Rihito Takarai

Kurose annonce à Shirotani qu'il ne souhaite mettre un peu de distance, et ainsi faire une pause dans leurs séances. Choqué par cette décision, Shirotani se coupe du monde extérieur et ne se rend plus sur son lieu de travail. Inquiet, son collègue Mikami tente de joindre le psychiatre pour essayer de faire revenir son collègue à la raison, sans savoir que cela allait définitivement changer la relation des deux hommes...



Et oui, la relation entre Shirotani et Kurose va connaitre de sacrés changements ! Le psychiatre revient, mais refuse de garder ses sentiments pour lui et les exposent à son malade, qui va s'en retrouver troublé. Cela aurait pu en rester là, mais Kurose va plus loin et impose des contacts physiques à Shirotani, oubliant sa maladie... Et la notion de consentement ne devient qu'une limite floue qui n'est plus respectée, ce qui m'a surprise étant donné que Rihito Takarai n'est jamais allée jusque là. Bien sûr que Shirotani a aimé ça, mais il ne le voulait pas.



C'est discutable, d'une ça va trop vite, le premier tome présentait les prémices d'une romance entre un homme très atteint qui ne pouvait même pas serrer la main des autres et un psychiatre neurasthénique, le second est carrément sexuel. Et de deux, la méthode de Kurose - alors qu'il est psychiatre - n'est vraiment pas là pour aider son patient. On lâche totalement le côté psychologique qui m'avait beaucoup plu dans le premier tome. C'est dommage, d'autant plus que d'habitude j'adore regarder ces scènes intimes, elles sont toujours très sensuelles et très plaisantes à regarder, mais cette fois-ci elles m'ont plus gênée qu'autre chose avec ce contexte.



En bref, ce deuxième tome va beaucoup trop vite et je suis dérangée par cette absence de consentement. Je continuerais tout de même la série, avec l'espoir de retrouver une relation plus saine par la suite.
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C'est la fin ! Dernier tome de Seule la fleur sait, Arikawa et Misaki se sont enfin avoué leurs sentiments, et c'est à ce moment-là que cette petite série shonen-aï tourne au yaoï, ce qui n'est pas forcément pour me déplaire. C'est donc la conclusion d'une histoire qui partait mal entre les deux jeunes hommes, l'un étant très naïf et l'autre ayant peur avec la relation toxique qu'il vivait depuis quelques temps déjà.



D'ailleurs, Arikawa va devoir rassurer Misaki dans ce troisième tome, car même si ils se sont avoué leur amour réciproque, le concept d'une relation normale, saine et homosexuelle est encore trop flou pour l'étudiant, il lui faut du temps pour s'adapter et faire la part des choses. Et ainsi se rendre compte qu'une relation posée sur des bases saines, ce n'est pas si effrayant que ça, au final.



Si le passage au yaoï peut effrayer quelques-uns, rassurez-vous, cela reste très soft ici, ce qui est plutôt pas mal avec les mangas de Rihito Takarai. De plus, les dessins sont très doux et dégagent une sensualité très plaisante. C'est ce qui fait la force des mangas de Takarai et qui les rend si addictifs. Pour ma part, j'ai encore un peu de mal à me détacher des personnages !



Parce que les sentiments de Misaki et Arikawa sont bruts, sans aucune fioriture, ce qui rend nos deux étudiants si attachants. De plus, l'histoire de Misaki est si touchante, que l'on ne peut rester insensible face à ce personnage. En bref, c'est une série que je relirais très certainement plus tard, et avec grand plaisir !
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J'aime décidément beaucoup la sensibilité de Rihito Takarai, que ce soit au niveau de l'intrigue ou des graphismes.



J'ai lu cette série après "Fleur et sens" et l'épilogue de ce-dernier devient plus clair. Peut-être aurais je dû les lire dans l'ordre inverse.

Ce deuxième et dernier tome conclut l'histoire d'amour de Yuzuru et Seryo.

La mangaka offre de nouveau une pléiade d'émotions au travers de ses personnages.

Avec sa série Seule la fleur sait, elle fait vraiment partie de mes chouchous dans le traitement des sentiments amoureux (que cela soit de garçon à garçon ne change strictement rien pour moi).

La dernière scène est particulièrement touchante.



Une belle réussite et une histoire aboutie en 2 tomes. A découvrir
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Seryo est réputé pour sortir avec une personne différente chaque semaine. Il dit oui à la première qui le lui demande et lui accorde toute son attention pendant une semaine. Ce qu'aucun ne sait, c'est qu'il recherche vraiment l'amour.

Quand Yuzuru, un garçon de deux ans son ainé, lui propose d'être avec lui pour une semaine il accepte.



Raconté du point de vu de Yuzuru, on suit les 4 premiers jours de leur semaine ensemble de la demande au premier baiser en passant par les boutades et les jalousies... Adapté d'un roman, ce yaoi propose une jolie histoire servie par un trait assez anguleux qui se concentre sur les expressions et les regards.



Un très bon début.
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J'avais beaucoup aimé le premier volume et j'ai retrouvé les personnages avec plaisir pour la suite de leurs aventures.



L'histoire de fantôme vers laquelle tendait l'histoire en fin de premier tome est abandonnée au profit d'une explication plus rationnelle et j'en suis plutôt contente parce que je trouve qu'elle ne collait pas du tout avec le reste du récit.



Une mort plane toutefois sur ce volume. Il s'agit de celle de Minako, l'ancienne modèle et petite amie de Yûsei, qui a bien du mal à se remettre de son suicide. C'est tout à fait compréhensible et j'ai eu bien du mal à cerner les réactions de Kisuna face à ça. Faire semblant de sauter du toit sous les yeux du jeune homme ne me semble pas très malin.



Yuki, lui, apprécie de plus en plus Kisuna et la drague ouvertement. C'est un garçon tout à fait charmant et craquant et je lui souhaite de trouver le bonheur.



Ce deuxième tome est vraiment très bon et resserre l'intrigue autour du trio principal, toujours aussi bien caractérisé. Ce triangle amoureux qui se dessine sort de l'ordinaire et va dans une direction assez inattendue.



Avec un dessin que je trouve de plus en plus beau, les personnages sont toujours magnifiquement représentés.

Vivement la suite !
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Avec 10 jours d'avance que j'ai pu découvrir le tout nouveau manga de Rihito Takarai, (Seule la fleur sait, Seven days) 10 Count.

Je suis fan depuis un moment déjà de son trait et de son rythme tranquille et cette fois encore je n'ai pas été déçue, les personnages sont attachants, leur psychologie est traitée de façon crédible et leurs réactions sont si naturelles qu'on en vient à se demander si nous aussi on y gagnerait pas à ouvrir d'avantage nos sentiments aux autres plutôt que de supposer que ce qu'on pense qu'ils pensent est la réalité.



C'est assez paradoxale mais il se passe à la fois peu et beaucoup dans ce tome. Peu dans l'évolution de la (non) relation entre Shirotani et Kurose mais beaucoup dans l'évolution personnelle de Shirotani.

C'est face à une épreuve peu conventionnelle que l'auteure met son personnage cette fois et toute personne atteinte d'une phobie, quelle qu'elle soit, peut comprendre à quel point la voie de la guérison peut-être douloureuse et semée d'embuches.

Dés le départ on s'imagine deviner pourquoi Kurose propose cette thérapie à Shirotani, on croit comprendre pourquoi il garde ses distances aussi, mais l'auteur n'est-elle pas en train de nous mener en bateau?

La relation entre les deux protagonistes demande vraiment à être complétée, approfondie, car elle est très frustrante en l'état. Comme souvent dans ses histoires les personnages sont hésitants, cachent leurs véritables sentiments et cela aboutit à des situations de mal-entendu où l'un, voir les deux, souffrent inutilement.



Pour toutes ces raisons je vous recommande ce manga et attends le tome deux avec impatience.



Et puis bon, cette couv. non mais sérieux cette couv. quoi! C'est devenu l'une de mes favorites.
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Je suis amoureuse de cette série en deux volumes. Je ne compte plus le nombre de relectures... Il y a quelque chose qui me touche à chaque fois.

Merci à Babelio et aux éditions Ototo de m'avoir fait découvert ce manga.

Il s'y dégage une atmosphère étrange et assez prenante.

Les personnages sont ambigus et je me demande où cela va nous entraîner !

Un tome d'introduction qui nous laisse avec beaucoup d'interrogations !

Je pense lire le tome 2, pour voir dans quel tour va prendre l'intrigue.

2ème tome qui nous emmène à la découverte du passé de Misaki et des sentiments de ce dernier envers Arikawa.

Un tome assez triste dans l'ensemble mais qui nous attache d'autant plus aux personnages.

La couverture et les dessins sont aussi beaux que ceux du tome 1. A lire pour ceux qui aiment les belles histoires.

Sur les conseils avisé d’une amie j’ai entamé la lecture de Graineliers de Rihito Takarai connu pour les titres tel que Seule la fleur sait ou encore 10 Count (Amis Yaoist je vous vois 😜) Avec cette œuvre l’autrice change de registre pour nous présenter un Seinen/Shonen assez original. Son coup de crayon est toujours aussi sublime, regardez moi ces couvertures 😍

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🌱 Mon Avis 🌱

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J’ai commencé ma lecture sans grandes attentes, par peur de ne pas accrocher à l’histoire, a l’univers fantastique, ces histoires de graines me questionnait, comment cela va être utilisé dans le récit ? Des graines, mais pourquoi ? Et bien finalement j’ai beaucoup aimé 🥰

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Le coup de crayon est sublime, l’histoire est bien menée, on a des explications quand il faut et une part de mystère qui nous tient en haleine, tout est bien dosé. Les personnages sont touchants, l’histoire de Lucas est assez tragique mais cela ne l’a pas fait pour autant tourné « méchant », il reste ouvert et sensible. On s’attache également aux personnages secondaires. ON EN PARLE DE LEURS BEAUTÉS ?! ABSOLUMENT TOUS LES PERSONNAGES SONT BEAUX ! Oui, bon, cela n’a aucun rapport, je sais, pardon -_-

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Rihito Takarai nous amène dans un univers fantastique aux allures médiévales. Malgré la délicatesse des traits nous parvenons à voir au fil des pages la noirceur du récit. Une société où l’existence de tous n’a pas lieu d’être. L’autrice nous dépeint un monde où le malheur et la détresse sont omniprésent dans l’existence de certains.

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Si vous cherchez un shonen original, mystérieux, fantastique avec un dessin sans accro, vous l’avez trouvé ! 😁
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Une romance BL vraiment jolie et tendre.

Un coup de cœur total tant dans les graphismes que dans la manière dont l'auteur a écrit le récit.

Le sujet est simple : Tôji Seryô un cadet sort chaque semaine avec une fille différente. inlassablement le dimanche il lui annonce leur rupture par ces mots "je suis désolée je n'ai pas pu tomber amoureux de toi". Dit comme ça on pourrait le détester d'emblée, pourtant ses conquêtes ne le font pas et nous non plus.

C'est alors un peu par jeu et beaucoup par provocation que Yuzuru Shino un élève de terminale propose un lundi matin à Seryô de sortir ensemble.

Nous verrons alors leur semaine et la façon dont Seryô et Shino vivent cette semaine, leur implication dans cette relation, leurs attentes, leurs doutes, leurs espoirs...

Ces deux jeunes hommes sont attachants, sincères et adorables. Leur romance est pleine de tendresse et de douceur. Je me suis régalée.

Rihito Takarai est incontestablement une de mes mangakas préférées. Découverte avec le sublissime et poignant "Seule la fleur sait", elle a su me captiver dès les premières pages de "10 count" (la fan de yaoi et la psychologue que je suis n'ont pas su résister à un manga aussi prometteur !).



Son style graphique, épuré et élancé, me séduit toujours autant, et l'histoire est plus que prenante ! Comment ne pas s'attacher aux deux héros, aux caractères si opposés mais si complémentaires également ?



La tension est palpable, les états d'âme, notamment de Shirotani sont superbement rendus alors même que l'auteur ne rend (exprès) pas ses protagonistes très expressifs. Cette économie d'étalages de sentiments sert admirablement son propos.



En résumé, ce manga débute vraiment très bien, et donne envie de plonger plus avant dans cette singulière histoire !

Seven days were long enough to fall in love.



On s'en doutait, mais eux ont bien du mal à se comprendre. De quiproquo en quiproquo, nous finissons la semaine avec eux, sous la plume toujours juste de Takarai Rihito.

J'ai lu cette série parce que je suis fan des dessins de Takarai Rihito.



Même si je préfère les histoires qu'elle écrit elle-même, j'ai bien aimé ce court manga et ses trois protagonistes principaux. Une histoire d'amour assez classique avec triangle amoureux, mais décrite avec délicatesse.

Dans ce tome on retrouve nos deux protagonistes là où on les avait laissé à la fin du second, prêt à partir acheter un nouveau costume à Shirotani.

Ce dernier fait beaucoup d'efforts pour vaincre ses phobies et, bien qu'il ait du mal à comprendre pourquoi, il le fait en partie parce qu'il souhaite se rapprocher de Kurose.

Les dessins dégagent toujours cette ambiance calme, presque douce amère, caractéristique des dessins de Rihito Takarai et qui sied si bien aux personnages.

Dans ce tome on entrevoit ce qui est probablement l'une des raisons de l'anxiété de Shirotani face aux bactéries et on le voit beaucoup évoluer. Vivement le tome quatre.

Un grand merci au Masse Critique de Babelio pour m’avoir permis de lire ce manga.

Maintenant, j’ai envie de lire la suite de cette série, alors que je me suis promise de ne plus commencer de série. Il y a de nombreux mangas traitant des relations médecins-patients. Ici, les maladies mentales sont abordées. Cette nouveauté est intéressante, car on ne parle pas beaucoup de ces problèmes. Le personnage de Shirotani est mignon et attachant. Il s’est coupé du monde, et d’une partie de lui-même. Ses rencontres avec Kurose, lui donne l’opportunité de se soigner. Ensemble, ils commencent une étrange relation. Ce premier tome montre toute la sensibilité des personnages, mais aussi une infime partie de leur complexité. Les bases sont biens mises en placent. Cela donne vraiment envie de lire la suite, mais il faudra attendre 2015 pour cela.

Résumé :

Tu veux sortir avec moi ?

Lundi matin devant le portail du lycée, Yuzuru Shino, élève de terminale, s’adresse à Tôji Seryo de deux ans son cadet. Ce dernier est réputé pour accepter de sortir avec la fille qui lui demande, en début de semaine, mais qui stoppe toujours la relation le week-end venu.

C’est donc un peu par jeu et provocation que Shino lui fait cette proposition, marquant le début d’une troublante semaine pour les deux garçons...



L’histoire est originale, les graphismes forts beaux, j'ai particulièrement aimé la bonne entente entre Yuzuru Shino et Tôji Seryo ainsi que l'influence positive qu'ils ont l'un sur l'autre !

↪️ En bref, je vous recommande cette jolie romance Yaoi qui fait passer un très bon moment, en plus il n'y a que deux tomes !
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Ah bah voilà APUUU :( ! Hmm que dire, que dire ? J’aurai aimé voir les retrouvailles de Shirotani et son père, j’aurai aimé avoir une partie d’histoire avec "l’auteur", voir un peu plus de "détails" avec Ueda bref j’aurai vraiment aimé en savoir un peu plus.



Ce que j’aurai aussi aimé c’est que les personnages parlent de leurs passés mais bon ce n’est q’un détail (qui a un peu perturbé ma fin de lecture mais ce n’est pas si grave).



J’ai aimé lire ces six tomes.

Le quatrième tome nous a offert des informations sur le passé de Shirotani et son traumatisme et bien, dans ce tome nous avons un flash de Kurose quand il était plus jeune.



Kurose au début me donnait cette impression de douceur et de tendresse mais, plus les tomes avançaient plus il devenait froid et difficile dans son caractère. Maintenant que je connais son passé il m’a l’air encore plus tendre. Nous savons pourquoi il agit comme ça avec Shirotani et ça le rend plus fragile en apparence.



La relation entre nos deux personnages est particulière et parfois, j’ai du mal à les suivre (surtout Shirotani qui semble encore plus perdu).