Rao Pingru - Notre histoire : Pingru et Meitang
L'infortune nous voue à l'effort,
Et quand vient la quiétude, le ciel ne nous rend pas nos années perdues ;
A ma grande douleur, finalement tu es repartie ;
Qui sait ce que réserve le sort ?
Passé les vicissitudes, ses poussières n'obscurcissent plus la vue ;
Dans une vie meilleure, j'espère que nous serons réunis
Poême en la mémoire de Meitang écrit par Pingru (page 313)
Meitang et moi avons vu autour de nous tant de couples qui se séparaient et de frateries qui se dispersaient, de parents qui se reniaient et de foyers qui s'effondraient ... Heureusement, l'idée de renoncer l'un à l'autre ne nous a jamais traversé l' esprit.
Avant de la connaître, je n'avais peur ni de mourir, ni de partir loin de chez moi, et je ne me souciais pas du temps qui passe ; mais à présent, je m'inquiétais de l'avenir, plus sérieusement que je ne l'avais jamais fait?
(P98)
Beaucoup de petits riens laissent sans raison particulière une profonde empreinte dans le cœur des gens ordinaires comme nous, devenant avec le temps des souvenirs d'une valeur inestimables.
(P152)
Après être entré à l'école élémentaire, il m'incomba de servir le riz à mes parents chaque matin.
Beaucoup de petits riens laissent sans raison particulière une profonde empreinte dans le coeur des gens ordinaires comme nous, devenant avec le temps des souvenirs d'une valeur inestimable.
De l'éducation familiale, j'ai retenu deux choses en particulier : le respect de l'écrit et celui de la nourriture.
Lorsque le froid de l'hiver est le plus rude, c'est que le printemps n'est plus si loin.
Lorsque le froid de l'hiver est le plus rude, c'est que le printemps n'est plus si loin.