Pauline Martin

Un album tout mignon sur l'arrivée d'un petit frère ou d'une petite sœur.



Un album tout doux, plein de beaux sentiments, d'amour, de curiosité sur l'arrivée d'un bébé.



Les tous petits vont apprécier retrouver Max grand frère ou presque.



Une jolie série pour les tous petits avec des thèmes simples et variés.


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Cette série Max et Lapin rencontre un vif succès, dès 2 ans (fonctionne encore très bien à 3 ans révolus), en raison de la grande douceur qui émane à la fois de ses histoires et de son graphisme, très sympathique. Dans ce volume, la maman de Max attend sa petite soeur et il expérimente cette attente lui aussi, à hauteur de petit bonhomme qui avait jusqu’à présent ses parents pour lui tout seul. Pour être honnête, il n’y pense pas vraiment beaucoup ni souvent, à cette petite soeur qui finit par arriver… Epilogue douillet comme il se doit, même s’il me semble par trop idéal (la réalité est souvent beaucoup plus empreinte de jalousie !).

Dans la lignée de Mon amour, Astrid Desnordes signe un album presque philosophique sur les inquiétudes qui surgissent de l'imagination d'un enfant. Sans jamais les dénigrer, elle leur apporte une réponse bienveillante et motivante.

Pour les illustrations, on retrouve le trait rond de Pauline Martin et ses compositions qui confrontent question et réponse.

Un album qui parlera autant aux enfants qu'à leurs parents.
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Au moment de se coucher, Archibald demande à sa maman si elle l'aimera pour toujours. L'histoire du livre est la réponse de la maman à cette question.



Une réponse emplie d'amour inconditionnel et à toute épreuve qui valorise les différences et les divergences, et qui place l'amour au dessus tout. Un amour aveugle aussi, un amour subjectif, un amour infaillible malgré les failles.



On finit sur une note qui rappelle sans nul doute la philosophie de Khalil Gibran dans le prophète... j'irai presque à dire (et je le dis!) que ce livre pourrait en être une merveilleuse adaptation libre pour les enfants.



Un coup de coeur sans aucun doute! (surtout si pendant qu'on le lit à notre enfant on lit Khalil Gibran en parallèle!). D'ailleurs... probablement que j'offrirai les deux ensemble à des futurs parents, quel beau cadeau!



Pas d'âge pour cet album!

Et encore un album sur la propreté ! (Vous la sentez la mère désespérée qui cherche par tous les moyens à faire passer un message à son fils ?! ;-) Celui-ci présente une histoire assez originale, en tout cas je n'en avais jamais lue qui parlait du fait que la couche pouvait gêner.



Max et Ginger sont fiers de leurs baskets qui leur permettent de courir vite. D'ailleurs, ils aiment bien faire la course. Mais c'est Ginger qui gagne, parce qu'elle est plus légère ! Max, lui, se sent lourd avec sa couche ! Alors il décide finalement d'enlever la couche, de faire pipi sur le pot, et de courir bien plus vite !



Une histoire sympa, que Mini aime beaucoup ! D'ailleurs, depuis qu'on la lit, il veut bien enlever ses couches (est-ce que ça a un rapport ? mystère !) Il a très vite repéré Max et Ginger, on sent que cette série a un bon potentiel pour lui plaire !
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- La tarte à la colère



Max joue dans le sable en imaginant un très bon gâteau. Mais Ginger arrive et détruit son œuvre. Max et Ginger s'énervent. La maman de Max proposent alors de faire ensemble une tarte à la colère. Les deux amis vont-ils finir par se réconcilier ?



Ces petits albums présentent de courtes histoires pour les tout-petits. Dans ces livres sont abordés divers thèmes. Ici on retrouve la propreté, la colère, l'imagination et le temps du coucher.



Sur la page de gauche, on retrouve le texte (à peine cinq lignes) et sur la page de droite l'illustration. Les dessins sont simples et très colorés. Le format petit et carré est bien adapté aux petites mains.
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La collection Max et Lapin nous plonge dans l'univers plein de fantaisie de Max, un petit garçon espiègle qui découvre la vie aux côtés de son amie, la pétillante Ginger et de Lapin, son fidèle doudou.

Son univers, proche du quotidien des petits, est rempli de tendresse et aidera à coup sûr les plus jeunes à surmonter certaines situations et tracas du quotidien : la peur, la colère,... Dans ce nouveau tome, Max attend impatiemment le matin de Noël, mais il n'arrive pas à s'endormir à cause des petits bruits qu'il entend dans le jardin...

Les enfants n'auront aucun mal à s'identifier à ce petit héros qui leur ressemble tellement. Les illustrations sont mignonnes et pleines de tendresse.

Il est conseillé dès 2 ans.
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Absolument fan du duo Desbordes et Martin, mais déception cette fois-ci. Le texte est vraiment bien monté pour parler de l'arrivée d'un bébé d'une famille, tout en étant honnête avec le jeune lecteur: un nouveau bébé prend effectivement beaucoup de place et ce n'est pas toujours facile de s'adapter à cette réalité. Le message reste toutefois positif puisque Archibald a beaucoup de plaisir avec sa soeur. Là où le bât blesse, c'est que le mot "indien" soit employé lorsqu'ils jouent aux cowboys et "aux indiens". Alors que les livres du duo sont habituellement plein de bienveillance, là on trouve un mot atroce... Sans doute que le mot choque moins en Europe continentale qu'en Amérique du Nord, pour cause d'ignorance du sort de ceux que l'on appelle "indiens", mais cela ne le rend pas plus acceptable. À ce niveau-là je pense qu'il y a eu un manque de documentation. Alors ici, on le lit, mais on en profite pour sensibiliser et expliquer pourquoi on ne peut pas dire "indiens" et on parle aussi de ces autres mots qu'on ne peut pas utiliser, comme "nègre" par exemple, puis on remplace dans l'histoire par "autochtones" ou "Sioux", "Algonquins", "Cheyennes", "Hurons", etc.

J'ai longuement attendu que ce livre soit disponible à la bibliothèque, puis je l'ai finalement acheté. Et je ne regrette pas! Parce qu'avec mon Petit Bonhomme de 3 ans si sensible, les livres au joli message d'amour sont fort appréciés. Bien sûr, tous ces livres ne nous empêchent pas de lui répéter régulièrement que nous l'aimons de tout notre coeur (c'est d'ailleurs la phrase qu'on lui dit chaque soir avant d'éteindre la lumière). Mais ces livres aident à trouver les mots pour décrire tous ces sentiments et à le rassurer sur le fait que oui, nous l'aimons quoi qu'il arrive. Même quand ça ne se voit pas...
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Il m'est difficile de critiquer ce livre car tout d'abord je l'ai acheté précipitamment en pensant qu'il porterait sur les idées de Daniel Arasse et non sur une étude de l'outil "photographie" dans son travail et ses théories. Le livre est cependant bien fait. les auteurs ont fait un superbe travail de recherche et d'analyse même si je ne suis pas toujours d'accord avec elles. Notamment sur une des premiers chapitres qui rapproche la guillotine et la photographie. La réflexion est bien argumentée mais peut être trop fabriquée à mon goût. Le livre est cependant très intéressant et ouvre des débats passionnants qui peuvent aller bien au delà de la pratique de Daniel Arasse.

Mais qu’il est arrogant ce petit hamster égocentrique ! Rejetant tous les autres animaux, il ne pense qu’à lui et à partir dans l’Univers. Insupportable, pédant, amusant, ce hamster… Et forcément… on l’adore ! Sans parler des autres personnages, surtout la taupe, qui sont terriblement bien pensés et représentés.

Les planches sont très aérées, les scénettes courtes pleines de vie, et les personnages parfaitement attachants. Bref, les aventures de ce hamster, j’ai savouré, dévoré, et j’en redemande ! Espérons une suite !
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Ce livre appartient à une série, Max et Lapin, qui nous plonge dans le quotidien de Max, un petit garçon espiègle, qui découvre la vie aux côtés de son amie, la pétillante Ginger, et de Lapin son fidèle doudou.



Ce qui est drôle ici, c'est que mon fils a aussi un doudou en forme de lapin alors il peut vraiment se mettre à la place de ce petit garçon.



Max et Ginger jouent au parc quand ils se disputent soudain. La maman a une merveilleuse idée : faire une tarte à la colère. Ensemble, ils la fabriquent et finalement la colère se dissipe pour laisser place aux rires.



C'est un livre tout mignon rempli de jolis dessins très colorés, agréable à regarder. Je trouve que l'idée de la maman est originale et pourquoi pas essayer cette technique pour voir si cela fonctionne vraiment.

Coup de cœur pour ce magnifique album qui m'a fait pleurer la première fois que je l'ai lu. J'adore le lire à mon fils, ce livre est tellement fort.

Pauline Martin et Astrid Desbordes nous offrent ici LE livre parfait pour traiter de l'arrivée d'une petite soeur ou d'un petit frère, préparer l'enfant à la place que celui-ci prend dans le coeur des parents. Ce livre, très tendre, agrémenté de quelques touches d'humour, est servi par des illustration épurées, mettant ainsi l'accent sur l'essentiel: les personnes et les sentiments.

Un amour de petite soeur, Astrid Desbordes, Pauline Martin, Albin Michel jeunesse, 9€90



C’est avec grand plaisir que nous retrouvons Archibald dans ce nouvel album.



Quand ses parents lui annoncent l’arrivée prochaine d’une petite sœur, il semble un peu perplexe: Il ne se souvenait pas l’avoir demandé.
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Le jour de la rentrée, la petite fille ne veut pas laisser partir sa maman, qui va rester finalement. Elle va participer avec plus ou moins de bonheur aux activités, se fait remarquer et devient gênante pour sa fille qui lui demande de partir. Les illustrations sont très claires, expressives.

Les petits lecteurs vont à la fois retrouver des situations familières et réfléchir à leur propre situation au moment de quitter maman le matin.

Un très joli petit album pour annoncer la venue d'une petite sœur.



Les auteurs ont mis au centre de cette histoire le grand frère, a qui on annonce l'arrivée prochaine d'un autre membre dans la famille. Ainsi, tout au long du récit, nous allons suivre les pensées et les interrogations du jeune garçon, quant à l'arrivée de sa prochaine petite soeur. Il essaye petit à petit de se familiariser avec cette idée... Et un jour, la nouvelle venue est là !



Il nous décrit ensuite le quotidien de cette nouvelle famille qui s'est agrandie plus vite qu'il ne l'aurait imaginé. Il trouve bien pratique d'avoir une petite soeur, parce qu'il peut lui apprendre à voler par exemple mais aussi à jouer au cow-boy et aux indiens. Mais le garçon ne cache pas non plus la difficulté de ne plus être enfant unique, même s'il s'adapte bien à cette nouvelle compagnie !



Les illustrations de Pauline Martin accompagne à merveille le récit. Elles sont douces, soignées et tendres. On se sent vraiment bien devant ses dessins, on pourrait même les qualifier de "douillettes". Le texte est très abordable pour les enfants et positif. Elle aborde les avantages et les inconvénients tout en ressortant toujours les bonnes choses autour l'arrivée d'un 2e enfant.
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Un loup arrive inopinément chez la poule et lui demande un thé chaud. Malgré sa peur, la poule le reçoit. Elle attend ses amis pour un dîner. L'ours entre et repart immédiatement parce qu'il n'aime pas ce qu'il voit. L'écureuil et la souris feront de même. La poule reste seule avec le loup.

Une jolie variante de toutes les histoires de poule et de loup dans la collection Zéphyr que j'aime particulièrement.

L'histoire : C'est le premier jour de l'école. Hors de question pour cette petite fille-là de laisser sa maman l'abandonner au milieu des autres enfants en pleurs. Elle s'accroche fort à elle et voilà donc Maman parmi les élèves dans la classe ! Lever le doigt, découper des formes pour décorer une frise, faire la sieste... Ce n'est pas du goût de Maman qui, malgré sa grande taille, fait des efforts d'adaptation.



Ce petit album est vraiment très bien pour aborder la question de la rentrée avec son enfant. On peut lui expliquer comme ça va se passer, et qu'on s'amuse toujours mieux sans avoir sa maman dans les pattes. Ici, la petite fille est tellement inquiète, qu'elle préfère que sa maman reste avec elle, mais au fil de la journée, finalement elle se débrouille bien toute seule et elle n'a pas envie de s'occuper de maman sans arrêt, qui a un peu du mal à s'adapter... Finalement, l'école ce n'est pas si terrible, on joue, on s'amuse, on apprend puis on retrouve toujours ses parents à la fin de la journée !


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L'histoire : Février 1997, à Zürich. Pauline devait voir Giovanni hier, mais plusieurs fois, il a annulé... Elle apprend qu'il s'est suicidé pendant la nuit. Elle se reproche de n'avoir rien vu venir, de ne pas avoir perçu qu'il était déprimé. Ayant mis la main sur une boîte avec des images de Giovanni et des objets lui ayant appartenu, elle reconstruit ses souvenirs quand elle ne cauchemarde pas...



Mon avis : si j'avais connu le thème abordé, le suicide, je n'aurais probablement pas emprunté cette bande dessinée (à cause du suicide de ma mère)... et pourtant, je ne regrette pas, par son trait noir et blanc, Pauline Martin rend très bien ses sentiments, le déni, la culpabilité, la reconstruction personnelle qui passe par une phobie de la mort (et des transports, avions, voiture, etc.)...
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