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Critiques de Olivier Seigneur (44)
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Des lapins et des hommes

Un prix mérité, pour un polar très bien troussé!

Dans ce parc géant d'attraction dédié à Rodney le lapin (!), des crimes atroces sont commis.

Alors, dans la chaleur de cette belle journée où le public afflue, la police va mener une enquête la plus discrète possible. Les visiteurs ne doivent rien soupçonner.Le ministre de l'Intérieur a dépêché sur place, un envoyé spécial chargé de coordonner la traque.

Entre la folie des uns et l'ambition des autres, les fausses pistes ne vont pas manquer, et la révélation finale une bonne surprise.

Olivier Seigneur fait fort, avec une intrigue qui ne faiblit jamais et des personnages pittoresque (celui du chinois est gratiné).

Un bon moment de lecture, pour moi.
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Ba Jing le panda

Un petit format superbement réalisé qui sensibilise le lecteur à la cause des pandas, espèce protégée.

Mon exemplaire est vieux et abimé, je regrette de constater qu’il n’a pas été réédité semble-t-il…



Cet ouvrage propose tout d’abord une belle histoire, émouvante et sensible, narrée de la bouche même (et des pattes puisqu’il calligraphie) de Ba Jing, un panda de Chine. Il vit dans le parc de Wo Long, se nourrissant principalement de bambous-flèches. Hélas un jour cette nourriture se raréfie jusqu’à disparaître et les pandas sont menacés d’extinction. Toutefois Ba Jing a des ressources et parviendra à sauver les siens, comme il est parvenu à sauver un petit garçon.

L’histoire est complétée par un dossier documentaire très complet sur la Chine, ses caractéristiques, les pandas et de nombreux animaux plus ou moins de la même famille. Enfin quelques pages de jeux viennent compléter l’ensemble.

Cet ouvrage est également composé de pages entières illustrées superbement par Nathalie Locoste, en couleur et avec grand art.



Un très beau livre tant sur le fond que sur la forme !

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La sonate interdite



Le nom de l'auteur Taiping Shangdi m'a tout de suite fait penser à deux noms de villes , à savoir Taipei et Shangaï mais ce n'est qu'un pseudonyme qui cache Olivier Seigneur familier de romans historiques .

Le titre et le sujet dépaysant paraissaient engageant et le fond de l'histoire tombe vite à plat; des longueurs, des répétitions font de cette lecture une sinécure .

Quelques petits éléments de la vie dans la cité interdite émergent deci-delà mais trop peu pour retenir l'attention.

J'ai dans ma PAL un autre titre " les Dieux outragés" cette fois-ci d'Olivier Seigneur mais vais laisser passer un peu de temps avant de l'entreprendre.

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Les dieux outragés

Rien de bien nouveau sous le ciel de Versailles.

Ce roman historico-policier vaut plus pour ses descriptions précises et nombreuses mais qui se révèlent longues et répétitives que pour l'enquête qui tient peu de place dans ce fabuleux décor qu'est le tout nouveau château du Roi Louis XIV.

Les intrigues de cour se mêlent aux recherches et c'est sans surprise que nous arrivons à la fin de ce récit .

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Cinq perles pour deux reines

Louis XIV vient de perdre sa femme, la Reine. La cour entre alors dans un deuil de an, pas de fêtes, pas de bals, pas de couleurs.

Mais voilà le Roi, lui veut se remarier, à Madame de Maintenon mais au vu de ses origines elle ne peut devenir Reine. Peut importe la cérémonie sera secrète, elle sera la femme du roi sans être la Reine. Il demande donc à ses fidèles d'organiser cette cérémonie. En parallèle, il fait monter 5 perles ayant appartenues aux défuntes reines. Mais il semble que ces bijoux soient source de souci. Et c'est Louis lui même qui décide d'enquêter au sein de son domaine. De plus le lieutenant général de la police découvre par hasard un sosie du roi, ce dernier s'empresse donc de la prendre pour pouvoir se promener incognito.



Une tentative de faire renaitre les enquêtes de Jean François Parot plutôt bien réussie.
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La marquise des poisons

Gabriel de la Reynie est le chef de la nouvelle police parisienne créée par le roi. Tandis que ce dernier et sa cour festoie au château de St Germain en Laye en attendant que les travaux à Versailles se terminent, Gabriel, lui, enquête sur une affaire d'empoisonneuses et qui en plus mettent en cause certaines personnes proches du roi.



Je ne résiste jamais à un roman qui touche de près ou de loin à Louis XIV. Alors, quand une lecture commune a été proposée sur le bookclub de l'histoire, j'ai forcément sauté sur l'occasion.



Les personnages se mettent doucement en place. Au début du récit, j'ai même eu un peu de mal à comprendre que l'on suivait plusieurs personnages (bah oui, faut que ça monte jusqu'au cerveau). Une fois tous les protagonistes identifiés, la lecture a été beaucoup plus plaisante et il m'a même été difficile de lâcher le livre.

Cette histoire est tirée de la fameuse affaire des poisons. On y rencontre donc quasiment que des personnages connus et quand on connaît cette fameuse affaire, il n’y a pas de véritables surprises tant dans l'intrigue que dans les personnes concernées sauf pour un personnage. En effet, je n'avais pas deviné sa véritable identité et je me suis donc laissé surprendre.



La marquise des poisons d'Olivier Seigneur est un bon roman historique avec une belle écriture. Je lirai le 2ème volume avec plaisir.

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La marquise des poisons

1679 et les intrigues de la cour de Louis XIV.

La vie y est légère et le roi ne cesse de vouloir montrer sa richesse, passant de château en pavillon de chasse et attendant les embellissements de Versailles avec impatience. Marié à l'austère Marie-Thérèse, il est à la recherche de chair fraîche mais sa maîtresse attitrée, Madame de Montespan, veille et sait écarter les rivales éventuelles.

Nous sommes à l'époque des poisons, sacrifices et invocations du diable en cette fin de 17ème siècle ...

C'est un roman policier certes mais qui a des bases historiques solides, mêlant personnages réels, tels le lieutenant de police Gabriel Nicolas de La Reynie ou la Voisin, empoisonneuse et diseuse de bonne aventure et qui comble les lacunes de l'Histoire avec des histoires bien ficelées qui nous emènent dans les ruelles sombres et mal famées de Paris.

Une très bonne lecture qui m'a rappelé Nicolas Le Floch, avec peut être un peu moins d'attachement au personnage de l'enquêteur (la série de JF Parot permet justement de développer le personnage plus en profondeur et en nuances).
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La religieuse de l'obscurité

c'est en lisant ce livre une première fois que j'ai découvert le mystère de la moresse (=Mauresse) de Moret( sur loing,seine et marne). Et comme j'habite désormais à quelques encablures de cette charmante cité et que j'aime bien déterrer les cadavres historiques, j'ai pas mal lu à ce sujet.

quelle est cette femme noire qui entre au couvent des bénédictines de Moret fin 17 ème s. et reçoit la visite des Grands de la cour? Elle se dit fille du roi.Du reste elle se prénomme Louise Marie-Thérèse et en plus d'avoir un bon petit pactole,tous ses désirs sont des ordres..Qu'en est il au juste?

Si le livre est un roman mais historique,( ah,genre difficile pour le lecteur. quelle part est romancée,quelle part est historique ? il faut recouper les lectures " sérieuses" pour tenter d' approfondir le vrai et le faux),la moresse de Moret a bel et bien existé,on en retrouve trace dans les archives de seine et marne,et aussi sur la grande frise historique de la petite ville à l'Office de tourisme.

Différentes suppositions furent avancées, certaines mettant à mal l'honneur de la reine Marie Thérèse.

n'aurait elle pas fauté avec Nabo, le jeune Noir ( Algérien,en fait)qui lui tenait compagnie en tant que page ? à moins qu'elle l'eût trop regardé pendant sa grossesse ? à cette époque on pensait qu'on pouvait accoucher d'un enfant noir si on buvait trop de chocolat( dixit Mme de Sévigné,la commère), ou si vous aviez été stressée pendant la grossesse,ou si une personne à la peau noire vous avait regarde alors.Une langue de vipère a dit que Nabo avait sans nul doute un regard très pénétrant.🤭😅

l'accouchement ayant été très long et compliqué,on évoque un nouveau né cyanosé ( 🙄), on dit que c'est le roi qui avait une maîtresse noire dont il aurait eu deux filles.Les deux filles, finalement n'en seraient qu'une seule.🤦🤷

Et croyez moi,le plus gros reste à venir,je vous parle d'un gros pavé lâché en toute fin du livre et concernant les généalogies du roi et de la reine. Ce n'est pas un pavé, c'est un rocher,que dis je,une montagne! ah je brûle de vous révéler ça mais je me retiens pourtant c'est un léger détail que je trouve extrêmement jouissif par les temps qui courent.

Bonne enquête !



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Un prince de sang

A Paris, en 1755, des jeunes filles sont retrouvées mortes. Louis XV demande qu’une enquête soit menée. La marquise de Pompadour, sa favorite, confie l’affaire à son valet et homme de confiance, Florimond. Ce dernier soupçonne rapidement le comte de Charolais, cousin du roi.

Bien écrit, le rythme dynamique est agréable, et les explications historiques en bas de page restent brèves et ne freinent pas la lecture, au contraire, ainsi tout est clair…sauf cette sombre histoire bien sûr !

On entre avec plaisir dans ce polar au temps de Louis XV, entre les intrigues, les crimes sordides, les jeux de pouvoir, tout pourrait être actuel, et en même temps le recul donné par ce virtuel voyage dans le temps ajoute encore à l’intérêt du livre.
Lien : https://collectifpolar.com/
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La Déchirure du papier huilé

Il y a ainsi certains auteurs , qui manquent de chance dans leur style , leurs thèmes, leurs personnages ,qu ils choisissent les chinoiseries ou les louisetteries XIV , la malchance les poursuit,dans le grand trop nombre même

de leur production .Le pauvre lecteur s il ne veut pas être emporter par toute cette triste déveine doit se garder de trop fréquenter ces chats noirs de la littérature
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Le chrysanthème de longévité

Nous sommes en Chine.

La vingt et unième année du règne de l'empereur Guangxu, placée sous le signe du dragon.

L'impératrice douairière Tseu Hi semble immortelle. Elle gouverne la Chine depuis quarante ans, et à survécu à toutes les intrigues, à tous les complots. Elle a même pu revenir et reprendre son trône après un exil forcé. Elle qui a pourchassé les fumeurs d'opium se complaît maintenant dans la fumée de cette drogue si commune en son pays, Elle a délaissé les jeunes gens pour s'entourer de charmantes jeunes filles...

Les représentants de la médecine traditionnelle chinoise lui ont prescrit une potion, le sirop de longévité au chrysanthème, qui justifie le titre du roman et va être au centre d'intrigues dans le milieu de la cour du palais d'hiver.

Toute la puissance de l'ésotérisme asiatique et de ses modes de pensée sont présents, tout au long de l'intrigue.

C'est un ouvrage très bien documenté, écrit par un auteur aux noms ou pseudos multiples (Olivier Seigneur,O. Bodin, Taiping Shangdi...) très au fait de la Chine, de son histoire et ses traditions.

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L'Anneau de la Reine: Moi, Léonard, coiffeur ..

Un très bon roman que j'ai lus d'une traite, j'aurais voulais être l'un de ces personnages vivre à Versailles rencontrer le Roy et la Reine, avoir de belles coiffures et de beaux costumes, mais vus mon statut social j'aurais probablement était une gueuse lol.
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La marquise des poisons

actes effrayants ?" (4ème de couverture)



Alléchant, n'est-il pas ? Sauf que le gros roman peine à vraiment débuter, installe en quelques chapitres de nombreux intervenants et distille moult détails parfois pas vraiment utiles qui allongent la sauce et ne servent qu'à me gâcher le plaisir de la lecture et de la plongée sous le règne de Louis XIV.



Beaucoup de longueurs dans un roman policier en habits qui se veut, et qui est, instructif. Malgré ce dernier aspect, je ne parviens pas à résister à des bâillements et à des envies de l'envoyer promener, mais eu égard à l'objet, je ne le jetterai pas et en plus vu son poids, il pourrait bien faire des dégâts chez moi. La mode des polars historiques s'étend, même si je dois dire qu'Olivier Seigneur en écrit depuis longtemps et qu'il n'y cède donc pas, il doit en être l'un des pionniers. Peut-être le retrouverais-je une prochaine fois, dans un roman plus léger ?
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Le vestibule du crime

Des meurtres ont lieu dans les jardins du chateau de Marly, alors que le roy soleil s'y trouve. L'auteur est très bien documenté, et c'est surtout pour la description de la cour à Marly que le roman vaut le coup d'oeil, l'intrigue en elle même est sans grand intêrét.

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L'Anneau de la Reine: Moi, Léonard, coiffeur ..

Un plaisir de lire ce roman qui met à l’honneur plusieurs personnages ayant réellement existé au XVIIIe siècle. La raison de son achat était la présence de Marie-Antoniette (je l'apprécie énormément) mais j’ai beaucoup apprécié le personnage de Jean-François Autier et sa loyauté sans faille pour la reine et le roi ! J’ai également apprécié le petit « côté » enquête au sein de l’histoire afin de savoir qui était à l’originel des libelles salissant le roi et la reine de France. J’ai eu un peu de mal à apprécier Louis XVI niveau caractère sur certaine décision, il fermait trop les yeux pour moi mais bon… Mais dans l’ensemble j’ai apprécié le lire !



De plus, je trouve la plume de l’auteur agréable à lire, en plus d’être facile à comprendre !
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Le vestibule du crime

Si vous souhaitez tout savoir sur le château de Marly, son épouvantable humidité, et sur la vie de Louis XIV, précipitez-vous sur ce livre !

L'intrigue policière n'est là que pour le décor. Peu de pages lui sont effectivement consacrées. Ceci étant, ce roman se lit rapidement et sans déplaisir.

Amateur d'histoire, hâtez-vous. Amateur de roman policier, passez votre chemin !
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Le président de la République part en croisière

Une petite histoire anodine destinée aux jeunes lecteurs qui, sans aucun doute, plaira aussi aux adultes par ses sous-entendus.

Le président de la république se trouve un teint de papier mâché. Il a besoin de vacances. Il décide de partir en croisière (sans aucune compétence en navigation) avec une bonne partie de son gouvernement. Tout semble bien se passer, mais une tempête se lève...

Réfugié dans une grotte, le gouvernement improvise. Le ministre de l'énérgie fait du feu, celui de la pêche approvisionne... Tout ça est réjouissant et finalement assez sympathique.

Mais sur la plage le peuple s'inquiète, risque sa vie pour leur venir en aide et finit par retrouver les membres du gouvernement sains et saufs, hilares et contents de leur nuit.

Y a-t-il un message caché visant à nous montrer un gouvernement inconscient de la tempête qui se prépare ? Un gouvernement qui profite de ses "vacances" sans tenir compte de tout ceux qui galérent pour faire fonctionner le pays et éloigner le danger, sauver des vies ?

Je ne connais pas les intentions des auteurs, mais comment ne pas y songer, en tout cas.

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La marquise des poisons

MACHIAVÉLIQUE





Olivier Seigneur retrace ici le scandale incriminant la marquise de Montespan dans l'affaire des poisons à l'époque du règne de Louise XIV.





Aimant beaucoup lire sur cette époque, le contexte historique m'a passionné. Les notes en bas des pages témoignent d'un travail d'investigation et permettent d'approfondir notre culture.



J'ai été totalement embarquée dans cette intrigue d'empoisonnement où se mêlent sorcellerie, trahison, messes noires, cupidité, conspiration.



J'ai adoré non seulement arpenter les rues malfamées de Paris, Saint-Germain, Vaugirard et Le Grand Châtelet mais également en apprendre davantage sur la police de l'époque et ses manières d'investigations.



On suit non pas une enquête mais plusieurs... les unes s'imbriquant avec les autres dans un tourbillon d'informations distillées de-ci de-là par l'auteur.





Quant aux personnages, déjà que je n'aimais pas de base la marquise de Montespan, la caricature ici faite de la femme manipulatrice, malveillante et impitoyable a conforté voire renforcé mon ressenti sur cette femme manquant cruellement d'intérêts pour ces progénitures... et pour les autres d'ailleurs...

Et j'avoue que j'ai savouré sa chute et sa disgrâce progressive (ca c'est mon côté sadique)



Pour les policiers, que ce soit le lieutenant Gabriel Nicolas de la Reynie aux introspections trop récurrentes qui ont surchargées ma lecture et le manque de charisme du policier du Grand Châtelet Constant de St Lizier, je n'ai pas réussi à m'attacher à eux.

Ce fut d'ailleurs mon bémol dans ce roman car leurs états d'âme freinent, je trouve, le dynamisme de l'intrigue.





Ceci étant, cette balade historique fut une belle découverte. J'ai adoré les faits, bien moins le côté "polar" mais la fin est grandiose !!!





Un beau voyage dans le temps que je vous conseille de découvrir si vous aimez (ou pas) la période...



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La marquise des poisons

La marquise des Poisons, d'Olivier Seigneur nous entraine dans le siècle de Louis XIV. Dans le royaume de France de 1679 à 1682, le roi Soleil est secoué par l'affaire des poisons. La femme Voisin fait des révélations, elle donne le nom de ses célèbres clients.

Dans ce roman, le célèbre inspecteur Nicolas de la Reynie est confronté à une machination visant à le destituer de ses fonctions. Il va pouvoir compter sur l'aide de sa fille et sur l'aide d'un de ses fidèles lieutenants qui lui aussi est mis en accusation.
Lien : http://aliehobbies.com/2021/..
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La marquise des poisons

L'intrigue n'est pas inintéressante mais le récit est laborieux, surchargé de descriptions et surtout d'introspections répétitives et un peu lassantes. Je pense que la série va continuer et - je l'espère - s'améliorer. Pour l'heure, mon opinion reste mitigée. Le personnage principal, Nicolas de la Reynie, ne m'est guère sympathique aussi. Je préfère grandement un Nicolas Le Floc'h : plus de charisme, plus d'humanité.
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