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Citations de Kathleen E. Woodiwiss (124)


Soyez maudits, tous les deux ! fit-elle. Vous ne valez pas mieux l’un que l’autre ! Vous espérez me marier au premier homme riche venu afin de pouvoir passer votre vie en beuveries. Vous êtes vraiment faits l’un pour l’autre !
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- Je vous présente la reine des vierges, installée sur son trône de glace, entourée d'un fossé de pureté.
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— Je mentirais en te disant que cela me surprend. Il suffit de voir les regards qu’il te jette.
— Ils me regardent tous de la même façon. Je ne suis que le nouveau trophée à gagner.
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Il n'avait rien à faire d'une telle femme qui venait lui brouiller l'esprit avec ses regards charmeurs et les courbes harmonieuses de son corps. Il était un homme sans patrie, un banni, et avant de pouvoir de nouveau revendiquer sa place dans la société, il lui fallait mettre de l'ordre dans ses affaires, au péril de sa vie. Il n'avait guère de temps à consacrer à ses appétits qui le laissaient plein de désir inassouvi pour une friponne obstinée et peu disposée à céder.
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Avec quelques petites réparations, un bon nettoyage, une nouvelle toile pour le matelas, un peu de tissu, beaucoup de courage, d'astuces et de patience, on pouvait faire de cette pièce une chambre assez agréable.
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Tes yeux sont des pierres précieuses, les plus précieux des saphirs. Étincelant sous leur écrin noir, tes sourcils sont des oiseaux prenant leur envol, et tes cheveux ont la riche et chaude nuance du cerisier, leur parfum m'enivre délicieusement. Ta peau a le doux éclat de la perle... et promet d'être succulente.
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C'est point tant l'insolence que de savoir reconnaître le bon du mauvais, le bien du mal... Faut parfois un brin de jugeote pour faire la différence.
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En prison, j'étais hanté par l'image de votre beauté. Le souvenir restait gravé en moi comme au fer rouge. Je cherche encore un moyen de cueillir la rose sans me blesser aux épines.
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Deux semaines s'écoulèrent dans un bonheur si grand, si parfait, qu' Erienne eût voulu retenir les jours.
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Si Molly n’était pas ce qu’on pouvait appeler la « femme d’un seul homme », Timmy n’y accordait guère d’importance. Après tout, il fallait bien qu’une fille gagnât sa vie d’une manière ou d’une autre. Mais il avait pris l’habitude de s’estimer, en quelque sorte, un « client privilégié » chaque fois qu’il se rendait à L’Auberge du Sanglier. S’il s’agissait d’un privilège modeste, il avait cependant fini par le considérer comme un droit – pour la bonne raison qu’il était le plus grand « cogneur » de la région.
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lui avait assuré qu’Erienne était aussi docile que belle et, si sa beauté était indéniable, Mr Chambers estimait quant à lui que la docilité était une qualité encore plus importante. Erienne avait révélé un tempérament trop ardent pour qu’il pût espérer le maîtriser. Silas Chambers était un homme paisible et prudent, et ancré dans ses habitudes. Jouir d’une telle beauté et la considérer comme son bien lui eût sans nul doute procuré une joie incommensurable, mais tant d’éclat l’avait effrayé.
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L’unique défaut qu’Avery lui trouvait était un attachement trop vif à son argent, qu’il n’acceptait de débourser que contraint et forcé. Cependant, avec une belle jeune femme pour réchauffer tant son lit que son cœur, Smedley deviendrait peut-être plus généreux. En outre, son grand âge laissait présager une mort pas trop lointaine. Avery s’imagina Erienne sous les traits d’une riche veuve. Si tout se passait ainsi, il pourrait de nouveau jouir de l’existence.
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S’il était conscient que Silas n’était guère agréable à regarder, il savait que l’homme possédait un honorable pécule. De plus, il estimait préférable que sa fille n’épousât pas un homme trop séduisant qui lui ferait peut-être une ribambelle de marmots insupportables. Silas suffisait amplement. Mais, après l’avoir vue dans les bras de ce Seton, peut-être avait-il des doutes quant à sa virginité et hésiterait-il à l’épouser.
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Elle éprouvait cependant une certaine répugnance à exposer au ridicule sa famille ainsi qu’elle-même. Dans l’espoir de dissimuler tant soit peu son frère, elle tira devant lui un fauteuil et jeta un châle sur son visage, afin d’étouffer quelque peu ses ronflements. Puis, avec calme et décision, elle lissa sa chevelure et sa robe, et tenta de faire taire son angoisse. D’une manière ou d’une autre, elle s’en sortirait. Il le fallait !
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« Oui, si j’étais un homme, je ferais en sorte que ce fanfaron prenne conscience de l’erreur qu’il a commise et aille chercher fortune à l’autre bout de la Terre. »
Elle surprit son reflet sur la vitre et croisa les bras en une pose modeste.
« Hélas, je ne suis pas un garçon, mais une simple femme. (Elle fit pivoter sa tête d’un côté à l’autre afin d’admirer son épaisse chevelure noire, puis adressa un sourire plein de sagesse à son image.) Je n’ai pour armes que ma langue et mon esprit. »
Elle fronça un bref instant ses sourcils à la courbure élégante ; dans ses yeux s’alluma une colère à glacer le cœur du plus farouche adversaire. Malheur à celui sur lequel elle passerait sa fureur !
Un appel lui parvint du dehors et interrompit le fil de ses pensées.
 
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Si seulement il pouvait encore voir en Cerynise la petite fille maigrichonne, à la langue aussi vive que l’esprit, les choses auraient été plus simples. Mais après l’avoir vue en tenue d’Eve, cela ne lui serait plus possible.
C’était une vraie femme désormais, et les conséquences d’une amourette avec une innocente installée sur son navire risquaient de remettre en cause toute sa vie. Dans le meilleur des cas, celle-ci prendrait une tournure violente une fois arrivé à la maison.
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Une nouvelle fois, ce jour-là, alors qu'Adriana et ses amis se préparaient à faire une promenade équestre, Roger avait débarqué au château de Wakefield à l'improviste. Prise de court, la jeune femme lui avait poliment proposé une monture. Naturellement, il s'était empressé d'accepter. Roger savait qu'elle était promise à un autre homme que ses parents lui avaient officiellement choisi des années auparavant, mais cela ne semblait pas le décourager, et sa persévérance intriguait Adriana : croyait-il vraiment parvenir à briser ses fiançailles et à obtenir sa main ?
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Une nouvelle fois, ce jour-là, alors qu'Adriana et ses amis se préparaient à faire une promenade équestre, Roger avait débarqué au château de Wakefield à l'improviste. Prise de court, la jeune femme lui avait poliment proposé une monture. Naturellement, il s'était empressé d'accepter. Roger savait qu'elle était promise à un autre homme que ses parents lui avaient officiellement choisi des années auparavant, mais cela ne semblait pas le décourager, et sa persévérance intriguait Adriana : croyait-il vraiment parvenir à briser ses fiançailles et à obtenir sa main ?
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—- Alors,
monsieur Jeff! C'est vrai que vous avez ramené ce vaurien
avec vous?

Brandon ouvrit la portière,
sauta à terre en riant :

— Hatti, vieille chouette, un de
ces jours je t'empaillerai!

La grosse femme, secouée d'un
rire joyeux, s'élança vers lui, les bras ouverts. Brandon la serra sur sa
poitrine avec vigueur, la secoua en riant.

— Oh, monsieur Brand, fit-elle
quand elle put reprendre son souffle. Vous n'avez pas faibli. Vous me ferez
craquer les côtes un de ces matins, pour sûr. Mais qui est avec vous, monsieur
Jeff? dit-elle, les yeux plissés pour mieux voir. Vous cherchez à cacher
quelqu'un à la vieille Hatti? Faites-la descendre que je regarde ce que M.
Brand nous a amené cette fois-ci. La dernière fois c'était ce vieux bœuf de
Bartholomew. Ça n'y ressemble pas ce coup-ci et ce n'est pas Mlle Louisa.

Jeff s'était levé, était sorti
de voiture et se retournait pour aider Heather à descendre. Hatti continuait
son bavardage.

— Dépêchez-vous, monsieur Jeff,
fit-elle, impatiente. Amenez-la que je puisse la regarder. Et ne restez pas sur
place. Vous avez toujours été empoté.

Jeff s'écarta, un éclair
joyeux dans l'œil, pour laisser la vieille négresse se faire une opinion. Elle
regarda Heather et sourit, satisfaite :

— Mais, c'est encore une enfant,
ma parole! Où avez-vous trouvé quelque chose d'aussi mignon, monsieur Brand?
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A La Nouvelle-Orléans, pensant que j'étais une fille des rues, vous n'avez pas hésité à m'assaillir et j'imagine que vous avez eu ainsi bien des femmes. Je suppose que vous y voyez simplement le soulagement d'un besoin physique et que c'est là votre excuse. Par contre, le-plus anodin des propos galants vous paraît être le signe de la plus basse trahison et vous ne vous gênez pas pour décharger votre bile en conséquence.
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