Lyonel Trouillot

Trois personnages partagent un appartement et occasionnellement leur vie. Le plus jeune se suicide. Alors l'un d'eux prend la plume pour exprimer sa peine. A travers son texte, cet homme décrit Pedro, un jeune comédien marginal, entier et cocasse dans sa manière d'être. Mais par cette parole poétique, il nous conte surtout leur vie à Port au Prince, accompagnée de personnages étranges mais si vrais!



La langue de Lyonel Trouillot est si poétique! On se laisse bercer par ses paroles qui nous touchent par l'analyse profonde de cette société qui nous est proche et si lointaine.



Christelle.
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Un portrait en forme de chant d’amour et d’humanité, à la mémoire d’un échec dont une leçon de vie, habitée par les mots du théâtre et de la poésie, peut naître.
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A lire sur le blog
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Haïti, que nous ne connaissons pas, prend corps, visage et voix à travers les personnages du démiurge Trouillot. Il prend vie grâce à une langue éblouissante, galvanisée par une cinquantaine de citations de poètes. Les consensuels - Hugo, Musset, Racine, Apollinaire...
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Une nouvelle fois, Lyonel Trouillot explore les failles de l'âme humaine. Et les vertus du seul antidote au désespoir qui vaille : la poésie.
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Dans la petite collection « Essences », qui vient de se créer chez Acte Sud, Lyonel Trouillot nous rappelle que c’est par la poésie qu’il est entré en écriture et donne un texte simple et émouvant où le parfum allie à la sensualité toute la densité d’une vie.
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Merveilleux.

C'est avec une infinie douceur qu'une mère sur le point de mourir se confie à sa fille. Elle lui raconte l'histoire de sa vie.

Avec cette nouvelle collection « Essence », Lyonel Trouillot a su transporter le lecteur dans un univers rempli de poésie, d'humanité et d’espérance. Nous pouvons presque sentir le doux parfum des mots à travers cette écriture empreinte de délicatesse.



Scarlett
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Un beau roman, une écriture ciselée, parfois trop. L'intrigue, bien que maîtrisée, est secondaire. Belle réflexion sur le sens de l'existence.

Un pur bijou ! Un écriture précieuse et percutante.

A relire de suite !

C'est une histoire magnifiquement racontée, profondément enracinée dans une culture qui sourd à chaque page. C'est un voyage d'initiation vers une autre façon d'imaginer la mémoire collective et individuelle.
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Un roman d'une grande efficacité humaine.

Un très beau livre qui donne l'envie d'aimer juste et honnêtement, qui laisse une sourire permanent sur les lèvres et sur le coeur.

Une belle rencontre avec un auteur à suivre....

Trouillot, au long de ce livre précieux, manifeste […] sa présence d’écrivain les yeux ouverts sur le monde.
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Le livre propose une traversée houleuse mais plaisante à bord de la production littéraire en Haïti, de 1804 à nos jours.
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Anaïse, jeune occidentale, se rend au village d'Anse-à-Fôleur, dans un pays des Caraîbes, à la recherche des traces de son père qu’elle a perdu depuis son enfance. Elle prend un taxi à l’aéroport où le chauffeur, Thomas, aussi guide touristique, lui présente le village, ses habitudes, ses habitants qui vivent heureux et simplement. Il s’étend en particulier sur le comportement des nantis et le regard indécent des touristes face à la pauvreté de son pays.

Un très beau roman, humaniste, servi par une langue riche et envoûtante.

Ce récit dans lequel on suit Anaïse qui débarque à Anse-à-Fôleur pour y chercher son père, disparu au lendemain d'un incendie, nous entraîne dans les tourbillons de la vie haïtienne.



Un roman sur le respect d'autrui.



L'écriture est poétique.

Superbe. D'une justesse dingue sur les relations humaines. Émouvant. Dur

Comme souvent chez les écrivains antillais, ce qui fascine d’abord est la volupté de langue, belle, poétique, surprenante et juste. Lire ce roman est déjà voyager et se trouver loin d’ici, près des mers chaudes.
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Franchement, je n’ai pas grand chose à dire sur La Belle amour humaine. J’ai mis plus d’une semaine à le lire et je me suis beaucoup ennuyée. Pourtant, d’habitude, j’aime Lyonel Trouillot et son écriture mais là, même si effectivement le rythme du texte aurait pu m’emporter, je n’ai pas réussi à m’intéresser à une histoire extrêmement linéaire dans laquelle il ne se passe pas grand chose. C’est le retour des romans descriptifs dont je vous avais déjà parlé et qui, généralement, ne m’emportent pas très loin. Du coup, ce roman que je m’apprêtais à savourer amoureusement a été finalement assez ennuyeux.







Le retour aux sources, la jeune femme de la métropole qui revient en Haïti sur les traces d’un grand-père qu’elle n’a pas connu, déjà, ça ne me bottait pas trop. Il m’aurait fallu un peu d’action…







Pour le coup je suis de toutes manières dans une mauvaise période de lecture. Un livre en une semaine, six livres au mois d’octobre, c’est une moyenne extrêmement basse. Je suis malade, j’ai beaucoup de travail, et tout ça n’aide pas à avoir envie de tourner les pages. On va voir ce que ça donne pour la suite !
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[...]Les phrases sont « brutes », l’écriture peu complaisante, le style lapidaire… et on est accroché. Difficile de le lâcher, de ne pas se passionner pour ses héros dont pourtant on ne nous montre rien, une tranche de vie sans avant ni après, sans misérabilisme mais aussi sans espoir.[...]