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Critiques de Olivier Grenson (220)
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Niklos Koda, tome 4 : Valses maudites

Un tome un peu compliqué.. des espions s'épient les uns les autres afin de retrouver 2 parties d'un code.. tout ça dans le but d'attraper un bandit Russe...



Niklos Koda toujours en don Juan, entouré de belles femmes, mène son enquête a sa façon.

Le suspens est bien présent.. et se termine sur un grand point d'interrogation puisque la suite de ce tome est dans le tome 5
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Niklos Koda, tome 2 : Le dieu des chacals

Avec ce tome deux nous avons la fin de l'histoire du sorcier Vaudou. Enfin plus ou moins car il pourrait bien ressortir dans les prochains tomes pour faire halluciner certains protagonistes.

Le coté ésotérisme donne un coté assez étrange à l'enquête. Pour autant cela reste une BD plaisant à lire bien que de nombreux points semblent à éclaircir.
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Le Partage des Mondes

Londres, septembre 1940

C'est le blitz. Les sirènes résonnent, la course aux abris commence, les bombes vont bientôt tomber sur la ville. Isaac Green pleure Eva, son amour disparu. Mais un miracle va prendre la forme d'une petite fille perdue. Elle s'appelle Mary, Isaac va prendre soin d'elle,

Après "La fée assassine" (Le Lombard, 2021), Olivier Grenson est de retour avec un one-shot de 240 pages qui prend racine en pleine 2nde guerre mondiale dans un Londres dévasté par les bombes nazies. Il déroule un récit de guerre réaliste en y ajoutant une fable écologique: c'est l'histoire qu'Isaac invente et raconte à Mary pour l'éloigner de la dure réalité qui les entoure.

Des teintes grisâtres pour la ville en ruines, les immeubles éventrés, les rues détruites, les vies bousculées... Des couleurs flamboyantes, des personnages fantastiques pour le conte salvateur, un monde inventé pour repousser le réel, oublier la guerre. On retrouve le trait au crayon d'Olivier Grenson, précis, plein d'humanité, réhaussé de lavis d'encre ou d'aquarelle, de crayons de couleurs ou d'acrylique.

Ce très beau roman graphique prend le temps de distiller une émotion à son apogée au moment de refermer l'album. Dans ce récit très personnel, Olivier Grenson rend un bel hommage aux histoires qu'on invente, à la force de l'imaginaire face à la dureté du quotidien.
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La douceur de l'enfer

Il s'agit de la version intégrale regroupant les tomes 1 et 2.



En quittant San Francisco pour la Corée, Billy Summer pensait simplement exécuter le dernier vœu de sa grand-mère, qui n'aura jamais pu se rendre à la cérémonie d'adieu à un mari tombé au front de Corée, 60 ans plus tôt, car elle est morte quelques semaines trop tôt. Billy lui a fait la promesse d'aller rendre hommage à ce grand-père qu'il na pas connu. De plus, Billy n'est pas mécontent de prendre quelques jours pour réfléchir à sa relation avec Emily.



Billy a été élevé par sa grand-mère suite aux décès de ses parents et de sa sœur. Ce traumatisme est encore présent chez lui comme une plaie non renfermé ou quelque chose de non dit, de non révélé.



À la mort de Martha, sa grand-mère, Billy a trouvé toute la correspondance entre elle et son mari ainsi que des photos Théodore et Martha. Les lettres de Théo laissent entrevoir un terrible secret de famille mais aussi une évolution des états d'âme de Théo juste avant sa disparition.



Parfois le destin jour des tours et l'histoire ne se déroule pas comme le héros s'y attendait.



Billy va apprendre lors de son séjour en Corée que son grand-père n'est pas mort mais vivant en Corée du Nord. Une rencontre va être organisée mais les réponses qu'elle apportera ne seront pas celles attendues par Billy. Il va découvrir un terrible secret de famille et les secrets de son "grand-père". À travers le parcours de son grand-père et de ses secrets, Billy va faire le point avec lui-même et ses propres secrets. Billy est parti au bout du monde pour retrouver un aïeul et il va revenir avec lui-même, en paix enfin.



Le scénario m'a scotché jusqu'à la fin du livre. Les rebondissements successifs font que l'on ne décroche pas de cette histoire. J'ai aimé les variations entre les évocations du passé du grand-père, de la réalité de la guerre, des camps de rééducation, de la vie en Corée du Nord mais aussi les évocations de l'enfance de Billy et de ses fantômes, ainsi que ses rêves oniriques.



J'ai adoré le graphisme de Grenson, son jeu sur les couleurs. Les scènes de guerre sont prenantes et les paysages coréens saisissants.; Le travail sur les expressions des visages est très intéressant et traduit parfaitement les sentiments des personnages.



Est-ce l'histoire d'une trahison, ou de trahisons multiples ? Ce sont des histoires d'amour qui s'entrecroisent, qui bouleversent des vies et des destins. Peut-on être et avoir été ? Peut-on oublier celui que l'on a été ? Peut-on oublier ce que l'on n'a pas connu ?



Les hommes sont parfois faibles et il est parfois difficile de survivre. Pour survivre, il faut parfois détruire une partie de soi.



Le destin extraordinaire de son "grand-père" va permettre à Billy de revivre, de faire le deuil et d’accepter son histoire et d'accepter son destin. C'est parce que son "grand-père" n'est pas celui qu'il aurait dû être que Billy sera enfin lui-même libéré de ses démons et sortant de son enfer aux parois de feu.



Vous l'aurez compris, ce fut pour moi un vrai coup de cœur pour une BD de 2012 rééditée en 2021. Je vous invite à la lire ou la relire avec un regard particulier pour le carnet final de 10 pages.













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Niklos Koda, tome 5 : Hali Mirvik

Hali Mirvic est le cinquième album de la série Niklos Koda. Les lignes bougent après la mort de l'espion français et Hali Mirvic lui-même sort de sa tanière. Jean Dufaux termine efficacement son diptyque praguois bien servi par les dessins d'Olivier Grenson.
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La fée assassine

Voilà une lecture qui ne laisse pas insensible… Cette couverture m’intriguait depuis sa sortie, Je savais que je finirais par plonger dans ses eaux troubles…

Déjà le travail d’Olivier Grenson est magnifique… Les couleurs douces (à part ce rouge…), les personnages vivants, et si certaines cases pourraient être tirées de « Martine à la plage », le contraste avec la violence et la dureté de l’histoire est saisissant.

Une violence psychologique semée par une mère aigrie, une violence mystérieuse liée aux incertitudes du passé, du père et une violence passionnelle, celle de la gémellité.

Un drame dont on ne sait rien démarre donc cet album… L’histoire va tenter ensuite de nous expliquer ce qui a mené à ce drame… on est tenu en haleine jusqu’à la dernière page.

Bravo aux deux auteurs qui parviennent à nous raconter cette histoire glaçante avec talent et sensibilité.

Un coup de cœur pour moi !

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Niklos Koda, tome 1 : A l'arrière des berlines

Niklos Koda n'est pas un héros qui a réussi véritablement à me "transporter". On mêle un zest d'aventure façon James Bond avec de la magie sur fond d'amour et d'intrigues. Cela ressemble à beaucoup d'autres séries de la collection troisième vague qui joue sur la personnalité du héros séducteur (I.R.$., Rafales, Alpha, James Healer...). Si j'avais peut-être commencé par celle-ci, j'aurais sans doute eu un avis plus enthousiaste.



Pourtant, je dois bien avouer que cette série possède d'excellentes qualités à commencer par le trait graphique qui m'a scotché par son réalisme avec ses couleurs délicieuses et une mise en page astucieuse par moment.



Et puis, ces aventures contemporaines qui brassent surnaturel, occultisme et fantastique ont tout pour plaire. Il manque quand même ce quelque chose qui en ferait une série laissant libre court à une réflexion sur le pouvoir et la manipulation.
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La Douceur de l'enfer - Intégrale (1-2)

Olivier Grenson signe là un bon diptyque dans une collection digne de ce nom. Le thème est celui des secrets de famille bien enfouis où un jeune homme va partir en quête de retrouver son grand-père ayant combattu pendant la guerre de Corée. Le scénario est simple mais d'une redoutable efficacité car on se laisse envahir par de somptueuses images qui nous mettent dans l'ambiance. Le graphisme est véritablement raffiné.



La douceur de l'enfer, c'est un peu comme un paradis diabolique. On ne sait pas ce qui se cache derrière un héros ou un homme au-dessus de tout soupçon. Il suffit parfois de gratter pour découvrir la vérité. L'auteur va prendre son temps pour nous distiller une de ces belles histoires sur fond de tragédie liée à une guerre oubliée et à la séparation d'un même peuple. C'est une plaie encore vive qui va s'ouvrir pour cette famille américaine. Une vie, un passé et des certitudes seront ébranlées...



Je vous invite par conséquent à découvrir cette bd captivante car le résultat est étonnant de maîtrise.
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Niklos Koda, tome 7 : Magie blanche

Je reprends la lecture des aventures de Koda après une pause et je ne me souvenais pas de grand chose du tome précédent. Pourtant, j'ai apprécié l'aventure que j'ai trouvé pleine de charme. Les dessins sont juste magnifiques. L'auteur nous plonge dans un univers de magie et sorcellerie très envoûtant.
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Niklos Koda, tome 1 : A l'arrière des berlines

de paris a Marrakech on trouve toujours des affaires un peu louche.

niklos koda d, origine creque brun aux yeux bleus qui lui permettent par son charme de recevoir sur l, oreiller les confidences des femmes des ténors du monde

économique, ou diplomatique au profit du

( bureau ) un mystérieux service de renseignement.

mais il peut compter ses ses amis du club dont les membres pratique les Arts

occultes pour l, aider dans sa lutte contre des puissances qui ne répondent pas forcément aux canons du rationalisme cartésien.

une série qui mélange espionnage et magie avec brio le héros et sympathique les dessins super 👍 de l, exotisme de l,

humour de quoi passé un très joyeux moment de détente.👍
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Niklos Koda, tome 2 : Le dieu des chacals

J'ai trouvé ce deuxième tome plus palpitant que le premier. Niklos Koda va affronter le sorcier. Arrivera-t-il à sauver la situation ? Koda semble plus humain que ce qu'il avait laissé paraître dans l'album précédent. Je le trouve plus sympathique.
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La douceur de l'enfer, tome 1

Une BD qui m'a beaucoup plu par son sens de la narration finement menée et qui a le mérite d'attirer l'attention sur une guerre moins connue, la guerre de Corée à laquelle de nombreux américains ont participé (quoiqu'il devienne difficile de trouver une guerre qui ne les implique pas quelque part mais ça c'est un autre débat...).



Le trait est précis pour un résultat classique. Le scénario joue avec l'espace-temps et nous confronte, en même temps que le protagoniste principal, à la découverte de ses origines au travers de l'histoire de son grand-père disparu en Corée. Beaucoup de points d'interrogations à la fin de ce premier tome et j'ai hâte de découvrir la suite de ce récit original.
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XIII Mystery, tome 13 : Judith Warner

Je dois bien avouer que je m’étais réjoui trop vite en voyant que c’est Van Hamme lui-même qui signait le scénario pour clôturer cette série parallèle à l’agent XIII. Cela n’a pas suffi pour terminer en beauté après un démarrage en fanfare. Cet épisode est tout de même un peu mièvre. On retrouve les mêmes travers de l’auteur avec des événements tarabiscotés et de belles femmes tombant amoureuses l’une de l’autre après avoir connu le même homme. On aura même droit à un happy end qui n’a pas été de rigueur dans cet univers bien sombre composé de tueurs à gage. Il fallait que cela se termine et c’est chose faite.
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Niklos Koda, tome 1 : A l'arrière des berlines

Niklos Koda doit déjouer les pièges d'un sorcier envoûteur. J'ai aimé découvrir ce personnage, un agent du renseignement, grand séducteur. Les dessins en général, et ceux de Paris en particulier, sont très bien faits.
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La douceur de l'enfer, tome 2

Le premier tome avait bâti une intrigue "sympathique" autour d'un grand-père déserteur lors de la guerre de Corée, son petit-fils honorant une promesse faite à sa grand-mère, la femme de cet homme que l'on croyait mort, sur fond d'histoire d'amour personnelle qui prenait l'eau de toute part.



Grâce à une approche cinématographique du récit, alternant présent et passé lors de flashbacks bien étudiés, le lecteur suivait pas à pas le cheminement de ce petit-fils en quête de passé et de futur.



Dans le second tome, plus rien de cela ne tient debout. A l'exception du découpage et de l'approche cinématographique, le reste se délite. Le secret que cache Billy, le petit-fils, est éventé, le lecteur s'en doutait, le récit du grand-père est rempli d'incohérences, le déroulement des événements m'a semblé factice. Le hic, pour moi, c'est que quasi tout est composé de flashbacks. Le présent se voit accordé une part congrue. Et le happy end final tombe comme un cheveux dans la soupe.



L'approche en deux tomes est peut-être un peu courte. Ce qui oblige l'auteur à y aller "à la hussarde", et le récit s'en ressent. Je n'ai pas vibré pour les protagonistes, sauf pour cet homme, vivant en Corée du Sud, à la recherche de sa soeur, passée au Nord avec ce soldat américain déserteur. J'ai ressenti de l'empathie pour lui, pour sa détresse, son désarroi admirablement rendu où se mêlent humilité et abnégation, sens du dévouement et fatalisme. Sa soeur est également un beau personnage. L'approche du récit par ces deux Américains semble un mauvais choix, finalement.



Là, à mon sens, il y a un vrai sujet. Mais il est rapidement évacué. Dommage.



Restent les très beaux dessins.
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La fée assassine

Fanny raconte son histoire et celle de sa jumelle Tania. Une naissance non désirée et de lourds secrets qui seront révélés à Fanny le soir de Noël 2006 et qui conduiront au drame.

Un très beau roman graphique. J'ai été hypnotisée par les dessins d'Olivier Grenson avec des dégradés de gris, de bleus et les notes de rouge qui apportent une touche très poétique. Un roman graphique où la protagoniste dénoue le fil de l'histoire jusqu'au geste qui va anéantir sa vie. Une lecture et un univers captivants.

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La fée assassine

Très bonne BD selon moi.

J'ai trouvé le début plutôt lent mais avec une bonne mise en place d'ambiance glauque (couleurs sombres, noires, ternes). On sent que l'histoire va être triste, tragique, dramatique.

Chaque détail est intéressant à observer. Insistance sur une image, variations de teintes, objets et personnages positionnés de telle façon.

On s'attend à decouvrir des indices dans les moindres détails. C'est excitant !!

Au fil des pages, une première intrigue se met en place.

[Plusieurs éléments de la BD (page de couverture, titre, mise en place de l'histoire) mais aussi un unique commentaire lu '' elle a tué sa soeur'' m' ont mis sur une piste de ce qui se serait passé.]

Je pensais avoir la réponse, connaitre la vérité. Mais pas du tout.

J'ai été surprise de la fin.



Cette BD est facile à lire.

Les sujets traités de cette œuvre sont lourds mais ils sont adoucis par la naïveté et le bonheur des deux fillettes qu'on retrouve au fil des pages.

[On parle ici d'abandon, de maltraitance maternelle, et même de manipulation. L'amour fraternel est très présent avec de la jalousie naturelle et des chamailleries douces.

Il y a aussi de l'injustice de situation. (pourquoi pas eux qui sont si biens). Certaines personnes ont de belles choses et les rejettent tandis que  d'autres voudraient éperdument les avoir mais on les leur interdit.]

La fin de l'histoire est tragique, je dirais même qu'on atteint le paroxysme d'une tragédie.

Un enchaînement d'événements bouleversants qui sont pour n'importe quel individu commun, insupportables à encaisser. Décès, maladies, mensonges familiaux, humiliations, meurtres. Mais aussi haine, rancune, détresse, souffrance. Un bon packaging d'émotions dangereuses !!
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La fée assassine

Résumé : Paris, le 24 décembre. Ce soir Fanny, une jeune femme d'une trentaine d'années, accueille sa mère et Tania, sa sœur jumelle, pour le réveillon de Noël. Foie gras, champagne, dinde... Tout va être parfait pour ce festin en famille.

Thibault, son compagnon est de garde à l'hôpital ce soir-là. Il reçoit alors un appel urgent. La police. Fanny a été arrêtée. Un drame a eu lieu chez eux. Qu'a-t-il pu arriver pour qu'elle bascule à ce point dans cette folie meurtrière ? À son avocat, elle va livrer ses explications, l'histoire de sa vie, entre un père aux abonnés absents et une mère aigrie par ce départ.



Mon avis : Sans même avoir lu le synopsis, je suis immédiatement tombée sous le charme de la couverture de ce roman graphique. Un drame familial, lors d'un réveillon de Noël. Mais ce n'est qu'un prétexte pour que Fanny nous raconte son histoire et son enfance tout sauf agréable. Chapitre après chapitre, nous découvrons leur enfance auprès d'une mère aigrie et en colère. Elle ne s'est jamais remise du départ de l'homme de sa vie, et le fait payer à ses filles. Leurs principaux moments de bonheur sont avec leur oncle et leur tante, en vacance en bord de mer.

Les dessins à la fois réalistes et poétiques, aux couleurs douces avec quelques pointes de rouge sang m'ont bercée, me faisant ressentir une grande palette de sentiments. Beaucoup de mélancolie, de colère, de joies simples comme seuls les enfants peuvent les ressentir. Du désespoir aussi, que cette mère froide et distante ne change jamais. De l'incompréhension face à ce manque d'amour. Grandir de la sorte ne peut que déboucher sur un drame.

C'est une lecture passionnante que je ne peux que conseiller, triste, belle et inévitable.
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XIII Mystery, tome 13 : Judith Warner

Judith Warner est le treizième et dernier album de XIII mystery, la série consacrée aux personnages secondaires de la série mythique XIII. Jessica Martin, qui fuit les agences gouvernementales pour lesquelles elle a longtemps travaillé, loue une chambre à Santa Barbara, au dessus de la pharmacie de Judith Warner. Les deux femmes font connaissance. Jean Van Hamme lui-même signe le scénario, bien mis en images par Olivier Grenson. Au delà des trop nombreuses coïncidences (on a l'impression que tous les personnages ont passé leur vie à se croiser dans cette série), la lecture est plaisante.
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Niklos Koda, tome 6 : Magie noire

Cet album signe le grand retour de la magie et l'envoûtement dans la vie de Koda. Il devra faire face à Kandar, personnage sombre pratiquant la magie noire. L'histoire ne m'a pas passionné. Les dessins sont beaux, dommage...
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