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Critiques de Karl Marx (93)
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Lettres d'amour et de combat

Karl Marx est amoureux, il l'écrit, le déclame à Jenny, celle qui partage avec lui le pain amer de l'exil, elle lui répond passionnément, leur correspondance s'enflamme, frissonne, s'interpelle, prend des détours prosaïques comme un sentier quotidien. Complices idéologiques, comparses sentimentaux, alliés dans les épreuves et les batailles, ils nous ouvrent dans leurs lettres leur intimité inquiète ancrée dans l'Histoire, leurs encouragements, leurs petits rhumes et leurs soupirs d'absence.
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Le travail et l'émancipation

Libérer le travail et se libérer du travail



Avant de revenir sur certains points des présentations d’Antoine Artous, je tiens à souligner les analyses des procès concrets de travail par Karl Marx. Machine outil, « coopération des machines-outils homogènes », standardisation, coopération, fonction « de direction, de surveillance et de médiation », manufacture et réunion d’ouvriers « dans un même local », sphère d’action rétrécie, simultanéité, ouvrier parcellaire, différenciation et spécialisation des instruments de travail, travailleur collectif, division du travail, division manufacturière « création spéciale du mode de production capitaliste », machinisme et grande industrie, fabrique, machine à vapeur à double effet de Watt, machine d’opération combinée, automate…



On retrouvera cette même qualité de détail dans l’ouvrage de Pierre Naville : Vers l’automatisme social ?. Machines, informatique, autonomie et liberté.



Cette méthode pourrait aujourd’hui s’appliquer aux profondes mutations, liées à la numérisation, qui vont détruire des millions d’emplois dans le commerce et les services. Encore faudrait-il que les sociologues du travail n’en restent pas aux conditions de travail, et s’intéressent aux procès de travail eux-mêmes…



Dans son introduction générale, Antoine Artous discute de certaines analyses de Karl Marx. Il souligne la nécessité de « spécifier historiquement » les catégories utilisées, le refus de la naturalisation des rapports capitalistes, le rejet des « catégories » transhistoriques ou du hors de l’histoire. « C’est précisément pour rendre compte de la spécificité du rapport capital/travail salarié que Marx met en chantier sa « critique de l’économie politique ». »



Je souligne particulièrement le chapitre « Libérer le travail et se libérer du travail ». Antoine Artous détaille certaines analyses, toujours de grande actualité, de Karl Marx. Rapports entre entre travail et émancipation, réduction de la journée de travail, émancipation « comme une dialectique du temps de travail et du temps libre », et problématiques contradictoires dans l’oeuvre de Karl Marx…



Salariat, nouvelle forme historique de domination, « travailleur libre », lutte pour le « droit égal », égaliberté comme « autre face politico-juridique d’une émancipation pensée à travers une dialectique temps de travail / temps libre », despotisme d’entreprise, travailleur mobile polyvalent (mais une polyvalence différente de celle de l’artisan) non « soudé » aux moyens de production, formes possibles d’appropriation de la production…



Sommaire :



Coopération, manufacture et grande production



La subsomption du travail sous le capital



Automatisation et temps libre dans les Grundrisse



A propos de la catégorie de travail



Je ne reviens pas sur le travail et son organisation concrète (voir plus haut). Dans sa courte présentation de la première partie, Antoine Artous aborde, entre autres, le « travail socialement déterminé », la dépossession des producteurs de leurs moyens de production, le rapports salarial capitaliste et le redécoupage des espaces sociaux, le travailleur collectif, la « cristallisation du travail comme force sociale », les nouvelles formes de socialisation, la production de plus-value, la violence sociale, le statut social historicisé…



Dans la seconde partie, l’accent est mis sur les « formes spécifiques de domination et de dépossession générées par la subsomption (subsuption) du travail sous le capital par fois traduit par soumission », le fétichisme, « la place centrale du fétichisme dans la théorie de la valeur de Marx », le rapport social de production… Le préfacier présente aussi le débat sur « fétichisme » versus « aliénation ».



Dans la troisième partie, Antoine Artous met l’accent sur certains paradoxes présents dans les Grundrisse, le capital comme « contradiction en procès ». Il rappelle que le travail productieur de plus-value « peut-être matériel ou immatériel »…



Enfin, dans la dernière partie, sont analysées « les formes sociales objectives », la catégorie historique de travail, le « travail socialement déterminé », le travail concret et le travail abstrait…



Encore une fois et à très juste titre, Antoine Artous souligne que « le caractère matériel ou idéel du procès de production et du produit lui-même n’entre pas en ligne de compte » ou que « le caractère « manuel » ou « intellectuel » du travail n’entre pas en ligne de compte ».



Il me semble important d’insister sur les ruptures introduites par la révolution capitaliste, la nécessité de penser les rapports sociaux, dont le rapport social du salariat, pour aborder les nouvelles questions et possibilités d’émancipation. Ce petit livre contribue a réhabiliter la critique radicale de l’économie politique, qui dois-je le rappeler, n’a que peu à voir avec les réductions économistes de certains « marxistes »… Une introduction bienvenue à certains travaux de Karl Marx.


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L'Opium du peuple: Introduction de la Contr..

Un des articles le plus connu de Karl Marx (1818-1883), L'opium du peuple a été publié chez l'éditeur Mille et une nuits. Une occasion de découvrir ce texte qui a permis à son auteur de se faire connaître auprès du grand public à travers le temps. Mais la religion, le nouvel opium du peuple est-il au coeur de cet écrit?



Karl Marx découvre la philosophie avec Hegel et va se plonger dans sa réflexion. D'ailleurs, ce dernier va poser les premières pierres de sa réflexion qui va aller de plus en plus vers la critique. Il va quitter la Prusse à cause de la censure pour trouver une liberté de pensée qu'il va trouver en France, sous la monarchie de Juillet. Dans son article, il va critiquer le pouvoir oppressant de la religion mais aussi de la bourgeoisie. Le peuple n'est plus libre de penser et d'agir. On le bride afin qu'il ne puisse surtout pas réfléchir. Alors il dénonce et demande une liberté totale pour chacun.



Ce qui m'a tout d'abord surprise dans la lecture, c'est l'écriture de Karl Marx. Il critique l'élite mais il s'adresse quand même à ces semblables qui possèdent des codes de compréhension qui ne sont pas propre à tous. J'ai relu plusieurs fois certaines phrases tellement elles sont complexes. Il parlait du peuple mais pour le peuple, c'est une certitude. Par chance, l'éditeur a prévu que le texte ne serait pas accessible à tous, alors l'autre moitié du livre est consacré à l'explication. Ainsi de façon clair et simple, l'auteur de cette partie prend le temps de nous expliquer le contexte, la vie de Karl, le sens des phrases alambiquées... Ainsi tout prend sens et tout se comprend. Le petit Karl n'avait pas sa langue dans sa poche et voulait critiquer une société dont il se sentait exclu.



Une lecture intéressante et intelligente qui pousse à se poser des questions.
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Le Manifeste du parti communiste (1847) / L..

karl marx
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Manifeste du Parti communiste

J'écoutais récemment un interview de Noam Chomsky qui employait le terme de lutte des classes pour caractériser la situation actuelle. Du coup, j'ai eu envie de mettre en perspective la pensée du chantre de celle-ci, Karl Marx avec cette affirmation. Effrayé par l'épaisseur du capital, le Manifeste du Parti Communisme a échoué sur ma pile à lire puis entre mes mains. Le troisième chapitre m'a peu intéressé. Dans les deux premiers, les analogies pullulent quant à la description de l'antagonisme entre le prolétariat et la bourgeoisie. Il suffirait de changer les appellations pour que l'état des lieux fasse penser au présent. Hormis, cela, l'Histoire nous a appris ce qu'il en est advenu de la mise en œuvre de ces théories. Le sang, les horreurs, le goulag, la dictature et la peur ont teinté ce qui se voulait l'avènement d'une société idéale. La violence comme moyen d'action politique ne peut engendrer que la violence, les frustrations, l'humiliation, l'esprit de revanche, la haine...
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Le capital, tome 1

Il faut nécessairement distinguer pour cet ouvrage les traductions profondément divergentes au niveau du sens et du langage des versions Folio/La pléiade, sous la direction de Maximilien Rubel datant de1960 et PUF sous la direction de Jean-Pierre Lefebvre, rééditée en 2009 dans la collection Quadrige.

La traduction de Maximilien Rubel comprend de nombreuses omissions, interversions de chapitres et erreurs d'interprétation et donne donc une vision souvent erronée de l'œuvre. S'agissant d'un ouvrage aussi fondamental à la compréhension de notre histoire humaine et à la réalité qui est aujourd'hui la notre mondialement, on ne pourra d'aucune manière considérer la question comme un détail secondaire.

Plus que jamais la clarté d'esprit s'impose et la qualité des outils intellectuels qui nous sont offerts et permettant de parvenir à cette clarté est primordiale.
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Manifeste du Parti communiste

En lisant ce livre, j’ai pensé à cette image de la Seine glacée que décrit Proust dans "Du côté de chez Swann" et qui ressemble à "une immense baleine échouée, sans défense, et qu'on allait dépecer".



"Le manifeste du Parti communiste" de Marx qui était un document subversif à son époque et qui a influencé presque deux siècles, doit être lu aujourd’hui pour deux raisons. J’utilise le verbe "devoir" parce que je crois qu’il s’agit là d’une lecture indispensable pour en finir avec toutes les idées reçues concernant Marx et le communisme.



D’abord, ce livre est un document historique qui éclaircit cette naissance de la Bourgeoisie puis du Prolétariat et partant, de la lutte des classes. Ainsi dans le premier chapitre, Marx parcourt à vol d’oiseau les différentes étapes de ces naissances ; une véritable genèse. Tout cela d’une simplicité efficace, d’une narration presque romanesque qui n’ennuie jamais le lecteur.



Ensuite, ce livre est un exemple parfait de la verve politique avec sa structure rhétorique et argumentative bien construite. Cela apparaît dans le deuxième chapitre où Marx essaie de répondre aux objections de la bourgeoisie contre les idées des communistes. Il use d’une ironie presque moqueuse qui m’a fait penser à une scène célèbre dans "La Vie est belle" de Roberto Begnini (Guido) lorsqu’il se moque de son fils qui croit qu’on faisait des boutons avec les juifs. Marx ridiculise ses adversaires bourgeois par la simplicité surprenante avec laquelle il leur répond au bonheur des prolétaires. Apprécions cet exemple :



"Vous êtes saisis d’horreur parce que nous voulons abolir la propriété privée. Mais dans votre société la propriété privée est abolie pour les neuf dixièmes de ses membres. C’est précisément parce qu’elle n’existe pas pour ces neuf dixièmes qu’elle existe pour vous. Vous nous reprochez donc de vouloir abolir une forme de propriété qui ne peut se constituer qu’à la condition de priver l’immense majorité de la société de toute propriété."



Ou encore :



"En outre, on a accusé les communistes de vouloir abolir la patrie, la nationalité. Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ôter ce qu’ils n’ont pas."



En ancien poète, Marx illustre ses explications de comparaisons. Ainsi ces bourgeois "ressemblent au magicien qui ne sait plus dominer les puissances infernales qu’il a évoquées". De plus, il introduit çà et là des slogans forts et faciles à apprendre pour les prolétaires comme le fameux "Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !" qui clôt le livre.



A part cela, on garde beaucoup de distance vis-à-vis les idées de Marx, celles qui ont bouleversé le monde et engendré tant de malheurs ou comme il l’appelle, ce "spectre [qui] hante l’Europe" et le monde en général car "la révolution communiste est la rupture la plus radicale avec les rapports de propriété traditionnels ; rien d’étonnant à ce que, dans le cours de son développement, elle rompe de la façon la plus radicale avec les vieilles idées traditionnelles."

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Le Manifeste du parti communiste (1847) / L..

Je ne vais pas faire de "critique" à proprement parler, le livre ne s'y prête pas. Juste souligner que quelques soient nos convictions il est important de lire ce texte fondateur, au moins pour en parler en connaissance de cause et ne pas raconter trop d'inepties dessus. Pour ma part ce fut très instructif, j'ai quand même dû m'accrocher à certains moments mais je tenais vraiment à le lire en entier. J'ai pu mieux saisir l'idéologie marxisme et me pencher un peu plus sur le socialisme allemand.


Lien : http://lantredemesreves.blog..
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Le Capital : Livres 2 et 3

INDIGESTE BOF !
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Le Capital, tome 1 : Sections V à VIII

carrémnent indigeste
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Le capital, tome 1

Comment critique-t-on un classique? Mieux qu'un classique, un pilier du capitalisme moderne.



Car il ne faut pas s'y tromper, Marx est tour à tour sociologue, historien, philosophe... et un économiste classique. Il ne remet pas en cause les fondements des théories classiques. Il ajoute sa vision, sa critique des rouages de la société et de l'exploitation de l'homme par l'homme, mais on est dans le coeur même de la théorie classique.



Le Capital se lit comme du Zola pour une grande part. Les habitudes de vie et de consommation sont décrites avec réalisme. Tout particulièrement, les descriptions des habitats ou du pain sont des moments forts.



Bien sûr, le livre a prix une ride. Une ou quelques unes. Mais les inégalités sont encore bien là et certaines idées sont d'une modernité étonnante (ou désespérante, c'est selon).
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Écrits philosophiques

Marx reste l'un des rares à avoir proposé une philosophie réellement en phase avec les besoins des personnes . Il construit une pensée qui se place comme une sorte de ligne de vie pour les " basses classes" . Il n'est pas question ici de "secte" ,mais d'un concept mis au service de la socièté pour que celle ci puisse enfin vivre par elle méme , sans la main mise des puissants . Si l'on peut trouver que le propos estparfois utopique ,il n'en est pas moins fort et mérite d'étre découvert .
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Oeuvres philosophiques

Marx est trop souvent vu comme l'initiateur de l'idéologie communiste , alors qu'il était bien plus que ça . Cet ouvrage qui regroupe une grande partie de ces textes s'avére captivant . L'on comprend mieux la vision de Marx sans la déformation que l'idéologie communiste en à fait . En l'état ces réflexions sur l'économie sont pertinentes , bien qu'un peu utopiques . On découvre que cet homme avait une véritable et conséquente capacité de pensée , bien plus en phase avec les vrais besoins de la société que nombre de penseurs . Il est trés utile au final de lire cet ouvrage pour avoir une idée plus concréte du personnage .
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Manifeste du Parti communiste

Jusqu'à quel point peut-on tolérer l'exploitation de l'homme par l'homme.

En 1848, la révolte sociale se manifeste spontanément un peu partout dans le monde contre un capitalisme sans limite. Dans ce contexte, la proposition de dictature du prolétariat apparaît comme une réaction basique d'auto-défense et la ligne internationale du Parti Communiste comme une réponse moderne à la hauteur de l'enjeu politique.

Cette présente édition du Manifeste du Parti communiste est complétée par la Critique du programme de Gotha. Dans ce 2ième texte de Marx, on ne peut pas manquer de noter sa critique sur l'inflexion nationaliste du Parti Ouvrier Allemand de 1875.

On connaît la suite de l'histoire...

Aujourd'hui ces textes sont utiles précieusement pour tenter de passer des réflexes conditionnés à une réflexion éclairée.

Je terminerai par une citation de Chen Duxiu (1879-1942), premier secrétaire du Parti Communiste Chinois, avant de quitter le PCC et de retrouver l'idée de démocratie vers la fin de sa vie: ""La dictature du prolétariat, ça n'existe pas. C'est la dictature d'un parti et, en fin de compte, celle d'un dirigeant. Toute dictature est inséparable de la violence, du mensonge, de la tromperie, de la corruption et de la pourriture morale.""



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Le Manifeste du parti communiste (1847) / L..

IMPORTTANT
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Contribution à la critique de l'économie politi..

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Abrégé du Capital de Karl Marx

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Le Capital

J'ai voulu lire ce livre parce qu'il fait partie du patrimoine culturel littéraire mondial.. C'est très rébarbatif, on s'y ennuie mais cet ouvrage a le mérite de nous faire réfléchir sur la répartition des richesses au niveau planétaire. Et si la révolution et l'anéantissement du système monétaire et commercial mondial était la solution?
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Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte

Voici un livre qui m'a été donné de lire durant mon cursus universitaire de sociologie. D'habitude je rechigne à lire et à apprécier les lectures imposées. Ici la donne fut différente.



J'ai lu ce livre avec une réelle gourmandise ! J'y ai découvert Marx, sa prose, son combat. J'y ai découvert un Marx témoin de son époque et qui réalise un travail très intéressant d'analyse de la société française au 19ème siècle et surtout Marx tente d'expliquer comment une personne, considérée comme un moins que rien par l'élite politique française, est parvenue à devenir Napoléon III.



Ce livre est aussi un pied de nez à Victor Hugo, qui ne portait pas cet empereur dans son cœur. Monsieur Hugo, Napoléon III n'est pas arrivé au pouvoir avec ses petits bras musclés. Il a bénéficié de l'aide de ceux qui le sous-estimaient, plus qu'il n'aurait pu en souhaiter.
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Manifeste du Parti communiste

Chronique d'une catastrophe annoncée.Quelle fumisterie que ce manifeste!Des idées qui se parent de miel pour êtres plus attrayantes au commun des mortels;une fois l'adhésion acquise le pauvre bougre connaîtra les camps de la mort,les goulags,la torture,la misère,le totalitarisme et autres joies prévues au programme.Vous me direz c'est d'un passé lointain tout çà;moi je dis tant que les enfants de Corée du Nord meurent toujours de faim et des effluves de cette idéologie de la mort,je maudirais ce livre répugnant.
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