... on ne pouvait se méprendre sur le trio hétéroclite - assortiment d'un gigantesque Achéen, d'une rouquine armée de haches et d'un Égyptien nauséabond - qu'ils formaient.
Où est le plaisir de la victoire, si on ne peut s’en vanter ?
Seul le couard calcule le prix de l’acte juste.
Tyr est petite mais vaste est le monde.
PALPATINE : On dit que si quelqu'un pouvait un jour comprendre entièrement un seul grain de sable... comprendre complètement, vraiment, tout ce qui le concerne, il pourrait du même coup comprendre l'univers tout entier. Qui peut donc dire qu'un Sith, parce qu'il regarde en lui-même, voit moins que le Jedi qui regarde au-dehors ?
SKYWALKER : Je suis juste ... je suis fatigué de tout cela, c'est tout. Cette fange politicarde. Parfois je voudrais juste partir, retourner sur le front. Au moins, là-bas, je sais qui sont les méchants.
Vous devez savoir ce que dit Maître Yoda : "De patience preuve tu dois faire, jusqu'à ce que retombe la boue et que claire l'eau redevienne."
On se battra, ici, mais Obi-Wan Kenobi est parfaitement détendu, parfaitement satisfait de laisser le combat commencer quand il commencera, et de le laisser finir quand il finira.
Exactement comme il se laissera vivre, ou mourir.
Voilà comment un grand Jedi fait la guerre.
Les récits des Achéens narrant les combats épiques livrés de part et d'autre par les fils et petits-fils de dieux, Aiantès, Diomédès, Odysseus, Agamemnon, Ménélaos le roi rouge, Hektor et Aénas, Sarpédon et Penthésilée, reine des Amazones, avaient commencé d'infiltrer le Bazar. (…) De tous les regrets qui la rongeaient lorsqu'elle regardait en arrière, le plus cuisant était d'avoir raté cette occasion : voir les grands héros achéens et troyens combattre devant les murailles de Troie élevées par les dieux