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Critiques de Mario Puzo (107)
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Le sang des Borgia

Alors que j'étais plongé en plein coeur de la Renaissance italienne avec la Saga des Médicis de Sarah Frydman, j'avais hâte de rencontrer la fameuse famille Borgia dont le nom reste encore aujourd'hui empreint de sang, de sexe et de pouvoir.



C'est donc avec cette réputation en tête que je me suis lancé dans cet ouvrage avant d'aller découvrir les dernières adaptations télévisuelles des frasques de cette famille. Et j'ai été agréablement surpris de la manière dont Mario Puzo dresse le portrait de Rodriguo (Alexandre VI), Cesare et Lucrezia. Certes on retrouve tout les ingrédients qui ont fait des Borgia une légende sanglante mais leur humanité reste présente. La psychologie des personnages est bien travaillée au point qu'il est parfois difficile de ne pas leur pardonner leur fautes.



Toutefois, j'ai eu du mal à m'imprégner du style de l'auteur. Certes le fond m'a beaucoup plu mais ce n'est pas tout à fait le cas avec la forme. Il n'est pas moins un auteur agréable à lire.

De plus, j'ai parfois eu l'impression d'aller un peu trop vite et de survoler certains évènements qu'il n'aurait pas été inintéressant d'approfondir.



Enfin, les notes concernant la rédaction de ce livre sont un agréable supplément sur la naissance et l'histoire de ce roman. Elles nous donnent un petit aperçu du comment et du pourquoi ce livre est parvenu jusqu'à nos mains.
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Le Parrain

the Godfather (le Parrain) 1, 2 et 3 (qui n'est pas tiré du livre) sont de grands films puissants. J'ai trouvé le livre très bon et en grande partie raté..

Très bon parce que c'est une tragédie grecque (ou plutôt americano-sicilienne) contemporaine plausible à défaut d'être réelle (arrangement d'histoires que Puzo a probablement lues et/ou entendues) et que la manière de communiquer du parrain (puis, un cran en-dessous, de son successeur de fils) est un modèle d'efficacité, un mélange fascinant de sincérité et de calcul stratégique, de psychologie et de rouerie, de duplicité et de diplomatie..(un parrain aurait pu devenir Président et au moins 3 Pdts des USA ont été aidés par des mafia..) Manière de communiquer à enseigner dans tous les "cours de communication" (puisque ça existe !), d'où l'admiration pour le personnage. Mais on n'a pas le droit d'admirer un parrain de la mafia - organisation familiale aussi légitime à ses yeux qu'un Etat - donc nous dirons "fascination" (accentuée par le jeu de Marlon Brando, d'Al Pacino etc..).

"tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la mafia sans oser le demander" est dans le livre ( à faire lire dans toutes les écoles de police, de magistrature etc..) : l'organisation hiérarchique, le fonctionnement, la logique, les méthodes, les ruses, la morale qui la sous-tend.. Tout est là.

"grand livre malade" (comme disait Truffaut de certains films) car le style, simple, direct (du droit) - encore plus en traduction peut-être -n'y est pas : portraits physiques sommaires (d'où la tendance à avoir en tête les acteurs du film), pas d'analyse psychologique des personnages.. Du récit, de l'action, des dialogues (le point fort du roman), comme dans le roman noir américain. Ceci empêche définitivement de qualifier Puzo de Balzac moderne. et, surtout, il y a des chapitres entiers sur des personnages secondaires qui n'apportent rien de nécessaire à l'intrigue, allongent inutilement le roman . En gros, ce que Coppola et Puzo n'ont pas mis dans le film (principalement les chapitres à Las Vegas). En outre Puzo a mis dans son livre des scènes de sexe qui sont à peine mieux que celles de Gérard de Villiers dans les S.A.S. Pour ceux qui connaissent, ça donne une idée du peu (à mon humble avis) d'intérêt de ces scènes. Puzo partage aussi avec de Villiers le travail documenté et cela est par contre essentiel dans le Parrain.

Un roman qui se lit comme une course vers l'abime et qui aurait pu être une grande réussite. Vive l'huile d'olives sicilienne !
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Le Parrain

This novel talk about a mafia family on New York, the Corleone. During the history we follow the life of some people of the family, Vito Don Corleone, who is the Godfather of the family, and the principal character, Michael Corleone, the son of the Don who want not to follow his family criminal business. We know more about the family's life during the novel, moreover about Micheal and his wife's life. We see Michael who, after seeing his family attacked by an opposing family, the Sollozo, takes over about his father's business and, when his brother was shouted by the Sollozo Family, he has choosen to left his wife in favor of his family.

I really liked this book, I think that it is very good explain and not to hard to understand and that's perfect to start to read books in English. This novel is also so interesting that you can not put it down. I very recommend this book because it is very interesting and easy to follow, books like that are very difficult to find and I am happy to find it. (Erwann)
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Le Parrain

Il est souvent compliqué de naviguer entre une oeuvre originelle et son adaptation sur un autre support. Pour moi, le Parrain, c'est d'abord la trilogie cinématographique que j'ai vu et revu pas mal de fois, avec toujours ce même appétit et cette même déférence pour la réalisation de Francis Ford Coppola et la direction d'acteur aux petits oignons. Forcément, au moment d'ouvrir le livre de Mario Puzo, cela influe déjà sur mon jugement à venir.



Mais en fermant le livre, je n'ai fait qu'acquérir encore un peu plus de respect pour la transposition cinématographique, quasiment littérale, réalisée par Francis Ford Coppola. Pour deux médiums si différents, réaliser un tel tour de force est inouï. Cela est du en grande partie au talent du réalisateur et de son équipe, mais également à ce fait étonnant : le livre de Mario Puzo est en lui-même proche du langage cinématographique qu'utilisera Coppola.



Inutile ici de s'attarder sur le scénario d'une fresque, d'une saga que vous avez déjà vu et/ou lu ou que vous devriez filer lire et voir avant toute chose si ce n'est pas le cas. Pour celles et ceux qui se sont uniquement attardés sur les adaptations cinématographiques, sachez que la construction est un peu différente, que la transposition est sidérante de fidélité : je pense notamment à la scène du mariage. On s'attarde sur des personnages peu en vue dans les films : Johnny Fontane et surtout son acolyte Nino Valenti. Quelques "pions" du film on droit à quelques pages pour les présenter. Tom Hagen, pièce maîtresse du dispositif De La Famille et bien représenté à l'écran est ici - pour mon plus grand plaisir - encore plus présent.



Dans le roman, la violence est plus sourde, plus crue, plus machiste aussi. Ce qui transpirait déjà dans les films est plus clair ici. Ce n'est ni mieux, ni moins bien. C'est simplement que la littérature est plus à même de retranscrire crument ce genre de choses que le format cinématographique.



En fin de compte, je voulais juste écrire mon ressenti sur ce double tour de force : que deux oeuvres, dont une issue d'un moule originel, soient aussi puissantes et aussi bien façonnées est une chose extrêmement rare. Réussir son coup une fois est déjà incroyable en soi, alors deux ! ... on ne se rend que difficilement compte de l'incroyable défi que cela représente, tant le livre (et le ou les films, vous l'aurez compris) sont des monuments dans leur genre. En résumé, je vous conseille vigoureusement la lecture du Parrain de Mario Puzo. Si vous ne les avez pas encore vus, le premier film de Coppola et le deuxième sont également des "must-see", considérés comme des grands classiques du cinéma du Nouveau Hollywood. le troisième moins, mais ce serait dommage de s'arrêter en si bon chemin, non ?
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C'est idiot de mourir

La plongée de Puzzo dans le monde des jeux à las Vegas un polar envoutant l'univers est frappant de réalisme et cette immersion au sein d'un grand casino et de ses demelés est un délice pour le lecteur un livre unique tres loin des autres oeuvres de l'auteur mais avce le brio habituel de l'auteur: a decouvrir d'urgence !
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Le quatrième K

La revisite du mythe des Kennedy par Mario Puzo: un régal ! Dans cette histoire librement inspirée de la saga familiale l'auteur nous emmène dans les arcanes du pouvoir suprème américain et de ses responsabilité: le réalisme est saisissant et l'écriture superbe: Merci encore Monsieur Puzo !
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Mamma Lucia

Un livre sur le thème favori de l'auteur celle des immigres italiens à New York , ce livre , moins connu que "Le Parrain" du meme auteur est un récit à découvrir , qui relate la vie du quartier Italien de New York entre 1925 et 1940 à l'aube de la seconde guerre mondiale. Cette plongée très bien écrite vous ravira soyez en surs !
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Le Parrain

Dire que j'ai attendu 50 ans pour lire ce chef-d'oeuvre ! Tout ça pour des idées préconçues : le premier véritable best-seller de l'histoire de l'édition ne pouvait être qu'un livre préfabriqué. Quelle erreur !



Fan absolu, depuis toujours, de la trilogie de Coppola (3 chefs-d'oeuvre), j'ai découvert avec effarement que le roman de Mario Puzo leur est supérieur en tout point !



Lire la suite de mon commentaire sur le site Le Tourne Page
Lien : http://www.letournepage.com/..
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Le Sicilien

Puzo Mario (1920-1999) – "Le Sicilien" – Robert Laffont, 1985 (ISBN 978-2221009840) (trad. de l'original "The sicilian" pubié en 1984)



J'avoue qu'à l'époque de la publication de ce roman policier, je n'y avais prêté aucune attention : après le battage publicitaire organisé autour du précédent roman de cet auteur, intitulé "Le Parrain" (original publié en 1969, trad. française publiée en 1970), puis autour du film tiré de ce même roman, il y avait de quoi renoncer, tant ceci apparaissait comme un pur produit de l'industrie romanesque kilométrique états-unisienne et hollywoodienne. Il aura fallu que je me retrouve fort imprudemment loin de mon antre et démuni du moindre livre pour me résoudre à lire ce volume.



Je dois reconnaître que ça se lit bien, avec une intrigue à la "Robin des bois" habilement menée et pleine de rebondissements. L'auteur sut mobiliser les bonnes vieilles ficelles du roman de cape et d'épée (évocation à plusieurs reprises de la légende de Charlemagne et Roland) pour mettre en scène ce bandit redistribuant aux pauvres ce qu'il prend aux riches, tout en défiant les autorités légales corrompues (genre Zorro). Jusque là, rien de bien neuf.



L'originalité provient de l'insertion, dans un telle trame, d'une façon de présenter l'histoire de la Sicile et de la Mafia dans la période qui couvre l’ère mussolinienne, passe par Libération par les troupes états-unisiennes en 1943 et va jusqu'à la reconstruction d'un État dit démocratique (les titres des chapitres arborent d'ailleurs des dates précises : 1950 ou 1943).



Dans les pages 114 à 119, l'auteur nous livre une interprétation de l'histoire de la Sicile et de la Mafia dans ces années-là, quelque peu simplifiée (si ce n'est simpliste) mais qui ne doit pourtant pas être bien loin de la vérité si l'on en juge par la situation actuelle : la Mafia est toujours là, elle a survécu à toutes les opérations "mani pulite" et continue d'assassiner en toute quiétude et impunité les juges un peu trop curieux (seuls les lampistes trinquent, ils sont là pour jouer leur rôle d'humbles fusibles). Tout juste soupçonnera-t-on que la mafia sicilienne est suffisamment affaiblie pour laisser une certaine place aux autres groupes mafieux d'autres régions italiennes.



La thèse de Puzo tient en quelques points (voir citations) :

dans un premier temps, le régime fasciste de Mussolini tenta d'éradiquer la mafia sicilienne car elle constituait un État rival intolérable dans un État fasciste ;

avec les revers consécutifs à la Deuxième Guerre Mondiale, le régime se vit obligé de concentrer son attention et ses forces sur d'autres fronts ;

la mafia en profita immédiatement pour relever la tête ;

au débarquement des troupes états-unisiennes, la Mafia était prête, et s'arrangea pour substituer aux représentants de l'appareil d'état mussolinien des maires et édiles tout droit sortis des rangs mafieux ;

largement incarné par des citoyens italo-américains, le commandement états-unisien ferma les yeux sur ce retour au pouvoir de la Mafia, et l'encouragea même.



Plus profondément, l'auteur montre combien une démocratie, empêtrée dans sa volonté de défendre les droits et libertés de tous ses citoyens, ne sait pas se défendre face à un groupe mafieux.



Ces thèses plutôt catégoriques seraient certes à nuancer, mais il suffit de voir aujourd'hui comment ces interminables procès relatifs à de gigantesques fraudes (fiscales, environnementales, etc) ou à d'autres agissements délictueux s'enlisent ou aboutissent à des non-lieux (le juge qui ne voit absolument rien à reprocher à Strauss-Kahn et son copain Dodo-la-Saumure) pour penser que vraiment rien n'a changé, bien pire, que cela aurait même tendance à empirer avec ces élites se gargarisant de mondialisation ?



Aucun doute : les mafias adorent la démocratie... les groupes terroristes aussi...

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Le Parrain

C'est un film très connu et qui a été réadapté plusieurs fois au cinéma mais j'étais curieuse de voir l'effet que donnerait la lecture du livre. Je risque de décevoir beaucoup de monde car je n'ai pas beaucoup aimé cet ouvrage.

L'histoire raconte surtout le milieu de la mafia italienne en Sicile et aux Etats-Unis. On y découvre les principes qui gouvernent ce type de structure : la loi de l'omerta, la vengeance, les guerres de gangs, les relations secrètes avec le pouvoir politique, l'organisation hiérarchique.. Ce système est assez paradoxal car il existait quand même des liens fraternels et familiaux qui unissaient les gens malgré toute sa violence et sa cruauté.

Le personnage de Don Vito Corleone est bien travaillé : l'auteur revient sur l'enfance et la vie de ce dernier pour expliquer pourquoi il est devenu ce qu'il est. Je pense que je n'ai pas apprécié le livre car je ne me suis pas sentie proche des personnages. Ils me paraissaient irréels, lointains et surréalistes. Je n'ai eu aucune affinité particulière pour l'un d'eux et j'avais juste l'impression d'avoir un film qui se déroulait sous mes yeux au lieu d'un roman. En plus de cette distance, la fin hollywoodienne m'a déçue.

Le style d'écriture est très simple avec des descriptions minimalistes. Les évènements s'enchaînent correctement mais sans plus. On peut noter quelques anecdotes qui ont un peu étouffé l'histoire principale comme celui de Johnny Fontane ou Lucy Mancini.

Conclusion : ce livre est peut-être célèbre mais il ne m'a pas plu. Je pense que l'adaptation cinématographique est nettement mieux.
Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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Le Parrain

Une écriture atroce mais une histoire palpitante.
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Le sang des Borgia

Le style est bien trop plat par rapport au" Ou cesar ou rien " de Vazquez Montalban
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C'est idiot de mourir

Livre très intelligent à lire plusieurs fois.

Il y a plusieurs histoires dans un seul roman, comme il arrive avec tous les livres de Mario Puzo.

Il y a celui qui va à Las Vegas et qui se demande pourquoi il est choisi lui comme bras droit alors que le patron de l'hôtel a tout son village à placer (comme une ANPE locale) dans les boulots à proximité. D'ailleurs il a eu tort de ne pas poser tout haut cette question fort intéressante à l'intéressé. C'est expliqué pourquoi dans le bouquin que j'ai lu dans le texte original (vous pourrez toujours m'avertir si je me trompe lourdement de sens). Le patron est un homme dont on dit que peu savent l'immense culture qu'il possède. C'est pire qu'un psychanalyste, et lorsqu'il choisit quelqu'un pour être son bras droit, il en connaît déjà les atouts et les failles. Et, de même qu'il traite son bras droit comme quelqu'un qui est comme ça et qui ne pourra tout de même pas changer, ce thème est repris en abysse dans le livre même lorsque le bras droit va voir un homme juif qui travaille dans le milieu du c hiffon de luxe pour lui expliquer que son frère ne pourra pas changer. De quoi désespérer de la nature humaine. Si je faisais un parallèle avec Freud, il paraîtrait qu'il n'aurait guéri personne, le but n'étant pas de guérir d'ailleurs mais de soigner afin de rendre les choses moins pires.

Alors cet homme très cultivé fait partie du "milieu",du coup on ne sait pas trop où se situe la "ligne de partage des eaux" si je puis m'exprimer ainsi, entre milieu et pas milieu, puisque tous les milieux ont leur omerta, qu'on appelle celle-ci le secret professionnel, la grande muette ou que sais-je encore.

On raconte aussi dans ce livre qu'il avait un "goût" pour les jeunes filles. En fait, vu l'hôtel qu'il dirigeait, on se demande finalement si ce n'était pas l'entretien d'embauche (ça va plus vite encore que la paillasse du docteur Freud).

Une de son âge a été amoureuse, et il l'a fait une fois, tout en proposant grossièrement de la payer à la fin. Pour se débarrasser évidemment. Mais je vous conseille de lire le livre et d'en penser ce que vous voudrez.

Egalement la façon galante dont il lui a permis de prendre sa revanche sur son humiliation (car la charité ne devrait pas tenir compte des bobos de l'amour propre, mais tout est compréhensible, et comment se débarrasser d'un amour qui semble possessif lorsqu'on n'est pas intéressé?)

Du coup je n'ai pas parlé de Merlyn, il y aurait encore à dire.... mais heureusement je n'ai plus le temps.

J'ai offert le livre, si j'ai de la chance je trouve un exemplaire à la bibliothèque.

Je ne peux donc pas envoyer le texte de qua(trième page de l'éditeur (américain j'imagine)
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Le Parrain

Très bon livre, qui nous tiens en haleine tout au long du déroulement de l'histoire. Les personnages sont superbement décrit et l’enchaînement des événements est génial. Un livre qui traduit la grande connaissance de Mario Puzzo du monde de la Mafia.
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Le Parrain

Je l'ai lu il y a très longtemps, d'abord en français puis dans le texte original. Tous les livres de Mario Puzo sont à lire, ils en apprennent bien plus sur la psychologie et tout ça que beaucoup d'autres livres. Ce sont des vies où il faut apprendre vite et éviter les erreurs. Des vies difficiles dont je ne voudrais pas, je n'ai pas l'impression que j'y survivrais longtemps. Mais ils apportent néanmoins beaucoup.

Je suis en train de lire "The fools die", ensuite je prévoie de lire "The family".

Merci à Mario Puzo, grâce à lui on peut apprendre sur le canapé et non dans la vraie vie, et s'éviter ainsi sans doute si possible pour soi même quelques erreurs dans nos relations avec les autres, même si on en fait et fera tous de tout de façon. Mieux vaut partir avec un petit bagage, c'est plus doux comme parcours que directement sur le tas. Peut-être le seul petit avantage de l'instruction, à part le fait aussi de s'éviter l'ennui lorsqu'on ne peut pas vivre autrement qu'en restant sagement chez soi.

Du temps pas entièrement perdu.

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Le Parrain

Mario Puzzo nous livre la vie de la pègre de la mafia New-yorkaise dans la famille Corleon avec un style qui nous la rend tout de suite sympathique malgré leurs actes et leurs commerces prohibés.
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Le sang des Borgia

Génial roman historique, adequat pour comprendre les Borgia, pour les gens comme moi qui ne savaient pas grand chose sur cette période.

Mario Puzo s'est vraiment décrire les sentiments des personnages controversés, comme Alexandre VI à qui l'on pardonne tout compte fait.

Vous trouverez dans cet exemplaire une introduction de la compagne de Mario Puzo qui raconte sa passion pour les Borgia bien avant qu'il ne commence à écrire. J'ai vraiment adoré, à lire pour les passionnés d'histoires, de mystères et de scandales sous le ciel d'Italie, à lépoque des complots et des meurtres.
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Le sang des Borgia

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman sur la vie de la famille Borgia. Quant à savoir si le roman colle à la réalité historique je ne peux en juger n'étant pas historien ni même féru d'histoire de la Renaissance. Par contre en faisant un peu de recherche sur internet je me rends compte que l'histoire de cette famille célèbre est assez riche en événements dramatiques sans qu'il soit nécessaire d'en rajouter beaucoup.



Au fil de ma lecture j'ai eu l'impression que l'histoire des Borgia pourrait faire beaucoup plus que les 400 pages que Mario Puzzo y a consacrées. Le personnage de Geoffroi n'y est pas assez présent à mon goût, il me semble qu'il aurait eu droit à plus d'explications et d'approfondissement.Autre constatation, le livre est construit à peu près de la même façon que son best seller Le Parrain: scènes familiales suivies d'un meurtre ou d'un exploit guerrier le tout à répétition. Ces deux observations faites, cela ne m'a pas empêché d'apprécier le roman

Dans la locution roman historique il y a le mot roman il ne faut pas l'oublier.
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Le Parrain

Bon, il est très difficile de ne pas comparer ce roman au film, pierre angulaire du cinéma de Francis Ford Coppola. Les deux sont très bons dans leurs domaines respectifs, mais c'est dans les détails que le film est supérieur. Et pour preuve j'en tiens un exemple : Michael n'a les faveurs amoureuses de sa femme uniquement parce que la nature a bien garni son pantalon dans le roman...
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Omerta

Un super livre pour les amateurs de ces histoires de mafia par un maitre du genre Mario Puzzo qui a ecrit le parrain : bref un regal à lire et relire sans moderation,le plaisir est toujours aussi fort: !
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