Michel Cousin

Je te revois me dire : " J'aime bien Michel Cousin ". À ta mort j'ai retrouvé plusieurs de ses ouvrages dans ta maison. Sur la page de garde figuraient plusieurs dates de lecture inscrites d'une main malhabile, surtout les dernières des années 2000.

Je n'avais jamais eu la curiosité d'en entreprendre la lecture. À cette époque je préférais piocher dans ta bibliothèque des James Hadley Chase et des Paul Kenny. Les jolies femmes des couvertures agissaient sans doute comme un aimant sur l'adolescent que j'étais.

Après Nécro de Georges-Jean Arnaud, voilà que je refais un voyage dans le passé. Lecture qui me trouble. C'est le propre des livres de transporter plus que les mots qui se nichent au creux de leurs pages. Ces pages que tu cornais, j'en devine encore la trace, pour pouvoir te souvenir du dernier paragraphe lu.

Cette couverture me rappelle où tu es, ce que tu deviens.

J'ai beau tenter de reconstruire hier que je ne savais pas alors si précieux, tout s'estompe peu à peu et il ne reste que ce livre qui n'a de valeur que pour moi.

Alors dans ces conditions comment faire une critique ?

C'est un huis clos policier, sans style véritable. On peut imaginer ce qu'aurait pu en faire un auteur plus talentueux.

Pardons. Je ne peux dire comme toi que j'aime bien Michel Cousin, mais ce livre restera dans mes étagères. Pour des raisons que je suis bien seul à connaitre. Je ne peux me résoudre à faire du passé table rase, même si je sais que le temps est compté.

Depuis que j'avais découvert (rendons grâce à Babelio) que Michel Cousin se cachait sous le pseudonyme de Pierre Héro pour écrire des romans coquins, je n'avais de cesse d'espérer la rencontre d'un de ces livres, un dimanche matin de brocante matinale, afin de me déniaiser un bon coup. Le miracle a eu lieu et pour quelques euros je pouvais emporter Muriel Montossey dans sa tenue d'Ève qui ne laissait aucun doute sur les intentions de l'auteur.

Mais ce que je ne pouvais envisager, c'est que Pierre Héro allait supplanter Michel Cousin sur le plan littéraire. Je pensais avoir entre les mains un livre pour bidasse qui doit se consoler d'être en caserne à Remiremont alors que sa poupée se fait bronzer à Biarritz. Du brut de décoffrage en quelque sorte. Je me mettais le doigt dans l’œil ! C'est réaliste mais jamais vulgaire (nous sommes très loin de certains livres de Michel Brice et consorts), fort bien écrit, avec une pointe d'humour à l'occasion pour accompagner un scénario qui n'a rien d'hurluberlu.

L'auteur semble bien connaitre le monde du cinéma dans lequel pour percer il est préférable d'être jeune et jolie. Peu farouche peut aider aussi à l'occasion...c'est ce que vous allez découvrir si vous avez l'intention de vivre l'enlèvement de Sabine.

Voulez-vous gagner un milliard ?

C'est étonnant comment certaines phrases ont un effet tonifiant.

Quand un inconnu sonne à votre porte et prononce ces mots vous ne pouvez que penser : Voilà un fou ou un escroc.

C'est ainsi que Daniel a raisonné quand un homme banal, au nom d'Heurteaux est venu lui faire cette proposition.

Mais Daniel est couvert de dettes, sa situation financière est des plus catastrophiques. Alors ? Si c'était la providence qui se présentait à lui ? Parfois les fous ont des idées géniales...

Heurteaux avait pensé à tout pour organiser ce kidnapping hors du commun.

L'endroit de détention ? Une pièce secrète dans le propre château de Daniel dont seul Heurteaux connaissait l'existence.

La cible ? Une quinzaine de jeunes filles d'un pensionnat catholique.

Comment ? Enfantin !

Il suffisait de remplacer le chauffeur du car qui faisait le ramassage scolaire. Durant le parcours une cartouche de gaz se chargeait d'endormir les passagères. Il ne restait plus qu'à trouver un endroit tranquille pour sélectionner les quinze gamines dont les parents n'auraient aucun mal à payer la rançon de 700.000 francs et les transporter au château dans un autre véhicule.

Michel Cousin maître de son récit utilise Daniel comme narrateur dans ce roman plein de suspense et de rebondissement.

Livre qui se parcourt au pas de charge tant le lecteur est curieux de connaitre le dénouement.

Cependant ce dernier me semble trop conventionnel et beaucoup trop politiquement correct (l'auteur aurait pu faire preuve d'un peu plus de hardiesse en cette année 1966), mais ne boudons pas notre plaisir.

Michel Cousin : un nom à retenir pour une deuxième lecture.

J'ai été trompé par la couverture et la date de l'imprimeur. Ce roman ne date pas de 1980 comme me le laissait penser le volume que j'avais en main. Sa première édition était en réalité de 1960. Est-ce une explication pour ce ratage ?

Quand il a pris sa plume Michel Cousin n'était pas dans une grande forme. C'est le moins que je puisse dire.

Trois mots : abracadabrant, abracadabrant, abracadabrant.

On peut penser que le Prince Chador a beaucoup de chance même si tout laisse croire que c'est son épouse qui porte les cornes.

Voyez plutôt.

Le jour où il est prévu de l'assassiner sur la route, il prête sa voiture à un ami et c'est ce dernier qui avale son extrait de naissance !

Faut dire que le Prince Chador est "mouillé" dans de nombreuses transactions, la justice curieuse va lui demander sous peu des explications fort embarrassantes. Naturellement dans les hautes sphères du pouvoir, certaines personnes en affaires avec lui s'inquiètent.

Et s'il devenait trop bavard ?

En politiques quelques éclaboussures se transforment vite en taches indélébiles.

Alors suivant le bon principe qu'un homme mort parle rarement, ils sont potentiellement nombreux à vouloir l'éliminer, mais un seul met les bouchées doubles, et il est urgent de le démasquer si le Prince veut continuer à profiter de la vie (pour l'heure il a un petit faible pour les fruits verts...).

C'est Contact S.A qui va s'en charger.

" Une organisation inconnue du grand public et des journalistes, une machine bien huilée, avec ses correspondants dans les principales métropoles de la planète. Un appareil anonyme et discret mis au service d'une petite minorité (sans un premier versement de 50.000 dollars aucun dossier n'était étudié) menacée dans ses biens : les milliardaires, les nantis, les grands de ce monde".

Ce livre de la collection Spécial Police des Éditions du Fleuve Noir est une bonne surprise.

Une intrigue et un récit cohérent qu'aucun temps mort ne vient gâter. C'est du bon policier Made in France avec quelques passages érotiques qui m'ont surpris, mais c'était sans me souvenir que Michel Cousin avait une oeuvre, sous pseudo, aux Éditions Eurédif. Et là tout s'explique...

À lire pendant les vacances d'été pour un moment de détente avec dans les écouteurs la chanson de Niagara :

- Ce soir j'irais danser le mambo.......

https://www.youtube.com/watch?v=WkPV51HtLfw

Encore un livre de Michel Cousin qui ne me donnera pas la migraine.

Mais c'est justement ce que je cherchais quand j'ai ouvert ce roman policier.

Le scénario, le pitch si vous préférez est simple.

Un homme d'affaires, directeur d'une entreprise, ce n'est donc pas le premier péquin sans une thune, a des activités dans sa garçonnière que la morale m'interdit de développer (je blague).

Dans tous les cas ce Monsieur est bien dans le pétrin quand il reçoit des photos de sa partie de Kamasutra avec une nana gironde. Il sait que sa bourgeoise aura bien du mal à croire que c'était une séance de Tai Chi prescrite par la sécurité sociale.

Pris au piège il n'envisage plus qu'une seule solution. L'unique, la brutale, la radicale : Approcher le maître chanteur et lui faire avaler son extrait de naissance au plus vite.

Je ne peux aller au-delà de ces explications sans déflorer le restant de l'intrigue et gâcher votre plaisir.

Si vous voulez connaitre la suite et passer un bon moment de lecture brève mais efficace, offrez-vous En mariage seulement.

Entendre un individu vous raconter par le détail le crime que vous avez commis quelques années plus tôt et que vous pensiez ignoré de tous, est pour le moins déstabilisant.

Mais quand ce même individu vous déclare que voulant se débarrasser de sa maîtresse gênante, il a pensé à vous pour la faire disparaitre, il y a de quoi avoir quelques sueurs froides.

Mais ne dit-on pas qu'il n'y a que le premier pas qui coûte ?

Alors pourquoi cette inquiétude ?

Tout semblait si simple.

L'individu avait tout prévu dans les moindres détails.

Ce devait être une simple formalité.

Il n'a pas eu de mal à vous convaincre. D'ailleurs vous n'aviez guère le loisir de refuser puisqu'il savait tout sur vôtre premier meurtre.

Un simple appel à la Police et vous étiez faits comme un rat.

Vous avez accepté. Ah si vous aviez su !

Le remède fut pire que le mal.

Les femmes réservent parfois de drôles de surprises !

Et si en plus vous avez la scoumoune, tout va de travers.

Livre de divertissement. Une lecture facile, idéale quand on veut s'éviter les prises de tête. Pas besoin de revenir en arrière pour identifier les différents personnages.

Michel Cousin a sans doute lu "L'Inconnu du Nord-Express". Son livre y fait étrangement penser.

S'il y a lieu de penser qu'il imite Patricia Highsmith, il a cependant des défauts qui ne sont qu'a lui.

Lorsqu'un puissant et richissime homme d'affaires parisien se met en tête de venger la mort de sa fille, il confie à la société Contact S.A., basée à Genève, le soin de retrouver le ou les assassins car le patron de cette agence de renseignements privés qui a ses entrées dans les différents services de la police et de la justice et un réseau qui s'étend dans les hautes sphères politiques, économiques et financières de France et de Navarre monnaie très cher ses services mais les résultats sont là. Deux des meilleurs éléments de l'agence sont chargés de l'enquête. Carole Linley, la call-gril la plus chère d'Europe quand elle n'est pas en mission pour Contact et Renaud Daix, un ex-commandant condamné à vingt ans de forteresse avant d'être gracié, se lancent sur la piste des tueurs, une piste qui les conduit, avec l'aide d'une mystérieuse correspondante anonyme au téléphone, sur les traces d'un autre meurtre maquillé en suicide, celui d'un agent de la DGSE. L'affaire sur fond de trafic de drogue sordide prend alors une tournure éminemment politique où le secret d'Etat joue à plein et dans laquelle, les influents protagonistes qui peuvent se croire au dessus des lois font preuve d'autant d'immoralité et de cynisme que la pire des crapules.



Je suis dans ma période "Spécial Police". Je viens de lire et de commenter "Echec... et Rapt" de Pierre Martin Perreaut et sitôt terminé ce roman je me suis plongé dans "une mort pour rien" de Michel Cousin. Les deux auteurs sont de la même génération, nés dans les années 20 et décédés dans les premières années du XXIème siècle. Cependant Michel Cousin, qui a commencé à publier au tout début des sixties, a été plus prolifique, écrivant sous plusieurs pseudonymes des romans noirs humoristiques, des romans policiers et d'espionnage ainsi que des récits érotiques. La série Contact S.A. comporte 10 volumes écrits entre 1983 et 1986, en pleine période de la gauche au pouvoir. Sans atteindre la virulence dans le propos ou la profondeur d'analyse critique des romans de J.P. Manchette, "une mort pour rien", le dernier tome, aborde la fameuse raison d'Etat qui semble justifier toutes les exactions possibles. A ce petit jeu, l'auteur renvoie dos à dos une gauche et une droite tout autant avides de pouvoir et d'argent, formant une seule et même caste, issue des mêmes grandes écoles, prête à tout pour défendre et conserver ses privilèges.

Épouser la fille du Président Directeur Général de l'entreprise dans laquelle on est un jeune cadre aux dents longues, cela peut parfois aider à prendre du galon.

Mais quand les cadavres s'accumulent autour de vous et que vous devenez de plus en plus suspect aux yeux de la police, cela peut devenir une situation très inconfortable.

Jean-Placide Le Chânois fait un coupable idéal et s'il veut sauver sa peau il va devoir au plus vite trouver le véritable assassin.

Sinon adieu veaux vaches, cochons, couvées...

Georges Larue, 69 ans, avocat, ex-politicien ami et conseiller du Président Mitterrand analyse un dossier d'argent et de sexe que lui a confié Pierre Mallet, chargé de mission du Président socialiste quand quatre malfaiteurs pénètrent chez lui pour s'emparer de l'argent, des bijoux, des valeurs… et du dossier dont la divulgation pourrait grandement nuire à Mitterrand. Trois cambrioleurs sont rapidement arrêtés mais le quatrième réussit à s'échapper. Il s'appelle Gilles Vannier et avec l'aide de sa jeune maîtresse, Jacqueline Samson, il se cache dans le sous-sol d'un pavillon de banlieue pendant que la jeune fille va chercher de l'aide auprès de Renaud Daix, un employé de Contact S.A., ex-militaire de carrière, condamné à 20 ans de forteresse pour un attentat d'extrême-droite contre de Gaulle avant d'être gracié par Pompidou, car Gilles Vannier est lui-même dans la mouvance d'extrême-droite puisqu'il milite au sein d'Occident 3, un groupuscule d'action violente. Se croyant abandonné par Jacqueline, Vannier quitte sa planque pour mettre en lieu sûr le dossier qu'il a en sa possession. Quand la police l'abat alors qu'il tente de fuir une fois de plus, les flics ne trouvent sur lui qu'une lettre énigmatique destinée à sa fiancée mais point de dossier. C'est alors qu'est lancée la course à celui qui trouvera le premier les fameux documents. Le pouvoir en place en premier lieu avec la DST et les RG qui n'hésitent guère à user de techniques et de méthodes réprouvées dans les démocraties habituellement. L'extrême-droite ensuite en la personne de la comtesse Diane de Marcy qui dirige le réseau Valeurs Eternelles autour duquel gravitent des factions comme Occident 3 dont elle a commandité l'action en compagnie de Jean Gravières, un ancien de l'OAS et vieille connaissance de Daix. Mais aussi la droite républicaine qui veut savoir ce que contient le dossier dans l'optique d'une reconquête du pouvoir et qui charge Frédéric Valraucourt, un ancien du SAC et adjoint de Jacques Foccart, et Madeleine Vernay de suivre de près cette affaire. Et enfin un groupe d'agents secrets algériens lourdement armés et à la détente facile qui tiennent à mettre la main sur le dossier pour éviter que des accords commerciaux relatifs au gaz ne soient compromis. De son côté Renaud Daix, bien qu'il craigne que son intervention le reconduise directement en prison, se laisse convaincre par sa maîtresse, une bourgeoise de Neuilly , d'aider la jeune Jacqueline à venger la mort de Vannier et se lance avec elle à la recherche du dossier volé. Tous vont se croiser et la rencontre entre Renaud et Jacqueline avec la DST et les RG sera douloureuse et aurait pu très mal se terminer sans l'intervention officielle de Contac S.A. qui s'engage auprès du pouvoir en place. Mais quand Renaud mettra la main sur le dossier en décryptant la lettre de Gilles Vannier, le gouvernement ne tiendra pas ses engagements et il faudra encore l'intervention de son patron qui saura à qui remettre le dossier pour tirer Daix du pétrin.



Je retrouve dans le tome 5 de la série Contact la même ambiance que celle qui émane du tome 10 intitulé "Une mort pour rien". Sous les ors de la République, dans les salons feutrés des palais, les hommes politiques, ivres de pouvoir, synonyme d'argent et de sexe, et plus occupés à le conserver ou à le reconquérir plutôt qu'à défendre des convictions qu'ils n'ont pas forcément chevillées au corps se livrent entre eux à d'âpres batailles à coups de phrases assassines et de menaces enrobées dans des sourires mielleux pendant que dans les salles d'interrogatoires, les geôles en sous-sols ou sur le terrain, les sbires à leur service usent de moyens moins doucereux et plus mortels pour parvenir à leur fin et satisfaire leurs maîtres, issus des mêmes milieux et des mêmes écoles.

Bien que la série Contact ait été écrite durant les années 80 alors que les socialistes étaient au pouvoir, l'auteur englobe dans une même caste les gens de gauche et les gens de droite, tous autant capables les uns que les autres de faire preuve de cynisme, d'indignité et de turpitude dans des jeux d'influence pour conserver leurs privilèges en n'hésitant pas à bafouer en privé les opinions qu'ils affichent en public. Michel Cousin pose à la fin de son roman la question de l'intérêt pernicieux et déplacé que portent les citoyens aux frasques et aux penchants sexuels des hommes publics sans y apporter une réponse précise. Sans doute un vieux relent de voyeurisme et une façon de désacraliser des hommes que la fonction place sur un piédestal expliquent cette tendance. Il note aussi que dans le secret de la politique, le manque de transparence pousse à la calomnie, une arme puissante depuis fort longtemps comme le prouve la maxime de Francis Bacon "Calomniez ! Calomniez ! il en restera toujours quelque chose" que l'auteur attribue faussement à Beaumarchais et qui date de la fin du XVIème siècle. Mais ne nous leurrons pas, les hommes politiques profondément intègres, honnêtes et désintéressés ne sont pas les plus nombreux.

"La folle du logis" est une enquête au sein d'une famille désunie écrite par Michel Cousin.



C'est une histoire sordide, de viols et de meurtre. Je ne me souviens pas de tout, n'étant pas un roman qui marque les esprits durablement, mais je me souviens que le ton ne collait pas avec la gravité des faits.

Nathalie est une gall girl de luxe,autant par

amour de l,argent que tu sexe.

elle couche aussi bien avec des femmes,

que des hommes.

si l,histoire est assez simpliste on passe quand même un bon moment.👍

Si vous avez des ennuis, des très gros ennuis, ou si vous avez des problèmes, des très gros problèmes, vous pouvez venir vous mettre sous la protection de Contact S.A. Une société très anonyme mais extrêmement efficace, parfaitement équipée pour lutter contre les fléaux de la fin du vingtième siècle que sont le rapt, l'escroquerie, les hold-up, le chantage, le viol et la violence sous toutes ses formes.

Contact S.A. dont la spécialité est de lutter contre les assassins, les bandits et les criminels de toutes sortes avec les mêmes armes qu'eux.

Contact S.A. se fera payer très cher, mais vous en aurez pour votre argent.

Des grosses ficelles, des situations convenues. Non rien d'original....Mais pour autant ...Une lecture divertissante mais qui ne restera pas longtemps dans les annales.








Lien : https://collectifpolar.com/

Une jeune femme essaie d'arracher sa fortune un baron milliardaire. Mais si elle essaie de séduire le vieux beau c'est en lui en substituant son futur fils quel tente de s'emparer du magot. Mais l'agent de contact SA une organisation spécialisée dans la protection des milliardaires veille et Carole Linley ne va rien laisser passer. Mais Mytsy va bien lui donner du fil à retordre. Car notre coureuse de dot est bien plus retorse qu'il n'y parait.

Ce livre est visiblement le 8e opus d'une série qui porte le nom de « Contact »

Comment vous dire. Je n'ai pas accroché à ce polar, non ! En fait voilà une lecture dans je me serais bien passée. Une lecture pleine de clichée pour une intrigue trop embrouillée. Non ce titre n'est décidément pas pour moi. Bon je retenterai une ou deux autres aventures de cette série pour être bien certaine de ne pas être passée à côté. A suivre donc


Lien : https://collectifpolar.com

Marc Silvère va vivre Un moment terrible quand sa femme Nine , va se faire renversé par un chauffard qui ne voulait pas perdre sa place dans la file d'attente ...Marc va se venger en détruisant Bernard Morel -Dercourt , homme riche et important qui méprise les autres...