Citations de Raoul Cauvin (873)
Blutch :
Dans toute histoire qui finit mal, on cherche toujours des boucs émissaires. Dans celle-ci, ils n'ont pas été loin pour les trouver.
Notez qu'on a encore eu de la chance, au départ on devait être fusillés, mais le général a trouvé que c'était encore trop beau pour nous....
Je ne toucherai plus une coupe de champagne avant l'âge de 18 ans !dur dur
- C'est quand même curieux la vie...
- Ouais, et crois-moi, t'as pas fini d'apprendre, gamin.
À mon époux - Charles Dupont - enfin raide.
Le diagnostic du médecin est clair et concis...
- Grippe !
Celui du psy... moins !
- Vous souffrez de crises d'angoisse ! Chez vous, cette anxiété comme telle à l'état nu, et l'angoisse presque constante sont le trouble principal de votre personne... Dans votre cas, il pourrait s'agir d'une névrose d'angoisse... En d'autres termes, nous pourrions considérer votre névrose d'angoisse comme "névrose mère"...
- C'est mon épouse qui a sur-le-champ exigé que je vienne vous voir...
- Pour quelle raison ?
- J'ai voulu lui faire écouter le melon qui sanglotait !...
- Je vous avais dit de ne pas me suivre idiot, à présent vous allez être considéré comme déserteur comme moi.
- Bah ! Depuis le temps que je rêvais de déserter...Ce qui est marrant dans l'histoire c'est que moi je déserte pour ne plus voir l'armée, tandis que vous c'est pour que l'armée ne vous voie pas.
- A West Point, on nous a appris qu'une charge de cavalerie se préparait en faisant d'abord donner l'artillerie ! ...
- Ben, ici, c'est plutôt le contraire ! On prépare les tirs d'artillerie en faisant charger la cavalerie ! ...
- ... Et ceux d'en face ? ...
- Ils se servent d'abord de leur artillerie !
- Mais ça va être un massacre !
- Hé !
Père - hû ?
Mère et fille - ?
Père - Hiiihuuuuuuuukh
Mère - Qu'est-ce qu'il a ?
Fille - Il a dû avaler quelque chose de travers...
Mère - Qu'est-ce que tu vas faire ?
Fille - Pratiquer sur lui la manoeuvre de Heimlich...
La compression brutale du thorax permet parfois l'expulsion du corps étranger qui a pénétré les voies respiratoires... Laisse bien pendre les bras, papa...
Père - Huûû huuu
Mère - Ah ?
Fille - Attention... A la une... A la deux... A LA TROIS !
*CROUNCH HOC PAF*
Médecin auscultant la mère - Des corps étrangers dans l'oeil, j'en ai vu beaucoup, mais comme celui- ci, je n'avais encore jamais vu. Qu'est-ce que c'est, déjà ?
Fille - Une dent à pivot qui a lâché....
Mais s'il me touche encore je lui envoie une de ces beignes à faire résonner ses molaires jusqu'en Californie.
Pensez donc, Docteur ! Aller dire tout haut à un général ce que tout le monde pense tout bas ! Faut plus avoir toute sa raison !
- Encore un qui ne comprend pas que notre métier ne se limite pas à ça...
- Non, mais il faut quand même avouer que nous n'en sommes pas loin !...
- Instructeur!...on m'a nommé instructeur !..C'est y pas beau, ça, Blutch ?..
- ...Et vous allez les instruire de quoi, sergent ?
- ...A fondre sur l'ennemi comme un seul homme...à tomber sous la mitraille en héros...à verser leur sang pour la patrie...à être des hommes!..
- Il y a des jours où je voudrais m’appeler Louise...
Et vous mademoiselle ... vous en qui je voyais déjà une héroïne admirable ! ... Vous que j'aimais déjà comme un père, et à qui je promettais déjà les plus belles cicatrices qu'on puisse récolter sur un champ de bataille ! ... Vous qui auriez pu peut-être un jour jouir à mes côtés d'une mort glorieuse ! ...
- Mais sacré nom de nom ! Si vous êtes aussi riche, pétant de santé, comblé en amour et heureux comme vous le dites, qu'est-ce que vous venez de faire ici ?... Quel est votre problème ?...
- Celui-là justement ! Chaque fois que je raconte ma vie à quelqu'un, il faut toujours qu'il s'énerve !...
- J'ai décidé de la demander en mariage !
- Ben, dis donc ! Et ses parents, ils sont d'accord ?
- C'est pas ses parents que je veux épouser, c'est elle !
- Ah, ouais ! ça c'est juste !
Caporal, je vous avertis charitablement... si vous vous obstinez à me mettre des bâtons dans les roues, vous allez faire de moi un meurtrier !
-On a beau s’y attendre, ça surprend toujours !
Il y a des milliers d'endroits plus agréables que celui-ci, seulement voilà, Amélie n'y habite pas !
Je me doute de ce que tu penses, mais les parents, ce n'est pas comme les amis : une fois que tu les as sur le dos, c'est pour la vie !