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Citations de Pauline Alphen (248)


La science n'est pas responsable du désenchantement du monde,
de la chute de l'imagination, de l'emprisonnement des hommes dans un temps et une réalité uniques. L'homme est le seul responsable.
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L'imagination, les rêves, l'art sont autant de dimensions parallèles
à celle que l'homme a décidé d'appeler réalité.
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La nature de l'homme est de changer, d'évoluer sans cesse, d'exercer sa liberté et son libre-arbitre. Mais il ne le sait pas.
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Il y a des fois, on ne peut pas écrire. On sent trop. Et si on l'écrit après, on ne sait plus très bien si l'on se souvient, si l'on invente. S l'on se souvienvente...
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Elle comprit que l'erreur était là : elle assimilait le danger, l'action, à quelque chose d'extraordinaire. Mais il n'y avait pas de méchants absolus, de héros sans peur et sans reproche. Juste des hommes et des femmes et la vie.
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Le troisième millénaire serait vert, en effet, mais pas comme l'imaginaient nos ancêtres de 2050. Vert de la couleur des millions de cadavres, victimes de la nouvelle peste.
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La tristesse, elle vient d'abord comme un tsunami qui envahit tout, casse tout, emporte tout. On essaye juste de ne pas se noyer.
Ensuite elle fait des vagues. Des hautes, des petites, des violentes, des douces... Ça dépend. Là, il faut être malin pour deviner s'il faut plonger dessous ou se laisser emporter. De toute façon, il faut attendre que ça passe.
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Famille : "Ensemble formé par le père, la mère (ou l'un des deux) et les enfants."

ÇA, c'est une vision drôlement rétrécie de la famille ! Et mon grand-père, alors ? C'est pas ma famille, peut-être ?
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"Il plut trois jours durant. L'orage déversa sur les Terres Noires des trombes d'eau sillonnées d'éclairs et de fracas, puis il passa mais la pluie persista, dessinant cordes, seaux, hallebardes...
Le premier jour, Claris s'occupa. Elle lava son linge, rangea sa tente et son sac. Elle entretint son feu, lut mangea, dormit, lut à nouveau.
Le second jour la trouva tout à fait prête à reprendre le tour du lac. C'était sans compter sur l'obstination de la pluie qui ne désarmais pas. Claris passa la journée à s'impatienter, vérifiant toutes les demi-heures si la pluie avait diminué. Elle dormit mal, tournant et retournant dans sa tête des questions sans réponse.
Le troisième jour, avant d'ouvrir les yeux, elle sut au son des gouttes martelant la pierre que la pluie tombait toujours. Elle fit quelques mouvements d'Unir, mangea froid pour économiser son fagot qui diminuait à vue d'oeil, essaya de lire mais n'y parvint pas. Agacée, elle finit par s'asseoir le menton posé sur les genoux relevés et regarda la pluie tomber. Pluie, arrête-toi, arrête-toi...
Les Vifs de l'Eau ralentirent leur danse un instant, attentifs au désirs de la fille. Ramsk soit maudit, arrête-toi donc ! Les Vifs n'obéissaient pas à la mauvaise humeur ou à la colère, seulement au désir positif et à la volonté ferme. Ils reprirent leurs jeux, glissant de goutte en goutte, abreuvant la terre.
Claris changea de position et chercha son carnet dans sa poche. Elle fixa la page blanche en suçant son crayon à mine de charbon. Rien. A son doigt, la bague scintilla.
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L'imagination, les rêves, l'art sont autant de dimensions parallèles
à celle que l'homme a décidé d'appeler réalité.
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Ecrire, c'est jouer de la plume, jouer des idées, des émotions, des mondes imaginaires.
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La lecture ne comporte pas de hasard, seulement de la chance. La lecture est une errance inspirée, une quête dont le but n'est pas d'arriver, de connaître la fin de l'histoire, mais de lire, de naviguer, de voyager
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Régner véritablement, c'est servir.
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Il y a diverses façons d'être un guerrier. Toutes ne demandent pas l'usage d'une arme.
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Les humains sont lents et compliqués, pensa le chat.
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Pleurer, c'est comme le ménage. Vaut mieux le faire à deux !
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Ce n'est pas parce que nous ignorons notre destination que nous ne voyageons pas.
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C'était l'heure fragile où le jour s'efface et la nuit lâche ses ombres.
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Le dôme avait été l'antre de Sierra, sa caverne d'Ali Baba, disait-elle. La mère des jumeaux y passait tout son temps libre, dévorant livre après livre, s'abreuvant de poèmes, se nourrissant d'idées. Enfant, elle voyageait dans les histoires. Adolescente, elle attisait son désir de devenir Nomade de l'Ecriture. Adulte, après son expulsion du Nomadstère, elle avait fait du phare-bibliothèque son refuge.
Lorsqu'elle avait disparu, Eben, qui n'aimait que les activités au grand air, s'était mis à hanter la tour des Livres parce que tout dans ce lieu lui parlait d'elle. Au fil du temps, il était devenu captif lui aussi du silencieux murmure des livres.
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Le livre va vers son lecteur
aussi sûrement que le Soleil est amoureux de la Lune.
Il le cherche, il le reconnaît, il le trouve.
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