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Critiques de Nicolas Poupon (37)
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Faire semblant les jours d'orage

L'album s'ouvre sur du rose : une scène sirupeuse de baiser langoureux, avec dialogues à l'avenant :

" - La vie m'a fait ce cadeau cruel qu'est l'amour, Rebecca... TON amour ! Jamais je ne laisserai un autre me le reprendre...

- Ooooh Ryan... "

Y aurait-il tromperie sur la marchandise par rapport à la couverture !? Pas de panique, on n'est pas dans une BD girly, oh non ! Le ton change rapidement, on redescend sur terre, dans une banlieue dite 'défavorisée'. J-P adolescent brisé, mutique, haineux, qui subit au quotidien un beau-père violent. Et Mike, solitaire, trop gentil/faible, dont le père est parti et la mère devenue accro aux séries télé à l'eau de rose... Et autour, des bandes de durs désoeuvrés, qui ont choisi leurs têtes de turc - Mike est de ceux-là. Comme le laisse présager la couverture, le récit tourne en road-trip...



Album sombre sur le fond (violence, haine, désespoir...) et sur la forme : le bleu foncé domine largement, éclairé de loin en loin de touches de couleur - le rose bonbon des feuilletons, et du sang, mais pas seulement. Violence, déprime, peur s'effacent parfois derrière tendresse et humour... Quant à la fin, noire, grise ou autre, je vous laisse découvrir.



Une histoire triste, émouvante et belle.
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Faire semblant les jours d'orage

Je connaissais le Poupon du "Fond du bocal", je le découvre là dans un récit plus intimiste. Dessins, couleurs, histoire, dialogue, tout est maîtrisé pour un récit touchant sans mièvrerie. Une bonne découverte.
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Faire semblant les jours d'orage

Cela ne sera pas le premier album du genre concernant un trio de personnages dans un road-movie à la française dans une virée en camionnette sur les marchés de villages. On apprend petit à petit à connaître les protagonistes car on entre dans leur intimité. le récit prend alors une autre dimension alors qu'au départ, ce n'était pas vraiment idyllique.



C'est à la fois dur par son contexte que celui de la cité où il ne fait pas bon vivre mais également empreint de beaucoup de tendresse. Et pour une fois, on évite un langage peu châtié à quelques exceptions près... On est proche d'un film comme La haine par exemple.



Il y a également de belles trouvailles de la part de l'auteur comme les interludes à la Arlequin d'une mère trop plongée dans les soaps TV du style Gloire, Amour et beauté et qui oublie par la même occasion de vivre. La colorisation en noir et bleu est assez originale également et il y a un bon rendu au niveau du dessin. le titre semble également assez évocateur.



Bref, il y a plein de choses qui sont subtilement sympas dans ce one-shot. Au final, la lecture s'est révélée assez agréable. Au fond, peut-être que j'aime les histoires d'amitié de deux êtres qui n'ont pas eu beaucoup de chances dans leur vie. Cela prend au tripes pour peu qu'on possède un peu de sensibilité pour ces choses là !
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Faire semblant les jours d'orage

Il y a beaucoup de sensibilité dans cet album dont j'ai fait durer la lecture sur 8 jours afin de ne pas arriver au dénouement trop rapidement.



Il s'agit d'une belle histoire d'amitié entre deux jeunes hommes de banlieue unis malgré eux par leur solitude et leur différence.



La première partie de cette BD dépeint la violence de la vie dans les citées de grandes agglomérations. Parfaitement retranscrit ici j'ai été bouleversée par ces pages sombres à l'ambiance pesante quand la jeunesse n'a rien d'autre à faire que de régler ses comptes entre elle et tenter d'occuper un territoire dont elle estime être le maitre.



JP a réglé ses comptes avec son beau-père, informé par Mike que ce dernier a été retrouvé mort à son domicile, ils partent sur les routes direction le centre de la France dans le but de pouvoir s'enfuir dans n'importe quelle direction si les flics les retrouvaient.



Ils font alors la rencontre d'un curieux vendeur ambulant qui les prends sous son aile...



La suite à vous de la découvrir ...



Cette BD commence comme un témoignage cru, sans fond de la vie en banlieue et glisse doucement vers la poésie, la délicatesse et l'apaisement...



Les dessins sont beaux, les visages et attitudes parfaitement maitrisés.
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Fleur de géant

[...]Un joli conte poétique et amusant, où chacun trouve ça place et son bonheur. Trop grand ou trop petit, quand on s'ouvre à l'autre la vie est bien plus jolie. Grâce à sa souffleuse le géant retrouve confiance en lui et grâce au géant Fleur trouve sa place.[...]
Lien : http://mapetitemediatheque.f..
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Fleur de géant

Un album magnifique sur l'amitié entre Fleur, une toute petite fille et Gontran, un géant! Fleur devient sa souffleuse, et lui raconte des milliers d'histoires, jusqu'au jour où ils rencontrent une belle géante dont Gontran tombe amoureux...
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Kirouek !

Sans qu’il s’en rende compte, cet album laissera chez le lecteur un souvenir délicieux et l’invitera en à ouvrir bien d’autres.
Lien : http://www.bodoi.info/critiq..
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Kirouek !

Publié une première fois en 2001, "Kirouek" connait une nouvelle vie avec la réédition que les petites Editions de la Gouttière nous offrent aujourd'hui. L'édition a été revue et corrigée : dessins et dialogues retravaillés.

L'auteur, on le connait, c'est Nicolas Poupon, plus connu pour ses albums "Le fond du bocal".



Nous sommes ici dans une ville toute grise touchée par une étrange maladie : la rabougrite. Les bâtiments sont gris, les gens sont gris. Toute couleur a disparue ou presque, les gens ne voyant que mauvais goût en elle.



"(...)le gris était partout même dans les esprits."



La couleur n'existe donc plus, excepté chez un réfractaire.... Barnabé est un irréductible qui continue de vivre dans la couleur, dans une maison entourée d'un jardin où pousse un arbre rare : le bouquinier. Tous les jours, Barnabé raconte à son arbre et à son fidèle oiseau-bec qui crie "Kirouek" à tout va, des histoires du temps jadis où "les bouquiniers étaient de grands arbres majestueux, pleins de feuilles, et de livres." Un temps où les livres murissaient sur l'arbre avant de prendre leur envol "là où leurs pages les portaient".

Depuis les bouquiniers ont disparus et le dernier survivant peine à produire un dernier livre sur lequel pèse tous les espoirs de Barnabé...

Car l'ambition secrète de Barnabé est bien de rendre couleurs, joie et bonheur à cette ville plongée dans la tristesse et surtout de sauver les livres des Monsieurs je sais tout qui cherchaient à éteindre toute velleité de leur part...

Le vieux Barnabé y réussira-t'il ou sera finalement happé lui aussi par la rabougrite ?



Vous l'aurez compris, cette histoire est une ode à la lecture et aux livres !

Destinée plutôt aux jeunes enfants, ce petit conte fait la part belle au pouvoir des mots et des livres dans une ville atteinte de sclérose.

La population est dégoûtée de voir des couleurs, tellement elle en est déshabituée. De mystérieux hommes de pouvoir semble vouloir imposer la rabougrite et souhaitent voir disparaitre Barnabé ainsi que tous les livres.



" Le spectacle d'un livre en cage m'a toujours ravi, mais là, savoir que c'est le dernier... les mots me manquent."



"Imaginez-vous que plus jamais ils ne pourront venir voleter sous notre nez, en débitant des fariboles. "



L'idée de l'arbre à livres et de la méthode de Barnabé pour faire les fructifier et les multiplier est d'une poésie surréaliste qui met en valeur la force de l'imagination.

Opposant réalisme terne et imagination débridée et créatrice, "Kirouek" réussit à faire passer un message somme toute assez simple : les livres et la lecture sont indispensables pour mettre de la couleur, de la joie et de la vie dans nos existences.



Si l'histoire m'a plutôt plu, je suis malgré tout plus réservé sur le graphisme. Le dessin est naïf, le trait gras et épais et les couleurs fort marquées. Quelque chose me gêne sans que je réussisse à noter le pourquoi.

Néanmoins, le tout reste efficace et sert de manière approprié l'univers coloré de Kirouek.



Un album sans prétention à découvrir !
Lien : http://legrenierdechoco.over..
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Kirouek !

Un mignon petit conte, sans grande prétention et avec une belle morale, qui incite à la lecture et à la joie de vivre. C'est agréable et pour une lecture avec des enfants, ça devrait passer sans problème. Le dessin exploite très bien les couleurs et le noir & blanc, et reste dans le très correct.



Je n'aurais pas grand chose à en dire, ce n'est ni inoubliable ni indispensable, mais c'est sympathique et mignon, quelque chose qu'on peut lire sans en attendre un chef-d'oeuvre et qui sait prendre le temps de divertir. Parfois ça fait du bien, des histoires simples comme celle-là.
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Kirouek !

En flânant dans une librairie solidaire, j'ai tout de suite été attirée par la bonne bouille de Barnabé. Bien sûr je ne connaissais pas encore son nom mais j'ai eu envie de partir à sa rencontre! Je précise que l'album est celui de l'édition de 2001 et la couverture est chatoyante.

Et pourtant,mon pauvre Barnabé vit dans une ville qui a été colonisée par une horrible maladie: la rabougritte. Sous forme de nuages elle avale tout ce qui est coloré afin que le gris règne,aussi bien sur la ville que dans le cœur de ses habitants. Le pire c'est que tout le monde en est satisfait. La contagion est terrible. Tous les bouquiniers ont été détruits,car à cette époque il faut savoir que les livres poussaient dans des arbres: les bouquiniers,et sans livre,plus de couleur, plus d'histoire,une seule version tristounette de la vie. Heureusement Barnabé à réussi dans minuscule jardin,à préserver un bouquinier qui porte son dernier fruit. Et Barnabé à un plan mais parviendra-t-il à redonner les couleurs au monde? Avec son fidèle ami l'oiseau Kirouek,ils vont en tout cas s'y atteler. C'est une jolie fable philosophique sur l'importance de ne pas se laisser envahir par l'uniformité et la pensée unique. Les dessins me plaisent beaucoup, pleins de naïveté, et de couleurs addictives...on en veut encore !
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Kirouek !

L’histoire qu’il nous livre, à la manière d’un conte philosophique, porte en elle une grande poésie et délivre un message essentiel : lire, c’est grandir et résister, lire, c’est lutter contre l’uniformisation de notre monde.
Lien : http://www.bdzoom.com/spip.p..
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L'ombre d'un nuage

Dans un village privé de nuages, 6 enfants curieux et téméraires arrivent à capturer un nuage! Mais comment le faire pleurer euh non pleuvoir?

Entre la bd et l'album, ce grand récit drôle et aussi émouvant se divise en chapitres pour savourer l'ambiance espièglement enfantine. Un super récit d'aventures à lire en famille ou tout seul dès 5-6 ans!
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L'ombre d'un nuage

Le pitch est suffisamment explicite pour que je ne m’attarde pas à l’excès sur l’histoire. Sachez simplement que cette longue histoire (il y a 140 pages !) est, en ce début d'année 2017, le livre pour la jeunesse le plus proche d’une "vraie" bande dessinée.



Avec un vrai sens de l’humour, mais un humour tendre qui parlera immédiatement aux enfants de tous âges (les grands peuvent lire eux-même le texte, très développé, et on peut le lire aux plus petits) – Nicolas Poupon déroule un récit plein de sous-textes sur la morale, l’amitié, la vie, sans que jamais cela ne tombe dans un didactisme voyant.



Lire la suite sur le site Le Tourne Page
Lien : http://www.letournepage.com/..
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L'ombre d'un nuage



Dans cette contrée le soleil brillait fort, il faisait chaud, très chaud et dans ce ciel si bleu qu'il en devenait lassant, pas l'ombre d'un nuage. Du moins, jusqu'au jour où Carlos est arrivé en nage, à la course avec une nouvelle super importante, qui l'était tout autant, super : il venait d'en voir un de nuage.

Il le leur fallait ! Oui, mais comment le capturer ?



Alors ils sont partis à l'assaut de ce boule cotonneuse dans cet ordre, Carlos le chef, Meredith la téméraire, Nestor le narrateur, Prosper son petit frère que personne ne veut surveiller, Pedro le poseur de questions et enfin Coin-Coin et son nez toujours rivé dans un livre.

Suite à une longue marche, afin d'atteindre la colline au caillou, la fine équipe parvient à empiéger le nuage, après moult essais et surtout avec la technique ultra secrète du double nœud. Malheureusement, il est trop minuscule pour ombrager toute la bande. Ils devaient trouver un moyen de l'agrandir.



Nicolas Poupon délaisse ses poissons rouges ("Le fond du bocal" aux Éditions Drugstore), en gardant néanmoins ses histoires aux personnages anthropomorphiques (où les protagonistes sont des animaux se déplaçant debout et étant habillés). Il nous offre un conte passionnant plein d'aventures et d'humour en compagnie de ces rongeurs et ce cochon qui ne désirent finalement qu'une chose : faire pleurer... Euh pardon, pleuvoir le nuage.



Au travers les péripéties de ces jeunes intrépides, nous apprenons quelques expressions et leur signification, des insultes à cumulus, à nouer des cordes… bref, un savoir essentiel.



Dans cet album, il y a bien évidemment du texte, façon classique, mais aussi de la BD avec des phylactères, une manière d'amener l'enfant aux mondes des bulles en douceur, et de donner une certaine dynamique au récit.

L'ensemble est servi avec un dessin doux, des illustrations qui ne sont pas sans rappeler un trait à l'ancienne.



Derrière cette quête d'ombrage, l'auteur nous délivre une fable avec une pincée poétique presque philosophique. Le nuage serait une entité vivante, dissemblable, ayant une vie, une famille, qui pleure lorsqu'il est enfermé dans une cabane loin des siens…

Alors peut-être me trompe-je, toutefois je ne peux m'empêcher d'y voir une analogie avec les humains. Être différents et pourtant pareils.



En pages de garde, vous aurez droit à la présentation des "héros" et, c'est un point très positif, "Le coin de Coin-Coin". Là, cet érudit cochon propose quelques rappels de règles orthographiques que le narrateur a oublié de respecter dans son empressement à relater leurs péripéties. Vous découvrirez également des explications sur l'origine de mots compliqués et le sens de certaines locutions (car le papa de Carlos en utilise beaucoup…)



Je remercie infiniment Babelio et surtout les Éditions Sarbacane pour ce "gigantissime" coup de cœur.


Lien : http://encoeurdeslivres.blog..
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L'ombre d'un nuage

Dans cet album entre roman illustré et bande-dessinée, Nicolas Poupon nous présente une bande de joyeux copains super attachants et en manque d’aventure, et ce dès la page de garde ! On rencontre ainsi Nestor, notre narrateur, qui n’est pas trop doué dans l’écriture mais plein de bonne volonté ; son petit frère Prosper, le plus petit et le plus mignon ; Pedro, qui ne sait pas s’exprimer autrement que sous forme de question ; Coin-Coin, l’intello avec toujours un bouquin dans les mains ; Meredith, la seule fille du groupe et la plus futée ; et Carlos, le chef de bande dont le papa fait un peu peur. Très vite, nos jeunes héros se lancent à l’aventure, bien décidés à s’emparer de ce nuage qui en devenait presque légendaire tant le soleil brille depuis un temps pas possible !



Découpé en plusieurs chapitres dessinés, le récit de ces aventures est tout simplement délicieux ! On se laisse entraîner dans la quête de cette petite bande, ses découvertes (les double nœuds : absolument génial !) et ses questionnements (un nuage pleut-il ou pleure-t-il ?). L’écriture de Nicolas Poupon, à hauteur de ses personnages, est espiègle et pleine de vie, quand bien même les derniers mots de Coin-Coin nous demandent d’excuser son copain Nestor qui écrit vraiment mal ! Quant aux illustrations : c’est un régal : de la vivacité, de l’expressivité, de l’inventivité, que ce soit en pleine double-pages ou en médaillons, avec des bulles ou sans. Un superbe album, où l’émotion et l’humour se mêlent habilement et où la capture de ce petit nuage va réserver bien des surprises à nos jeunes héros. A découvrir absolument ! ❤
Lien : http://bobetjeanmichel.com/2..
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L'ombre d'un nuage

Il fait vraiment trop chaud et ils s’ennuient ferme planqués à l’ombre sous leur arbre. Jusqu’à ce que Carlos détecte un nuage et décide de l’attraper. Les choses sérieuses vont commencer…

Le voilà donc ligoté et caché dans la cabane abandonnée au milieu de la forêt. Ça serait plutôt pas mal de trouver un moyen de la faire grandir, parce que cette découverte n’est pas vraiment grande et n’arrive pas à faire suffisamment d’ombre pour les six compères. Mais le temps passe et l’orage finit par arriver. Quand il gronde de plus en plus et que les éclairs tombent partout, les six amis (enfin, surtout le petit) finissent par comprendre que cette chose cotonneuse, pleine de rien, n’est peut-être pas si différente qu’eux...................................
Lien : http://libre-r-et-associes-s..
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L'ombre d'un nuage

Quand 6 enfants décident de capturer un nuage pour se protéger de la canicule ça donne un joli récit tendre et rempli d'humour.



"L'Ombre d'un Nuage" est une histoire qui mélange l'album jeunesse et la bande-dessinée. C'est un récit d'aventures et d'amitié adorable. Le ton enfantin de la narration est craquante et les illustrations sont juste sublimes. Nicolas Poupon a un talent certain pour le dessin.
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Le cri de l'autruche, Tome 2 : La harangue ..

Il y a les moutons : révolutionnaires, rebelles... et prêts à se jeter dans la gueule du loup en rang par deux. Mais c'est sans compter sans les autruches paranos, les grenouilles avec princes charmants sur le retour, les paresseux pragmatiques, un papillon inquiet de l'effet qui porte son nom ("Imaginez que je pète..."), les vautours voraces, la baleine de pinocchio, et bien d'autres encore ! Tout un bestiaire pour rire de défauts bien humains. Pas de récit dans cette bande-dessinée mais une série de gags tous plus drôles les uns que les autres.
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Le cri de l'autruche, Tome 3 : Le chant du ..

Des animaux mis en scène pour des scènes drôles ( ou non).

Il y a quelques bons gags et des trouvailles. Mon préféré : la rencontre du canard et d'une bouée-canard. Sinon on rencontre des paresseux, des éléphants roses, des pigeons voyageurs.... et beaucoup d'autres bestioles à la vie mouvementée.

Un Bd sans prétention pour sourire, avec un zeste de sexe.

Sympathique.

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Le fond du bocal, tome 1

Bon, tout n'est pas génial MAIS, presque tout est sublime d'humour et superbe de dessin. En quelques coup de crayon nous partageons la vie de ces pauvres poissons dans leur bocal. Et il s'en passe des choses, des idées, des drames dans ces bocaux! C'est réellement une série délicieuse à découvrir.
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