'abord, beaucoup aimé le décor de ce livre, un décor qui donne envie de lire calfeutrer bien au chaud sous la couette. L'île, les Cornouailles, le vent et la mer... Mais, c'est un livre qui donne aussi envie de gourmandises, de déguster du pain d'épice, des tortillons au fromage, du bon pain... Il est parfait à lire en période hivernal. Le style de Jenny Colgan est simple, sans fioritures. Je n'ai qu'un seul regret c'est que l'intrigue se déroule plus avant Noël que pendant comme le suggère le titre. Polly est, quant à elle, un personnage drôle, généreux, attentif à ce qui l'entoure... J'ai passé un bon moment de lecture. Me laissera-t-il un souvenir impérissable? Je ne sais pas... (...)



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La petite boulangerie du bout du monde

Dynamique et prospère, la petite entreprise de graphisme de Polly et Chris n'a pas su résister à la crise économique de 2008. Malgré tous les efforts de la jeune femme pour maintenir à flots leur activité et soutenir son compagnon en pleine déprime, il a fallu fermer boutique et renoncer à leur appartement flambant neuf, aux sorties entre amis, aux restaurants branchés, aux voitures haut de gamme et même à leur couple qui s'est délité au fil du temps et des problèmes. Honteuse et désargentée, Polly a bien essayé de se reloger à Plymouth mais devant le prix des loyers, elle a aussi renoncé à s'installer en ville. Contre l'avis de tous, Polly a choisi Polbearne, une minuscule île des Cornouailles, reliée au continent par une route submersible. Dans l'unique petit bourg, battu par les vents et les flots, Polly va tenter de se reprendre en main, de se reconstruire, d'oublier son naufrage. Et la meilleure thérapie pour cette amoureuse du pain, c'est de pétrir, enfourner et déguster du pain sous toutes ses formes. Très vite, les îliens frappet à sa porte, attirés par les odeurs alléchantes de ses fournées, au grand dam de Mrs Manse, sa patibulaire propriétaire, boulangère de son état, qui l'accuse de vouloir sa ruine. Mais il est déjà trop tard...Les pêcheurs du port, le vétérinaire, l'épicière et bien d'autres deviennent de fidèles clients et Polly retrouve le goût d'une vie simple et authentique dans ce lieu isolé qui pourrait bien devenir son nouveau chez elle.



Une parfaite lecture estivale, sans besoin de réfléchir ou d'analyser, juste le plaisir de se laisser porter par l'odeur de l'iode et du pain, les embruns, la pluie, le vent, les bons sentiments.

Alors bien sûr c'est de la chick lit, on n'échappe pas aux poncifs du genre avec une héroïne gentille, godiche et larmoyante, quelques épreuves amoureuses avant de trouver ''le bon'', la copine excentrique qui a du caractère, l'ex qui essaie de s'imposer, etc. Mais Polbearne vaut le détour. On aime cette petite île, son port de pêche, ses habitants, son mode de vie, son isolement, ses paysages et, bien sûr, sa petite boulangerie.

Un voyage gourmand en Cornouailles, rafraîchissant et dépaysant où l'on croise, entre autres, un fantôme, un macareux domestique, un pêcheur aux yeux bleus, un apiculteur américain, et tous les pains de la création. Un bon moment de détente.
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La charmante librairie des jours heureux

Avec La charmante librairie des jours heureux, j’avais envie d’une lecture légère entre deux thrillers, envie d’un peu de réconfort en cette période difficile et stressante, envie d’amour et de sentiments dégoulinants.



On fait la connaissance de Nina, passionnée de livres, qui un jour décide de réaliser son rêve et d’ouvrir un camion librairie qui irait à la rencontre des lecteurs. C’est une très bonne idée sur le papier mais Nina, c’est un peu un Pierre Richard ambulant et elle va devoir faire face à bien des imprévus.



C’est léger, frais, drôle bref un très bon roman pour se vider la tête. J’ai aimé partir en Écosse et retrouver cette terre sauvage et ses habitants au grand cœur.



Malgré ça, le roman a quelques défauts : le style ou devrais-je dire l’absence de style m’a dérangé. En effet, j’ai souvent eu l’impression que l’auteure écrivait comme elle parlait, comme si elle jetait directement ses pensées sur la feuille sans essayer de tourner ses phrases ou d’y ajouter un peu de style. J’ai lu le roman en anglais, alors j’espère que pour les lecteurs francophones, le ou la traductrice aura ajouté sa petite touche personnelle.



J’ai beaucoup aimé le personnage de Nina qui est une battante et qui malgré les obstacles, se bat pour son projet. Surinder aussi est drôle et m’a beaucoup fait sourire grâce à sa répartie. Par contre, le personnage de Marek est terriblement cliché. C’est le stéréotype même de l’européen des Balkans et j’aurai aimé un peu plus d’originalité de la part de Jenny Colgan.



Enfin ce roman parlera à tous les amoureux de la lecture et des librairies. J’aurai aimé plus de références à des livres existants et à la littérature mais j’en demande peut-être un peu trop. C’est une bonne lecture mais je pense qu’elle ne me laissera pas un grand souvenir.
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Le Cupcake Café sous la neige

La vie d’Izzy était pourtant apaisée. Débarrassée de son amant-patron qui trouvait ses formes trop généreuses, de son travail peu épanouissant, elle a réussi à développer son Cupcake Café, grâce à Austin son petit ami qui n’était que son banquier à l’époque.



Aidée par ses deux employées et amies, on peut dire qu’à l’approche de Noël, Izzy nage dans le bonheur. Mais il faut toujours se méfier de ce dernier qui a tendance à mettre les voiles quand on n’y fait pas attention. Austin reçoit une proposition de job à New York et part en laissant son petit frère à la garde d’Izzy.



Austin est émerveillé par New York, le poste proposé, les femmes rencontrées très apprêtées, son futur patron. Il va demander à Izzy de le rejoindre avant de prendre une décision. Izzy le rejoint avec Darny le petit frère d’Austin.



Les retrouvailles ne se passent pas comme prévu et avec incompréhension et malentendus, leur relation se dégrade, la situation devient tendue et Izzy repart seule à Londres.



Si les personnages de ce roman ont des problèmes existentiels et doivent faire des choix, ils sont tous bienveillants. Pas de coups bas, de lâcheté, de méchanceté et c’est reposant.



La vie devrait être comme ça.
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La charmante librairie des jours heureux

Nina, une jeune femme discrète aime son travail de bibliothécaire en particulier le moment de l'heure du conte ave les jeunes enfants. Mais les bibliothèques de Birmingham sont frappées de plein fouet par la crise. L'idée est de fusionner ces petites bibliothèques de quartiers en une grande médiathèque. Bien sûr des postes seront supprimés.

Alors qu'elle réfléchit à la manière d'être choisie pour intégrer la médiathèque, Nina entrevoit l'idée de faire son métier autrement et surtout d'une manière qui lui ressemble davantage. Finalement poussée vers la sortie, Nina prend son courage à deux mains pour changer de vie. Elle se rend en Ecosse pour acheter un vieux van et le transformer en librairie ambulante. Nina va chercher au fond d'elle même le courage de s'affirmer. Elle va découvrir des villages où son van est le bienvenu. Elle va pouvoir exercer vraiment son métier qui est de conseiller des livres aux gens.

Nina va changer au fur et à mesure de sa nouvelle vie et se mettre à apprécier la vie à la campagne.

J'ai adoré voir l'envol de Nina. J'ai adoré découvrir avec elle les paysages de l'Ecosse mais aussi les fêtes (et les danses !) , les aurores boréales, les recettes de cuisine, le métier d'agriculteur...



J'ai adoré tout ce qui touche aux livres bien sûr : sa manière d'accumuler des livres au risque de faire craquer le plancher de la maison de sa coloc, le van, l'arbre à livres, les anciennes éditions,...



Les personnages aussi sont touchants: Nina, Marek et même son collègue de la médiathèque qui s'accroche à son job de manière désespérée.





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La charmante librairie des jours heureux

Il y a des auteurs qui sont des valeurs sûres. C'est le cas pour moi avec les ouvrages de Jenny Colgan quand il est question de feel good :-)



Nina est une jeune femme passionnée par les livres. Toutes les occasions sont bonnes pour dénicher une nouvelle trouvaille qui viendra s'ajouter à ses nombreuses pal déjà existantes dans sa petite maison au grand désarroi de Surinder sa colocataire. Bibliothécaire à Birmingham, Nina semble avoir tout pour être heureuse. Malheureusement, il apparait une ombre grandissante au tableau tel un nuage dans le ciel bleu. La bibliothèque dans laquelle elle travaille a vocation à fermer pour laisser place à la construction d'une immense médiathèque en cœur de ville, laissant sur le bas côté la majorité des employés. Nina voit là l'occasion de changer de vie. Et si elle devenait libraire pour continuer à conseiller et à repondre aux demandes des lecteurs? En parcourant les petites annonces à la recherche d'un van avec l'idée de proposer une librairie itinérante en Angleterre, la jeune femme va parcourir des centaines de kilomètres en direction de l'Ecosse pour aller chercher le véhicule...



Ce livre est une véritable invitation au voyage (que ce soit a bord du van de Nina ou au travers de références littéraires que l'on retrouve tout au long de l'ouvrage). Nous parcourons les différents villages et places de marché dans une Ecosse rurale et reculée au temps changeant où la quiétude du lieu est troublée par les rares passages de trains sur la ligne de chemin de fer.

Ayant actuellement beaucoup de mal à lire des roman feel good, je me suis complètement plongée dans ce livre que j'ai dévoré. Il offre une belle parenthèse et permet une évasion nécessitant le ciret et les bottes. J'ai adoré le "message aux lecteurs" au début de l'ouvrage où Jenny Colgan propose "quelques conseils utiles pour bien choisir" son "coin lecture" car j'y ai retrouvé certaines de mes habitudes.

Même s'il ne s'agit pas de grande littérature, "la charmante librairie des jours heureux" est à déguster accompagné d'une bonne tasse de thé...
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La charmante librairie des jours heureux

Pour la première fois en 29 années d'existence, Nina prend une décision : tout plaquer. Acheter un gros van et, munie d'un stock de vieux bouquins, conduire sa propre librairie itinérante. Direction les Highlands où l'attendent, peut-être, les jours heureux...



Un roman feel good avec une histoire dynamique et des personnages attachants. Une lecture simple et fluide mais qui fait beaucoup de bien au moral!
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