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Critiques de Mario Puzo (107)
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C'est idiot de mourir

Livre passionnant, tout simplement.

Il vous enseignera beaucoup si vous prenez la peine de le lire.

Je ne peux rien en dire de plus, j'en suis à la moitié seulement, une bonne moitié, et la fin évidemment (j'ai ce défaut de toujours lire la fin, je ne peux que difficilement supporter une mauvaise fin, comme pour un repas j'aime finir sur un dessert... a happy end donc, alors que les fins tristes existent aussi).

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C'est idiot de mourir

La plongée de Puzzo dans le monde des jeux à las Vegas un polar envoutant l'univers est frappant de réalisme et cette immersion au sein d'un grand casino et de ses demelés est un délice pour le lecteur un livre unique tres loin des autres oeuvres de l'auteur mais avce le brio habituel de l'auteur: a decouvrir d'urgence !
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C'est idiot de mourir

je viens de finir ce livre a l’instant, et j’ai dis WOW à la fin ! quel personnage ce Merlyn, entre tous les différents personnages de ce livre, leurs personnalités, identités et histoires !

histoire émouvante, qui aborde les rapports humains sous différents angles : enfance, fraternité, amitié, amour, famille, tromperie, interdits ...

A lire .
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C'est idiot de mourir

Livre très intelligent à lire plusieurs fois.

Il y a plusieurs histoires dans un seul roman, comme il arrive avec tous les livres de Mario Puzo.

Il y a celui qui va à Las Vegas et qui se demande pourquoi il est choisi lui comme bras droit alors que le patron de l'hôtel a tout son village à placer (comme une ANPE locale) dans les boulots à proximité. D'ailleurs il a eu tort de ne pas poser tout haut cette question fort intéressante à l'intéressé. C'est expliqué pourquoi dans le bouquin que j'ai lu dans le texte original (vous pourrez toujours m'avertir si je me trompe lourdement de sens). Le patron est un homme dont on dit que peu savent l'immense culture qu'il possède. C'est pire qu'un psychanalyste, et lorsqu'il choisit quelqu'un pour être son bras droit, il en connaît déjà les atouts et les failles. Et, de même qu'il traite son bras droit comme quelqu'un qui est comme ça et qui ne pourra tout de même pas changer, ce thème est repris en abysse dans le livre même lorsque le bras droit va voir un homme juif qui travaille dans le milieu du c hiffon de luxe pour lui expliquer que son frère ne pourra pas changer. De quoi désespérer de la nature humaine. Si je faisais un parallèle avec Freud, il paraîtrait qu'il n'aurait guéri personne, le but n'étant pas de guérir d'ailleurs mais de soigner afin de rendre les choses moins pires.

Alors cet homme très cultivé fait partie du "milieu",du coup on ne sait pas trop où se situe la "ligne de partage des eaux" si je puis m'exprimer ainsi, entre milieu et pas milieu, puisque tous les milieux ont leur omerta, qu'on appelle celle-ci le secret professionnel, la grande muette ou que sais-je encore.

On raconte aussi dans ce livre qu'il avait un "goût" pour les jeunes filles. En fait, vu l'hôtel qu'il dirigeait, on se demande finalement si ce n'était pas l'entretien d'embauche (ça va plus vite encore que la paillasse du docteur Freud).

Une de son âge a été amoureuse, et il l'a fait une fois, tout en proposant grossièrement de la payer à la fin. Pour se débarrasser évidemment. Mais je vous conseille de lire le livre et d'en penser ce que vous voudrez.

Egalement la façon galante dont il lui a permis de prendre sa revanche sur son humiliation (car la charité ne devrait pas tenir compte des bobos de l'amour propre, mais tout est compréhensible, et comment se débarrasser d'un amour qui semble possessif lorsqu'on n'est pas intéressé?)

Du coup je n'ai pas parlé de Merlyn, il y aurait encore à dire.... mais heureusement je n'ai plus le temps.

J'ai offert le livre, si j'ai de la chance je trouve un exemplaire à la bibliothèque.

Je ne peux donc pas envoyer le texte de qua(trième page de l'éditeur (américain j'imagine)
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La famille Corleone

Il n'y a rien à faire.



J'ai beau entrer le livre "The family" de mario Puzo, avec mon commentaire expliquant bien qu'il s'agit d'un livre sur la famille BORGIA, BORGIA je répète, tout est effacé et l'ordinateur m'impose le titre français "La famille Corleone"...



Je me re-répète : "The family" c'est BORGIA.

BORGIA, et non Corleone.



Merci l'ordinateur, si vous comprenez la différence : THE family, c'est la famille BORGIA (parce que la première, la famille type, on pourrait dire "archétypique").



BORGIA, même si le titre n'en indique aucune (et l'interprétation Corleone est fausse, par conséquent, ce qui arrive lorsqu'on interprète, de se tromper)



B-O-R-G-I-A. (merci)



Livre à vivement conseiller aux passionnés de cette histoire ayant suivi la saga consacrée récemment à ce sujet sur canal + (l'impression est qu'il y a des variantes et que le livre serait plus proche de la vérité).
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La famille Corleone

Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Famille Corleone ?

"Fan de la trilogie de Coppola, j'étais curieuse de découvrir ce que cela pouvait donner en livre, tout en découvrant un nouveau pan de l'histoire. Je suis donc ravie d'avoir pu m'immerger dans la vie de la famille Corleone à l'occasion de sa sortie au format poche chez Pavillons."



Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

"L'action se situe avant le Parrain, en 1933, à la fin de la prohibition, époque charnière pour la mafia où certaines familles vont disparaître et d'autres débuter leur ascension."



Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

"Je n'ai pas lu l'original, seulement vu les films, je ne comparerai donc pas les styles (celui-ci ayant été écrit par un autre auteur à l'aide des notes de Mario Puzo). Cette histoire peut d'ailleurs se lire indépendamment de sa suite, sans connaître son univers, mais attention, il faudra alors s'accrocher pour retenir les noms, différencier les familles et se souvenir du rang de chacun ! Pour ma part, même si je ne me souvenais pas de tout le monde avec précision, j'ai beaucoup apprécié ma lecture. L'univers des Corleone est toujours aussi fascinant, à n'en pas douter, et l'on imagine très bien Marlon Brando dans cette version rajeunie de Vito, en père protecteur qui tente d'éloigner ses enfants de ses affaires. Le seul bémol, si je puis dire, est que l'histoire se centre principalement sur Sonny. Même si cela reste intéressant, Santino n'est ni son père, ni son frère... Mais un grand nombre d'autres liens secondaires se tissent et se détissent et brossent la toile de fond des évènements qui suivront. D'ailleurs, la plus grande réussite du livre est certainement qu'il nous communique une envie irrépressible de nous replonger dans Le Parrain, films ou livres."



Et comment cela s'est-il fini?

"Je dois dire que j'ai quand même terminé ce livre sur un petit bémol. On aime cette famille parce que malgré ses actes, on respecte ses principes. Ici, deux actes m'ont parus impardonnables et ont fait baisser Vito dans mon estime - autant que l'on puisse avoir de l'estime pour un Don bien sûr..."
Lien : http://booksaremywonderland...
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La famille Corleone

La Famille Corleone d'Ed Falco, même si Mario Puzo est mort en 1999 son nom est sur la jaquette du livre. Bien sûr, la surprise avec le temps s'est émoussée, car des romans sur la Mafia on ne les compte plus. L'écriture est différente plus moderne et une censure du monde interlope qu'il y avait dans Le Parrain n'existe plus. La prohibition se meurt nous sommes en 1933 et la Grande Dépression sévit à New-York, la Famille Mariposa veut avaler toutes les familles de New-York et Don Carleone est sur son chemin. Nous y voyons Santino vendre son âme pour être admis par les siens. Aux amateurs d'histoire simplement revivre sur le web la guerre entre Joe Masseria et Salvatore Maranzano au début des années 30. Un certain Savatore Luciano que l'on comparer au Don Carleone du roman, avec une intelligence exceptionnel celui que le monde interlope appellera désormais Lucky Luciano. Avec son livre sur la Famille Carleone l'auteur nous ramène à ce moment de l'histoire américaine.
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La famille Corleone

Il aura fallu être patient pour pouvoir mettre la main sur un roman qui reprend avec succès l'idée de ressusciter la famille Corleone dans ses plus belles heures. Ed Falco réussit à faire ce qu'a tenté Mark Winegardner avec un succès mitigé. En prime, l'auteur fait preuve de modestie en s'associant au regretté Mario Puzo.



Ce roman est une réussite. Bon certes, il reste quelques imperfections et incohérences, mais dans son ensemble le scénario convainc dès les premières pages. Malgré l'exploitation d'une scène du roman originale et d'une manière plus rapide quelques références au passé de Vito, le scénario est original et s'affranchit des pistes plus suggestives laissées par Mario Puzo. Ces pistes-là ont sans doute été jugées trop commodes, ou alors laissées là pour être saisies plus tard...



Contrairement à ce qu'annonce la quatrième de couverture, il n'est pas vraiment question de la Prohibition. L'histoire qui nous est offerte ici est bien plus complexe et originale tout en restant fidèle à l'esprit du roman original. Les personnages sont nombreux, très nombreux. Certains sont connus, d'autres non, pour d'autres encore nous découvrons ici les parents de têtes qui feront parler d'elles le moment venu...



Il n'y a pas à lambiner : La famille Corleone doit être lu et après Le Parrain. L'installation à Rhodes Island, le devenir des cinq familles, l'avenir des Corleone... l’œuvre trouve ici des fondations modernes et solides. La première place est essentiellement tenue par un Sonny jeune... ce qui permet de répondre à de très nombreuses questions. Certaines réponses sont pour le dérangeantes.



S'il ne s'agit pas vraiment d'un roman noir, tout baigne ici dans un climat qui s'en inspire. La famille ne dispose pas encore de ce vernis de respectabilité. Celui-ci est déjà mis à mal par une lecture plus attentive du Parrain, mais ici les choses sont bien plus crues.



Pour toutes ses raisons nous avons affaire ici à une véritable pépite. Une lecture indispensable pour les adeptes !
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La famille Corleone

Un superbe auteur qui cree l'exploit de donner à son roman mythique "le parrain" une revisite réussie totalement ! Tout est bon ici et on se fait transporter avec le héros dans ses aventures de famille aux personnages désormais mythiques ! Un régal !
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Le dernier parrain

J'ai été un peu déçu par ce livre. Avec Mario Puzo, on peut s'attendre au meilleur (Le Parrain et Le Sicilien) et au pire (C'est Idiot de Mourir et le Quatrième K) Je dirais que ce livre se situe entre les deux. La trame principale de l'histoire est très bonne. Le problème est que l'auteur s'attarde à des histoires sans importance et cela a pour effet de ralentir le rythme. On a parfois l'impression que Puzo ne sait pas où il va et que son histoire va dans tous les sens. J'au aussi trouvé le roman un peu trop cynique à mon goût. J'avais l'impression que Puzo avait une vengeance à faire avec le monde du cinéma. Avec le personnage de Cross de Lena, on a l'impression de revoir les personnages typique de l'auteur comme Michael Corleone. La fin du roman fait aussi grandement penser à la fin du Parrain. Je dirais que la fin sauve le livre.
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Le dernier parrain

Quogue, 1965. Don Clericuzio, le parrain le plus puissant des USA, décide de se retirer des affaires. Du moins, en apparences. C'est à l'occasion du baptême des derniers rejetons du clan qu'il redistribue les cartes... Il place ses héritiers à des postes stratégiques "légaux" et très lucratifs aux quatre coins du pays: Wall Street, les casinos du Nevada et... Hollywood!



25 ans plus tard, Cross De Lena, petit-neveu du patriarche, se retrouve à la tête du Xanadu, un hôtel de luxe à Las Vegas où l'argent et la cocaïne coulent à flot. Il rencontre Athena, une actrice dont il tombe éperdument amoureux. En effet, cette dernière est confrontée à un problème de taille: Athena, actrice sculpturale à la beauté inégalable refuse de terminer le film "Messalina", la dernière méga-production des studios Loddstone dont la propre soeur de Cross est scénariste principale. Elle est menacée par son ex-mari, aussi déséquilibré et dangereux que machiavélique... Cette rupture de contrat coûterait des millions aux studios et pourrait ruiner la carrière de Claudia De Lena et d'Athena...



Le Dernier parrain est une histoire de clan mafieux, d'honneur, de vengeance orchestrée autour d'un secret de famille...



J'ai réellement apprécié ce roman qui illustre à la perfection les liens de la Cosa Nostra avec les milieux hollywoodiens et financiers.

Le style de Puzo est toujours aussi enlevé et plein de suspens!



Malheureusement, l'auteur n'est pas parvenu à me faire oublier un instant son chef d'oeuvre absolu. Certaines scènes décrites ont parfois tendance à loucher vers Le Parrain qui reste à mes yeux le roman de référence autour de la Mafia...



Néanmoins, en vous procurant ce livre, vous vous garantirez tout de même un très bon moment de lecture...

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Le dernier parrain

Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture de 490 pages sur ma liseuse.

Je ne vous cache pas qu'en lisant le 1er tiers j'ai failli abandonné Le dernier parrain des descriptions trop longues des personnages et leur histoire ça m'a fatigué. Heureusement la suite est de meilleure augure avec entre secret de famille,blanchiment d'argent,les coups bas,la corruption, trahisons, meurtres. Bon je pense aussi que Mario Puzo a un compte à régler avec le monde du cinéma!!!! (Par contre faut il coucher pour réussir ????? A vous de voir) J'ai bien aimé les personnages de ce livre de Athènes,Claudia,et les autres et que dire de la rivalité de Dante et de Cross. Sur les 2/3 ça reste une bonne lecture mais.

Mais comme je dis toujours ceci n'est que personnel.
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Le dernier parrain

Les livres contant des histoires sur la mafia se ressemblent beaucoup. Celui-ci ne fait pas défaut à la règle mais il est fort bien écrit. De plus, outre les faits récurrents découlant des règlements de comptes entre mafiosi, les vengeances, les lois du sang, ce roman fait la part belle à une sorte de renouveau : la "famille" doit tout faire pour que les générations suivantes vivent dans la légalité. Plus facile à dire qu'à faire, mais pas banal dans le contexte de la mafia. Cette façon de traiter l'histoire avec ce fil rouge en toile de fond m'a plu. L'écriture est à l'avenant, pas de sensiblerie, mais pas non plus d'hémoglobine à profusion et de tortures pour le plaisir. Un vrai régal pour mes yeux, qui sont assez friands de ce genre d'histoire.
Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
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Le dernier parrain

Voici l'histoire de la famille Clericuzio, une famille puissante et bien plus sanguinaire que celle des Corleone. La palette des personnages est impressionnante et leurs destins incroyables. Tous, dans ce livre jouent leurs rôles à merveille, et vous verrez que même le plus froid des tueurs possède encore des états d'âme.
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Le dernier parrain

En vingt-six ans, le délai passé entre Le Parrain et Le Dernier Parrain, Mario Puzo aura eu le temps d'écrire une véritable fresque familiale de qualité. Le Parrain fut déjà un chef d'œuvre romanesque ayant donné lieu à une adaptation de qualité. Le Dernier Parrain fait encore plus fort.



Il ne s'agit pas d'une suite, bien que les deux titres soient proches. Il n'y a aucun lien entre les deux intrigues, aucun clin d'œil même si une partie des deux histoires se déroulent à New-York. L'indépendance entre les deux romans surprend tout d'abord. Mais bien vite celle-ci est appréciée car elle permet au lecteur de découvrir une intrigue nouvelle, autonome. Indépendante, oui... mais qui s'appuie toutefois sur des thèmes bien connus. Le monde du cinéma et des jeux serviront de lignes directrices à cette grande histoire de mafia.

L'un des thèmes évoqués dans Le Parrain (le glissement d'une société souterraine vers la société légale) sert ici de toile de fond. Ce choix permet de créer un scénario franchement intéressant, subtil, fruit d'un équilibre habilement orchestré. Autant dire que les adeptes d'histoires de truand seront peut-être un peu déçus... même si nous avons droit à des passages du plus pur style "roman noir" avec force exécutions, extorsions, trahisons, règlements de comptes et affaires plus au moins sordides.

Les personnages sont attachants. Il est difficile de ne pas voir un peu de Don Corleone dans Dan Domenico, ni un peu de chacun des personnages dans les principales têtes d'affiches masculines. Les femmes (Athena et Claudia, mais aussi Rose-Marie, Dita, Molly, Bethany) prennent une importance nouvelle et difficile à soupçonner a priori. L'une des forces de l'ouvrage réside dans le nombre et la qualité des personnages. La rivalité entre Cross et Dante méritait toutefois quelques (dizaines) de pages en plus. Dommage, que la 4ème de couverture en dévoile autant.

Malgré l'impression d'avoir affaire à un pavé, l'ensemble se lit à une vitesse étonnante. Les chapitres se succèdent, les pages se dévorent à une vitesse incroyable. Bien que donnant parfois l'impression de s'attarder, l'intrigue est prenante d'un bout à l'autre. Les ambiances sont saisissantes et très contrastées : l'enclave du Bronx, la folie de Las Vegas et du Xanadu, les dessous d'Hollywood… tout un programme, sans parler d’un cours intermède sicilien. Enfin, la structure même du roman permet de l'ancrer dans les années 1990, tout en utilisant avec habileté le contexte du milieu des années 1960.



Si l'ouvrage est peu connu en France, Le Dernier Parrain mérite indéniablement une plus grande publicité et surtout une plus grande notoriété ! A une bien plus grande échelle que Le Parrain, Le Dernier Parrain est un chef d'œuvre. Le quart de siècle qui a passé entre les deux opus a été plus que bénéfique ! A lire d’urgence !
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Le dernier parrain

Un excellent livre une fois encore de Mario Puzo dans la lignée du parrain et qui ravira tous les amateurs des histoires de l'honorable société ! le livre est rythmé, facile à lire, un très bn roman !
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Le dernier parrain

Inconditionnel de la trilogie cinéma du "Parrain", je me suis plongé avec plaisir dans ce livre. Je peux dire que sur les trois quarts environ du livre j'ai trouvé ce que je cherchais et me suis délecté de cette ambiance si particulière des Corleone... ou dirons-nous ici: des Clericuzio.



Dès la lecture du Prologue, on visualise Marlon Brando durant les premières scènes du film. Tout comme les personnages d'al Pacino, d'Andy Garcia et de nombreux actions tirées des trois films nous viennent à l'esprit durant la lecture de ce livre que j'ai trouvé tout à fait adapté à ce temps de vacances.



Je regrette cependant la longueur de certaines descriptions de personnages et de situations secondaires qui en plus apparaissent comme superflus.

On comprend en lisant sa biographie que l'auteur a tenu a évoqué son expérience personnelle du milieu des écrivains/scénaristes/producteurs de films à L.A.



En résumé cet ouvrage qui clôt le cycle du meilleur conteur de la mafia italienne aux Etats-Unis reste agréable à lire.



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Le Parrain

La « pieuvre ». La mala vita. La mafia de l’intérieur, une famille presque comme les autres. Fonctionnement, structure, combats. direction, hommes de main, les caporegime, Consigliere.



Vocabulaire fleuri et jargon du milieu. Ambiance, phrases inoubliables, œuvre complète et riche, comédie humaine moderne, hypocrisie et ambition, psychologie de personnages familiers, compréhensibles, ton neutre sans apologie, personnages iconiques au-dessus de la mêlée à la fois génie du crime et grand-père protecteur.



Allégorie du capitalisme triomphant, soif inextinguible de réussite, essor puis succession. Trois possibilités incarnées par trois fils différents…



Pouvoir, rapport de force, femmes faire-valoir, violence qui fascine et révulse.



Chef d'œuvre





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Le Parrain

Beaucoup mieux que la version cinématographique si on désire connaître les pensées et la psychologie des personnages.
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Le Parrain

Le film "colle" véritablement au livre.

Ceux qui ont vu le parrain au cinéma ne trouveront rien de plus dans le livre . Personnellement ayant vu le film à de nombreuses reprises, j'ai été un peu déçu par le livre, car j' espérai y trouver un complément quelconque .

Ce n'est pas le cas.

Malgré tout ce livre permet de pénétrer le fonctionnement d'une famille mafieuse New-Yorkaise d'après-guerre .

Nous pouvons nous rendre compte que la corruption du système politique et juridique Américain à permis à la Mafia de devenir incontournable dans de nombreux secteurs d'activités .

Qu'en est-il aujourd'hui ?
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