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Critiques de Paul Éluard (210)
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

sous le choc



cet homme est fou et c'est ça que j'aime

''l'aube je t'aime j'ai toute la nuit dans les veines''



j'aimerais tout connaître par coeur ses poèmes me manquent déjà



''les vertiges au coeur des métamorphoses

d'une écriture d'algues solaires''.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Un recueil intense, passionnant. Je vous invite à lire dans « Premièrement »: XV, XXI, XXIII, XXV et dans « Défense du soir » : VI

Cette découverte m𠆚 particulièrement marquée. Je me suis identifiée dans plusieurs de ses poèmes et m𠆚 permis de réfléchir davantage sur ce qui m𠆞ntoure.

Un mot suffit : impressionnant.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Éluard : Entre Élan Poétique et Errance Amoureuse - Une Odyssée dans la Capitale de la Douleur

Paul Éluard, figure emblématique du surréalisme, dévoile dans son recueil "Capitale de la Douleur" publié en 1926 chez Gallimard, un univers où se conjuguent amour et poésie. Son exploration des profondeurs de l'âme humaine révèle un engagement artistique et politique, captivant un public par sa sensibilité et son audace stylistique.



Dans cette œuvre, Éluard plonge avec une intensité captivante dans les thèmes de l'amour et de la souffrance. À travers des vers empreints d'émotions brutes et d'images saisissantes, il nous entraîne dans un voyage poétique où les sentiments s'entremêlent dans une danse envoûtante.



Évoluant dans cette "capitale de la douleur", Éluard jongle avec les mots pour exprimer les tourments de l'existence ainsi que les éclats de bonheur et de passion. Sa plume, à la fois tendre et incisive, captive par sa capacité à saisir l'essence des émotions humaines.



Fondamentalement, l'œuvre d'Éluard résonne comme un hymne à la vie, célébrant l'amour dans toute sa complexité. Ses poèmes, empreints de lyrisme et de sincérité, touchent profondément et persistent dans l'esprit du lecteur. Cependant, certains pourraient reprocher à l'auteur une certaine opacité dans ses images, rendant parfois la compréhension difficile pour certains lecteurs.



Sur le plan stylistique, Éluard se distingue par son langage évocateur et sa capacité à transcender les conventions poétiques. Son utilisation audacieuse de l'imagerie et du langage figuré confère à ses poèmes une richesse et une profondeur uniques. Cependant, cette audace peut parfois sembler hermétique, éloignant certains lecteurs en quête de simplicité.



En conclusion, "Capitale de la Douleur" est une œuvre poétique d'une intensité rare, où l'amour et la poésie s'entrelacent dans un tourbillon d'émotions. Malgré ses aspects parfois hermétiques, elle demeure une lecture incontournable pour quiconque aspire à explorer les méandres de l'âme humaine à travers les mots.

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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Peut-être le recueil le plus connu d'Eluard, l'un des plus grands poètes du vingtième siècle. Il peut paraître hermétique mais pourtant sa poésie est fluide, simple, les mots glissent et magnifient le réel, la femme, la vie. Lire Eluard, ça vaut plusieurs séances de massage...
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Ce recueil de poèmes est d'une beauté pure. La force des mots d'Eluard est égale à la puissance de sa douleur.

Le titre résume complètement l'état d'esprit de l'auteur. Et quel titre superbe ! Des mots forts, poignants, à plusieurs sens de lecture.



On a l'impression de vivre ses émotions à la lecture de ses textes.

Une mélancolie omniprésente exprimée tout en délicatesse.

Hymne à l'amour, à la douleur qui en découle. Bref, une réussite.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Petit recueil acheté à Évian après avoir visité l'exposition qui s'y donne en ce moment sur ce poète, Capitale de la douleur regroupe un corpus de petits poèmes à lire à tout moment, en tout lieu, à toute heure.

Si les rimes ne sont pas présentes, Éluard ne nous en emporte pas moins dans son imaginaire et dans sa réalité -brutale- de l'amour.

Envoûtant !
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Je vous retrouve avec un peu de poésie, recueil que je ne conseille pas aux novices.



J’ai aimé certains poèmes et j’ai fini ce recueil, mais je trouve que cette lecture demande un certain effort qui peut gêner l’appréciation des mots.



On peut ressentir au sein des poèmes de l’auteur qu’il y a une grande souffrance et qu’évidemment l’amour et la beauté sont au centre de ces poèmes. Néanmoins, je ne conseillerai pas ce recueil de poésie en premier choix, encore moins pour une personne qui n’a pas l’habitude de lire de la poésie. Je trouve que Paul Éluard ici demande un vrai effort à celle ou celui qui le lit ici pour s’imprégner de ces mots et des émotions qu’il veut véhiculer.



Pour moi, cela a aussi participé au fait que je n’ai pas plus apprécié que cela ma lecture.Pour moi, cela a aussi participé au fait que je n’ai pas plus apprécié que cela ma lecture.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

« Que sais-tu du malheur d’aimer » chante Aragon . Qui mieux qu’Eluard ce grand amoureux pourrait lui répondre ? Ce recueil est inspiré par les souffrances qu’il connut dans sa liaison avec la volage Gala. Le recueil qui suit « L’amour la poésie » est écrit dans le même contexte sentimental. Quelques années plus tard c’est la mort de Nush qui viendra inspirer d’autres plaintes . Amour brisé, amour perdu mais amour renaissant Eluard est un Phénix.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Paul Eluard est un des seuls poètes que je lis sans m'ennuyer.

Tous ses mots me parlent, aussi bien quand il parle de l'amour que quand il évoque la nature.

J'avais fait sa connaissance en avant-dernière année du lycée où nous n'étudiions que les poètes.

En Belgique, quand on nous demandait: "En quelle année es-tu?"

On répondait: " En poésie". Joli, non?
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Dans ce recueil, la lectrice ou le lecteur fait l’expérience du rêve. D’ailleurs, ce sujet apparaissait très à la mode dans les années 20, entre autres, à cause des découvertes de Freud. L’être humain est donc tenté de découvrir son inconscient et ce qui le peuple. En ce sens, le pouvoir et la puissance des mots permettent à certains de pousser plus loin la recherche de l’identité et du moi profond. Ainsi, la présence du rêve dans des poèmes du recueil s’avère très pertinente. Par exemple, c’est dans la partie «Mourir de ne pas mourir», dédicacée à André Breton, que le rêve apparaît sous sa forme la plus magnifiée. Voici un extrait de «Silence de l’évangile» :



«Nous dormons avec des anges rouges qui nous montrent le désert sans minuscules et sans les doux réveils désolés. Nous dormons. Une aile nous brise, évasion, nous avons des roues plus vieilles que les plumes envolées, perdues, pour explorer les cimetières de la lenteur, la seule luxure.» (p. 68)



Ce recours à la thématique du rêve permet à l’homme de s’évader des horreurs du quotidien, de décrire les images de son moi, de redonner une saveur à la vie, de ramener un côté merveilleux à l’existence. L’homme n’est plus figé dans les contraintes du temps présent, mais il peut se permettre de voguer sur les eaux de la fantaisie et de renommer ce qu’il perçoit avec ses mots.



Si on aborde le rêve, il s’avère difficile de le dissocier du sommeil. À cet égard, les deux thématiques sont presque indissociables et la poésie des surréalistes n’y échappe pas. Les poètes tentent d’apprivoiser cet espace de repos, cette nuit qui leur révèle leur être. Dans «Ne plus partager», la lectrice ou le lecteur peut percevoir la crainte par rapport au sommeil.



«Je distingue le jour de cette clarté d’homme



Qui est la mienne,



Je distingue le vertige de la liberté,



La mort de l’ivresse,



Le sommeil du rêve,



O reflets sur moi-même! ô mes reflets sanglants!» (p. 90)



Le poète semble confronté à un voyage intérieur encore inexploré caractérisé par l’inconnu, devant une mort, l’espace de quelques heures.



À d’autres endroits, dormir peut devenir néfaste parce que cela implique une passivité de l’être. Le sommeil est à la fois un lieu exploratoire mais lorsqu’il se vit éveillé, il s’inscrit dans un état d’inertie, souvent bien dangereux pour ceux souffrant de l’indifférence humaine. Le sommeil peut être perçu comme négativement et le rêve positivement.



«[…], la cavalcade sanglante et plus douce au coeur de l’homme averti de la paix que la couronne des rêves insouciante des ruines du sommeil. » (p. 121)



On peut sentir cette dualité entre le sommeil et le rêve dans cette citation.



La guerre est abordée aussi dans le recueil d’Éluard. Les horreurs de la Première Guerre mondiale se retrouvent dans ce dernier. Dans «Paris pendant la guerre», on sent bien la monstruosité de la guerre.



«Les bêtes qui descendent des faubourgs en feu,



Les oiseaux qui secouent leurs plumes meurtrières



Les terribles ciels jaunes, les nuages tout nus



Ont, en toute saison, fêté cette statue». (p. 108)



Une des missions des surréalistes était de reconstruire l’homme nouveau après une période très sombre de l’humanité. Libérer par les mots le monde d’hier pour faire naître le monde de demain.



De plus, la poésie a tenté, comme en peinture, d’accéder à l’inconnu. Beaucoup de poèmes dans la partie «Mourir de ne pas aimer» sont associés à des peintres s’inscrivant dans la même démarche artistique qu’Éluard. Picasso, Braque, Chirico, Klee, Arp, Masson, Miro et Max Ernst figurent dans les poèmes d’Éluard. Par exemple, dans le poème «Pablo Picasso», les images proposées tentent d’insuffler au réel une nouvelle dimension :



«Le visage du coeur a perdu ses couleurs



Et le soleil nous cherche et la neige est aveugle.



Si nous l’abandonnons, l’horizon a des ailes



Et nos regards au loin dissipent les erreurs.» (p. 96)



Peintres et poètes ont tous comme but d’amener leur imaginaire à dépasser le réel. Démolir la réalité afin de faire de l’impossible un possible.

Mais encore, les surréalistes ont tenté de briser les cadres afin d’ouvrir l’esprit à une nouvelle réalité. Les images d’Éluard explosent afin de briser tout ordre linéaire. Le dernier poème du recueil ouvre les portes de l’amour, de l’amour pour l’humain, de l’amour pour l’amour, de l’espoir de l’Amour par le biais du recours au tu.



«[…]



À toi qui n’as pas de nom et que les autres ignorent,



La mer te dit : sur moi, le ciel te dit : sur moi,



Les astres te devinent, les nuages t’imaginent



Et le sang répandu aux meilleurs moments,



Le sang de la générosité



Te porte avec délices.



Je chante la grande joie de te chanter,



La grande joie de t’avoir ou de ne pas t’avoir,



La candeur de t’attendre, l’innocence de te connaître,



O toi qui supprimes l’oubli, l’espoir et l’ignorance,



Qui supprimes l’absence et qui me mets au monde,



Je chante pour chanter, je t’aime pour chanter



Le mystère où l’amour me crée et se délivre.



Tu es pur, tu es encore plus pur que moi-même. » (p. 141)



C’était ma présentation d’un recueil de poésie marquant, beau et qui ne cesse de me faire grandir en tant qu’être humain. Le mystère de la beauté de la poésie, c’est peut-être ça…



Qu’en pensez-vous?



https://madamelit.ca/2022/03/06/madame-lit-capitale-de-la-douleur-deluard/
Lien : https://madamelit.ca/2022/03..
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

A chaque relecture, un sens nouveau m’apparaît, un souvenir, une image enfouis resurgissent, la poésie d'Eluard a ce pouvoir-là sur moi........
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Dans le recueil Capitale de la douleur suivi de L’amour la poésie, Paul Eluard traduit dans des vers sublimes son amour malheureux pour sa muse Gala.

Difficile de rester insensible à la beauté de ses mots.

C’est le célèbre poème La courbe de tes yeux qui m’a donné envie de lire ce recueil, mais j’ai trouvé qu’il y avait une belle unité d’ensemble et j’y ai pris un grand plaisir.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

La plupart des poètes ont célébré l’amour. Si je devais n’en retenir qu’un seul, ce serait lui, Paul Eluard, avec son recueil « Capitale de la Douleur ».

Découverte en cours de Français, sa poésie a été une révélation. Le poète surréaliste enlace l’amour – thème central de ce recueil – de ses mots fluides et de ses vers modernes. Quand on lit sa prose à haute voix, c’est de l’émotion à l’état brut. Pas de phrases alambiquées ou de termes mystérieux : sensuels, doux, amers et agressifs, ses poèmes parlent de tous ces sentiments opposés que l’amour fait naître.

Ce recueil écrit pour sa femme Gala qui ne tardera pas à quitter Eluard pour Savador Dali, est la plainte de l’homme amoureux qui se s’est délaissé. Si sa poésie traite également des thèmes du rêve ou encore de la peinture (de nombreux poèmes dédiés aux peintres Klee, Arp, Miro, Picasso ou Giorgio de Chirico nous amènent à découvrir le surréalisme), l’amour et la douleur dans l’amour sont le coeur de cette œuvre. Entre la simplicité des mots façon Prévert et l’anticonformisme irrationnel à la Breton, «Capitale d la douleur » se lit et se relit inlassablement.



Certains pourront être totalement hermétiques à cette poésie, d’autres diront qu’elle touche plus précisément les adolescentes avides de sentiments exaltés. Certes…

N’étant plus une adolescente qui tombe en pâmoison face à de jolis mots, j’ai donc relu cette œuvre…. Et bien des années plus tard, mon avis reste le même : l’amour, ce beau et profond et complexe et déroutant sentiment est bien difficile à rendre compte par des mots. Et bien Paul Eluard l’a fait et il en est pour moi le chantre.

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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

L'amour la poésie :



On dirait que l'auteur à mis des mots au hasard dans un ordre aléatoire pour former des phrases dénuées de sens qui n'ont aucun rapport entre elles. Aucunes rimes. En fait ce livre s'appelle "L'amour la poésie" parce que tous les poèmes parlent d'amour.

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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Un recueil de poésie de se lit pas qu'une seule fois, il faut y revenir pour s'en imprégner. Donc écrire une critique avant d'avoir atteint une communion asymptotique satisfaisante avec ce livre de Paul Eluard est donc illusoire, à moins qu'il ne s'agisse d'un ressenti, un état de l'âme, à ce moment là. Paul Eluard, c'est pour moi la conciliation (réconciliation ?) de ce qui s'est écrit de magnifique avant : Hugo, Baudelaire, Mallarmé. Eluard emprunte à chacun et les mots dansent; ils émeuvent comme un corps qui se meut. Eluard ne fait qu'effleurer le cœur de son être et nous maintient dans un brouillard dans lequel nous devons tracer notre chemin à force de relectures, à force de mastication de ses vers pour composer nous-mêmes la musique qui convient à la danse des mots. La poésie d'Eluard c'est la vie et c'est surtout sa propre vie construite avec des briques de mots. Les poètes nous montrent que le langage est plus qu'un outil de communication, c'est un outil d'existence, qu'il ne s'agit pas de trouver un sens absolu dans un vers mais plutôt d'y déceler la vie qui y bouillonne.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Eluard est un poète merveilleux et talentueux. Ses mots ne sont pas accessibles à tous (le surréalisme a une logique différente, une vision différente), peut-être faut-il le coup de foudre pour le suivre ? Jamais je ne pourrai expliquer mon amour pour ce qu'il écrit et pourtant tout est juste, tout est beau. Les émotions sont cristallisés, les vers parfaitement maîtrisés et le lecteur tient et les mots défilent.



Je le recommande à tout ceux qui aiment la poésie, à ceux qui aiment les jolies choses, à ceux qui aiment l'amour, les femmes, la vie.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

• Survol trop rapide entre simplicité des mots et mystère du sens, le sentiment de beauté naît de l'amour, des yeux dont la courbe fait le tour du cœur, des paupières qui se referment sur un rêve profond, sur un sommeil lourd, sur un miroir, sur une présence, sur une absence, sur un nouveau mystère. Les mots simples se mêlent de bizarres pierreries, entre nature vivante, oiseaux de malheur, corps entrevus ou aveugles pensées. Poésie dont il faudrait s'imprégner, qu'il faudrait relire à haute voix, chaque miniature seule, polie comme un diamant, à lire et à relire pour que le sens, caché et simple, touche au cœur l'intime lien de l'amour, de la poésie et de la douleur.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Je n'ai pas tellement l'habitude de lire de la poésie et je dois avouer que j'ai eu du mal à me fondre dans les poèmes de Paul Eluard de prime abord. Mais en étudiant cet auteur, j'ai fini par comprendre ce que signifiait ses mots, la profondeur de sa poésie et oui, Paul Eluard est ce poète qui déroute plus qu'il ne courtise.
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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

L'oeuvre typique que j'ouvrais en début de cours et refermais que le soir venu.

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Capitale de la douleur - L'amour la poésie

Un recueil de poésie globalement très accessible et intéressant. Un point positif pour moi c'est la diversité des formes des poèmes certain sont en prose et d'autre en vers ! Cependant les poèmes sont pour moi de qualité variable c'est ce qui m'empêche de mettre plus cependant la majorité sont de très bonne facture !
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