Critiques de Laura D. (43)
Troisième lecture de cette auteure auto-édité, et je suis toujours aussi fan. Une fois de plus ce récit nous montre comment une jeune femme peut se reconstruire, grâce à la musique. Chaque livre de Laura D. tourne autour d’une thématique bien précise, et c’est vraiment sympa car on découvre des univers vraiment passionnants et surtout, des personnages attachants.
Nous suivons ici, la jeune Lola, 21 ans, qui décide de rouvrir bar de son père, le Sax and Rock. Cependant, la pauvre Lola manque d’expérience, et son incroyable timidité ne facilite pas les choses, si bien que les groupes n’accourent pas pour se produirent chez elle. Pourtant elle est la fille du grand Magical Jack. Par chance, les Old Fields, un groupe prometteur qui a connu quelques difficultés ses dernières années, décident de se produire lors de la réouverture.
Très vite, une relation complexe va s’établir entre Lola et Ronan, le chanteur du groupe. Une romance Rock and Roll, telle est l’idée de ce roman qui est vraiment superbe. J’ai beaucoup aimé les personnages, surtout notre couple qui a beaucoup de mal à s’appréhender. J’ai trouvé les autres personnages un petit peu trop effacés, on sent que se sont les bons copains de Ronan, mais j’aurais aimé en savoir un peu plus.
Le livre est très court, une centaine de page maximum, et encore, sur mon iPad les pages étant plus grandes que sur liseuse, cela ne m’en a fait que 68 ^^ Mais comme pour ces autres récits, Laura D. n’a pas besoin de faire des pavés pour écrire des histoires simples, mais efficace. Plutôt que de tomber dans la facilité et nous détailler le petit train train des personnages, elle préfère se concentrer sur leur psychologie, sur leurs doutes, leur mal-être et livre donc une fois de plus un récit incisif, concis et parfaitement crédible.
Allez, si je devais chercher un petit bémol, j’aurais aimé moin de noms en anglais. Le Sax and Rock, Magical Jack ainsi que toutes les paroles des chansons etc… Je trouve ça un peu dommage pour une auteure française de tomber dans l’anglicisme. Mais bon, c’est la mode aujourd’hui et je suis sans doute un râleur trop attaché à ma langue française, donc je n’en tiens pas rigueur à Laura D. ^-^
Lien : https://chezxander.wordpress..
Nous suivons ici, la jeune Lola, 21 ans, qui décide de rouvrir bar de son père, le Sax and Rock. Cependant, la pauvre Lola manque d’expérience, et son incroyable timidité ne facilite pas les choses, si bien que les groupes n’accourent pas pour se produirent chez elle. Pourtant elle est la fille du grand Magical Jack. Par chance, les Old Fields, un groupe prometteur qui a connu quelques difficultés ses dernières années, décident de se produire lors de la réouverture.
Très vite, une relation complexe va s’établir entre Lola et Ronan, le chanteur du groupe. Une romance Rock and Roll, telle est l’idée de ce roman qui est vraiment superbe. J’ai beaucoup aimé les personnages, surtout notre couple qui a beaucoup de mal à s’appréhender. J’ai trouvé les autres personnages un petit peu trop effacés, on sent que se sont les bons copains de Ronan, mais j’aurais aimé en savoir un peu plus.
Le livre est très court, une centaine de page maximum, et encore, sur mon iPad les pages étant plus grandes que sur liseuse, cela ne m’en a fait que 68 ^^ Mais comme pour ces autres récits, Laura D. n’a pas besoin de faire des pavés pour écrire des histoires simples, mais efficace. Plutôt que de tomber dans la facilité et nous détailler le petit train train des personnages, elle préfère se concentrer sur leur psychologie, sur leurs doutes, leur mal-être et livre donc une fois de plus un récit incisif, concis et parfaitement crédible.
Allez, si je devais chercher un petit bémol, j’aurais aimé moin de noms en anglais. Le Sax and Rock, Magical Jack ainsi que toutes les paroles des chansons etc… Je trouve ça un peu dommage pour une auteure française de tomber dans l’anglicisme. Mais bon, c’est la mode aujourd’hui et je suis sans doute un râleur trop attaché à ma langue française, donc je n’en tiens pas rigueur à Laura D. ^-^
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Deuxième lecture de Laura D. et deuxième coup de cœur. J’ai découvert cette auteure grâce à la plateforme de Service Presse SimPlement, et j’ai également découvert l’auto-édition par ce biais.
Le premier roman que j’ai lu était D’un amour à l’autre, et si vous avez lu ma critique vous savez que j’ai adoré cette lecture. Alors quand je découvre un auteur qui me plait, et bien j’ai tendance à vouloir lire ses autres écrits, histoire de voir s’ils sont du même niveau.
Avec Le réparateur de cœurs brisés, Laura D. a passée un cap dans l’écriture poétique. Je ne sais pas vraiment quel roman elle a écrit en premier, mais celui-ci est meilleur que le précédent, alors que pourtant il est plus court.
Il n’est pas évident pour moi de faire un article sur ce livre, car je ne peux presque rien en dire sous risque de vous dévoiler l’histoire et donc de vous gâcher le plaisir lors de votre lecture. Alors je pourrais simplement vous dire que c’est génial et qu’au lieu de lire mon avis, vous devriez lire le livre de Laura D. mais ce ne serait pas faire honneur à son livre, car avec une telle qualité, l’auteure mérite qu’on parle d’elle, vraiment.
Donc dans ce court livre, nous suivons une jeune femme qui a un cruel manque de confiance en elle. On ne sait pas ce qui lui est arrivé, mais quelque chose s’est cassé, son cœur précisément. Le briseur de cœurs est venu et a éclaté le sien en mille morceaux. Par chance, un jour elle va rencontrer le réparateur de cœurs brisés qui va l’aider peu à peu a recoller les morceaux, à reprendre gout à la vie, à oser se regarder dans un miroir, à vivre, tout simplement.
Toute la lecture est très imagée, très poétique, la plume de Laura D. est vraiment magnifique et l’on suit l’évolution de son histoire avec le réparateur de cœurs brisés (qui est un personnage vous l’aurez compris) avec une facilité déconcertante. Tout se fait simplement, et lorsqu’on arrive à la fin de notre lecture, on se prends une grosse claque tant ce récit est fort et poignant.
Si vous ne connaissez pas Laura D. je vous invite à aller voir ce qu’elle fait car elle a vraiment des choses intéressantes à dire, et elle possède une plume magnifique. Je me permets de vous donner l’adresse de son site, afin que vous puissiez découvrir cette auteure : http://lapagedelaurad.simplesite.com/430355463
Lien : https://chezxander.wordpress..
Le premier roman que j’ai lu était D’un amour à l’autre, et si vous avez lu ma critique vous savez que j’ai adoré cette lecture. Alors quand je découvre un auteur qui me plait, et bien j’ai tendance à vouloir lire ses autres écrits, histoire de voir s’ils sont du même niveau.
Avec Le réparateur de cœurs brisés, Laura D. a passée un cap dans l’écriture poétique. Je ne sais pas vraiment quel roman elle a écrit en premier, mais celui-ci est meilleur que le précédent, alors que pourtant il est plus court.
Il n’est pas évident pour moi de faire un article sur ce livre, car je ne peux presque rien en dire sous risque de vous dévoiler l’histoire et donc de vous gâcher le plaisir lors de votre lecture. Alors je pourrais simplement vous dire que c’est génial et qu’au lieu de lire mon avis, vous devriez lire le livre de Laura D. mais ce ne serait pas faire honneur à son livre, car avec une telle qualité, l’auteure mérite qu’on parle d’elle, vraiment.
Donc dans ce court livre, nous suivons une jeune femme qui a un cruel manque de confiance en elle. On ne sait pas ce qui lui est arrivé, mais quelque chose s’est cassé, son cœur précisément. Le briseur de cœurs est venu et a éclaté le sien en mille morceaux. Par chance, un jour elle va rencontrer le réparateur de cœurs brisés qui va l’aider peu à peu a recoller les morceaux, à reprendre gout à la vie, à oser se regarder dans un miroir, à vivre, tout simplement.
Toute la lecture est très imagée, très poétique, la plume de Laura D. est vraiment magnifique et l’on suit l’évolution de son histoire avec le réparateur de cœurs brisés (qui est un personnage vous l’aurez compris) avec une facilité déconcertante. Tout se fait simplement, et lorsqu’on arrive à la fin de notre lecture, on se prends une grosse claque tant ce récit est fort et poignant.
Si vous ne connaissez pas Laura D. je vous invite à aller voir ce qu’elle fait car elle a vraiment des choses intéressantes à dire, et elle possède une plume magnifique. Je me permets de vous donner l’adresse de son site, afin que vous puissiez découvrir cette auteure : http://lapagedelaurad.simplesite.com/430355463
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Il y a quelques jours à peine j’ai découvert la plateforme SimPlement qui mets en relation des éditeurs et des blogueurs pour offrir des Service Presse. Du peu que j’ai vu, les auteurs sont souvent auto-édités donc on est en relation directe avec l’auteur ce qui est vraiment bien pour dialoguer avec eux.
C’est la toute première fois que je lis un livre auto-édité, et autant être honnête, je craignais un peu la chose. Alors, avant de me lancer dans la lecture de ce roman, je me suis un peu renseigné afin de comprendre comment ça fonctionnait, je ne voulais pas partir avec des aprioris. C’est ainsi que j’ai appris que les romans auto-édités ne sont pas forcément mauvais, ou refusés par les maisons d’éditions. C’est avant tout un choix de l’auteur, et c’est cela le plus important.
J’ai choisi ce roman pour sa jolie couverture, car ce n’est pas avec le résumé que je pouvais savoir de qui il allait parler. Mais ce n’est pas une mauvaise chose, bien au contraire, car parfois trop en dire gâche la surprise.
Cette petite histoire de seulement une centaine pages (107 si je ne dis pas de bêtises) nous plonge dans le quotidien de Zoé, une jeune femme de vingt-quatre ans qui a de gros problèmes dans sa vie sentimentale. Au départ, c’est assez bizarre car Zoé ne semble pas trop savoir ce qu’elle veut. Elle ne semble pas vraiment se rendre compte de son importance dans son cercles d’amis/amants/amour.
Avec un écriture très fluide et en peu de pages, l’auteure (Laura D) va nous raconter la vie difficile et les choix importants de cette femme qui tente de trouver sa place dans un monde complexe. Les personnages qui gravitent autour d’elle sont également très bien construits. On retrouve Tom, son petit ami militaire qui ne rentre que rarement avec qui sa relation est plus physique qu’amoureuse, il y a Justine, sa meilleure amie qui est toujours là pour épauler Zoé dans les moments difficiles. Et il y a le mystérieux Adam, qu’elle voit en secret depuis un an, sans qu’ils ne se soient jamais rencontrés physiquement. Leur relation se fait par Tchat sur le net ou par téléphone.
C’est surtout au travers d’Adam que le personnage de Zoé va évoluer, c’est grâce à lui qu’elle va oser aller plus loin, s’affirmer, baisser sa garde pour lui laisser un peu plus de place. Nous en apprenons également plus sur Zoé avec quelques petit flash-backs qui nous racontent la relation conflictuelle qu’elle a eu avec sa mère lorsqu’elle était enfant. (mention spéciale au chapitre sur un certain anniversaire, quelle tristesse ! )
En toute honnêteté, je ne m’attendais pas à apprécier cette lecture, du moins, pas autant. Comment en si peu de pages l’auteure parvient à raconter autant de choses et surtout à donner autant de charisme et de profondeurs à ses personnages ? Dire qu’il y a peu je sortais plutôt mitigé de ma lecture de Blue, dans lequel il n’y avait aucun style et dont les personnages étaient plats et stéréotypés.
Pour ce premier essai dans l’auto-édition, j’ai été plus que conquis, même si j’ai relevé deux ou trois coquilles dans le texte, mais rien de bien tragique (ça arrive d’ailleurs de plus en plus souvent chez les grands éditeurs donc bon..) et je pense que je lirais prochainement un autre livre de cet auteur qui mérite vraiment qu’on s’intéresse à elle. Et si vous hésitez encore, sachez que le prix est très attractif puisqu’il coute seulement 2,99€ pour 1h40 de lecture. Ah, et une dernière chose sur la plate-forme de SimpLement. Contrairement à NetGalley, on télécharge les livres et on peut les conserver éternellement, ils ne disparaissent pas de l’application au bout de quelques mois. C’est peut être un détail, mais je trouve qu’il a son importance 😉
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C’est la toute première fois que je lis un livre auto-édité, et autant être honnête, je craignais un peu la chose. Alors, avant de me lancer dans la lecture de ce roman, je me suis un peu renseigné afin de comprendre comment ça fonctionnait, je ne voulais pas partir avec des aprioris. C’est ainsi que j’ai appris que les romans auto-édités ne sont pas forcément mauvais, ou refusés par les maisons d’éditions. C’est avant tout un choix de l’auteur, et c’est cela le plus important.
J’ai choisi ce roman pour sa jolie couverture, car ce n’est pas avec le résumé que je pouvais savoir de qui il allait parler. Mais ce n’est pas une mauvaise chose, bien au contraire, car parfois trop en dire gâche la surprise.
Cette petite histoire de seulement une centaine pages (107 si je ne dis pas de bêtises) nous plonge dans le quotidien de Zoé, une jeune femme de vingt-quatre ans qui a de gros problèmes dans sa vie sentimentale. Au départ, c’est assez bizarre car Zoé ne semble pas trop savoir ce qu’elle veut. Elle ne semble pas vraiment se rendre compte de son importance dans son cercles d’amis/amants/amour.
Avec un écriture très fluide et en peu de pages, l’auteure (Laura D) va nous raconter la vie difficile et les choix importants de cette femme qui tente de trouver sa place dans un monde complexe. Les personnages qui gravitent autour d’elle sont également très bien construits. On retrouve Tom, son petit ami militaire qui ne rentre que rarement avec qui sa relation est plus physique qu’amoureuse, il y a Justine, sa meilleure amie qui est toujours là pour épauler Zoé dans les moments difficiles. Et il y a le mystérieux Adam, qu’elle voit en secret depuis un an, sans qu’ils ne se soient jamais rencontrés physiquement. Leur relation se fait par Tchat sur le net ou par téléphone.
C’est surtout au travers d’Adam que le personnage de Zoé va évoluer, c’est grâce à lui qu’elle va oser aller plus loin, s’affirmer, baisser sa garde pour lui laisser un peu plus de place. Nous en apprenons également plus sur Zoé avec quelques petit flash-backs qui nous racontent la relation conflictuelle qu’elle a eu avec sa mère lorsqu’elle était enfant. (mention spéciale au chapitre sur un certain anniversaire, quelle tristesse ! )
En toute honnêteté, je ne m’attendais pas à apprécier cette lecture, du moins, pas autant. Comment en si peu de pages l’auteure parvient à raconter autant de choses et surtout à donner autant de charisme et de profondeurs à ses personnages ? Dire qu’il y a peu je sortais plutôt mitigé de ma lecture de Blue, dans lequel il n’y avait aucun style et dont les personnages étaient plats et stéréotypés.
Pour ce premier essai dans l’auto-édition, j’ai été plus que conquis, même si j’ai relevé deux ou trois coquilles dans le texte, mais rien de bien tragique (ça arrive d’ailleurs de plus en plus souvent chez les grands éditeurs donc bon..) et je pense que je lirais prochainement un autre livre de cet auteur qui mérite vraiment qu’on s’intéresse à elle. Et si vous hésitez encore, sachez que le prix est très attractif puisqu’il coute seulement 2,99€ pour 1h40 de lecture. Ah, et une dernière chose sur la plate-forme de SimpLement. Contrairement à NetGalley, on télécharge les livres et on peut les conserver éternellement, ils ne disparaissent pas de l’application au bout de quelques mois. C’est peut être un détail, mais je trouve qu’il a son importance 😉
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Dans cette histoire nous suivons Lana, une jeune romancière française qui est invitée à Séoul pour contribuer à l'adaptation cinématographique de son livre par un très grand réalisateur coréen.
Le roman est riche en émotions. L'autrice aborde avec sensibilité les thèmes du deuil, de l'amitié et de la différence. Elle nous fait entrer aux cœurs d'une industrie sans pitié.
J'ai passé un bon moment de lecture, c'était touchant et émouvant. J'ai voyagé au cœur de la Corée du Sud et découvert une culture que je ne connaissais qu'à travers la kpop ou les kdramas.
Quand j'étais étudiante, j'ai eu une grosse phase Kdrama qui m'a fait mettre en pied dans la culture coréenne. Je me suis un peu calmée depuis, mais la Corée est devenu un pays dont l'histoire et la culture m'intéresse. Bien que loin d'être une afficionada comme certains, je prends donc plaisir à lire des titres s'y déroulant. Cependant après ma déception de I love you to the moon, j'avais quelques craintes avec ce roman-ci, ayant peur de voir se reproduire le même schéma. Je vous rassure, ce n'est pas du tout le cas, et j'ai adoré être surprise.
Je remercie donc les éditions KWorld pour m'avoir proposé ce roman, le premier de la nouvelle collection qu'ils lancent. Ayant d'abord été éditeur d'un magazine consacré à la culture coréenne, ils se lancent pour moi avec succès dans l'aventure des romans avec la collection K Story! où ils souhaitent faire honneur à ce pays avec des récits s'inspirant de la richesse de leur culture grâce à des auteurs aussi bien coréens qu'anglophones ou français.
Ici, c'est la plume de Laura Decostayre (site officiel) que j'ai découverte, autrice qui a débuté sa carrière en 2018 avec une romance, suivie de deux autres récits. Elle rêvait d'écrire une histoire destinée aux jeunes adultes, c'est chose faite ici et avec brio selon moi grâce à une attention toute particulière à ses sujets : la Corée, le deuil et l'univers des idols. Elle est en cela accompagnée d'Alice Vuillet (site officiel) qui offre plusieurs illustrations couleurs et noir & blanc pour mettre en image cet univers dans une veine assez réaliste qui en séduira plus d'un.
Pourquoi ai-je aimé cette histoire alors que I love you to the moon dans la même veine m'a laissée de marbre ? Parce qu'ici, ce n'est pas la romance qui compte mais tous les autres sentiments ! En effet, l'autrice nous propose de suivre Lana, une jeune autrice française dont le roman doit être adapté par l'un des plus grands réalisateurs coréens du moment. Elle s'embarque alors pour Séoul pour participer à l'écriture du scénario et elle va loger juste à côté du "Trésor national" du pays, une immense star de K-pop. Dit comme ça, cela ressemble furieusement au roman qui ne m'a pas plu. Je craignais à nouveau de suivre une histoire d'amour bancale qui m'aurait laissé sur ma faim. Quelle ne fut pas ma surprise de tomber plutôt sur une histoire de deuil et d'acceptation de soi tellement plus belle et plus forte !
J'ai adoré découvrir la richesse de l'univers du Murmure des papillons et sa poésie un brin macabre et déprimante, comme dans le Kdrama It's okay not to be okay. C'était puissant d'apprendre que l'héroïne, Lana, cachait un tel mal être et que cette star de la K-pop qu'il allait rencontrer en souffrait également. J'ai beaucoup aimé la douceur avec laquelle l'autrice nous a accompagnés dans cette rencontre qui fut loin de se cantonner à la rencontre de ces deux êtres cachant leur malheur. A côté de Lana, nous faisons la connaissance de tout un groupe d'individus poignant et très importants pour elle, qui sauront gagner leur place à ses côtés pour l'aider à s'accepter et s'aimer, que ce soit son éditeur coréen, père de substitution pour elle, son réalisateur également qui a su lui faire prendre confiance en elle sans la brusquer, ou Eun-Ji le meilleur ami de Jung-Hwa, le fameux trésor national, qui va réveiller son coeur. C'est superbe et poignant.
Les émotions des personnages sont sans cesse à fleur de peau car ce sont un peu des êtres de papier, des êtres en sursit. J'ai aimé voir la puissance du rôle de l'écriture dans cette histoire qui fut une vraie source de thérapie et d'émancipation mais au-delà de ça, ce sont les relations humaines qui m'ont plu. J'ai adoré assister à la naissance de l'amitié si singulière entre Lana et ses deux voisins pop star, dans un cocon coupé de tout et propre à toutes les confidences même si elles furent dures à sortir. C'était tour à tour amusant et touchant de la voir se confronter à l'étrange Jung-Hwa, leader HPI aux réactions inattendue. J'ai été totalement séduite par leur dynamique, je t'attire, je te repousse, du fait de leur ressemblance dans leurs traumas. J'ai été moins convaincue par Eun-Ji et son côté surprotecteur envers son ami et ambivalent envers Lana. Mais ce sont peut-être les deux figures paternelles de l'histoire que j'ai le plus aimées avec leur soutien discret mais solide et indéfectible qui a permis à Lana de s'affirmer aussi en tant qu'artiste.
Le titre est fort de ses relations humaines mais pas que. Laura Decastayre profite de ce récit pour nous montrer tout son amour pour la culture coréenne qu'elle a tenté de nous transmettre avec le plus de justesse possible. J'ai ainsi été touchée par le sentiment que j'ai eu d'une autrice cherchant à montrer aussi bien les bons que les mauvais côtés de la culture coréenne, qui a tenté de montrer ce qui pouvait différer de la nôtre sans jugement la plupart du temps, et qui ne m'a pas donné un sentiment d'artificialité comme dans d'autres titres. Quand elle parle, entre autres, des problèmes de la société coréenne vis-à-vis des troubles mentaux, du suicide des jeunes dues à une pression trop forte ou encore de l'homosexualité, elle le fait avec beaucoup de nuances, en tentant d'être la plus juste possible et on ressent cette émotion. J'ai adoré la façon dont elle décortique avec subtilité ces sujets tout en les dénonçant, notamment pour l'homosexualité et le fonctionnement souvent inhumain de certains labels musicaux. Ce sont des faits connus et/ou à connaître.
Ainsi le temps d'à peine 250 pages, j'ai eu le sentiment de vivre à la fois une très belle aventure humaine auprès de personnages singuliers auxquels je me suis attachée justement à cause de leurs particularités qui ont un quelque chose d'univers aussi, et une découverte d'un pan de la culture coréenne au plus près de celle-ci avec une justesse dans le propos, la mise en lumière et la dénonciation aussi. En plus, pour ne rien gâcher, Laura Decostayre a une très belle plume que l'on retrouve avec beaucoup de force dans les écrits de ses héros mais aussi dans leurs échanges. J'ai été très émue par cette histoire de deuil, de reconstruction et d'appel à s'aimer et s'accepter.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Je remercie donc les éditions KWorld pour m'avoir proposé ce roman, le premier de la nouvelle collection qu'ils lancent. Ayant d'abord été éditeur d'un magazine consacré à la culture coréenne, ils se lancent pour moi avec succès dans l'aventure des romans avec la collection K Story! où ils souhaitent faire honneur à ce pays avec des récits s'inspirant de la richesse de leur culture grâce à des auteurs aussi bien coréens qu'anglophones ou français.
Ici, c'est la plume de Laura Decostayre (site officiel) que j'ai découverte, autrice qui a débuté sa carrière en 2018 avec une romance, suivie de deux autres récits. Elle rêvait d'écrire une histoire destinée aux jeunes adultes, c'est chose faite ici et avec brio selon moi grâce à une attention toute particulière à ses sujets : la Corée, le deuil et l'univers des idols. Elle est en cela accompagnée d'Alice Vuillet (site officiel) qui offre plusieurs illustrations couleurs et noir & blanc pour mettre en image cet univers dans une veine assez réaliste qui en séduira plus d'un.
Pourquoi ai-je aimé cette histoire alors que I love you to the moon dans la même veine m'a laissée de marbre ? Parce qu'ici, ce n'est pas la romance qui compte mais tous les autres sentiments ! En effet, l'autrice nous propose de suivre Lana, une jeune autrice française dont le roman doit être adapté par l'un des plus grands réalisateurs coréens du moment. Elle s'embarque alors pour Séoul pour participer à l'écriture du scénario et elle va loger juste à côté du "Trésor national" du pays, une immense star de K-pop. Dit comme ça, cela ressemble furieusement au roman qui ne m'a pas plu. Je craignais à nouveau de suivre une histoire d'amour bancale qui m'aurait laissé sur ma faim. Quelle ne fut pas ma surprise de tomber plutôt sur une histoire de deuil et d'acceptation de soi tellement plus belle et plus forte !
J'ai adoré découvrir la richesse de l'univers du Murmure des papillons et sa poésie un brin macabre et déprimante, comme dans le Kdrama It's okay not to be okay. C'était puissant d'apprendre que l'héroïne, Lana, cachait un tel mal être et que cette star de la K-pop qu'il allait rencontrer en souffrait également. J'ai beaucoup aimé la douceur avec laquelle l'autrice nous a accompagnés dans cette rencontre qui fut loin de se cantonner à la rencontre de ces deux êtres cachant leur malheur. A côté de Lana, nous faisons la connaissance de tout un groupe d'individus poignant et très importants pour elle, qui sauront gagner leur place à ses côtés pour l'aider à s'accepter et s'aimer, que ce soit son éditeur coréen, père de substitution pour elle, son réalisateur également qui a su lui faire prendre confiance en elle sans la brusquer, ou Eun-Ji le meilleur ami de Jung-Hwa, le fameux trésor national, qui va réveiller son coeur. C'est superbe et poignant.
Les émotions des personnages sont sans cesse à fleur de peau car ce sont un peu des êtres de papier, des êtres en sursit. J'ai aimé voir la puissance du rôle de l'écriture dans cette histoire qui fut une vraie source de thérapie et d'émancipation mais au-delà de ça, ce sont les relations humaines qui m'ont plu. J'ai adoré assister à la naissance de l'amitié si singulière entre Lana et ses deux voisins pop star, dans un cocon coupé de tout et propre à toutes les confidences même si elles furent dures à sortir. C'était tour à tour amusant et touchant de la voir se confronter à l'étrange Jung-Hwa, leader HPI aux réactions inattendue. J'ai été totalement séduite par leur dynamique, je t'attire, je te repousse, du fait de leur ressemblance dans leurs traumas. J'ai été moins convaincue par Eun-Ji et son côté surprotecteur envers son ami et ambivalent envers Lana. Mais ce sont peut-être les deux figures paternelles de l'histoire que j'ai le plus aimées avec leur soutien discret mais solide et indéfectible qui a permis à Lana de s'affirmer aussi en tant qu'artiste.
Le titre est fort de ses relations humaines mais pas que. Laura Decastayre profite de ce récit pour nous montrer tout son amour pour la culture coréenne qu'elle a tenté de nous transmettre avec le plus de justesse possible. J'ai ainsi été touchée par le sentiment que j'ai eu d'une autrice cherchant à montrer aussi bien les bons que les mauvais côtés de la culture coréenne, qui a tenté de montrer ce qui pouvait différer de la nôtre sans jugement la plupart du temps, et qui ne m'a pas donné un sentiment d'artificialité comme dans d'autres titres. Quand elle parle, entre autres, des problèmes de la société coréenne vis-à-vis des troubles mentaux, du suicide des jeunes dues à une pression trop forte ou encore de l'homosexualité, elle le fait avec beaucoup de nuances, en tentant d'être la plus juste possible et on ressent cette émotion. J'ai adoré la façon dont elle décortique avec subtilité ces sujets tout en les dénonçant, notamment pour l'homosexualité et le fonctionnement souvent inhumain de certains labels musicaux. Ce sont des faits connus et/ou à connaître.
Ainsi le temps d'à peine 250 pages, j'ai eu le sentiment de vivre à la fois une très belle aventure humaine auprès de personnages singuliers auxquels je me suis attachée justement à cause de leurs particularités qui ont un quelque chose d'univers aussi, et une découverte d'un pan de la culture coréenne au plus près de celle-ci avec une justesse dans le propos, la mise en lumière et la dénonciation aussi. En plus, pour ne rien gâcher, Laura Decostayre a une très belle plume que l'on retrouve avec beaucoup de force dans les écrits de ses héros mais aussi dans leurs échanges. J'ai été très émue par cette histoire de deuil, de reconstruction et d'appel à s'aimer et s'accepter.
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Une plongée dans les abysses de ma liseuse a fait remonter Indisso.C.I.A.ble de Laura Decostayre.
Drôle de titre en forme de jeu de mots… Indissociable renvoie à une forme d’indivisibilité, à une impossibilité de se séparer ; on parle ainsi d'éléments ou de personnes associés de façon durable et considérés comme impossibles à éloigner l'un de l'autre ou les uns des autres.
CIA est le sigle de l’Agence Centrale de Renseignements américaine (Central Intelligence Agency), chargée de fournir et d’analyser des informations sur les gouvernements, les entreprises et les individus de tous les pays du monde pour le compte du gouvernement américain et de conduire des opérations clandestines à l'étranger.
Ce roman met en scène Jake, un agent de la CIA, chargé de surveiller un truand notoire, Robert Kizinski, dit Bobby le balafré. Il établit un premier contact en fréquentant le Molly’s, un bar où Kizinski a ses habitudes.
Cette mission pourtant simple, de la routine, prend pour Jake des proportions sentimentales incongrues et disproportionnées car, au Molly’s, il fait aussi la connaissance de Cloé, la serveuse, une femme mystérieuse qui le trouble plus qu’il ne faudrait, qui semble à la fois fragile et expérimentée.
Laura Decostayre propose une intrigue sobre et efficacement menée, mêlant souvenirs douloureux du passé, prises de risque, apparences trompeuses… avec des personnages stéréotypés mais intéressants : Jake est un écorché de la vie, Cloé est une rescapée, Kizinski campe le salaud intégral ... Ma préférence va à Simon, reclus dans son bureau, derrière ses écrans, les yeux et les oreilles de Jake, et à l’axolotl dans son vieil aquarium…
J’ai préféré la première moitié du livre, dans le décor du Molly’s et de la chambre d’hôtel de Jake, la découverte de la psychologie des personnages. La suite du roman m’a paru un peu trop capillotractée, trop dans l’action brute. Je ne peux en dire plus sans divulgâcher une partie essentielle du suspense.
Une lecture détente dont je ne me souviendrai sans doute pas longtemps mais qui fait le job dans l’instant. Un court roman distrayant.
#IndissoCIAble #NetGalleyFrance
Lien : https://www.facebook.com/pir..
Drôle de titre en forme de jeu de mots… Indissociable renvoie à une forme d’indivisibilité, à une impossibilité de se séparer ; on parle ainsi d'éléments ou de personnes associés de façon durable et considérés comme impossibles à éloigner l'un de l'autre ou les uns des autres.
CIA est le sigle de l’Agence Centrale de Renseignements américaine (Central Intelligence Agency), chargée de fournir et d’analyser des informations sur les gouvernements, les entreprises et les individus de tous les pays du monde pour le compte du gouvernement américain et de conduire des opérations clandestines à l'étranger.
Ce roman met en scène Jake, un agent de la CIA, chargé de surveiller un truand notoire, Robert Kizinski, dit Bobby le balafré. Il établit un premier contact en fréquentant le Molly’s, un bar où Kizinski a ses habitudes.
Cette mission pourtant simple, de la routine, prend pour Jake des proportions sentimentales incongrues et disproportionnées car, au Molly’s, il fait aussi la connaissance de Cloé, la serveuse, une femme mystérieuse qui le trouble plus qu’il ne faudrait, qui semble à la fois fragile et expérimentée.
Laura Decostayre propose une intrigue sobre et efficacement menée, mêlant souvenirs douloureux du passé, prises de risque, apparences trompeuses… avec des personnages stéréotypés mais intéressants : Jake est un écorché de la vie, Cloé est une rescapée, Kizinski campe le salaud intégral ... Ma préférence va à Simon, reclus dans son bureau, derrière ses écrans, les yeux et les oreilles de Jake, et à l’axolotl dans son vieil aquarium…
J’ai préféré la première moitié du livre, dans le décor du Molly’s et de la chambre d’hôtel de Jake, la découverte de la psychologie des personnages. La suite du roman m’a paru un peu trop capillotractée, trop dans l’action brute. Je ne peux en dire plus sans divulgâcher une partie essentielle du suspense.
Une lecture détente dont je ne me souviendrai sans doute pas longtemps mais qui fait le job dans l’instant. Un court roman distrayant.
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Une belle découverte.
C'est le hasard qui m'a mené à télécharger ce roman. La couverture m'a convaincue, et curieuse que je suis, je n'ai pas résisté !
Dés le premier chapitre, j'ai été happée par cette histoire, par ce petit garçon qui a déjà conscience de qui il est, mais dont les proches tentent d'étouffer ces prémices.
Puis j'ai découvert Nathan, ce jeune homme torturé, en proie aux doutes, au dégoût de lui-même, exposé à la peur de tout. Et je dois bien le reconnaître, Nathan m'a touché.
Seul bémol, le format trop court pour poser une histoire, ou travailler les personnages en profondeurs. Quelle dommage, car cet écrit mérite largement d'être développé.
En bref, une très bonne surprise, que je recommande sans hésiter.
Bonne lecture à tous.
C'est le hasard qui m'a mené à télécharger ce roman. La couverture m'a convaincue, et curieuse que je suis, je n'ai pas résisté !
Dés le premier chapitre, j'ai été happée par cette histoire, par ce petit garçon qui a déjà conscience de qui il est, mais dont les proches tentent d'étouffer ces prémices.
Puis j'ai découvert Nathan, ce jeune homme torturé, en proie aux doutes, au dégoût de lui-même, exposé à la peur de tout. Et je dois bien le reconnaître, Nathan m'a touché.
Seul bémol, le format trop court pour poser une histoire, ou travailler les personnages en profondeurs. Quelle dommage, car cet écrit mérite largement d'être développé.
En bref, une très bonne surprise, que je recommande sans hésiter.
Bonne lecture à tous.
J'ai découvert Laura D en lisant la nouvelle « le réparateur de coeurs brisés » que j'ai trouvé extraordinaire, j'ai donc profité de la récente sortie d'ELSA pour en savoir un peu plus sur cette auteure.
D'abord je tiens à la remercier car pour une fois je trouve que l'équilibre entre les personnages féminins et les personnages masculins est plutôt bien respecté. Dans la littérature romantique, on retrouve trop souvent à mon goût les stéréotypes « homme fort/femme faible » ou « homme fort/femme faire-valoir ». Ici ce n'est pas le cas, chacun ayant un rôle dans la construction de l'histoire avec un égal intérêt de l'auteure pour eux. Elle leur prête des sentiments, des forces et des faiblesses, et on sent tout l'amour qu'elle a pour eux, comme s'ils faisaient vraiment partie de sa vie (c'est peut-être le cas ?). La relation entre les deux filles et les garçons semble un peu ambigue au début, mais leur histoire est dévoilée petit à petit. le tout est porté par des dialogues très réalistes, et ça c'est un vrai plaisir.
J'ai d'abord cru à une histoire d'amour banale, bien que décrite avec humour et délicatesse. J'ai même cru que nous allions tomber dans un triangle amoureux mille fois évoqué dans les romances, mais après des « préliminaires » (si j'ose dire) plutôt mignons, l'auteure dévie de la route toute tracée pour nous emmener ailleurs, et vers un sujet beaucoup pous sérieux qu'il n'y paraissait au début. C'est exactement ce qu'elle a fait dans « le réparateur de coeurs brisés », et je me suis fait avoir une seconde fois ! L'histoire d'Elsa est compliquée, due à un passé douloureux qui lui a laissé des blessures tenaces. Empêtrée dans des croyances qui lui servent d'armure, elle s'empêche d'aimer. J'ai trouvé cette fille hyper touchante, et je me suis souvent surpris à penser que si j'avais Elsa en face de moi, je n'aurais qu'une envie, c'est de la prendre dans mes bras. Oui bon ben, je suis romantique, que voulez-vous.
Je terminerais par le style, que j'ai trouvé délicat et très sensible. Les petites touches d'humour et les quelques références musicales qui ponctuent le texte m'ont beaucoup plu aussi. Et que dire des t-shirts de Quentin ?! Je les veux !
En résumé, ELSA est un très joli roman, à la fois romantique et sérieux, dont les personnages, les dialogues et les événements sont crédibles et réalistes. Laura D a un indéniable talent pour nous emmener vers des territoires émotionnels qui secouent un peu. C'est un sujet délicat qu'elle aborde. L'estime de soi, la construction de sa vie d'adulte et de sa vie amoureuse. Et en tant qu'homme (romantique, certes, mais mâle quand même !!), j'ai adoré ! J'ai fini ma lecture avec le sourire et l'envie de lire un autre roman de Laura D.
Je voudrais préciser que malgré plusieurs tentatives de commentaire sur Amazon, je n'ai jamais réussi à laisser mon empreinte, mais il n'était pas question de ne pas partager cet avis, d'où mon inscription sur Babelio !
D'abord je tiens à la remercier car pour une fois je trouve que l'équilibre entre les personnages féminins et les personnages masculins est plutôt bien respecté. Dans la littérature romantique, on retrouve trop souvent à mon goût les stéréotypes « homme fort/femme faible » ou « homme fort/femme faire-valoir ». Ici ce n'est pas le cas, chacun ayant un rôle dans la construction de l'histoire avec un égal intérêt de l'auteure pour eux. Elle leur prête des sentiments, des forces et des faiblesses, et on sent tout l'amour qu'elle a pour eux, comme s'ils faisaient vraiment partie de sa vie (c'est peut-être le cas ?). La relation entre les deux filles et les garçons semble un peu ambigue au début, mais leur histoire est dévoilée petit à petit. le tout est porté par des dialogues très réalistes, et ça c'est un vrai plaisir.
J'ai d'abord cru à une histoire d'amour banale, bien que décrite avec humour et délicatesse. J'ai même cru que nous allions tomber dans un triangle amoureux mille fois évoqué dans les romances, mais après des « préliminaires » (si j'ose dire) plutôt mignons, l'auteure dévie de la route toute tracée pour nous emmener ailleurs, et vers un sujet beaucoup pous sérieux qu'il n'y paraissait au début. C'est exactement ce qu'elle a fait dans « le réparateur de coeurs brisés », et je me suis fait avoir une seconde fois ! L'histoire d'Elsa est compliquée, due à un passé douloureux qui lui a laissé des blessures tenaces. Empêtrée dans des croyances qui lui servent d'armure, elle s'empêche d'aimer. J'ai trouvé cette fille hyper touchante, et je me suis souvent surpris à penser que si j'avais Elsa en face de moi, je n'aurais qu'une envie, c'est de la prendre dans mes bras. Oui bon ben, je suis romantique, que voulez-vous.
Je terminerais par le style, que j'ai trouvé délicat et très sensible. Les petites touches d'humour et les quelques références musicales qui ponctuent le texte m'ont beaucoup plu aussi. Et que dire des t-shirts de Quentin ?! Je les veux !
En résumé, ELSA est un très joli roman, à la fois romantique et sérieux, dont les personnages, les dialogues et les événements sont crédibles et réalistes. Laura D a un indéniable talent pour nous emmener vers des territoires émotionnels qui secouent un peu. C'est un sujet délicat qu'elle aborde. L'estime de soi, la construction de sa vie d'adulte et de sa vie amoureuse. Et en tant qu'homme (romantique, certes, mais mâle quand même !!), j'ai adoré ! J'ai fini ma lecture avec le sourire et l'envie de lire un autre roman de Laura D.
Je voudrais préciser que malgré plusieurs tentatives de commentaire sur Amazon, je n'ai jamais réussi à laisser mon empreinte, mais il n'était pas question de ne pas partager cet avis, d'où mon inscription sur Babelio !
Laura D nous offre avec cet ouvrage un dernier instant de vie. Elle fait résonner en nous le chant du cygne d'une vie arrivant à son terme sous les coups de la maladie. Un chant que l'on n'entend pas mais que l'on écoute avec attention. Ultime message d'amour où la dignité de la personne rime avec les mots dits et non-dits de la mort qui approche chaque jour un peu plus d'un homme qui fut grand dans la conscience de son rôle d'homme, d'époux et de père.
Il s'agit là d'un récit que chaque lecteur peut et doit méditer car nous sommes loin d'un texte romanesque. L'auteur réussit à créer une intimité propice à l'éveil de la conscience, du sens de l'amour et de la vie, de la dimension éphémère de l'existence et de la superficialité du matériel.
J'ai pris un immense plaisir à dévorer ces pages, à me projeter dans ce contexte dramatique, à me transposer dans le personnage de ce père avec lequel je partage certains points de personnalité en m'imaginant à sa place face à mon fils. Ce texte, hélas trop court,remue, secoue, bouleverse. Mais puis-je vraiment dire hélas par rapport à ce faible nombre de pages dont la force, la puissance, nous prend autant "aux tripes" qu'un récit épique de 1 000 pages ?
J'ai adoré et ne peux que recommander cet ouvrage qui me marque réellement.
Il s'agit là d'un récit que chaque lecteur peut et doit méditer car nous sommes loin d'un texte romanesque. L'auteur réussit à créer une intimité propice à l'éveil de la conscience, du sens de l'amour et de la vie, de la dimension éphémère de l'existence et de la superficialité du matériel.
J'ai pris un immense plaisir à dévorer ces pages, à me projeter dans ce contexte dramatique, à me transposer dans le personnage de ce père avec lequel je partage certains points de personnalité en m'imaginant à sa place face à mon fils. Ce texte, hélas trop court,remue, secoue, bouleverse. Mais puis-je vraiment dire hélas par rapport à ce faible nombre de pages dont la force, la puissance, nous prend autant "aux tripes" qu'un récit épique de 1 000 pages ?
J'ai adoré et ne peux que recommander cet ouvrage qui me marque réellement.
Passionnée par la Corée du Sud et sa culture depuis 1999, je suis toujours intriguée (j’en ai même des frissons) quand des écrits paraissent sur la Corée du Sud notamment les romans. Je suis toujours partante pour découvrir de nouvelles lectures sur le pays du Matin-Calme. Quand Tiphaine m’a contacté pour me proposer de découvrir « Le murmure des papillons », premier titre de leur collection « KWorld-Story » qui promet un beau voyage à la découverte de la culture sud-coréenne, je n’ai pas hésité. Ce titre représente à merveille l’histoire que vous allez découvrir, des âmes blessées de deux pays différents qui vont panser leurs blessures et s’ouvrir aux autres. Je me suis particulièrement sentie proche de Lana, ses pensées, ce qu’elle ressent… Quant au tome 2, il s’annonce des plus intéressants. Du choix du titre aux illustrations, tout est bien pensé et le travail d’Alice ne fait que sublimer cette belle histoire.
12 septembre 2018, France.
Lana, écrivain sensible et solitaire laisse son studio à son amie Soraya le temps de son séjour à Séoul. Anxieuse de ce bouleversement professionnel, elle est loin de s’imaginer ce qui l’attend.
Gangnam, Séoul, 14 septembre.
Au 34ème étage de la Park Tower, Lana essaie de prendre ses marques ce qui n’est pas facile malgré son Coréen correct. Depuis que Lee Jae-in a acheté les droits d’adaptation cinématographiques de son roman, tout s’est enchaîné à toute vitesse. Lana est prise dans un tourbillon, étrangère aux us et coutumes de l’étiquette coréenne. Il faut dire qu’en Corée tout va vite, ce qui est déroutant pour une jeune femme introvertie. Depuis son arrivée, on lui parle de Kim Jung-hwa, idol d’un groupe de K-Pop vu comme le trésor national en Corée et accessoirement son nouveau voisin.
Suite à un malentendu, Lana partage un repas avec lui et un autre membre du groupe mais son voisin la met mal à l’aise avec ses questions sur ce qui l’a inspiré pour écrire son roman. Poussé dans ses retranchements, Lana se referme sur elle-même. Grâce à Dae-hyun, Lana découvre la Corée et sa culture. Il suffit d’une rencontre pour bouleverser votre vie et de la jalousie pour révéler les plus sombres des secrets.
Quels secrets se cachent derrière le roman de Lana ?
Pourquoi Kim Jung-hwa s’intéresse aux origines de son livre ?
Lana est-elle prête à affronter et à se libérer des chaînes de son passé ?
Arriveront-ils à lâcher prise et à profiter de l’instant présent ?
Au fil des semaines, Lana découvre l’univers de la K-Pop et les sacrifices pour devenir une idol.
Tel un papillon, Lana va sortir de sa coquille et se révéler à elle-même. Un événement va bouleverser la vie de Kim Jung-hwa, Lana, Eun-ji et Dae-hyun.
Quand les secrets sont dévoilés, leurs liens seront-ils à jamais brisés ?
Lana n’aurait jamais pensé pouvoir se reconstruire lors de son séjour en Corée, ni rencontrer une âme aussi brisée et tourmentée que la sienne. Dans un pays où tout n’est qu’apparence et où on dissimule ses états d’âme, tels les murmures d’un papillon, ces âmes brisées vont se trouver, se chercher, se séparer pour mieux renaître et prendre un nouveau départ.
Prisonniers de leurs passés et de leurs secrets, nos protagonistes arriveront-ils à se libérer de leurs culpabilités et de leurs différences pour lâcher prise et prendre un nouveau départ ?
Une histoire sensible, émouvante et marquante !
Pour les fans de K-Pop, pour ceux qui veulent découvrir ou redécouvrir la Corée et sa culture, pour ceux qui cherchent plus qu’un roman sur la K-Pop !
De nombreux sujets sont abordés dont certains tabous au sein de la société, les traditions, l’étiquette coréenne, le nombre d’heures de travail, l’importance de la nourriture, la pression de la réussite, l’homosexualité, le deuil, le suicide, la dépression et autres maladies mentales, le passé et comment se reconstruire sont très bien mis en avant et ce peu importe son pays ou sa culture, la douleur et la culpabilité sont les mêmes. De même que les sacrifices des idols à travers les mots de Kim Jung-hwa (entraînement très jeune durant des années loin de ses parents, être un trainee, la pression constante, le fan service, les rivalités, leur importance de promouvoir la Corée dans le monde, les sasaengs, avoir une image parfaite…). Le sens des lucioles, symbole de cette histoire révèle toute la sensibilité ou la douleur, la honte et la culpabilité laissent la place à de belles amitiés.
Une histoire fragile, forte et douloureuse à la fois, toute en émotions !
Je ne m’attendais pas à une histoire pareille. L’autrice met en avant l’aspect psychologique, élément essentiel de ce roman qui fait la part belle à la fragilité de ces héros de papier et va en profondeur dans les sentiments de tous ses personnages, jusqu’au fond des choses pour nous proposer une histoire bouleversante en émotions ce qui surprend par rapport aux autres romans sortis dans le domaine de la K-Pop. Une belle entrée en matière pour découvrir la Corée à travers les yeux de Lana qui va partir à la découverte de la culture coréenne et de ses monuments historiques. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la K-Pop n’est pas omniprésente dans le sens où elle n’est pas au cœur de l’histoire si ce n’est que le voisin de Lana est une célèbre idol. Ce n’est pas du tout comme la série « Kpop confidentiel » qui montre l’univers de la K-Pop et l’envers du décors, c’est vraiment différent mais passionnant.
Tous les ingrédients sont réunis pour une collection prometteuse qui va au fond des choses !
Lien : https://leboudoirdulivre.wor..
12 septembre 2018, France.
Lana, écrivain sensible et solitaire laisse son studio à son amie Soraya le temps de son séjour à Séoul. Anxieuse de ce bouleversement professionnel, elle est loin de s’imaginer ce qui l’attend.
Gangnam, Séoul, 14 septembre.
Au 34ème étage de la Park Tower, Lana essaie de prendre ses marques ce qui n’est pas facile malgré son Coréen correct. Depuis que Lee Jae-in a acheté les droits d’adaptation cinématographiques de son roman, tout s’est enchaîné à toute vitesse. Lana est prise dans un tourbillon, étrangère aux us et coutumes de l’étiquette coréenne. Il faut dire qu’en Corée tout va vite, ce qui est déroutant pour une jeune femme introvertie. Depuis son arrivée, on lui parle de Kim Jung-hwa, idol d’un groupe de K-Pop vu comme le trésor national en Corée et accessoirement son nouveau voisin.
Suite à un malentendu, Lana partage un repas avec lui et un autre membre du groupe mais son voisin la met mal à l’aise avec ses questions sur ce qui l’a inspiré pour écrire son roman. Poussé dans ses retranchements, Lana se referme sur elle-même. Grâce à Dae-hyun, Lana découvre la Corée et sa culture. Il suffit d’une rencontre pour bouleverser votre vie et de la jalousie pour révéler les plus sombres des secrets.
Quels secrets se cachent derrière le roman de Lana ?
Pourquoi Kim Jung-hwa s’intéresse aux origines de son livre ?
Lana est-elle prête à affronter et à se libérer des chaînes de son passé ?
Arriveront-ils à lâcher prise et à profiter de l’instant présent ?
Au fil des semaines, Lana découvre l’univers de la K-Pop et les sacrifices pour devenir une idol.
Tel un papillon, Lana va sortir de sa coquille et se révéler à elle-même. Un événement va bouleverser la vie de Kim Jung-hwa, Lana, Eun-ji et Dae-hyun.
Quand les secrets sont dévoilés, leurs liens seront-ils à jamais brisés ?
Lana n’aurait jamais pensé pouvoir se reconstruire lors de son séjour en Corée, ni rencontrer une âme aussi brisée et tourmentée que la sienne. Dans un pays où tout n’est qu’apparence et où on dissimule ses états d’âme, tels les murmures d’un papillon, ces âmes brisées vont se trouver, se chercher, se séparer pour mieux renaître et prendre un nouveau départ.
Prisonniers de leurs passés et de leurs secrets, nos protagonistes arriveront-ils à se libérer de leurs culpabilités et de leurs différences pour lâcher prise et prendre un nouveau départ ?
Une histoire sensible, émouvante et marquante !
Pour les fans de K-Pop, pour ceux qui veulent découvrir ou redécouvrir la Corée et sa culture, pour ceux qui cherchent plus qu’un roman sur la K-Pop !
De nombreux sujets sont abordés dont certains tabous au sein de la société, les traditions, l’étiquette coréenne, le nombre d’heures de travail, l’importance de la nourriture, la pression de la réussite, l’homosexualité, le deuil, le suicide, la dépression et autres maladies mentales, le passé et comment se reconstruire sont très bien mis en avant et ce peu importe son pays ou sa culture, la douleur et la culpabilité sont les mêmes. De même que les sacrifices des idols à travers les mots de Kim Jung-hwa (entraînement très jeune durant des années loin de ses parents, être un trainee, la pression constante, le fan service, les rivalités, leur importance de promouvoir la Corée dans le monde, les sasaengs, avoir une image parfaite…). Le sens des lucioles, symbole de cette histoire révèle toute la sensibilité ou la douleur, la honte et la culpabilité laissent la place à de belles amitiés.
Une histoire fragile, forte et douloureuse à la fois, toute en émotions !
Je ne m’attendais pas à une histoire pareille. L’autrice met en avant l’aspect psychologique, élément essentiel de ce roman qui fait la part belle à la fragilité de ces héros de papier et va en profondeur dans les sentiments de tous ses personnages, jusqu’au fond des choses pour nous proposer une histoire bouleversante en émotions ce qui surprend par rapport aux autres romans sortis dans le domaine de la K-Pop. Une belle entrée en matière pour découvrir la Corée à travers les yeux de Lana qui va partir à la découverte de la culture coréenne et de ses monuments historiques. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la K-Pop n’est pas omniprésente dans le sens où elle n’est pas au cœur de l’histoire si ce n’est que le voisin de Lana est une célèbre idol. Ce n’est pas du tout comme la série « Kpop confidentiel » qui montre l’univers de la K-Pop et l’envers du décors, c’est vraiment différent mais passionnant.
Tous les ingrédients sont réunis pour une collection prometteuse qui va au fond des choses !
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Dans cette histoire, nous suivons les aventures de Jake un agent de la CIA qui est chargée par cette dernière de mettre un terme au trafic d'armes mené par Robert Kizinski. Cependant, la mission ne se passe pas comme prévue et Jake se retrouve entraîner dans un tourbillon qui le fait rappeler une autre délicate mission qui a eu lieu cinq ans auparavant.
Avec une superbe plume et un style qui permet une lecture très fluide de cette passionnante histoire où l'amour et la vengeance nous tiennent en haleine jusqu'au dernier mot de ce thriller plein de suspense.
Avec une superbe plume et un style qui permet une lecture très fluide de cette passionnante histoire où l'amour et la vengeance nous tiennent en haleine jusqu'au dernier mot de ce thriller plein de suspense.
Malheureusement je suis passé à côté.
Quel dommage, de découvrir le dénouement de cette nouvelle, d'adorer, et d'avoir du lutter, me contraindre à poursuivre ma lecture pour arriver jusqu'au bout.
Car oui, si j'ai adoré les derniers chapitres, dés le début, je n'ai pas accroché avec le style lent et détaillé de cette écriture. Trop peu de dialogue, de moment présent, trop de paragraphes poétiques, certes, mais inutiles et alourdissants le récits. Hélas, avec moi, cela n'a pas pris, pas du tout.
Pourtant, je comprends que d'autres lecteurs aient pu accrocher avec ce phrasé poétique, ce conte des temps modernes et c'est pourquoi je conseillerais de lire cette nouvelle afin de vous faire votre avis.
Bonne lecture à tous.
Quel dommage, de découvrir le dénouement de cette nouvelle, d'adorer, et d'avoir du lutter, me contraindre à poursuivre ma lecture pour arriver jusqu'au bout.
Car oui, si j'ai adoré les derniers chapitres, dés le début, je n'ai pas accroché avec le style lent et détaillé de cette écriture. Trop peu de dialogue, de moment présent, trop de paragraphes poétiques, certes, mais inutiles et alourdissants le récits. Hélas, avec moi, cela n'a pas pris, pas du tout.
Pourtant, je comprends que d'autres lecteurs aient pu accrocher avec ce phrasé poétique, ce conte des temps modernes et c'est pourquoi je conseillerais de lire cette nouvelle afin de vous faire votre avis.
Bonne lecture à tous.
Une nouvelle fois, Laura D. nous livre une nouvelle d’une grande douceur ; son écriture, toujours élégante, se fait poétique pour parler, tout en douceur, d’un sujet grave dont un devine petit à petit ce qu’il est réellement. Lentement, l’amour du « réparateur de cœurs brisés » parviendra à redonner confiance en elle à la narratrice, jeune femme marquée dans sa chair mais aussi son cœur – brisé – lui réapprendre à s’aimer, à envisager un avenir. Un très beau texte empli de sensibilité, de poésie de lumière, un petit bijou plein d’amour et d’espoir.
Chronique à quatre main
Nous l’attendions avec impatience !! Depuis que K ! Roman nous a contacté pour découvrir ce roman nous n’avions qu’une hâte c’était de le recevoir.
Marie : Vous savez à quel point j’aime les histoires qui se passent en Corée, surtout avec des héros issus de la K-pop ! Ajouter à cela un héros masculin atypique et une héroïne réservée et limite insociable ça donne un parfait combo pour une histoire. Enfin selon moi du moins.
Marion : Il y a trop peu de romance qui abordent cet univers à mon sens. Ceux qui me connaissent savent que mes journées sont rythmées par la musique sud coréenne et mes soirées se terminent bien souvent devant un drama. Alors quand un roman me propose d’allier deux plaisirs coupables, je dis banco !
On découvre donc Lana Aran, 26 ans, jeune romancière parisienne qui s’apprête à s’envoler pour la Corée du sud pour l’adaptation cinématographique d’un de ses romans. Un bouleversement en soi. Gratifiant certes, mais déstabilisant. Lana est une jeune femme très solitaire, n’est pas fan des contacts avec les êtres humains et a du mal avec les changements. Cependant Lana ne sera pas totalement seule à Séoul. Elle peut compter sur Dae-hyun son ami éditeur et sur la présence de Ha-neul l’assistante de production (et par conséquent, assistante de Jae-in, le célèbre le réalisateur).
A peine arrivée à Séoul et suite à un malentendu, elle va faire la connaissance avec son voisin, Kim Jung-hwa un Idol très célèbre et son ami compositeur et parolier Han Eun-ji. Ces deux jeunes hommes au physique « mmmh miam-miam » parviennent à la mettre à l’aise, elle, d’ordinaire si méfiante.
Ceci dit, Jung-hwa a beau être idolâtré et adulé par des milliers de fans, Lana émet de grosses réserves sur la star. Il est beau oui mais, déstabilisant. Elle se sent prise au piège et acculée par les questions incessantes de son voisin. Rapidement, devant le comportement étrange de Jung-Hwa, Lana se renferme instinctivement sur elle-même.
Marie : On sent tout de suite que Kim Jung-hwa est rongé par quelque chose mais on ressent aussi la difficulté de Lana à rester loin du jeune chanteur. Quelque chose en lui l’attire, ils ont cette même lueur dans le regard.
Marion : Ah… Jung-Hwa… Ses coups de sang et son état « sur la brèche » en font un héros très complexe. Malgré ses tourments, il demeure un personnage très attachant. Un héros qui nous émeut profondément. Il est comme les montagnes russes. Il peut s’enflammer très vite mais n’est pourtant pas rancunier pour autant. Il est vrai que son tempérament a de quoi déstabiliser Lana.
Nous avons adoré découvrir ce roman si doux mais émouvant. Cette histoire est avant tout une histoire de rédemption. Il faut que nos héros avancent dans leur histoire personnelle. Et ouvrir leur cœur semble être la meilleure solution. Chacun des protagonistes est brillamment travaillé, avec ses points forts, ses points faibles et son passé. Lana ne pensait pas se reconstruire et débuter un nouveau chapitre de sa vie, et pourtant, grâce à son séjour au pays du matin calme, tel un papillon elle va ouvrir ses jolies ailes et se libérer de ses chaînes. La plume de l’auteur est fluide et est particulièrement agréable à lire. On progresse dans la lecture qui nous apporte de précieux détails sur la culture sud coréenne sans que cela soit pesant. C’est dépaysant et enrichissant.
L’histoire dépeint un joli cocktail de personnages tous différent et attachant.
Et en parlant de personnages, comment ne pas parler de Han Eun-ji, le meilleur ami de Jung-Hwa. Il est attirant, gentil et prend soin des gens qu’il aime. Nous avons totalement craqué sur lui. Nous avons adoré son côté solaire. Il temporise, soutient et protège. C’est un personnage qui se veut discret mais pas tant que ça. L’air de rien, il rend sa présence indispensable.
Il est difficile de parler de ce roman sans spoiler et clairement ce serait dommage. Cette lecture est vraiment belle, avec beaucoup de fragilité émotionnelle. C’est une douceur qu’il faut savourer.
Marie : les codes coréens sont respectés et je suis toujours autant fasciné par ce que je découvre. De nombreux sujets sont abordés, certain tabou mettent nos jeunes héros (et moi) en colère, ce que les grands dirigeants de la – pop passent sous silence pour montrer que tout est beau et rose alors que l’envers du décor est moche. Tout ça est parfaitement bien traité et bien dosé. Je remercie Laura, car elle a vraiment mis beaucoup de cœur dans son histoire. Et je ne parle même pas de quand j’ai découvert la symbolique des lucioles. C’est juste sublime.
Marion : cette histoire fait résonner en moi un écho douloureux. Il y a des épreuves que l’on ne surmonte jamais vraiment. On essaie de vivre avec du mieux que l’on peut. L’auteur a réussi à aborder un sujet très délicat et a su trouver les mots justes. J’ai apprécié que cela ne tombe pas dans une caricature fantaisiste. Les thématiques abordées dans le roman sont lourdes mais très bien exposées. J’ai adoré les efforts de l’héroïne pour accepter et comprendre cette culture si différente de la sienne.
Mais il faut aussi parler des illustrations. Wow ! Elles sont sublimes et reflètent tellement l’histoire. Bravo à la talentueuse Alice Vuillet pour son travail d’une grande finesse.
En bref nous avons adoré et avons hâte de découvrir d’autre histoires de Laura et de la maison d’édition K ! Roman. Nous ne pouvons que vous conseiller de le lire. Que vous aimiez la Kpop ou non, que vous soyez adepte de la Corée du sud ou non, allez-y, vous allez découvrir une sublime histoire.
Lien : https://auxrevesdesmots.com/..
Nous l’attendions avec impatience !! Depuis que K ! Roman nous a contacté pour découvrir ce roman nous n’avions qu’une hâte c’était de le recevoir.
Marie : Vous savez à quel point j’aime les histoires qui se passent en Corée, surtout avec des héros issus de la K-pop ! Ajouter à cela un héros masculin atypique et une héroïne réservée et limite insociable ça donne un parfait combo pour une histoire. Enfin selon moi du moins.
Marion : Il y a trop peu de romance qui abordent cet univers à mon sens. Ceux qui me connaissent savent que mes journées sont rythmées par la musique sud coréenne et mes soirées se terminent bien souvent devant un drama. Alors quand un roman me propose d’allier deux plaisirs coupables, je dis banco !
On découvre donc Lana Aran, 26 ans, jeune romancière parisienne qui s’apprête à s’envoler pour la Corée du sud pour l’adaptation cinématographique d’un de ses romans. Un bouleversement en soi. Gratifiant certes, mais déstabilisant. Lana est une jeune femme très solitaire, n’est pas fan des contacts avec les êtres humains et a du mal avec les changements. Cependant Lana ne sera pas totalement seule à Séoul. Elle peut compter sur Dae-hyun son ami éditeur et sur la présence de Ha-neul l’assistante de production (et par conséquent, assistante de Jae-in, le célèbre le réalisateur).
A peine arrivée à Séoul et suite à un malentendu, elle va faire la connaissance avec son voisin, Kim Jung-hwa un Idol très célèbre et son ami compositeur et parolier Han Eun-ji. Ces deux jeunes hommes au physique « mmmh miam-miam » parviennent à la mettre à l’aise, elle, d’ordinaire si méfiante.
Ceci dit, Jung-hwa a beau être idolâtré et adulé par des milliers de fans, Lana émet de grosses réserves sur la star. Il est beau oui mais, déstabilisant. Elle se sent prise au piège et acculée par les questions incessantes de son voisin. Rapidement, devant le comportement étrange de Jung-Hwa, Lana se renferme instinctivement sur elle-même.
Marie : On sent tout de suite que Kim Jung-hwa est rongé par quelque chose mais on ressent aussi la difficulté de Lana à rester loin du jeune chanteur. Quelque chose en lui l’attire, ils ont cette même lueur dans le regard.
Marion : Ah… Jung-Hwa… Ses coups de sang et son état « sur la brèche » en font un héros très complexe. Malgré ses tourments, il demeure un personnage très attachant. Un héros qui nous émeut profondément. Il est comme les montagnes russes. Il peut s’enflammer très vite mais n’est pourtant pas rancunier pour autant. Il est vrai que son tempérament a de quoi déstabiliser Lana.
Nous avons adoré découvrir ce roman si doux mais émouvant. Cette histoire est avant tout une histoire de rédemption. Il faut que nos héros avancent dans leur histoire personnelle. Et ouvrir leur cœur semble être la meilleure solution. Chacun des protagonistes est brillamment travaillé, avec ses points forts, ses points faibles et son passé. Lana ne pensait pas se reconstruire et débuter un nouveau chapitre de sa vie, et pourtant, grâce à son séjour au pays du matin calme, tel un papillon elle va ouvrir ses jolies ailes et se libérer de ses chaînes. La plume de l’auteur est fluide et est particulièrement agréable à lire. On progresse dans la lecture qui nous apporte de précieux détails sur la culture sud coréenne sans que cela soit pesant. C’est dépaysant et enrichissant.
L’histoire dépeint un joli cocktail de personnages tous différent et attachant.
Et en parlant de personnages, comment ne pas parler de Han Eun-ji, le meilleur ami de Jung-Hwa. Il est attirant, gentil et prend soin des gens qu’il aime. Nous avons totalement craqué sur lui. Nous avons adoré son côté solaire. Il temporise, soutient et protège. C’est un personnage qui se veut discret mais pas tant que ça. L’air de rien, il rend sa présence indispensable.
Il est difficile de parler de ce roman sans spoiler et clairement ce serait dommage. Cette lecture est vraiment belle, avec beaucoup de fragilité émotionnelle. C’est une douceur qu’il faut savourer.
Marie : les codes coréens sont respectés et je suis toujours autant fasciné par ce que je découvre. De nombreux sujets sont abordés, certain tabou mettent nos jeunes héros (et moi) en colère, ce que les grands dirigeants de la – pop passent sous silence pour montrer que tout est beau et rose alors que l’envers du décor est moche. Tout ça est parfaitement bien traité et bien dosé. Je remercie Laura, car elle a vraiment mis beaucoup de cœur dans son histoire. Et je ne parle même pas de quand j’ai découvert la symbolique des lucioles. C’est juste sublime.
Marion : cette histoire fait résonner en moi un écho douloureux. Il y a des épreuves que l’on ne surmonte jamais vraiment. On essaie de vivre avec du mieux que l’on peut. L’auteur a réussi à aborder un sujet très délicat et a su trouver les mots justes. J’ai apprécié que cela ne tombe pas dans une caricature fantaisiste. Les thématiques abordées dans le roman sont lourdes mais très bien exposées. J’ai adoré les efforts de l’héroïne pour accepter et comprendre cette culture si différente de la sienne.
Mais il faut aussi parler des illustrations. Wow ! Elles sont sublimes et reflètent tellement l’histoire. Bravo à la talentueuse Alice Vuillet pour son travail d’une grande finesse.
En bref nous avons adoré et avons hâte de découvrir d’autre histoires de Laura et de la maison d’édition K ! Roman. Nous ne pouvons que vous conseiller de le lire. Que vous aimiez la Kpop ou non, que vous soyez adepte de la Corée du sud ou non, allez-y, vous allez découvrir une sublime histoire.
Lien : https://auxrevesdesmots.com/..
Un recueil de nouvelles s’est glissé dans ma PAL, il y a quelques mois… Un recueil pas comme les autres. Déjà, parce que ce n’est pas une seule et même personne qui l’as écrit, ensuite, parce que ses bénéfices iront à la Fondation Elle. Enfin, parce qu’il nous parle d’un temps… que l’on a peur d’oublier ou que certains ne connaissent même pas.
Un recueil écrit par douze auteurs… Pas un auteur, pas trois auteurs, DOUZE… Ça veut dire que j’ai lu DOUZE nouvelles… Oui, oui !! Moi, qui avais du mal à en lire cinq du même auteur. Moi, qui n’ai même pas été jusqu’au bout de neuf nouvelles du même auteur… J’en ai lu DOUZE en DEUX jours… S’il vous plaît ! C’est un exploit que je ne pensais jamais, ô grand JAMAIS réaliser ! (ça mérite des applaudissements, je vous le dis !!! LOL 😇😇😂😂)
Et, je vais même aller plus loin : c’était un MERVEILLEUX moment !! Un recueil comme j’en ai jamais lu auparavant, ni chiant, ni long, ni ici ni ça. J’oserai dire qu’il est parfait !
Petite note aux auteurs : savourez cette chronique, parce que pour un recueil, c’est la première fois, que j’en fais une comme celle-ci… 😉
D’ailleurs, les auteurs…C’est DOUZE talents de l’autoédition. C’est DOUZE talents de l’écriture. J’ai eu l’immense plaisir de retrouver les plumes de Solenne Hernandez et Frédéric Meurin (auxquelles j’avais déjà succombé avec leur livre respectif La Rumeur de Solène et La Troupe de Frédéric !!) et de découvrir d’autres plumes dont j’ai juste entendu sur les réseaux le bruit de leur talent, et je vous invite dès maintenant à vous procurer leur livres, car si j’en crois leur histoires écrites pour ce recueil, alors vous allez dénicher des petites pépites de l’autoédition !
En bref, c’est juste un WOUAHHHH (entendez le comme : premier coup de cœur !!) pour ce recueil !!! Merci à ce collectif pour ce travail, pour ses plumes qui vont si bien ensemble !!!😍😍
Lien : https://bookscritics.net/201..
Un recueil écrit par douze auteurs… Pas un auteur, pas trois auteurs, DOUZE… Ça veut dire que j’ai lu DOUZE nouvelles… Oui, oui !! Moi, qui avais du mal à en lire cinq du même auteur. Moi, qui n’ai même pas été jusqu’au bout de neuf nouvelles du même auteur… J’en ai lu DOUZE en DEUX jours… S’il vous plaît ! C’est un exploit que je ne pensais jamais, ô grand JAMAIS réaliser ! (ça mérite des applaudissements, je vous le dis !!! LOL 😇😇😂😂)
Et, je vais même aller plus loin : c’était un MERVEILLEUX moment !! Un recueil comme j’en ai jamais lu auparavant, ni chiant, ni long, ni ici ni ça. J’oserai dire qu’il est parfait !
Petite note aux auteurs : savourez cette chronique, parce que pour un recueil, c’est la première fois, que j’en fais une comme celle-ci… 😉
D’ailleurs, les auteurs…C’est DOUZE talents de l’autoédition. C’est DOUZE talents de l’écriture. J’ai eu l’immense plaisir de retrouver les plumes de Solenne Hernandez et Frédéric Meurin (auxquelles j’avais déjà succombé avec leur livre respectif La Rumeur de Solène et La Troupe de Frédéric !!) et de découvrir d’autres plumes dont j’ai juste entendu sur les réseaux le bruit de leur talent, et je vous invite dès maintenant à vous procurer leur livres, car si j’en crois leur histoires écrites pour ce recueil, alors vous allez dénicher des petites pépites de l’autoédition !
En bref, c’est juste un WOUAHHHH (entendez le comme : premier coup de cœur !!) pour ce recueil !!! Merci à ce collectif pour ce travail, pour ses plumes qui vont si bien ensemble !!!😍😍
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Comme souvent chez Laura D, cette histoire met en scène une jeune femme cachant une profonde fêlure. Jolie, jeune et entourée d’une bande d’amis fidèles et protecteurs, Elsa souffre cependant d’un manque de confiance en elle, ou plus exactement en sa capacité à aimer. Impossible pour elle de s’impliquer dans une relation durable, et ses amis sont toujours là pour recoller les morceaux. Quant arrive un nouveau voisin, les choses semblent pourtant changer…
Je l’avoue, cette Elsa a un petit côté exaspérant avec ses doutes, ses hésitations, ses reculades ; on la sent meurtrie et sur la défensive, mais se protégeant aussi de manière égoïste quitte à faire souffrir sans le vouloir ses proches ou ceux qui voudraient l’aimer. Au fil de la lecture, cependant, se dévoilent les origines de cette blessure à vif, et quand fait sens le sous-titre du roman, on découvre qui est vraiment cette jeune femme fragile, abîmée dans son corps, abîmée dans son cœur.
« Elsa », c’est une plume délicate et légère, au service de personnages tourmentés, profondément humains ; c’est une histoire d’amour mais aussi, et sans doute avant tout, une très belle histoire d’amitié.
Je l’avoue, cette Elsa a un petit côté exaspérant avec ses doutes, ses hésitations, ses reculades ; on la sent meurtrie et sur la défensive, mais se protégeant aussi de manière égoïste quitte à faire souffrir sans le vouloir ses proches ou ceux qui voudraient l’aimer. Au fil de la lecture, cependant, se dévoilent les origines de cette blessure à vif, et quand fait sens le sous-titre du roman, on découvre qui est vraiment cette jeune femme fragile, abîmée dans son corps, abîmée dans son cœur.
« Elsa », c’est une plume délicate et légère, au service de personnages tourmentés, profondément humains ; c’est une histoire d’amour mais aussi, et sans doute avant tout, une très belle histoire d’amitié.
Lorsque Lola, à 21 ans, décide de rouvrir le Sax and Rock les groupes ne se bousculent pas au portillon. Cette jeune femme timide et inexpérimentée saura-t-elle relever la réputation de la salle de concert créée par son père, Magical Jack, décédé prématurément ? Les Old Fields, jeune groupe prometteur, acceptent de jouer le jour de l’inauguration. Une décision qui bouleversera la vie de Ronan, leur chanteur, mais aussi l’avenir musical du groupe…
La couverture de ce court roman est comme le cœur de Lola, elle dissimule bien des trésors. J’ai été charmée par l’élégance de l’écriture de Laura D., son style pudique et sensible. Ses personnages ont immédiatement capté mon attention. Ils sont construits avec intelligence, finesse et dégagent une réelle humanité. L’univers du Sax and Rock est très bien rendu grâce à de nombreux détails poétiques, émanant sans doute d’une bonne culture musicale de l’auteur. « Les mains de Lola » est comme une belle chanson : émouvant, enthousiasmant, entraînant et… beaucoup trop court ! Laura, quand nous écrirez-vous un album ??
La couverture de ce court roman est comme le cœur de Lola, elle dissimule bien des trésors. J’ai été charmée par l’élégance de l’écriture de Laura D., son style pudique et sensible. Ses personnages ont immédiatement capté mon attention. Ils sont construits avec intelligence, finesse et dégagent une réelle humanité. L’univers du Sax and Rock est très bien rendu grâce à de nombreux détails poétiques, émanant sans doute d’une bonne culture musicale de l’auteur. « Les mains de Lola » est comme une belle chanson : émouvant, enthousiasmant, entraînant et… beaucoup trop court ! Laura, quand nous écrirez-vous un album ??
Gagnée lors d'un concours, je tenais absolument à parler de ce bijou de nouvelle.
Dans cette histoire, nous rencontrons une jeune femme brisée, marquée dans sa chair mais aussi dans son âme. Elle n'a plus fois en la vie, et désire en finir. Au moment où elle veut sauter, elle croise le regard d'un homme qui va tout changer. Qui est-il ? Peut-elle lui faire confiance ?
Lentement, et avec une infinie douceur, le « réparateur de cœurs brisés va l'apprivoiser. Grâce à son amour, il » parviendra à redonner à la narratrice la confiance qui lui manque tant. Peu à peu, il lui réapprendra à s'aimer, à envisager un avenir serin.
La suite sur mon site :)
Lien : http://libres-ecritures.com/..
Dans cette histoire, nous rencontrons une jeune femme brisée, marquée dans sa chair mais aussi dans son âme. Elle n'a plus fois en la vie, et désire en finir. Au moment où elle veut sauter, elle croise le regard d'un homme qui va tout changer. Qui est-il ? Peut-elle lui faire confiance ?
Lentement, et avec une infinie douceur, le « réparateur de cœurs brisés va l'apprivoiser. Grâce à son amour, il » parviendra à redonner à la narratrice la confiance qui lui manque tant. Peu à peu, il lui réapprendra à s'aimer, à envisager un avenir serin.
La suite sur mon site :)
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Un véritable petit bijou de poésie dans un écrin de tendresse : "Le réparateur de cœurs brisés", de Laura D., disponible sur Amazon.
Le pitch : Quand une femme, dévastée suite au passage de l'ignoble briseur de cœur, rencontre celui qui, seul, sera en mesure de le réparer, à condition qu'elle finisse par s'accepter...
Je sais bien que mon pitch ne paie pas de mine. Pour autant, sachez mes amis que ce roman n'en requiert nullement le besoin... En fait il est d'une telle beauté qu'il n'a même franchement besoin de rien, et encore moins de mon insipide chronique étalée à grand renfort de touches frappées sur un clavier qui n'avait rien demandé...
Mon dieu mes amis mais quelle poésie ! Quelle finesse ! Quelle tendresse ! Quelle douceur que ce texte délicatement déroulé sous mes yeux ébahis ! J'avais découvert la plume de cette formidable auteure, dont l'humilité n'a d'égal que le talent qui l'habite, à la suite d'une simple annonce sur Twitter. S'en est suivie la lecture de "Mémoire d'un homme heureux", puis "D'un amour à l'autre", deux petites pépites de sensibilité qui m'ont laissée profondément touchée. Et c'est à la suite de cette dernière lecture que, non repue de cette plume que j'affectionnais déjà sincèrement, je me plongeais à cœur perdu dans ce petit livre... Et mon cœur s'est bel et bien égaré au cours de cette lecture, s'arrêtant au détour d'une page tant il s'est émerveillé de la beauté de ce récit empreint de poésie. Ainsi dévoilée, l'histoire d'amour qui nous est ici contée n'en est que plus belle et bouleversante, nous livrant en outre une véritable leçon de tolérance et d'acceptation de soi. Et ne s'arrêtant pas en si bon chemin, le dénouement achève de voler le cœur d'un lecteur qui l'avait déjà offert à l'auteure de toute façon.
Toujours empreint d'une extrême beauté et d'une immense sensibilité, la plume de l'auteur m'avait déjà charmée au cours de mes deux premières lectures. Elle m'a ici comblée, transformant ce coup de cœur en coup de foudre pour cette plume que je vais désormais suivre de très près.
En bref, vous me voyez fort peinée que ma chronique me paraisse bien fade au regard de la beauté de ce récit. J'espère néanmoins vous avoir donné l'envie de le découvrir, car vous ne pourrez en sortir que profondément ému et touché. Pour ma part, rendez-vous est déjà pris pour ses autres œuvres qu'il me tarde donc de pouvoir découvrir le plus rapidement possible !
Lien : http://deslivresetmoi7.blogs..
Le pitch : Quand une femme, dévastée suite au passage de l'ignoble briseur de cœur, rencontre celui qui, seul, sera en mesure de le réparer, à condition qu'elle finisse par s'accepter...
Je sais bien que mon pitch ne paie pas de mine. Pour autant, sachez mes amis que ce roman n'en requiert nullement le besoin... En fait il est d'une telle beauté qu'il n'a même franchement besoin de rien, et encore moins de mon insipide chronique étalée à grand renfort de touches frappées sur un clavier qui n'avait rien demandé...
Mon dieu mes amis mais quelle poésie ! Quelle finesse ! Quelle tendresse ! Quelle douceur que ce texte délicatement déroulé sous mes yeux ébahis ! J'avais découvert la plume de cette formidable auteure, dont l'humilité n'a d'égal que le talent qui l'habite, à la suite d'une simple annonce sur Twitter. S'en est suivie la lecture de "Mémoire d'un homme heureux", puis "D'un amour à l'autre", deux petites pépites de sensibilité qui m'ont laissée profondément touchée. Et c'est à la suite de cette dernière lecture que, non repue de cette plume que j'affectionnais déjà sincèrement, je me plongeais à cœur perdu dans ce petit livre... Et mon cœur s'est bel et bien égaré au cours de cette lecture, s'arrêtant au détour d'une page tant il s'est émerveillé de la beauté de ce récit empreint de poésie. Ainsi dévoilée, l'histoire d'amour qui nous est ici contée n'en est que plus belle et bouleversante, nous livrant en outre une véritable leçon de tolérance et d'acceptation de soi. Et ne s'arrêtant pas en si bon chemin, le dénouement achève de voler le cœur d'un lecteur qui l'avait déjà offert à l'auteure de toute façon.
Toujours empreint d'une extrême beauté et d'une immense sensibilité, la plume de l'auteur m'avait déjà charmée au cours de mes deux premières lectures. Elle m'a ici comblée, transformant ce coup de cœur en coup de foudre pour cette plume que je vais désormais suivre de très près.
En bref, vous me voyez fort peinée que ma chronique me paraisse bien fade au regard de la beauté de ce récit. J'espère néanmoins vous avoir donné l'envie de le découvrir, car vous ne pourrez en sortir que profondément ému et touché. Pour ma part, rendez-vous est déjà pris pour ses autres œuvres qu'il me tarde donc de pouvoir découvrir le plus rapidement possible !
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De l'émotion à l'état brut : "D'un amour à l'autre", de Laura D., disponible sur Amazon.
Le pitch : Zoé aime Tom, ce ténébreux soldat, engagé pour jouer avec sa vie à chaque mission si ce n'est pour l'amour de sa patrie. Zoé aime aussi Adam, cet amour par correspondance, si parfait sans jamais l'avoir rencontré. Zoé aime également Justine, cette meilleure amie et colocataire trop attentionnée, sœur protectrice et tendre amante à la fois. Tom, Adam et Justine aiment Zoé, chacun à leur manière, chacun à leur envie. Mais Zoé, s'aime-t-elle ?
J'avais découvert cette talentueuse plume au hasard d'une annonce sur Twitter sollicitant des avis à propos de son dernier roman d'alors, "Mémoire d'un homme heureux". Profondément touchée par cette lecture, c'est avec un immense plaisir que j'ai donc réitéré l'expérience avec cette toute dernière parution... Et décidément cette demoiselle me plaît !
Retrouvant pour mon plus grand bonheur cette délicatesse qui la caractérise si bien, l'auteure nous plonge cette fois-ci au cœur de la vie de Zoé, dont l'inconstance d'abord agace, puis inquiète pour ensuite émouvoir, tant elle reflète l'immense détresse de notre héroïne à laquelle on finit immanquablement par s'attacher. Sous couvert d'une apparente simplicité, l'auteure nous dépeint ici un personnage d'une rare complexité, une jeune femme blessée par la vie, au cœur écorché, à l'âme tourmentée, dont les mots ne parviennent pas à venir à bout des maux qui l'ont mis dans cet état. Déboussolé, le lecteur n'aura dès lors de cesse que de vouloir lui tendre la main, la relever, parfois même la secouer. « Il est où le bonheur, il est où ? » « Mais il est là le bonheur, il est là Zoé ! Il te tend le bras et tu le mérites, alors fonce, tu y as droit bordel ! », aimerait-on tant lui répondre... Et c'est ainsi qu'au fil des pages, sans fioritures ni prétention aucune, l'auteure nous livre une belle histoire d'une grande profondeur, laissant son lecteur en proie à un véritable tourbillon de sentiments.
L’écriture est toujours aussi fluide, belle, hurlant sa sensibilité aux yeux d'un lecteur d'ores et déjà conquis et touché en plein cœur.
En bref ? On a tous droit au bonheur... Et si ce petit livre nous en donnait la leçon ?
Lien : http://deslivresetmoi7.blogs..
Le pitch : Zoé aime Tom, ce ténébreux soldat, engagé pour jouer avec sa vie à chaque mission si ce n'est pour l'amour de sa patrie. Zoé aime aussi Adam, cet amour par correspondance, si parfait sans jamais l'avoir rencontré. Zoé aime également Justine, cette meilleure amie et colocataire trop attentionnée, sœur protectrice et tendre amante à la fois. Tom, Adam et Justine aiment Zoé, chacun à leur manière, chacun à leur envie. Mais Zoé, s'aime-t-elle ?
J'avais découvert cette talentueuse plume au hasard d'une annonce sur Twitter sollicitant des avis à propos de son dernier roman d'alors, "Mémoire d'un homme heureux". Profondément touchée par cette lecture, c'est avec un immense plaisir que j'ai donc réitéré l'expérience avec cette toute dernière parution... Et décidément cette demoiselle me plaît !
Retrouvant pour mon plus grand bonheur cette délicatesse qui la caractérise si bien, l'auteure nous plonge cette fois-ci au cœur de la vie de Zoé, dont l'inconstance d'abord agace, puis inquiète pour ensuite émouvoir, tant elle reflète l'immense détresse de notre héroïne à laquelle on finit immanquablement par s'attacher. Sous couvert d'une apparente simplicité, l'auteure nous dépeint ici un personnage d'une rare complexité, une jeune femme blessée par la vie, au cœur écorché, à l'âme tourmentée, dont les mots ne parviennent pas à venir à bout des maux qui l'ont mis dans cet état. Déboussolé, le lecteur n'aura dès lors de cesse que de vouloir lui tendre la main, la relever, parfois même la secouer. « Il est où le bonheur, il est où ? » « Mais il est là le bonheur, il est là Zoé ! Il te tend le bras et tu le mérites, alors fonce, tu y as droit bordel ! », aimerait-on tant lui répondre... Et c'est ainsi qu'au fil des pages, sans fioritures ni prétention aucune, l'auteure nous livre une belle histoire d'une grande profondeur, laissant son lecteur en proie à un véritable tourbillon de sentiments.
L’écriture est toujours aussi fluide, belle, hurlant sa sensibilité aux yeux d'un lecteur d'ores et déjà conquis et touché en plein cœur.
En bref ? On a tous droit au bonheur... Et si ce petit livre nous en donnait la leçon ?
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