AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Kathleen E. Woodiwiss (124)


La chaleur de son regard fit battre plus vite le cœur d’Erienne. Se reprochant son manque de sang-froid, elle s’écarta et s’affaira dans la chambre, pendant qu’il s’occupait de son frère. Elle préférait se tenir à distance. Le silence s’éternisant, elle s’efforça en vain de trouver quelque pensée spirituelle à exprimer.
Commenter  J’apprécie          00
Elle sentait sa rougeur augmenter. Elle tenta de se raisonner mais ses pensées revenaient sans cesse au fait que cet homme était séduisant et, pour une fois, en tout point conforme à ses désirs. Mais il avait certainement un défaut caché. Il ne pouvait en être autrement.
Commenter  J’apprécie          00
Cet homme était d’une séduction ! Elle ne lui découvrait aucun défaut ! Malgré tout, une question se posait. S’il souhaitait se marier, comment avait-il pu atteindre la maturité sans tomber dans les rets d’une douzaine de femmes ?
Il doit avoir quelque tare cachée ! lui soufflait son bon sens. Connaissant son père comme elle le connaissait, il ne pouvait en être autrement.
Commenter  J’apprécie          00
Elle prenait conscience qu’il ne s’agissait ni d’un vieillard ni d’un bellâtre prétentieux, mais d’un homme débordant de vie et de vigueur. Qu’il dépassât toutes ses espérances était très au-dessous de la vérité. Elle se demanda un instant pourquoi un tel homme en était réduit à chercher une femme par de tels moyens.
Commenter  J’apprécie          00
Cet homme était de loin le plus séduisant qu’elle eût jamais vu. Lorsqu’un léger mouvement de sourcils plissa le front de l’inconnu, son expression se durcit. La ligne vigoureuse de sa mâchoire, ses joues à méplats, son profil aquilin accentuaient cette impression. Cependant, sa bonne humeur revint rapidement et de petites rides d’amusement apparurent aux coins de ses yeux.
Commenter  J’apprécie          00
Je n’ai jamais vu cet homme ! Tout ce que je sais sur son compte, c’est par les ragots qui sont venus jusqu’à moi. Et je ne peux me fier à eux pour me faire de cet homme une image exacte.
Commenter  J’apprécie          00
Lors de cette aube glaciale, la sueur lui brûlait les yeux, mais la peur l’empêchait de ciller, la peur que le moindre mouvement pût provoquer un tir mortel. La panique avait saturé son être, déchiré ses nerfs, jusqu’au moment où, avec un hurlement de frustration, il avait levé le bras et lancé son arme déchargée sur son adversaire, sans prendre conscience que celui-ci visait maintenant un point situé au-dessus de sa tête.
Commenter  J’apprécie          00
Une faible femme ne pouvait vaincre un homme avec ses poings, mais elle était capable de mettre son amour-propre à rude épreuve. Ses joues seraient cuisantes pendant plus de deux semaines des paroles cinglantes qu’elle lui adresserait et peut-être alors réfléchirait-il à deux fois avant de s’attaquer à un jeune garçon imprudent et de porter tort à son père.
Commenter  J’apprécie          00
Si l’absence de dot n’importait guère, face à leur bourse bien garnie, elle brûlait du désir de prouver à ces lourdauds qu’elle possédait une éducation au moins égale à la leur et bien plus de savoir-vivre, mais semblable attitude lui eût attiré de sévères réprimandes de la part de son père.
Commenter  J’apprécie          00
Dès l’instant où un homme était riche et disposé à se marier, il devenait, à ses yeux, un prétendant valable. Tous ceux qu’il lui avait jusqu’ici présentés étaient lamentables ; cependant (les sourcils légèrement incurvés d’Erienne se froncèrent en une soudaine expression de doute), peut-être s’agissait-il là de ce que son père avait pu trouver de mieux, faute d’une dot convenable pour sa fille.
Commenter  J’apprécie          00
Pauvre abruti, je suis une femme. Tu m'as volé ce que je gardais pour l'homme que j'aurais choisi. Je suis un être humain conscient et j'ai de l'orgueil.
Toujours furieuse elle se détourna de lui, se précipita à nouveau vers son fauteuil, s'y recroquevilla enveloppée de sa couverture. Un petit sourire tordit sa bouche serrée. Il était vraiment beau, ce voyou !
Commenter  J’apprécie          00
De fait, c’était un homme à présent, et plus séduisant encore que tout ce qu’elle avait osé imaginer dans ses rêves de jeunesse. Il était plus grand, plus costaud, avec de larges épaules et un corps d’athlète. Pour tout dire, il incarnait parfaitement le prince charmant qu’elle voyait en lui lorsqu’elle lui emboîtait le pas, se languissant d’un regard, d’un sourire ou d’un clin d’œil, n’importe quel signe qui lui aurait permis d’être sûre qu’il était aussi impressionné par elle qu’elle l’était par lui.
Commenter  J’apprécie          00
Comme il était agréable de s’imaginer avoir été enlevée par un magnifique sultan qui finissait par renoncer à son harem par amour pour elle ! Quel plaisir de rêver d’un fier-à-bras, séduisant et assez audacieux pour la capturer et l’emmener sur son bateau, où il lui promettait de mettre le monde à ses pieds !
Commenter  J’apprécie          00
Ce célibataire endurci, qui avait toujours préféré se consacrer à la lecture et aux études plutôt que de fonder une famille, l’accueillerait à coup sûr à bras ouverts. Ne lui avait-il pas assuré avant son départ qu’il l’aurait volontiers gardée avec lui s’il s’était senti capable de lui apprendre tout ce qu’une femme devait savoir ? Il ne voulait que son bonheur et, considérant les avantages qu’elle pourrait tirer d’une existence au côté d’une femme plus âgée, il lui avait vivement conseillé d’aller en Angleterre, d’y étudier les arts et les langues étrangères, et de revenir plus tard, dotée d’un solide bagage intellectuel et familiarisée avec les bonnes manières des gens du monde.
Commenter  J’apprécie          00
Elle était de mauvaise humeur. Elle avait espéré avoir un peu de temps libre pour se détendre, se retrouver elle-même. Les moments pendant lesquels elle pouvait abandonner son rôle de garçon lui étaient devenus de plus en plus précieux et cela ne lui faisait pas plaisir d'avoir à y renoncer.
Commenter  J’apprécie          00
Vos jolis serments ne servent à rien sur le champ de bataille. Quand les hommes tombent tout autour de vous, au diable la morale. Vous emportez ceux pour lesquels vous pouvez encore quelque chose, les autres vous les déposez à l'ombre après leur avoir fait avaler une dose de laudanum. S'ils sont encore en vie quand vous revenez, alors vous essayez de les rafistoler.
Commenter  J’apprécie          00
Voir l'ennemi faire la cour à Roberta, c'était comme regarder un fusil par le canon. Il valait mieux ne pas être du mauvais côté quand le coup partirait.
Commenter  J’apprécie          00
Les passagers avaient déjà rassemblé leurs bagages et ils se pressaient sur le pont en attendant de débarquer. Chacun d'eux paraissait avoir un but bien précis vers lequel il se dirigeait avec détermination, sans qu'on puisse comprendre à quoi tendait en fin de compte toute cette agitation. Il y avait là des gens avides de s'enrichir, des charognards, des catins, des vauriens qui fondaient sur La Nouvelle-Orléans pour rançonner leurs habitants déjà appauvris et soutirer tout ce qu'ils pouvaient à l'envahisseur yankee.
Commenter  J’apprécie          00
Les jeux sont réservés aux enfants, mon amour. Entre un homme et une femme, il y a quelque chose de plus. Fini les faux-semblants dans le lit conjugal.
Commenter  J’apprécie          00
Les pierres précieuses ne perdent pas de leur valeur à être portées, et vous les porterez. On va vous présenter partout comme ma femme et il faudra bien que vous soyez habillée de façon à tenir votre rang.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Kathleen E. Woodiwiss (667)Voir plus

Quiz Voir plus

La Guerre De Catherine

Quel est le vrai nom de l'héroïne ?

Catherine
Sarah
Rachel
Julie

10 questions
37 lecteurs ont répondu
Thème : La guerre de Catherine (BD) de Claire FauvelCréer un quiz sur cet auteur

{* *}