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3.2/5 (sur 65 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1981
Biographie :

Pauline Delpech est un écrivain et une comédienne française.

De son vrai nom, Pauline Bidegaray, elle est la belle-fille de Michel Delpech dont elle a pris le nom. Sa mère Geneviève, artiste-peintre a refait sa vie avec le chanteur alors que Pauline avait six mois.

Adolescente, elle a été hospitalisée onze mois pour anorexie, suite à une rupture sentimentale. Elle ne pesait plus que 29 kilos. C'est durant son hospitalisation à Saint-Anne qu'elle décide d'exorciser ses démons par le biais de l'écriture.

Elle crée alors le personnage de Barnabé, héros tourmenté de ses trois premiers romans. Son premier polar «Sous la neige noire» est vendu à 30 000 exemplaires.

Ayant toujours mille projets en tête, Pauline écoute toutes ses envies et n’entend pas délaisser sa carrière de comédienne. En décembre 2009, elle va jouer dans «La peau de chagrin» d’Alain Berliner pour la télé, avant de devenir une héroïne de cinéma pour Hugues Deniset, ancien assistant de Jean-Jacques Beineix.
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Pauline Delpech discrète se livre avec émotion au micro de Bruno Soriano sur sa passion sur les animaux mais aussi nous parle de sa victoire sur la maladie grâce à l'animal.


Citations et extraits (59) Voir plus Ajouter une citation
Au revoir mon bébé bleu
Ton papa s'en va à la chasse
A la chasse au macareux
Si tu dors bien ,si tu es sage
De la chasse au macareux,
Ton papa reviendra heureux
Des oiseaux plein sa besace .
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Qui décrète qu’arrivé à l’automne de sa vie on ne peut plus charmer ni plaire ? Moi je trouve que les corps qui ont vécu sont plus émouvants que les corps juvéniles, et que les bras qui ont déjà tenu et enlacé d’autres corps sont la promesse d’étreintes plus ­bouleversantes.
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J'ai besoin de vous pour retrouver un homme .Il m'a dépouillée , il m'a bafouée , il a disparu .
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Frassetto relisait les aveux du coupable, relevés et consignés par Béliveau, qui avait remarqué : " Je l'avais bien dit ! Un étranger ! " L'étranger venait de Grenoble, la ville, c'était un autre pays. Sas doute y avait-il une frontière . Les paysans d'ici allaient une fois dans leur vie dans une grande cité, à l'occasion d'un mariage, d'enterrement ou des comices agricoles, et revenaient, satisfaits d'avoir aperçu le monde extérieur, qui ne leur plaisait guère. Si bien que la nouvelle d'un assasin échappé de l'asile de Grenoble, où le bon docteur Clerc tentait de conserver un semblant d'ordre, ne leur paraissait pas anormale
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– Mais toi, tu n’es pas obligée de partir ou de me laisser. Tu peux renoncer. Pourquoi devrais- je choisir de rire, de chanter, de danser, de continuer et toi, non ? – Parce que toi, il te reste l’espoir, alors que moi je l’ai perdu depuis longtemps. Tu as tant à bâtir, à entreprendre, à détruire aussi peut- être, mais pour reconstruire. Tout à faire, en somme. Moi je n’ai plus aucune perspective, excepté celle de l’oubli. Et au- delà de la maladie, nous savons pertinemment toutes deux qu’une vie ratée ne se rattrape guère. Mais trêve de grands discours ; ne tombons pas dans le mélo, je déteste ça ! »
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La vie commence toujours demain. Elle est pleine de premières fois.
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La nuit était tombée sans qu’elles s’en soient aperçues. L’obscurité les enveloppe, à présent. Il y a encore tant de choses à dire ; elles n’en sont qu’au début. Ce silence… il les sépare, maintenant. Chaque souvenir que je vais devoir révéler aura un goût amer, pense Julie, mais la vie n’est qu’un matériau, après tout. À moi de le sculpter comme bon me semble. Elle se penche vers Élisabeth, entoure ses épaules de son bras. Élisabeth se blottit contre elle. « J’ai envie d’embrasser le sable », dit- elle.
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" [...] - Je veux que tu continues de sourire, de rire, de chanter, de célébrer la vie et d'aller de l'avant. Ne passe pas à côté de l'essentiel.
- C'est quoi, l'essentiel ?
- Cesser de courir inutilement et surtout à sa perte. Se satisfaire de ce que vous offre l'existence, s'aimer davantage et ne jamais craindre de dire aux autres à quel point on les aime quand il est encore temps. Sinon ils partent, d'une façon ou d'une autre."
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C’est bien cela l’égoïsme, n’est-ce pas ? Tout quitter pour suivre l’homme de sa vie, quoi de plus splendide, et à cela je ne trouve rien à redire, mais abandonner ses proches sans l’ombre d’une explication et sans même se soucier de ce qu’ils vont devenir, voilà qui est déplorable ! C’est pire qu’une trahison et j’en suis coupable ! Pas une seconde leur douleur ne m’a retenue, pas une seconde je n’ai envisagé, par respect pour eux, d’agir correctement. Non, je me suis défilée comme une voleuse. Cette nuit-là, j’ai fait mes valises discrètement, j’ai franchi le seuil de la maison à pas de loup pour ne réveiller personne et je suis partie en claquant la porte vivement.
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"- [...] Vous vous êtes mariés comme si vous aviez peur.
- Peur de quoi ?
- Peur que tout s'arrête, que tout retombe. Que la vie ordinaire reprenne le dessus. Qu'une fois passé ce formidable espoir, cet élan, la réalité vous rattrape.
- Tu crois qu'on avait peur de ne pas s'aimer assez ?
- Je crois que tu l'as aimé éperdument."
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