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Critiques de Nicolas Remin (36)
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Gondoles de verre

Venise, 1864, un marchand d'art est assassiné à son domicile. A l'examen le vol ne semble pas le motif du meurtre, puisque aucun tableau n'est manquant. Mais le commissaire Alvise Tron va s'apercevoir qu'en fait un tableau de Titien, confié le jour du meurtre au marchand par une dame de la haute société de passage à Venise, a disparu.

Cette femme si sûre d'elle, manifestement si habituée à donner des ordres, est-elle d'ailleurs vraiment une simple touriste ? Son visage n'est pas inconnu à Tron. Et la toile volée est-elle bien le chef d'oeuvre de Titien ? Des copies du tableau auraient été effectuées quelques mois auparavant à Venise semble t-il. Qui a intérêt à voler cette œuvre, le consul général de Russie qui achemine des trésors à la cour de Saint-Pétersbourg, le copiste, ou un officier russe accompagnant la propriétaire du tableau et dont le comportement est étrange ?

Préoccupé par ses amours avec la princesse de Montalcino, le lancement de la nouvelle gamme de produits de la verrerie Tron et l'édition des œuvres poétiques de son supérieur hiérarchique, le commissaire Tron va devoir démêler les liens compliqués entre les protagonistes.



Ce roman démarre vite et fort, de fort plaisante façon, avec un commissaire et son adjoint qui progressent dans leur enquête de façon un peu burlesque, dans un décor somptueux, Venise dans les dernières années d'occupation autrichienne. Dans ce déjà haut lieu du tourisme, les vénitiens regardent les riches voyageurs déambuler, s'adonner à la boisson ou attendre la prochaine fête. Les personnages qui entourent Alvise Tron sont des plus savoureux : belle et riche fiancée, mère qui espère un succès commercial pour rénover un palais qui tombe par morceaux, adjoint fan des techniques nouvelles à commencer par la photographie, chef de la police autrichien complètement obnubilé par sa romance du moment...

Puis l'auteur, à force de fausses pistes, de déclarations contradictoires, de tableaux authentiques ou copies qui apparaissent puis disparaissent, se perd dans son jeu de bonneteau. L’excès de contre-pieds dessert l'intrigue et on finit par être pressé que le roman s’achève. C'est un peu dommage...

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Gondoles de verre

Un opus bien maitrisé et plaisant... Décidément on prends bien du plaisir à suivre Tron à Venise.
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Gondoles de verre

Je n’ai rien à rajouter par rapport à mes deux précédentes critiques, sauf que cette série me plait de plus en plus, et, que j’attends avec impatience la parution de chaque titre.



Une petite réflexion au passage, le Commissaire Alvise Tron, héros récurrent des romans de Nicolas Tron, me fait penser au personnage de Donna Leon, le Commissaire Guido Brunetti … …

Je me demande même si Nicolas Remin ne s’est pas inspiré de Donna Leon afin de créer son propre enquêteur, mais, ce n’est qu’une de mes idées, et, on peut ne pas être d’accord avec moi !!!!



Enfin bref, je n’ai qu’un conseil, se jeter sur ce titre (ainsi que sur les autres déjà parus) afin de les deguster, voire même dévorer de plaisir.

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Gondoles de verre

Venise et ses ors ou plutôt ses palais que la noblesse a du mal a entretenir. Parmi eux le commissaire Tron qui se voit charger de l'enquête sur la mort mystérieuse du marchand d'art Kostolany et la disparation de la Sainte Madeleine du Titien appartenant à la sœur de l'impératrice Sissi, Marie Sophie de Bourbon.

Nous suivons le commissaire tenter de mettre découvrir la vérité entre réalités politiques complexes, mensonges et une lagune qui ne cesse de déverser des morts….

On apprécie le voir au fur et à mesure retracer les faits tandis que son adjoint suit les chaines d'indices… Roman sympathique. vous passerez une soirée agréable entre un baron et une princesse.
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Gondoles de verre

Cette intrigue se passe à Venise dans les dernières années d'occupation autrichienne.



Je découvre avec ce roman, Alvise Tron, commissaire de police mais également noble vénicien. Il est entouré par, sa fiancée, une princesse riche et belle, une mère qui espère en lançant une ligne de produits (des gondoles en verres) réunir suffisamment d'argent pour rénover leur palais qui tombe par morceaux.



Avec son adjoint, féru de techniques modernes, il se lance à la recherche d'un tableau (un Titien) appartenant à Marie-Sophie de Bourbon, soeur de l'impératrice Sissi.
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L'impératrice lève le masque

Février 1862. Venise est sous domination autrichienne. Un

conseillé à la cour de Vienne est retrouvé mort dans la cabine du paquebot en provenance de Trieste. Dans sa cabine gît aussi une jeune femme inconnue violée et étranglée avec des marques de morsure sur le buste.

Le comte et commissaire Tron est dépêché sur les lieux. Très vite il constate que ce que l’on a voulu faire passer pour un suicide n’est rien d’autre qu’un meurtre. Mais l’enquête lui est aussi vite retirée. C’est désormais la police militaire autrichienne qui prend le relais et le colonel Pergen boucle le dossier en un temps record. Tron ne croit pas à l’hypothèse de Pergen et va tenter malgré sa hiérarchie de découvrir la vérité.

Et c’est grâce au soutient de son altesse impériale Elisabeth

d’Autriche, en villégiature à Venise que Tron va suivre la piste de l’assassin.

Ce roman policier est le premier d’une série qui s’annonce. Le déroulement de l’intrigue est classique mais elle est bien ficelée. Non, ce qui

nous séduit dans ce polar historique c’est Venise. La sérénissime est omiprésente, elle est au cœur du livre.

On se ballade dans les Palais du grand canal, on découvre la lagune sous la neige et on plonge dans les fastes des Bals Vénitiens.

D’ailleurs certains passages ne sont sans nous rappeler avec nostalgie certaines scènes de « Sissi face à son destin ».
Lien : https://collectifpolar.com/
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L'impératrice lève le masque

Vive les boites à livres et leurs excellentes découvertes! Notamment avec ce roman et cet auteur : nous sommes en 1862 à Venise. La ville est sous domination autrichienne et l'impératrice Sissi y séjourne.

Un de ses conseillers est retrouvé mort sur un bateau, dans sa cabine en compagnie d'une prostituée horriblement mutilée.

Et c'est une enquête en parallèle qui commence, celle de Sissi et celle du commissaire Alvise Tron, l'héritier d'une grande famille vénitienne sans le sou.

Une très bonne lecture, dépaysante, avec une Sissi téméraire.
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L'impératrice lève le masque

Une fois n'est pas coutume, je me suis laissé berné par le marketing.

J'ai lu le bandeau qui hurlait Crimes dans la cité des Doges, j'ai admiré les photos de masques vénitiens et je me suis mis à rêver de Venise... sans lire le 4ème de couverture. Or si j'avais parcouru le dos de ces deux livres, j'aurais vite compris que l'action ne se déroulait pas dans un XVième ou un XVIIème siècle, mais en 1850. Bien fait pour moi.



Le comte Alvise Tron est commissaire de la questure de la place St-Marc. Il est le dernier homme d'une famille vénitienne antique. Le palais Tron est à l'image de sa lignée : il prend l'eau, il pourrit, il sombre... Si Tron est commissaire, c'est uniquement pour pouvoir financer les travaux d'urgence que réclame son palais et financer le somptueux mais dispendieux bal masqué que sa mère, la comtesse, donne une fois l'an. La réelle passion d'Alvise Tron, c'est la poésie. Il est d'ailleurs directeur de publication d'une minuscule publication très locale.



Et sur quoi enquête le comte Tron ? Des meurtres liés à la politique impériale. Car en 1850, Venise est sous domination autrichienne. Du coup, adieu l'ambiance italienne. Tout n'est que complot autrichien, coup d'état contre l'empereur et cohabitation avec l'occupant. Venise se modernise (les lampes à gaz se généralisent). Les Doges ne sont plus. Très bientôt, les gondoliers seront remplacés par des moteurs. Bref, je rêvais d'une Venise mélancolique façon The Carnival is over de Dead Can Dance et je me suis retrouvé avec le faste costumé de Rondo Veneziano.



Les enquêtes ne m'ont pas passionné : j'étais en vérité plus intéressé par la vie privée du comte Tron que par les enjeux politiques de ses découvertes. Quand l'impétrice Sissi est devenue un personnage actif dans l'intrigue et qu'elle a commencé à se déguiser pour sortir de son palais et mener l'enquête, j'ai commencé à bailler d'ennui. L'auteur suit fidèlement la recette des enquêtes à la Agatha Christie, avec ce qu'il faut de surprise téléphonée pour relancer l'enquête quand le lecteur a été une fois de plus lancé sur une fausse piste.



Bref, à moins d'être un grand fan des scènes de bal à grand déploiement avec Romy Schneider en impératrice glamour, les romans de Nicolas Remin sont très dispensables. Ceci dit, avec des titres aussi clichés que L'impératrice lève le masque et Les fiancés de Venise, la table était mise.
Lien : http://hu-mu.blogspot.com/20..
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L'impératrice lève le masque

Une autre facette de Venise, la Venise autrichienne, une autre Sissi aussi...parfait pour l'été! A mi chemin entre polar, roman historique, affaire d'état, un peu biographique autour de l'impératrice également, de quoi donner envie de continuer les avec les autres livres de la série.. ou de reprendre un billet pour retourner sur place!
Lien : http://lecture-spectacle.blo..
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L'impératrice lève le masque

Ce livre policier paru dans la collection 10/18 grands détectives raconte l'histoire d'une enquête mené par le commissaire Tron. Celui-ci fait parti de la bourgeoisie des argente si courante en cette période de l'histoire dans la célèbre dit du doge.

Ton est appelé pour un meurtre à bord d'un bateau mais à peine débute t'il les constatations d'usage que l'affaire lui est retiré par l'armée mais ce n'est sans connaître la ténacité du héros qui continue malgré tout l'enquête. Deux femmes le pousse à découvrir le fin mot de l'histoire. une comtesse dont il est amoureux et par respect pour l'impératrice Sissi qui désire que la vérité soit révélé pour qu'elle puisse reprendre ses activités normalement.

Il s'agit d'une belle histoire ou le lecteur se retrouve dans le monde merveilleux du carnaval de Venise pour suivre une enquête très politisé. Ce n'est pas le meilleur livre du genre mais il permet de s'évader pendant un moment.

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L'impératrice lève le masque

L'impératrice Sissi sous les traits d'une enquêtrice prêtant main forte à l'inspecteur Alvise Tron, noble désargenté. Ce polar, assez classique, permet néanmoins de plonger des les venelles et palais vénitiens à l'époque de l'occupation autrichienne.
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L'impératrice lève le masque

J'ai commencé la suite des livres de Nicolas Remin par les tomes 3, 4 et 5, que j'ai particulièrement appréciés. Alors, évidemment, j'attendais beaucoup de cet ouvrage, qui ouvre cette série qui se place dans le Venise du milieu du dix-neuvième siècle, dans les dernières années de la domination autrichienne. La glorieuse cité entre en déliquescence et se met progressivement à vivre du tourisme.

La mise en place des personnages est longuette, et peut perturber ceux qui ne connaissent pas le commissaire Tron, de vieille famille vénitienne désargentée, son supérieur autrichien Spaur, plus préoccupé par la nourriture et les gâteries que par la recherche de la vérité, et la belle princesse de Montalcino.

L'intrigue est emberlificotée et mélange contexte politique, les partisans de l'unité italienne cherchant à provoquer des incidents en cette année 1863, crapuleries et vilenies. Mais globalement Remin maîtrise le déroulé de l'action, qui finit toutefois à la fin par devenir prévisible.

Cerise sur le gâteau (une forêt noire ?), il rajoute au canevas l'imprévisible impératrice d'Autriche, Élisabeth dite Sissi, alors en villégiature à Venise. Ses démarches apportent beaucoup à la réussite du commissaire Tron.

Au final, si on s'accroche un peu, on finit par passer un bon moment dans une Venise, très bien reconstituée, un peu décatie, mais encore pleine de trésors architecturaux et artistiques. La ballade vaut la peine, et le livre aussi.
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L'impératrice lève le masque

Un roman policier qui se passe en 1862, à Venise, je ne pouvais passer à côté. J’ai beaucoup aimé l’Histoire, l’occupation de la ville par les Autrichiens, la description de la vie à cette époque qui est très bien retracée, on y est.

C’est l’intrigue qui m’a laissé de côté. Pourtant, le commissaire Tron est une figure intéressante, bien campée, avec son palais qui se meurt parce qu’il est comte et fauché. Il doit élucider le meurtre d’un conseiller allemand retrouvé dans la cabine d’un bateau, tué par balles avec à ses côtés une jeune femme étranglée, violentée et nue. De quoi intriguer effectivement. Là-dessus se greffe notre Sissi qui en a assez de l’étiquette, séparée de son Joseph, quasiment enfermée dans le palais, elle va tout faire pour que ce commissaire résolve l’enquête que l’on veut lui retirer. Le tout franchement pourrait être très bien mais l’imbroglio des faits m’a perdue et c’est bien dommage.

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L'impératrice lève le masque

Ce roman est le premier des aventures de Alvise Tron.

Issu de la grande aristocratie italienne, désargenté, il est devenu commissaire pour gagner sa vie. On suit les aventures de cet homme flegmatique qui aborde les enquêtes de manière tout à fait originale. Face à une ville divisée et aux mains des autrichiens il tentera de savoir qui a tué un des conseillers de l'impératrice Sissi et qui sait peut être pourra-t-il se rapprocher d'une certaine princesse.

Ce livre est agréable à lire, les personnages sympathiques. les pages se tournent facilement. une agréable soirée en perspective.



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L'impératrice lève le masque

Tombée sur ce livre par hasard, tout d'abord septique... mais une fois commencé, entrainé par son intrigue et sa facilité de lecture, le sens du détail, la description des situations et des personnages "d'antan"... avec finesse et parfois même un soupçon d'humour.
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L'impératrice lève le masque

Le décor : février 1862, pendant l’occupation autrichienne.



Lors d’un séjour à Venise, l’impératrice Sissi s’y ennuie fermement. Mais, tout change lorsque deux meurtres sont perpetrés dans un paquebot en provenance de Triestre ... Désirant connaître la vérité à tout prix, Sissi prend les choses en main, et, pousse le Commissaire Tron à poursuivre son enquête.



Le présent polar a pour héros, un noble vénitien ruiné, le Commissaire Tron. Obligé de travailler pour “gagner sa vie”, Tron est un policier intelligent, têtu, sensible, incorruptible. Il “adore” son métier, qui, lui permet de combattre l’injustice, et, de rétablir la vérité lorsque celle-çi est détournée par certains.

Tron a, également, une fâcheuse tendance à fermer les yeux lorsqu’il rencontre “quelques irrégularités” contre les autrichiens... En effet, en bon vénitien, il ne rêve que d’une seule chose : le départ de l’occupant autrichien.



C'est un roman policier facile et agréable à lire, avec des personnages attachants.



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L'impératrice lève le masque

Un imbroglio venedigo-venezien de bonne facture.
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L'impératrice lève le masque

Je suis un peu déçue par ce premier tome des enquêtes du commissaire Tron. J'avais craqué pour la couverture du livre et j'avais envie de partir pour Venise le temps d'une lecture et comme il a déjà été souligné précédemment dans différentes critiques, Venise a l’époque de l'intrigue est sous la domination de l'Autriche. Alors il est vrai que Nicolas Remin a très bien documenté son récit, et l'on sent qu'il maitrise son sujet mais ce n'est pas vraiment ce que j'attendais.



En ce qui concerne l’enquête, la encore je ne m'attendais pas a ça, le début commençait bien, un double meurtres sur un bateau... mais très vite on découvre qu'on a a faire a un complot politique, une tentative d'attentat visant a tuer l’impératrice... A ça s'ajoute la corruption au sein de l’enquête! Alors l'intrigue est bien menée, ça ne fait pas de doutes mais je pense que j'aurai préféré quelque chose de plus simple.



Et le fait est aussi que chacun enquête de son coté m'a un peu dérouté : Tron, d'un coté, Sissi de l'autre.... Enfin sur ce dernier point je n'en tiendrai pas trop rigueur a l'auteur car j'ai beaucoup aimé y croiser l'impératrice et la voir se transformer pour lever le voile sur cette affaire.



Bref c'est plutôt un bilan mitigé, pour ce premier tome, mais je laisserai une seconde chance au commissaire Tron et je lirai la suite de ses aventures.
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L'impératrice lève le masque

Le premier opus de ce policier historique m’incite vivement à lire les suivants pour retrouver le comte commissaire et la princesse dans le Venise du XIXème siècle. Sissi l’impératrice est là pour les soutenir, en plus. De l’action et du suspense avec des sentiments chevaleresques font un cocktail rendu très savoureux grâce à la plume élégante de Nicolas Remin.
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Les fiancés de Venise

Une jeune femme est retrouvée morte dans son appartement de Venise. Un témoin a vu le meurtrier. La police est aussitôt sur les lieux et le commissaire Alvise Tron, noble desargenté, commence son enquête.

Cette femme n'est autre que la maîtresse de l'archiduc Maximilien, frère de François_Joseph.

L'affaire doit absolument rester discrète.

Beaucoup de personnages se croisent, ce qui demande beaucoup d'attention.

L'histoire Autriche-Mexique est le fil conducteur de ce récit. Serait-ce une conspiration juariste pour désavouer Maximilien et l'empêcher de monter sur le trône de l'empereur du Mexique ?

L'enquête en devient vite secondaire.

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