On n'est pas maître de tout ce qui nous arrive, mais on est maître de ce que l'on en fait
L'espérance fait grandir autant qu'elle fait avancer
Il existe des anges sur Terre... On appelle ça des enfants.
Je prends un goût à plonger dans les livres, à m'imbiber d'histoires, de réflexions, de citations. La lecture est un baume au coeur. Elle transpose ailleurs, tout en nous ramenant toujours à nous-mêmes au travers des réflexions des auteurs. C'est vraiment agréable.
Et nous sommes finalement restés ensemble, en équilibre instable, avec la distance de croyants qui pratiquent leur culte sans foi, avec le déni d’une tumeur installée dont on refuse de reconnaître l’existence. Un cheminement à maux couverts.
Je n’allais pas te demander de m’aimer toujours, mais je te demande de toujours te souvenir de combien je t’ai aimée ce jour-là.
N'avez-vous jamais vu une femme amoureuse au téléphone ? Elle sourit à chaque phrase. Elle respire la voix de l'aimé. C'est quelque chose de très beau.
Ne jamais dire jamais et ne jamais penser toujours.
C'est avant tout d'émotions que nos existences sont tissées. Peut-être qu'il y a plus de destins qu'il n'y a de hasards. Et donner aux autres et bien plus qu'une inclination ponctuelle de l'âme, c'est un pas vers sa propre destinée.
Qu'est-ce qui au fond est le pire ? Se résigner à être un autre ou se résigner à n'être que soi-même ?
On reçoit toujours beaucoup plus si l'on donne pour donner, pas pour recevoir.
Je souhaite également marquer les esprits en partageant une vision très personnelle et très « visuelle » du cancer. Il faut le prendre dans une approche « horizontale » et non pas « verticale ». Je m’explique…
Si un malade considère son cancer comme une fatalité, une espèce de malédiction venue du ciel et qui s’est abattue sur lui, il va subir, ne montrer que trop peu de résistance ; que faire contre une « malédiction » qui relève d’un destin accablant ? Si au contraire il regarde son cancer en face, qu’il le considère comme un obstacle, une épreuve sur son chemin qu’il faut regarder, considérer et affronter, il a alors cette vision « horizontale ». La maladie est certes là, elle empêche son avancée personnelle, mais le patient a conscience que derrière, il y a la route de la vie qui peut continuer. Il ne s’agit pas de s’amputer d’un avenir, il s’agit de le différer.
Il est des différences qu’efface la force des sentiments.
Les âmes fondues sont les plus beaux cheminements de vie.
"Cette femme était la représentation des poussières d'émois que laisse un amour non abouti, mais qui a tant compté"
Maman je t'aime tellement tout le temps que je crois que je t'aime même entre les secondes .
Les confidences dessinaient leur précieuse intimité qui n'attendait plus qu'une chose : disposer d'un avenir !
Il y a des textes qui vous laissent sur le cul !
"Double meurtre à Marrakech" n'est pas à proprement parler un polar comme on les connaît ou comme le titre laisserait penser.
C'est une histoire d'amour entre un homme et une femme, une enquête policière avec un commissaire marocain, une histoire familiale avec une jeune femme qui cherche à savoir qui est vraiment son père, un guide touristique sur le Maroc et une jolie dédicace au monde de l'équitation.
Voilà une vraie réussite !
Ce que le destin ou le hasard avait mis entre leurs deux vies était une aubaine, un miracle de ce monde si complexe et avide de positions contraires.
Nous sommes des êtres singuliers mais nos vies ne se conçoivent qu'au pluriel.
La surprise pour moi. La gloire pour elle. La peur pour moi. Les larmes pour elle. Le coeur en émoi. Le sien. Le mien. Le bonheur existe sur cette Terre !