Citations de Katherine Pancol (3680)
livre assez "long" de prime abord, il a un rythme tout a fait particulier comme un morceau de Satie un dimanche de pluie.. et ne prend tout son sens qu'avec "La valse lente des tortues"..
livre assez long a lire, je ne le conseillerais pas forcément
L’amour est une denrée étrange. Trop d’amour étrangle. Pas d’amour détruit.
La vie n’est pas une partie de plaisir. On oublie ses élans de jeune fille, ses désirs de devenir une autre, d’avoir une autre vie, une vie qui vous ressemble…
L’amour et le mariage font rarement bon ménage.
Le désir nous dilate, nous permet d’occuper un espace plus grand que celui qui nous est alloué. Le désir est à l’homme impuissant et faible ce que les bataillons armés sont à un général galonné.
L’intimité est un champ de mines bien gardé où je ne laisse plus grand monde s’aventurer.
L’offrande du corps a remplacé les œillades de nos grand-mères.
L’amour ne s’arrête pas aux détails. Aimer, c’est prendre l’autre dans sa totalité. Personne n’est parfait.
L’homme est un ennemi dont je ne peux me passer.
l’amour ne se dit pas, il se vit.
Les pires blessures sont celles qui touchent le cœur.
De l’amour, il vénère le parfum, le projet, la chimère, le premier effleurement, le premier baiser qui ne dit pas son nom... Il refuse l’abandon et, s’il goûte le tourment, c’est telle une épice qu’il saupoudre à son gré.
On n’apprend jamais. On refait chaque fois le même parcours, les mêmes erreurs. C’est plus fort que nous... On se doit d’emprunter le même labyrinthe chaque fois qu’on aime !
L’amour physique bute souvent sur une impasse, un sens interdit.
J’ai retourné un sablier qui, inexorablement, va se vider.
Ceux qui ne rangent jamais s’exposent à de dangereuses rencontres quand ils se décident enfin à faire de l’ordre. Un vieux pull, un flacon de parfum éventé, une lettre froissée, et le passé revient frapper comme un esprit malin.
C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme un partenaire.
J'ai grandi sans lumière et toute ma beauté, toute ma beauté parfaite n'a jamais été éclairée de l'intérieur. Je n'ai connu que la lumière artificielle dont je m'éclairais. J'étais à la fois l'éclairagiste et l'éclairée. Je ne suis rien qu'un beau décor... une belle mise en scène. Je ne ressens rien. De l'amour, je ne connais que le manque et la douleur... Le creux, l'absence.
Toutes les femmes d'hommes riches savent bien qu'elles gardent leur mari en étant de parfaites courtisanes... C'est tout un art. On ne doit jamais relâcher ses efforts !