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Critiques de Olivier Thomas (56)
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Guide de l'Ouest imaginaire

Ce guide maniable, fourmillant de références littéraires et cinématographiques à jour, dans lequel on peut plonger par différentes entrées avec un égal plaisir, rendra d’éminents services à tous les – nombreux – amoureux de l’Ouest imaginaire.
Lien : https://www.lhistoire.fr/liv..
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Les rats sont entrés dans Paris

J'adore lire les publications de l'historien Eric Baratay et "Les Rats sont entrés dans Paris" d'Olivier Thomas est du même niveau.

C'est riche de détails, il y a très peu d'interrogations en suspens, les sujets sont développés et fouillés.

L'auteur a toute l'honnêteté de présenter les rats pour ce qu'ils sont : des animaux qui veulent mener leur vie. Ils ne sont pas diabolisés et le sensationnalisme des médias est bien pointé du doigts.

Un livre passionnant que je recommande.
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Guide de l'Ouest imaginaire

Pour se repérer dans l'immensité du continent western



Claude Aziza et Olivier Thomas ont troussé un guide à l'ampleur aussi large que les horizons de l’Ouest américain.



De « Broncho Billy » Anderson jusqu’à Cormac McCarthy, en ­passant par Fenimore Cooper, Chateaubriand, John Ford, Clint Eastwood, Davy Crockett, Pocahontas et Lucky Luke, ce guide raconte comment le western a construit une mythologie autour de la conquête du Far West.



Le guide étend son exploration du western en reprenant le genre période par période, en croisant les réalisateurs et les acteurs et détaille l’imaginaire de l’Ouest au cinéma, mais aussi par la bande dessinée et d’autres formes d’art comme la littérature, la photo, la musique ou la peinture.

La portée mythologique et sacrée du western



Une longue et riche histoire, qui montre que les grands réalisateurs de western –John Ford, Raoul Walsh, William Wellman, Anthony Mann et bien d’autres– ont filmé avant tout , c’est une mythologie, marquée par un revirement progressif des mentalités.



Les Américains ont également imaginé qu’ils avaient une mission à remplir sur terre en tant que peuple élu. Et beaucoup de westerns mettent en scène la marche vers la Terre promise de ces émigrants venus de tous les pays.



A partir des années 1950, notamment à partir du film de Delmer Daves La Flèche brisée (1950), les stéréotypes racistes qui dominaient le genre sont peu à peu remis en question.



Il faudra néanmoins bien plus de temps pour reconnaître la réalité à l’origine de tant de chefs-d’œuvre : une colonisation doublée d’un génocide.



Complet et détaillé, le guide montre aussi que le genre n’en finit pas de se réinventer, comme le prouve la mode actuel des romans de « nature writing ».


Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Les rats sont entrés dans Paris

Alors que politiques et médias déplorent depuis quelques années une capitale « envahie » par les rats, Olivier Thomas analyse leur place dans la construction d’un certain ordre urbain au XIXe siècle.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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Les rats sont entrés dans Paris

Depuis au moins six mois, je ne peux plus me promener dans ma ville sans observer une de ces boîtes noires percées d'ouvertures, remplies d'appâts empoisonnés, attachées à des poteaux ou à des bancs au moyen de câbles métalliques solides. J'ai vu des rats (surmulots) agoniser sur les trottoirs ou dans les parcs, senti l'odeur insupportable des cadavres en décomposition, redouté que le poison ne tue directement ou indirectement l'épervier du quartier, la buse de passage, la petite mésange ou le rouge gorge familier.

Certes, il n'en faut pas beaucoup à l'être humain pour exercer les pires cruautés sur les animaux. En général, la société ne fait pas grief aux tortionnaires, du moins pas de manière à empêcher la perpétuation de la violence. Dans le cas des rats, on trouve sans doute encore moins de défenseurs des bêtes massacrées que s'il s'agit d'autres espèces de mammifères ou d'oiseaux. Comment se l'expliquer?

Le livre d'Olivier Thomas permet de mieux comprendre les rats des villes, l'histoire de leur relation avec les sociétés humaines, les craintes que génère leur présence et les coulisses des guerres conduites pour les éliminer, généralement sans succès. Les relations internationales, le commerce, les échanges lointains ont abouti à l'extension de la zone de présence du surmulot, comme ils ont donné un élan extraordinaire aux épidémies. Notre manière de vivre, nos agglutinations, notre frénésie de consommation,notre production incontrôlée de déchets contribuent à rendre notre voisinage propice à l'essor des populations de rats. Ils pourraient être presque invisibles dans le entrailles des villes, mais d'incessants travaux les dérangent et les poussent vers la surface. Comment cohabiter pacifiquement? Comment sortir des empoisonnements et des piégeages sordides? Il faut lire le livre pour trouver des pistes et discerner, enfin, la possibilité d'une coexistence réfléchie.

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Le Printemps des quais

Pour ma part ce livre me donné envie au premier regard car il se déroule à Marseille en 1950

Je ne regrette pas d'avoir lu ce livre car l'histoire est intéressante , on parle d'un certain Paul CARPITA, un réalisateur marseillais

J'ai aimé ce livre car j'aime bien le sujet et l'idée des reportages de Paul. Le passage que je préfère c'est lorsque Paul voyage à Berlin pour réaliser un film.

Je recommande ce livre aux passionnés de bande dessinées et aux personnes curieuses qui s'intéressent aux réalisations de films anciens.

Léo
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Dos à la mer, tome 2 : Sud

Suite de la cavale de Natacha et Henri vers le sud, avec une mallette de drogue qui doit assurer l'avenir de la fille, ce pauvre Henri ne l'accompagnant que pour rendre service.



Toujours des dessins peu engageants sauf la nature et le viaduc de Millau. Merci quand même au dessinateur d'avoir représenté la ville avec son beffroi.



Les dialogues restent sans tonalité et la fin arrive sans suspense même si le sang a coulé.
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Dos à la mer, tome 1 : Ouest

C'est l'histoire d'un brave soudeur des chantiers de Saint-Nazaire embarqué dans une fuite vers le sud pour accompagner une fille en cavale suite à trafic de drogue et relations avec l'ETA.



Le scénario bien usé aurait pu être sauvé par le dessin mais celui-ci, hormis pour les ponts et les sites industriels ne crève pas le papier. Tous les visages sont d'une tristesse infinie même celui de la fille dont on pourrait croire en lisant le texte qu'elle est jolie.



On a quelques meurtres plutôt saignants mais pas vraiment de suspense, même si le dénouement ne doit intervenir que dans le tome 2.



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La grande évasion, Tome 1 : Biribi

Bande dessinée originale qui retranscrit parfaitement la réalité des bagnes coloniaux de l'armée française de la fin du XIXe siècle.

Pour avoir lu et apprécié l'ouvrage éponyme référence en la matière de Dominique Kalifa je trouve que les auteurs de cette aventure graphique se sont très bien documenté pour nous offrir une bd efficace et réaliste.

Tome 1 d'une série intitulée La grande évasion la bande dessinée d'Olivier Thomas et Sylvain Ricard narre la descente aux enfers et les rêves de liberté d'Ange Lucciani,souteneur corse envoyé à Biribi dans le désert marocain au moment de son incorporation sous les drapeaux.

Censé expier ses fautes de la pire des manières dans cette annexe terrestre de l'enfer Lucciani ne va avoir de cesse dès son emprisonnement dans ce bataillon disciplinaire d'Afrique du Nord de défier l'autorité et de chercher à fuire le terrible joug disciplinaire qui s'apprête à le broyer.

L'ambiance de la bande dessinée est fidèle,grâce à un coup de crayon sec , dépouillé ,des couleurs chaudes et une vraie intensité elle n'elude en rien la dureté et la réalité de l'institution collant parfaitement à l'atmosphère brutale ,crue de ce régime d'épuration et d'exclusion de l'armée française d'un autre temps et même si le scénario de cette bande dessinée n'est pas super original celle ci s'avère plutôt convaincante et intéressante.

Un moyen sympa en tout cas d'aborder et de faire connaître un système d'un autre âge, d'une autre époque qui a fait partie de l'histoire de notre pays il n'y a pas si longtemps.
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Sans pitié, Tome 1 : Mistral noir

J'ai trouvé ce polar bien terne malgré le lot de drogue, de violence, de meurtres, de flics ripoux et de mafieux etc...



L'histoire n'est pas du tout passionnante à mon propre goût. Pourtant, j'ai essayé de m'accrocher tant bien que mal. Le troisième tome est véritablement confus et on se perd non seulement dans le temps mais sur l'identité de tel ou tel personnage. C'est une lecture prise de tête.



Bien entendu, l'idée était que cette histoire soit bien ancrée dans la réalité du sud de la France et notamment de la cité phocéenne. Oui mais à part cela, rien de neuf... sous le soleil.



Je ne suis pas convaincu par l'idée de l'auteur de nous éloigner d'un Marseille carte postale à la Marcel Pagnol pour nous faire découvrir une cité beaucoup plus sombre façon French Connection. Etait-ce rendre service à cette ville qui a véritablement une âme ? Le mistral sera noir à défaut d'être gagnant.
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Dos à la mer, tome 1 : Ouest

Dos à la mer est un polar qui a pour cadre un petit port maritime. On va suivre en parallèle deux histoires, celle d’une femme embarquée sur un mauvais coup et celle d’un homme travaillant sur un chantier métallurgique de construction navale. A un moment donné, les destins vont se croiser pour ne former qu’un même récit ce qui sera plus facile pour la compréhension générale.



Ainsi, on voit un homme à lunette sur les premières pages qui accompagne cette femme. Plus tard, on se demande si c’est le même protagoniste assez odieux lorsqu’il est au bar avec cette dernière. On remarquera au passage que les lunettes ont disparu ce qui introduit un doute. On peut penser qu’il a besoin de ses lunettes pour conduire. Certes. Cependant, lorsqu’il reprendra le volant de son véhicule, cela sans sa paire. Bref, ce n’est pas très clair. C’est le genre de chose qui me chiffonne à la lecture car on ne saisit pas tout.



Notre héros assez timide va être mis en congé forcé suite à un accident provoqué par un mauvais alliage chinois. On remarquera que le message véhiculé est que la Chine fournit des matériaux qui ne répondent pas à des critères de qualité. N’est-ce pas un peu réducteur ? Bon, le propos ne sera pas là puisqu’on s’achemine vers une espèce de road-movie où des fugitifs tentent d’échapper à de vilains gangsters. Classique mais efficace tout comme le dessin qui laisse transparaître les émotions des personnages.



Le duo formé sera assez improbable. On n’y croit pas une seule seconde mais il y a une réelle efficacité dans la mise en scène ce qui rend la lecture plutôt agréable.
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Le Printemps des quais

C'est l'histoire d'un film qui a été censuré pendant plus de 30 ans en France car il montrait les conditions de vie des dockers, les manifestations et les grèves ainsi que les CRS qui voulaient mettre fin à ce conflit. Bref, cela a été jugé contraire à l'ordre public.



On suit le parcours de ce réalisateur qui était d'abord un instituteur. C'est clairement militant mais cela montre également les désillusions de certains communistes. N'oublions pas que certains étaient entrés dans la résistance au moment de l'Occupation nazie.



La lecture sera parfois difficile car les auteurs n'ont pas su rendre une fluidité d'ensemble. Trop de faits et de détails certes intéressants avec malheureusement une narration parfois maladroite. Une rigueur qu'il aurait fallu respecter.



Au niveau du dessin, c'est une pure merveille. Marseille n'a jamais été aussi bien dessinée notamment son vieux port. On apprend également la disparition de l'un des plus vieux quartiers de Marseille qui fut dynamité par les allemands en 1943. Il s'agissait du quartier Saint-Jean. Bref, à travers cette chronique, on a l'impression de revivre l'histoire de cette ville. Avant le printemps arabe, il y a eu le printemps des quais dans notre pays.
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La grande évasion, Tome 1 : Biribi

Après avoir dirigé les séries-concept Sept et Le Casse, David Chauvel lance une nouvelle saga de one-shots ayant pour thème l’évasion carcérale. Ce sont Sylvain Ricard et Olivier Thomas qui inaugurent cette saga qui annonce huit tomes indépendants d’ici 2 ans.



Sylvain Ricard qui, avec 20 ans ferme, vient de signer un album poignant mettant en avant les problèmes de l’univers carcéral actuel, se retrouve donc à nouveau en prison, mais il a cette fois pour mission de se faire la malle.



Le récit se déroule dans le camp de détention de Biribi, un endroit fort sympathique en plein milieu du désert marocain, où les prisonniers sont soumis à des travaux forcés et aux abus d’un gardien en chef particulièrement créatif au niveau des mesures disciplinaires. Dès les premières planches, l’auteur invite à suivre les pas d’Ange Lucciani, un corse bien décider à ne pas s’éterniser dans cet environnement sans pitié.



Sylvain Ricard parvient à installer un univers crédible, ainsi qu’une tension qui monte crescendo au fil des maltraitances. Le scénario est assez classique et l’évasion, seule lueur d’espoir pour ces prisonniers condamnés à ne pas faire de vieux os, ne déborde certes pas d’originalité, mais le face-à-face entre le personnage principal et son geôlier est très intéressant et mené de main de maître. J’ai par contre trouvé la fin un peu précipitée, donnant l’impression que les auteurs avaient eu du mal à gérer le nombre de pages limité.



Au niveau du graphisme, Olivier Thomas livre du bon boulot. Usant d’un trait réaliste, il restitue avec brio la dureté de cet environnement pénitencier et propose des personnages charismatiques très réussis, même s’ils ne sont pas toujours faciles à distinguer les uns des autres.



Et comme dirait notre Ministre de la Justice : vivement la prochaine évasion !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Le Printemps des quais

Ils s'y sont mis à trois pour raconter cette belle histoire du cinéma français en bande dessinée et ils ont eu raison car Pascal Génot, Bruno Pradelle et Olivier Thomas ont vraiment réussi "Le printemps des quais".

C'est une biographie originale puisqu'elle raconte la vie passionnante de Paul Carpita à travers la réalisation d'un film marseillais "Le rendez-vous des quais" tourné au début des années 1950.

Séraphin Carpita est appelé Paul, son nom de résistant. C'est un homme modeste, fils d'un docker marseillais, instituteur humaniste passionné de cinéma.

Après plusieurs courts-métrages, ce réalisateur militant, adhérents au Parti Communiste Français, se lance après la guerre dans le tournage à Marseille du "Rendez-vous des quais" qui raconte les soucis de logement d'un jeune couple, sa difficulté à construire un avenir rassurant. C'est le destin d'une famille de dockers qui doit composer entre responsabilité syndicale et recherche d'un logement et d'un travail, alors que le port, bloqué par les grèves, accueille des corps de soldats français morts à la guerre d'Indochine. le film est financé par une souscription et la plupart des collaborateurs acceptent d'y travailler bénévolement. Sa femme Marguerite et ses camarades vont beaucoup l'aider car il doit souvent se cacher n'étant pas autorisé à filmer.

Le concours du Parti va lui être utile mais quand le film sera interdit par la censure il n'aidera pas le film d'un marseillais à sortir de l'ombre. Il a fallu attendre les années 1990 pour qu'une copie soit retrouvée et restaurée.

Cette oeuvre collective est pourtant un formidable témoignage du Marseille de l'après-guerre et du quotidien difficile de la classe ouvrière, une veine social dont Robert Guédiguian est héritier.

Il ne me reste plus qu'à voir ce film en entier ainsi que les autres réalisations de Paul Carpita qui n'a plus jamais lâché sa caméra.





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La grande évasion, Tome 1 : Biribi

Avec la grande évasion, nous restons toujours sur la mode des bandes dessinées à thème d'une même série qui va se multiplier. On aura alors l'occasion de se voir raconter les plus célèbres évasions ayant marqué l'histoire. Il faut dire que depuis la série TV Prison Break, le thème est à la mode. Je ne connaissais pas celle de la prison militaire de Biribi située dans le désert marocain en 1898, époque coloniale où la France avait ses quartiers pour le meilleur mais surtout pour le pire.



En effet, les conditions de détention seront passées au peigne fin avec des détails les plus sordides les uns que les autres. Du coup, on a l'impression d'assister à une véritable surenchère dans l'absence d'humanisation et de compassion alors que l'évasion en elle-même n'aura plus rien d'extraordinaire. Visiblement, il y a eu un loupé quelque part dans le scénario qui s'attarde trop sur certains détails pour ne pas en montrer d'autres qui auraient du coup plus d'importance.



La bd en elle-même est assez bien dessinée avec des couleurs laissant passer le soleil de plomb. Par ailleurs, cela se lit plutôt bien malgré l'évocation de tant de souffrance. Cependant, comme dit, on attendait sans doute plus d'une nouvelle série carcérale qui ne démarrera pas en fanfare.
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Infiltrés, tome 1 : Le sourire du Faucon

Brillant et terrifiant de réalisme.
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La grande évasion, Tome 1 : Biribi

Une prison militaire sous la chaleur du désert marocain à la fin du 19e s., un nouveau prisonnier qui ne compte pas y faire de vieux os, des gardiens odieux, adeptes de l'ordre et de l'obéissance, des prisonniers qui n'aiment pas les nouveaux à la forte tête, des punitions et des humiliations, et puis bien sûr la préparation de l'évasion et sa mise en oeuvre. Tous les ingrédients sont là et même s'il n'y a pas d'originalité particulière, cela se suit sans déplaisir, grâce aussi à un dessin et un découpage maîtrisés.
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Dos à la mer, tome 1 : Ouest

A prendre des BD au hasard dans les bacs de ma petite bibliothèque, il fallait bien qu'un jour je sois déçue... et ce jour est arrivé.

C'est premier tome, et je n'ai pas envie d'en lire la suite.

Je me suis trouvé parachutée au milieu d'une histoire sans comprendre qui était qui et pourquoi il agissait ainsi.

Et le dessin, ne m'a que moyennement plu.

Donc rien pour que j'y retourne.
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La grande évasion, Tome 1 : Biribi

Ma première lecture de Sylvain Ricard m'avait déjà conduit dans les affres d'une colonie pénitentiaire (version Kafka)....j'avais été assez sévère sur mon appréciation : **



https://www.babelio.com/livres/Ricard-La-colonie-penitentiaire-BD/883832/critiques/1153201



Ici , grâce à la 3D (Discipline, Discipline et Discipline) , on comprend mieux cette réalité d'un autre siècle, pourtant pas si loin....
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Infiltrés, tome 2 : Les Larmes de Jaulène

C'est avec plaisir que nous retrouvons Copenhague et l'équipe de Suzanne Hennings dans leur quête de ces affreux terroristes d'extrême droite .

Le scénario m' a paru un peu confus et les dessins un peu grossiers , c'est dommage car il y avait matière à faire sans doute mieux
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