Citations de Raoul Cauvin (873)
Yollande : Vous... Vous avez une petite amie ?
Nicolas : Oh, que non !
Yollande : Ca tombe bien ! Maman dit toujours que je serai un bon parti et je suis libre en ce moment !
Nicolas : Vous avez un titre ?
Yollande : Un titre ?
Nicolas : Princesse ? Comtesse ? Vicomtesse ? Baronne ?
Yollande : N... Non !
Nicolas : Désolé, mon père n'acceptera jamais. Les nobles se marient entre eux, enfin presque ! Mais si vous voulez, nous pouvons rester amis.
Yollande : IL N'EN EST PAS QUESTION !
Nicolas : Désolé !
Yollande : GOUJAT !
Nicolas : Vous m'en voyez navré !
- Ainsi, voilà donc l'endroit où mon âme droite et pure va quitter mon petit corps douillet !...
-Blutch, vous êtes tellement bête que je me vois très bien assis à côté du cheval et vous tirant la carriole !
-D'accord avec vous, sergent...au moins vous auriez un interlocuteur à votre niveau !
- Non mais vous avez vu votre crâne ? Il y reste autant de poils que de cavaliers dans la section du lieutenant ! Et en plus, ils sont d'une couleur qui ficherait une grippe intestinale à un caméléon adulte !
- J'ai vraiment de la peine à croire qu'ils aient pu déserter comme ça sans raison grave... Je connais suffisamment le sergent Chesterfield pour pouvoir affirmer que c'est un crétin, donc un bon soldat ! Je me refuse à croire qu'il a déserté dans un motif sérieux !
[Chesterfield] Vous n'avez pas honte de vouloir déserter comme ça, pour un oui pour un non ?
[Blutch] Je ne déserte pas ! Je fuis vos idées bêtes et ridicules !
Pepe a Cédric
- tu aime aller a l école 🎒 gamin?
- oui, mais j'aime aussi en
revenir, ce que j'aime moins c'est le temps passé
entre les deux.
- Nos bases arrières sont à des lieues d'ici. A supposer qu'elles arrivent à nous envoyer un convoi de chariots, il mettra un temps fou à arriver jusqu'à nous.
- C'est certains … Si elles chargent des œufs frais là-bas, ce sont des poussins qui arriveront !
- Ben ? Qu'est-ce qui t'arrive, mon vieux ?
- J'ai attrapé huit jours parce que mon pantalon était tout chiffonné...sgnif !
- J'ai jamais pu repasser un pantalon à la maison ! Ce sont mes soeurs qui le faisaient...sgnif !
- J'ai dit au capitaine que j'allais envoyer mon pantalon chez moi et que maman me le renverrait dans la huitaine, aussi impeccable que s'il était neuf, il est ...sgnif...devenu tout rouge...
- Qui ? Le pantalon ?
- Non, le capitaine ! Il a fait craquer ses doigts, puis...sgnif....il m'a envoyé au cachot !
- Bah, t'inquiète pas ! C'est pas sigrave le cachot....
- Mais j'ai peur du noir ! Boououououuh !
- Allez plutôt me chercher à boire, au lieu de cracher votre venin sur le dos de votre supérieur comme un vulgaire chacal !...
- Si les chacals se mettent à cracher du venin, où va-t-on, je vous le demande !...
Caporal Blutch : "Mais à filer sans péril, on déserte sans gloire !"
(Détournement de : “A vaincre sans péril on triomphe sans gloire” de Pierre Corneille.
Non, non et non ! Je refuse que cet orteil mette un pied dans mon réfrigérateur !
Infirmier : Il faut lui faire du bouche-à-bouche. C'est sa dernière chance ! Allez-y.
Infirmière : Qui, ça ? Moi ?
Infirmier : Bien sûr ! Vous, vous n'avez encore rien fait jusqu'à maintenant !
Infirmière : Vous n'y pensez pas sérieusement ? Je suis mariée, moi, j'ai deux enfants... Et quand bien même, avec toutes ces maladies qui courent... Ah ben alors, merci ! Bêrk, bêrk, bêrk...
[Dans La débutante]
Je ne te dis pas l'horreur. De peur de se montrer, le pauvre homme passait tout son temps caché sous ses couvertures.
- C'est alors que le docteur Minet a décidé de lui venir en aide et de tenter de lui remodeler un nouveau visage.
A l'aide de morceaux de peau pris par-ci par-là, on lui a reconstituer une oreille, une joue, des lèvres, un nez. Nous nous sommes même cotisés pour lui offrir un oeil de verre.
- C'est moi qui fait tout le boulot et c'est vous qui récoltez les palmes !
- Dans l'armée, c'est toujours comme ça, Blutch !
- A quoi pensez-vous Blutch ? …
- … Au regard du capitaine Philip quand il le pose sur la fille du colon ! … Ce n'est pas vous qui me feriez les yeux doux comme ça. Hein, sergent ? …
(Chesterfield et Blutch rentrent au camp, au milieu d'une haie d'honneur composée de cavaliers nordistes à gauche et de sudistes à droite)
- Nos armées sont fières de vous compter dans leurs rangs!
Grâce à vous, elles pourront lutter l'une contre l'autre sans plus être continuellement dérangées par ces hors-la-loi, honte de notre civilisation et plaie de notre pays. Au nom du général Lee ... Merci ...
- Au nom du général Küstler ... Merci...
[Black Face] Et si je me rends, que crois-tu qu'il va se passer ?
[Blutch] Vous serrez emprisonné, puis jugé...
-Et puis ?
-Il y en a qui ont eu la vie sauve !
-Des blancs, peut-être ! Jamais des noirs, et tu le sais très bien ! A présent, fichez le camp ! Hop ! Du balai !
-Black Face, tu es fou à lier ! Vous n'avez pas la moindre chance !
-De la chance, on n'en a jamais eu ! Sauf aujourd'hui...celle de mourir libres !
Chesterfield :
- Dès qu'ils auront endossé l'uniforme, ils auront enfin un but !... Un idéal !... Ils deviendront des hommes.
Blutch :
- Pas d'accord avec vous sergent ! La preuve ?... On pourrait vous mettre une soutane, une toge ou un pagne.... vous resteriez toujours un imbécile! On naît comme ça ! L'uniforme n'y change rien!
YAAHOU
– Bon sang ! Cette fois , c'est la fin !
– Vous appelez ça me couvrir ?
– Sergent ! Je n'ai plus de munitions !
– MESSIEURS , APPRÊTEZ-VOUS À MOURIR EN BRAVES ! JE VAIS FAIRE SAUTER LE CHARIOT !
– Encore ? Mais c'est un tic !
AOUUU
scritch
– ?
– Adieu , les gars ! Rendez-vous au paradis ! On va faire le voyages tous ensemble ! HOPS !
– Hé bien ! Ça va être gai !
–?
TATALATARITARATA
– La cavalerie !
TATALATALATALILITALA-TATALATALITATALATA
– Œil-de-cyclope a une folle envie de fuir !
– Et Géronimo , une atroce envie de le suivre !