Citations de Philippe Pelaez (167)
Faut pas croire tout ce qu'il y a dans les livres.
La tromperie est dans le cœur de ceux qui méditent le mal !
Un apparatchik n'est pas un homme politique, surtout pas. C'est un guerrier qui sert son maître, un professionnel qui protège son patron. Il est le bras droit toujours, l'oreille souvent, le cerveau parfois.
Que risquons-nous, maréchal ?
S'ils échouent, nous n'aurons pas à indemniser leurs familles !
Nous allons les larguer sur Kepler-452b et les forcer à traverser l'horizon noir.
- Toute la peine que tu peux t'éviter avec ça [le tracteur] ! Et tout le temps qu'on peut gagner !
- Et qu'est-ce tu crois qu'y va s'passer, ensuite, hein ? Qu'est-ce qu'y va s'passer quand les paysans auront récolté leurs champs plus vite ? Ils voudront labourer d'autres champs plus grands, voilà ! Et il leur faudra de plus grosses machines ! Sauf que c'est pas leur champ qu'ils vont labourer, ce sera çui du gros propriétaire qui les aura bouffés tout crus, parce qu'ils auront été incapables de rembourser leurs dettes ! Ces cons-là, y croyaient avoir tout vu avec le remembrement, mais le remembrement c'est rien à coté de c'qui va s'passer ! Ça oui, y a eu les noces des hommes et du progrès, comme y disent ! Et nous, les paysans, on est les cocus de l'histoire !
Nous avons assassiné jusqu'à la déraison. Si votre Dieu existait, nous serions morts depuis longtemps.
Si la démocratie est chancelante, alors changeons de système !
Les hommes n’ont pas besoin qu’on les pousse à s’entretuer, ils se débrouillent très bien tout seuls !
Il y avait ce jeune maghrébin à qui je donnais des cours de français et qui me demandait si ce que nous faisions en Algérie était juste. Je lui ai répondu que je ne savais pas, on dit qu'une guerre est juste quand elle est nécessaire, mais ça dépend de quel côté du fusil on se trouve.
On dit qu’une guerre est juste quand elle est nécessaire, mais ça dépend de quel côté du fusil on se trouve.
J'étais à deux doigts d'appeler les experts du ménage de l'émission télé, ceux qui viennent nettoyer les appartements qui ressemblent à une porcherie !
Il a fallu qu'ils me guyannisent ces cons ! Et pour 8 ans ! Pile ce qu'il faut pour ne pas en revenir de ce foutu Cayenne ! 8 ans d'éternité !
Oui, je suis un embusqué, un tire-au-flanc, un genoux creux, un fonctionnaire du bobard, un adjudant de la fourbe.
Les règles sont simples : il n'y en a pas.
C'est un combat à mort.
Le vainqueur sera lib...
PAF !
- Je suis un mal nécessaire et peu importe le moyen de mes actions pourvu qu'on ait la terreur.
- La violence est l'arme du faible
- Non, parce que cette violence là, si elle était le fait du prince, vous la valideriez sans hésiter. Mais si elle vient du peuple, elle ne peut être qu'illégitime n'est-ce pas?
L'anarchisme n'est que la traduction d'un malaise.
Le seul réseau social ici sera celui que vous tisserez avec vos voisins.
Il m’a fallu vivre dans vos tranchées, Capitaine, pour comprendre que mon pinard était beaucoup plus qu’une activité pécuniaire. Il m’a fallu voir votre misère pour comprendre que j’oeuvrais pour le bien de l’inhumanité.
- Vous ne saisissez pas ce qu'est le pouvoir, le vrai pouvoir. Celui qui se permet tout, qui s'autorise tous les excès sans jamais être menacé.
IL Y A DES DEMEURÉS QUI SE CONNAISSENT, ET DES IDIOTS QUI S'IGNORENT, MON CHER ALBAN.