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Critiques de Paul Duncan (28)
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Alfred Hitchcock : Filmographie complète

Quand par hasard je suis tombé sur ce livre (mais est-ce vraiment un hasard ?) et alors que j’ai déjà un certain nombre, et même un nombre certain, de livres sur Hitchcock, je me suis tout de suite dit que je ne pouvais pas ne pas l’acheter. Edité à l’occasion du 25ème anniversaire des éditions Taschen et vendu pour la modique somme de 9€, il me le fallait !



Un magnifique livre grand format (25X30,5). Alfred Hitchcock en gros caractères. Juste en dessous, Filmographie complète. Une couverte illustrée par une image extraite d’une scène mythique des Oiseaux (The Birds, 1963) avec la pauvre Tippi Hedren attaquée par les fameux oiseaux du film éponyme. Au dos, le maître, avec entre les mains, le clap de tournage de Pyschose (Psycho, 1960). Encore sous blister, je décidais de le laisser tel quel, la surprise n’en serait que plus grande au moment de la découverte.



Et la surprise fut excellente ! Tous les films du maître y sont traités, de ses tout premiers dont il ne reste aucune copie, jusqu’aux plus connus, aucun n’est oublié. De plus, chaque film traité est illustré de nombreuses photos de tournage, des acteurs, de scènes marquantes et d’analyses. La plupart de ces nombreuses photos m’étaient inconnues, j’ai donc pris un pied monstre !



J’ai aussi particulièrement apprécié de revoir ou découvrir les affiches de ses films et plus encore des photos de ses différentes apparitions dans ses films. Petite anecdote, comme les spectateurs étaient parfois obnubilés à l’idée de débusquer ses apparitions, il finit par les faire en début de film afin qu’ils puissent ensuite se concentrer sur l’intrigue du film en question. Sacré Hitch !



Une chose qui m’a interpelé dans ce livre, c’est la notion de vertige. Bien sûr ça n’est pas un scoop, Hitchcock avait le vertige et il en a fait un des thèmes centraux de Sueurs froides (Vertigo, 1958), un de ses films les plus célèbres. On retrouve aussi plein de scènes dans ses films où les héros sont en situation d’affronter le vide. Comme on retrouve une foule de scènes avec des escaliers plus ou moins monumentaux, chose qui a également attiré mon attention ici.



Bref, j’arrête là mon bavardage, je pourrai encore continuer longtemps. Comme vous l’avez compris je pense, je me suis une fois de plus régalé à me replonger dans l’univers hitchcockien. Que Paul Duncan, l’auteur, et les éditions Taschen soient remerciés pour ce très, très, bel ouvrage que je ne saurai trop vous recommander.


Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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Stanley Kubrick : Filmographie complète

Quand j’ai vu la première fois 2001 L’Odyssée de l’espace, je devais être un jeune adolescent, c’était donc il y a… bien longtemps ! J’en garde la sensation enivrante d’avoir assisté à un truc énorme mais aussi la sensation moins agréable de n’avoir peut-être pas saisi tout ce que son réalisateur, le génial Stanley Kubrick, avait voulu exprimer. Et si j’avais compris une chose plutôt qu’une autre ? Et si je n’avais pas vraiment tout saisi ? Et si j’étais passé à côté ? Qu’est-ce qu’il avait bien pu vouloir dire à tel moment ? Beaucoup de questions donc…



« Kubrick montre mais ne dit rien. C'est là une caractéristique constante de son travail [...]. »



Après avoir terminé ma lecture de ce livre, me voilà un peu rassuré puisqu’on y apprend que le but de Kubrick n’était pas de tout expliquer mais au contraire, de susciter le questionnement et la réflexion. En cela, ce fut réussi de mon côté…



« Les réactions vis-à-vis de l'art diffèrent toujours d'un individu à l'autre car elles sont profondément personnelles. »



Une fois de plus dans cette collection de chez Taschen, Paul Duncan parcours la vie et surtout la filmographie d’un réalisateur de manière chronologique. Analyses, citations et commentaires étayent l’ensemble.



On y apprend beaucoup sur la personnalité de ce réalisateur hors norme, sur sa façon de travailler, sa détermination, son exigence ou encore sa farouche volonté d’indépendance. On peut aussi noter la grande diversité de ses films, Lolita, Orange mécanique, Barry Lindon, Full Metal Jacket, Eyes Wide Shut entre autres…



Rien que pour le regard exorbité d’une Shelley Duvall poursuivie par un Jack Nicholson terrifiant dans Shining, merci Monsieur Kubrick !


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François Truffaut : The Complete Films

Cet ouvrage abondamment illustré offre un survol complet de la filmographie de François Truffaut, un des cinéastes fondateurs de la Nouvelle Vague.



J’ai redécouvert avec intérêt certains de ses films les plus connus comme Les Quatre cents coups, Jules et Jim, L’Enfant sauvage, que j’aime beaucoup, ou Le Dernier métro et j’en ai découvert qui m’étaient moins connu ou totalement inconnu comme La Chambre verte. Le tout étayé de citations des propos du réalisateur ou de personnes l’ayant côtoyé, une mine d’informations sur sa vie et son œuvre.



Ce qui m’a le plus surpris dans cette lecture est le fait que Truffaut tombait vraiment souvent amoureux des actrices qu’il faisait tourner, Claude Jade, Françoise Dorléac, Catherine Deneuve ou encore Fanny Ardant et bien d’autres… L’homme qui aimait les femmes, un titre qui sied à merveille au réalisateur.



« Comme Baecque et Toubiana le souligne dans leur biographie extrêmement détaillée, "infidèle, François Truffaut l'a toujours été, davantage par besoin de séduire et d'être aimé que par donjuanisme". En d'autres termes, il passe sa vie à quêter l'amour que sa mère lui a refusé, cherchant inlassablement à se montrer digne d'être aimé. »



Maintenant, je n’ai qu’une envie, revoir la plupart de ses films et découvrir enfin ceux que je n’ai jamais vus.

Encore une réussite pour Paul Duncan, déjà auteur d’un Hitchcock aux mêmes éditions Taschen, avec ce François Truffaut, Filmographie complète.


Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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François Truffaut : The Complete Films





François Truffaut est le plus célèbre des réalisateurs Français, il est connu et respecté dans le monde entier par tous les théoriciens du cinéma. Trente ans après sa disparition, le Monde a la bonne idée de lui consacrer un hors-série de la collection « une vie, une œuvre ».Un portrait du gamin de Pigalle, enfant illégitime, délinquantj uvénile, critique de cinéma sans état d’âme, homme à femmes ambitieux qui, deviendra le réalisateur Français le plus important de la fin du siècle dernier.

Un ouvrage qui est une belle invitation à se jeter sur les DVD pour vérifier si Jean-Pierre Lèaud est toujours prêt à faire les 400 coups, si la Dorléac à encore la peau douce, pour faire la connaissance d’une belle fille prénommée Bernadette, pour constater qu’Isabelle A est une merveilleuse Adèle H, que Ray Bradbury est vraiment un excellent romancier, une invitation à faire tinter son argent de poche en matant les jambes des femmes qui sont des compas qui arpentent le globe terrestre…., et à se rendre compte que « Vivement dimanche » est bien meilleur sans Drucker….
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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The Charlie Chaplin Archives

Le livre de 560 pages, illustré de plus de 900 photos bénéficiant d'une qualité d'impression exceptionnelle, suit pas à pas la vie et l'oeuvre du cinéaste. On commence avec son enfance misérable à Londres, on poursuit avec ses premières prestations dans des music-halls britanniques puis américains, on regarde, ébloui, ses premiers courts-métrages, on assiste à sa consécration, on est atterré par son rejet dans une Amérique obsédée par «la chasse aux Rouges» et on observe, impuissant, le désastre de «La comtesse de Hong Kong», son dernier film, en 1967.

«Le principe de ce livre est simple: montrer comment Chaplin a fait ses films», explique Paul Duncan dans son introduction. L'historien et son équipe ont écumé les archives de Chaplin. Le livre, qui a le format d'une petite valise, regorge de photos inédites de tournages, de documents rares, d'entretiens. On trouve également des scripts de films jamais réalisés, dont le projet d'un film sur Napoléon. Une plongée au coeur de la création artistique. Le personnage de Charlot naît par hasard. En contrat chez Keystone, en décembre 1913, Chaplin a l'idée saugrenue d'enfiler le pantalon de l'acteur Roscoe Arbuckle, connu pour son rôle de Fatty (le gros). Il prend la veste trop petite d'un autre acteur, se coiffe d'un chapeau melon trouvé dans la loge et chausse des souliers trop grands pour lui.

«Je voulais que tout se contredise: le pantalon trop grand, le manteau serré, le petit chapeau et les grandes chaussures», raconte Chaplin. «Je n'avais aucune idée du personnage. Mais dès que j'ai été habillé, les vêtements et le maquillage m'ont fait entrer dans cet individu. j'ai commencé à faire connaissance avec lui et, au moment où je suis entré en scène, il était bel et bien né (...) Les gags et les idées comiques fusaient dans ma tête», poursuit-il. Avec le personnage de Charlot, Charlie Chaplin devient immédiatement célèbre et riche, très riche. Cette célébrité et cette richesse vont lui permettre de réaliser les films qu'il souhaite. C'est un maniaque de la perfection. Dans «La ruée vers l'or», l'actrice Georgia Hale doit donner une gifle à son partenaire Malcolm Waite. Chaplin n'est pas satisfait. Il fait rejouer la scène 35 fois. «Poussée à bout, j'ai fini par donner une grande claque à Malcolm. J'étais tellement furieuse que j'ai respiré à fond et l'air m'est ressorti par les narines! C'est ça que Charlie voulait vraiment, que je sorte de mes gonds», raconte l'actrice. Tous les films de Chaplin sont analysés un à un. Il fête ses 78 ans durant le tournage de «La comtesse de Hong Kong». Marlon Brando a accepté de jouer dans le film sans lire le scénario. C'est une catastrophe. L'acteur et le metteur en scène ne s'entendent pas. Marlon Brando se montre un parfait goujat avec sa partenaire, l'actrice italienne Sophia Loren. Une scène de baiser est prévue. «Regardez-vous dans les yeux, mettez-y de la conviction», demande Chaplin. La première prise est un échec. «Savez-vous ce que (Brando) m'a murmuré... que j'avais des poils qui sortaient du nez», s'indigne l'actrice. A la troisième prise, Brando mord la comédienne. «Il m'a mordu la lèvre. Regardez ça saigne», s'offusque l'actrice. Le magazine Time se montre particulièrement cruel. «C'est sans doute le meilleur film qu'ait jamais fait un réalisateur de 77 ans. Malheureusement, c'est aussi le plus mauvais film qu'ait fait Chaplin».
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Stanley Kubrick

Ce court ouvrage sur la filmographie de Stanley Kubrick évoque brièvement chacun des films de ce grand cinéaste dans l'ordre chronologique.

Enrichis par de belles images, les textes donnent un éclairage sur les sources d'inspiration de Kubrick et sur les sources littéraires de son oeuvre.

On n'apprend rien d'extraordinaire dans cet ouvrage, mais on bénéficie d'un plan d'ensemble intéressant sur une filmographie passionnante et parfois déroutante.

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François Truffaut : The Complete Films

Truffaut , le maitre du cinèma français de la seconde partie du 20 éme siécle . Ces oeuvres n'on eu de cesse de porter le cinèma "populaire" vers le haut en y intégrant une intelligence remarquable . Sa série sur le personage d'Antoe Doinel reste une référence absolue dans le millieu du cinéma.

Hélas , il est parti bien trop tot . Et il reste un grand trou qui restera à jamas béant . Ce titan du cinèma français , on le retrouve dans cette superbe biographie , qui retrace trés fidélement les différentes étapes de son parcours . Pour connaisseurs ou néophytes , ce livre est un témoignage important au sujet de l'un des plus grands auteurs français de l'histoire du cinéma.
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Stanley Kubrick : Filmographie complète

Et bien, quel livre... Grand format (24 X 30 cm), relié, 192 pages, éditions Taschen... acquis bon marché en solderie... Photographies de plateau splendides ! L'ouvrage -- come on dit "richement illustré" -- explore toute la filmographie d'un cinéaste peintre, photographe de formation... On disait aussi, de son vivant qu'il était un "cinéaste visionnaire" (Pourtant, il nous semble que c'est bien le moins pour un artiste, de posséder une "vision"...). Je retiens surtout le perfectionnisme incroyable de cet artiste disparu le 7 mars 1999 pendant son sommeil.



Vive Kubrick et ses continuateurs, perfectionnistes d'un cinéma émotionnel et personnel (Terrence Malick, James Gray, ...) !!!
Lien : http://www.regardsfeeriques...
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François Truffaut : The Complete Films

Un livre riche et dense mêlant biographie et filmographie de manière traditionnelle, c'est-à-dire chronologique, mais c'est particulièrement utile ici car sa vie et ses lectures ont énormément influencé ses films, autobiographiques pour certains.

On y (re)découvre l'enfance de Truffaut, puis la réalisation de ses premiers films, leur succès, Cannes, etc...

Très humain dans le sens où on revient fréquemment sur ses souffrances d'enfant mal-aimé et d'homme à femmes - un film, un amour - ses joies et ses dépressions puis la maladie, le livre aborde également les thèmes chers à Truffaut: l'enfance, l'amour, les femmes, les livres, le cinéma.

Enfin, il ne nous épargne pas les détails plus techniques, l'écriture, la réalisation, et pour commencer, l'inspiration.

Le tout, accompagné de belles photos de tournages et d'images de films, de propose tenus par le réalisateur et son entourage professionnel, et de quelques incartades sur ses acteurs fétiches, à savoir Jean-Pierre Léaud (quel plaisir de retrouver cet interprète impertinent d'Antoine Doinel!), Catherine Deneuve, Fanny Ardant, Isabelle Adjani, Oskar Werner, Jeanne Moreau, et j'en passe.



C'est un livre à la fois très divertissant pour qui aime Truffaut et très instructif également, qui donne forcément envie de se (re)plonger dans ses films.

Pour ma part, Les Quatre Cents Coups et la Femme d'à Côté sont ceux qui me bouleversent le plus, et j'ai également un petit faible pour la série des Antoine Doinel...
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Alfred Hitchcock : Filmographie complète

C'est le livre de référence sur le maître incontesté du suspens. Sir Alfred Hitchcock, le cinéaste de génie aux 53 longs métrages. Hitch pour les intimes qui disait que tous ses films étaient des comédies.... Incorrigible farceur !



The Daily Telegraph a écrit : « Hitchcock a fait davantage qu'aucun autre réalisateur pour façonner le cinéma moderne, lequel sans lui serait tout à fait différent. Il possédait un flair pour la narration, en dissimulant avec cruauté (à ses personnages et au spectateur) des informations cruciales et en provoquant comme nul autre les émotions du public ».



Quand on aime le cinéma, posséder cet ouvrage sur la filmographie du grand maître est vraiment indispensable. Pour revoir ses films sans jamais se lasser.



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Bollywood, l'art de l'affiche

Ouvrage intéressant très bien documenté. Pour amateurs, bien sur.
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Les Archives de James Bond

Un must pour les Bondophiles...fortunés!!!
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Les archives de Pedro Almodovar

Un monument, richement illustré, dans lequel les films d'Almodovar sont présentés par ordre chronologique.J''ai commencé par "Tout sur ma mère", un de mes films cultes, les photos et les commentaires du réalisateur m'ont enchantée.
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Le cinéma d'horreur

Quand on t'offre à Noël, alors que tu as à peine 10 ans, les VHS de E.T. et Freddy 3, et que une fois par mois depuis cet âge tu visionnes les Dents de la mer, il ne faut pas s'étonner de la fascination, et de l'amour, que tu peux exprimer à l'égard du ciné fantastique, plus encore du genre horrifique.



De fait, tous les bouquins traitant le sujet me passent entre les mains. D'abord, parce que l'iconographie est souvent exceptionnelle (pour le psychopathe qui sommeille en soi!) ; ensuite, parce que l'histoire de ces films s'avère souvent particulièrement intéressante, que ce soit à l'étape de sa création autant que pour le discours, en général énervé, politique, social, au coeur du sujet, bien emmitouflé dans une métaphore faite de débris de corps et de giclures de sang.



Taschen a sa petite réputation plutôt bien assise. Et c'est vrai qu'en terme de mise en page et de choix d'images, ce bouquin fait le boulot, hors des illustrations à ce point petites qu'on est obligé de poser quasiment le nez sur la page pour en apprécier la qualité. Il se lit relativement vite, et le format film par film de la seconde partie permet de quitter le livre pour y revenir bien plus tard sans besoin d'une remise en selle.



MAIS, et c'est un grand mais, un mais énervé, un mais que l humble connaisseur que je pense être ne peut passer sous silence, parce que ce bouquin, ponctuellement, diffuse des approximations, des erreurs, inacceptables, telles que visibles dans les citations :



1. Non, ce n'est pas Stan Wilson qui a réalisé Pumpkinhead, c'est Stan Winston, suffisamment connu dans le métier pour qu'on ne se trompe pas sur son patronyme.

2. Non, on ne peut pas à ce point se méprendre sur la signification du climax final de L'Exorciste.

3. Non, non, non et non : Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper n'est pas un film gore. En 2022, sortir ce genre d'ineptie démontre à tout le moins n'avoir jamais vu le film. Glauque, malaisant, nauséeux, mais jamais gore.

4. Tony Moran n'est pas l'acteur incarnant Michael Myers dans Halloween : il n'apparaît qu'au moment où l'on aperçoit le visage du tueur ; pour toutes les autres scènes, c'est principalement Nick Castle dans la peau de "the shape".

5. On ne peut pas illustrer Les dents de la mer avec des images des Dents de la mer 2 et 4 ; ni Massacre à la tronçonneuse avec celles de ses deux suites.

6. Faire l'impasse sur la métaphore du péril rouge à propos de L'invasion des Profanateurs de sépultures, et se contenter d'une lecture premier degré, c'est une faute majeure.



À ce niveau d'exigence, ce n'est tout simplement pas possible. Cela démontre a minima une certaine paresse, voire un manque de respect vis à vis du lecteur, profane ou non.

D'autant plus irritant que pour certains films, l'analyse fournie, quoiqu'expeditive, s'avère pertinente. Et que d'une manière générale, le travail de vulgarisation est plutôt bien fait.

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The James Bond archives

Mise à jour du livre référence de Taschen consacré à 007 (No time to die edition). Lourd, encombrant, onéreux mais indispensable!

De "Dr No" à "No time to die", de Sean Connery à Daniel Craig, toute la saga bondienne en 645 pages au format A3 illustrée par de nombreux documents et photos.

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Film noir

Etude intéressante sur le "film noir", agrémentée de photographies. Pour les amateur du genre. Co-écrit par Alain Silver, producteur et historien du cinéma.
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Stanley Kubrick : Filmographie complète

Des photos flamboyantes accompagnées d’un texte médiocre.
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Stanley Kubrick : Filmographie complète

Kubrick c'est un mystére , une énigme . Comment peut on le voir , le définir ? Nombre sont ceux qui on réalisés de grands films , mais trés peu on atteint le niveau de l'oeuvre d'art . Tout d'abord il faut une réalité : Kubrick n'etait pas le plus grand de l'histoire du cinéma . Il est un fait que Fritz Lang , Dreyer , Murnau , Bresson , Tarkovski , Bergman étaient de plus grands metteurs en scéne que lui . Est il un peu surestimé ? Oui . Pourquoi ? Parceque ceux qui sont cités auparavant sont hélas trop peu connus , et donc il apparait que pour la grande majorité Kubrick était et reste le plus grand . Méme si de nos jours il est surclassé par Terrence Malick . Kubrick à fait des oeuvres d'art oui . L'on peut en compter deux : 2001 et Barry Lindon. Pour le reste il fus un trés bon faiseur sur des films comme Shining , Full metal jacket ou Eyes wide shut . Convenons ici de retirer Lolita du lot en raison de son sujet scabreux . Docteur Folamour est un trés grand film oui , tout comme L'ultime razzia ou Les sentiers de la gloire . Méme Le baiser du tueur est un bon film malgré ces defauts . Spartacus en commande qu'il est ne brille pas au firmament . En ayant mis la filmographie de l'auteur à plat , cela est plus facile du coup de faire un bilan plus précis sur son oeuvre , ce que ce livre fort bien documenté et écrit fait de maniére remarquable . L'on apprend ici des détails trés pertinents sur le mystére Kubrick . En oubliant pas que ce metteur en scéne a littéralement rendu hystérique l'actrice principale de Shining en étant impitoyable avec elle sur le plateau . La légende a des zones d'ombre , ce que ce livre fait ressortir de maniére brillante .
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Alfred Hitchcock : Filmographie complète

Je ne suis pas un inconditionnel d’Hitchcock ( sa manière de se mette en scène m’agace ) mais il est incontestable que plusieurs de ses films m’ont marqué ( Les oiseaux, Psychose, Fenêtre sur cour , Vertigo…) . Cet ouvrage propose une analyse assez fournie et très bien illustrée de son œuvre prolifique avec en annexe une filmographie et bibliographie qui permettent d’approfondir.
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Les archives Charlie Chaplin

Beaucoup de photos d'exploitation et de tournage inédites, de notes, documents, story-boards, affiches, et dessins, ainsi que des scripts et des images de films jamais réalisés sont ici rassemblés. Une histoire orale, racontée du point de vue de Chaplin lui-même, nourrie de ses nombreux écrits, dont beaucoup n'avaient jusqu'ici jamais été republiés. Des entretiens avec quelques-uns de ses plus proches collaborateurs. Plus de 150 albums de coupures de presse extraits des archives de Chaplin, de ses débuts au music hall, jusqu'à sa mort. Les courts-métrages de Chaplin, de Pour gagner sa vie (1914) au Pèlerin (1923), ainsi que l'ensemble de ses longs-métrages, du Kid (1921) à La Comtesse de Hong Kong (1967). (Dans la première édition de ce livre) un morceau de pellicule des célèbres Lumières de la ville (1931), choisi sur une bobine des archives de Chaplin. Une pépite pour tous les amoureux de cinéma et les fans de Chaplin !
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