Jim Davis

La passion immodérée de Garfield pour la nourriture semble être une source non négligeable de gags passés et à venir. Il est étonnant de voir avec quelle malice, Jim Davis parvient encore à nous surprendre en inventant des nouveautés. Autant de bons moments assurés. Si la lassitude et le manque d'originalité pointent parfois leur bout de leur nez, quelques changements de thèmes viennent rompre la monotonie.

Ainsi, les membres de Babelio peuvent ici découvrir une manière particulièrement osée pour mettre fin à l'existence d'une araignée (vous savez, l'être vivant à huit pattes qui tisse parfois sa toile quand vous êtes plongés dans un bon livre)... Sans compter les souris, les mésaventures sentimentales de Jon, les déboires du pauvre Odie, la balance maltraitée et le facteur peu épargné... Voilà autant d'intermèdes percutants !

Qu'écrire de plus, sinon qu'il s'agit là d'un album classique, qui se dévore rapidement et assure toujours son petit effet sur le moral (ah la petite bouille de Garfield !!).

Encore une très bonne lecture de Garfield.

La recette n'a jamais changé depuis la première BD, et chaque fois je pense que je vais me lasser, mais non. J'ai autant de plaisir à retrouver ce gros matou plein de vices que lorsque j'étais enfant. Garfield c'est comme un gros gâteau de bonne humeur : une fois qu'on y a goûté on y revient toujours. Et puis les dialogues me font vraiment rire et les gags fonctionnent parfaitement.

Allez, vous en reprendrez bien un peu ?!



TOP Tier.

Un très bon tome de ce gros matou qui martyrise son entourage.

Dans celui-ci, Garfield est particulièrement déchaîné, et Odie et Jon vont encore s'en prendre plein la tête...pour notre plus grand plaisir. J'aime décidément le style graphique de Jim Davis, ainsi que son humour acerbe et absurde.



Attention chat méchant !



Top Tier.

La série de bandes dessinées Garfield reste un classique du genre. Il faut certes aimer les BD de type "une ligne, une blague" ou parfois "une page, une blague" sans réelle histoire suivie. Reste que ce gros chat orange grognon qui se prend pour un autre fait sourire. C'est déjà très bien!

Attention chat méchant ! Félin sournois même, vicelard...une vraie teigne carrément fainéante. Vous l'aurez reconnu bien entendu ? Allez, encore un indice : si je vous dis...lasagnes ! Facile, non ? On parle de Garfield évidemment ! Nouvel album dans lequel celui-ci terrorise ses victimes favorites, les pauvres Jon et Odie.

Au fil des albums, la recette du succès reste la même : la haine du lundi, la peur des anniversaires et les fourberies de Garfield envers Jon et Odie, toujours aussi délicieux qu'un bon plat de lasagnes !

Garfield lave plus blanc, doit (encore) suivre un régime et trouve toujours de nouvelles façons de taquiner Odie, tandis que les souris envahissent la maison en toute sérénité, puisque les chasser n’intéresse pas ce gros chat roux. Seules les araignées font les frais de son journal roulé.



Je n’ai pas spécialement compris le titre de ce tome, car à l’exception d’un gag avec la machine à laver, Garfield ne lave pas grand-chose, pour ne pas dire rien. Les planches tournent toujours autour des mêmes thèmes, et bien qu’ils continuent à me faire rire, ils commencent à devenir un peu redondants.



Il faut dire, difficile de se renouveler avec un format restreint de trois cases. J’attendais avec impatience de voir Nerman, mais il n’apparaît que dans une seule historiette, et son intervention n’est pas mémorable (pour preuve, je ne me rappelle plus du gag en question, alors que j’ai lu l’album la veille de la rédaction de cette chronique).



Peut-être que j’attends trop de cette bande dessinée, étant habituée au dessin animé où les personnages sont mieux exploités, plus creusés et surtout mis en scène dans des intrigues plus longues et plus diversifiées.



La BD reste sympathique à lire, mais elle ne varie pas beaucoup. Je vais continuer à espacer les tomes, néanmoins je ne suis pas certaine de souhaiter m’en procurer d’autres une fois que je serai parvenue au bout de la demi-douzaine qui patientent dans ma PAL.
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Garfield devenant un maitre de maison émérite, une fée du logis dont la vocation se réveille à l’occasion de ce quatorzième album, vous imaginez un peu ? Et bien Jim Davis, visiblement non plus...



Voilà un concentré de bonheur en quarante-huit pages qui fait plaisir à lire. Le format est classique et bien connu : quatre gags par page, trois cartouches par séquence. Les fans s'y retrouveront. Les thèmes traités sont également classiques. Il n'y a pas vraiment d'originalité, ce qui est bien dommage.

Toutefois, c'est un vrai plaisir d'avoir affaire à une valeur sûre (la goinfrerie de Garfield et la menace d'un régime tiennent le haut du pavé). L'album est d'autant plus plaisant que de nombreux thèmes défilent : le lundi, la cohabitation avec Odie, les passages chez le Véto, les déboires sentimentaux de Jon, les souris (en grande forme) et bien entendu les araignées...

Un bon tome, utile pour connaitre la série ou se faire plaisir. Pour couronner le tout, certains gags sont franchement hilarants (la momie).

J'adore les garfield car ils me font beaucoup rire.

c vrm cranpand!

Cette fois Garfield part en vacances avec Jon et bien sûr, même en vacances, Garfield est de mauvais poil. Les escapades en voiture, ce n'est pas son truc , tout comme le camping et les séjours à la ferme. Surtout avec Jon et Odie. Ce tome m'a valu de long fou-rires avec les enfants.

Cet épisode-ci m'a beaucoup plu. J'ai ri franchement par moments. Garfield incarné tout de même tous les travers des humains, et quand il ne les incarne pas, il les descend sans ménagement.

Il est libre, il est fier d'exploiter son maître et son entourage, il n'a aucun préjugé , il se moque du regard des autres. Garfield, l'anti héros dans toute sa splendeur !

j'ai bien aimé :)

Avec un si beau packaging je ne pouvais rater ce best of de mon chat préféré en BD. Je dis bien en BD parce que mes préférés sont là près de moi.

Plus de 200 planches sont réunies dans cet ouvrage qui retrace un peu la vie Garfield sur plus de vingt ans d'existence. Un livre découpé en forme de tête de... Garfield, une forme amusante, qui se feuillette facilement et avec plaisir.



J'avoue que je ne connaissais Garfield que par le film ou les dessins animés, et non par la bande dessinée dont ils étaient tirés.



Du début jusqu'à la fin, la lecture était très divertissante. Ce chat est gourmand et paresseux, mais ça, vous le savez, mais aussi vicieux pour arriver à ses fins, et la manière dont il essaye d'y parvenir est comique.



Un livre à lire et à relire pour les petits comme pour les grands. Le meilleur de Garfield est hilarant, à posséder absolument.
Lien : http://skritt.over-blog.fr/a..

Comme d'habitude, on aime le scinisme de Garfield, sa mauvaise humeur, sa mauvaise foi , son appétit disproportionné.... Jon paraît moins stupide dans ce tome, peut être juste un peu maladroit et malchanceux en amour.

Un tome assez inégal d'après moi.

La série de bandes dessinées Garfield reste un classique du genre. Il faut certes aimer les BD de type "une ligne, une blague" ou parfois "une page, une blague" sans réelle histoire suivie. Reste que ce gros chat orange grognon qui se prend pour un autre fait sourire. C'est déjà très bien!



Dans ce tome Jon a décidé de reprendre sa vie en main et de rencontrer des femmes (des nanas) ! Pour cela il, a décidé de s'inscrire à des cours de poterie pour rencontrer des gens "dynamiques et sympas". Suivra un souper avec Kimmy, une femme bizarre très "nature" qui a été élevée par des loups. Puis Garfield va s'adonner à ses occupations favorites, ruiner la vie (et la maison) de son maître.

Garfield se présente à nous dans un bien curieux accoutrement ! Pour en connaître la raison, il faudra lire cet album.



Garfield dort sur ses deux oreilles peut ici servir de maxime, car il est surtout question de la capacité dudit protagoniste à dormir, manger et à être d’une humeur qui lui est propre. D’autres thèmes sont aussi évoqués, mais ceux-ci ont manifestement la préférence de Jim Davis et plus prosaïquement de l’éditeur français : Dargaud.



D’autres sujets fort bien connus des lecteurs font également leur apparition de manière plus au moins allusive : les souris, la télé, les araignées, les lundis, le facteur… Et cerise sur le gâteau : nous apercevons même Jon en galante compagnie... et contraint de devoir mettre un terme à une idylle naissante !



Bien que la forme des gags soit classique (quatre gags de trois cartouches par planche), les thèmes évoqués étant assez restrictifs, l’album s’adressera davantage aux fans qu’aux non-initiés.

Faut pas s’en faire ! Garfield est de retour, fidèle à lui-même. C’est-à-dire à ses occupations, qui consistent à manger, dormir, manger, dormir, et quand il a suffisamment d’énergie (ou qu’on l’a mis au régime), persécuter son entourage.



Qu’écrire que je n’ai pas déjà écrit sur cette bande dessinée ? Eh bien, rien. Comme d’habitude, c’était sympathique, sans plus. Certains gags m’ont fait rire, d’autres ont ravivé le tendre souvenir de mes chats et de leurs travers communs à ceux de Garfield, et d’autres ont encore une fois échappé à ma compréhension.



Les dessins sont vraiment simplistes (pour ne pas dire d’une qualité discutable, mais bon, j’imagine que c’est un style), l’humour est répétitif (encore qu’on peut saluer la capacité de l’auteur à se renouveler plus ou moins bien autour des mêmes thèmes), et globalement, ça ne casse pas cinq pattes à un félin.



Je crois l’avoir déjà dit, donc je vais sûrement me répéter, je suis étonnée par la longévité d’une BD aussi moyenne. J’achète tous mes tomes d’occasion, soit jamais à plus de 3€, et j’ai un peu de mal à concevoir qu’assez de gens soient prêts à payer 11€ par volume pour justifier le fait que les (non-)aventures du gros chat roux se poursuivent depuis plus de quatre décennies.



M’enfin, sans la BD, il n’y aurait pas eu le dessin animé, que je prends bien plus de plaisir à regarder. Je reste persuadée que la comparaison, en défaveur de l’œuvre originale à mon sens, influe sur mon manque de transport à son égard.
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Dans tous ses livres Garfield ne pense qu'à manger ou faire des tours a Odi. Où il veut attirer l'attention. Mais Garfiel est très drole et quand je n'ets rien n'à faire, et bien je lis des Garfield