Sara Fawkes

L’histoire est comme toutes les autres : une oie blanche et un apollon richissime qui se rencontrent et copulent comme des bêtes. La différence c’est que les choses démarrent au quart de tour. Troisième page : « un corps dur me pressa contre les portes de la cabine. Le contact du métal froid contre mes tétons soudain érigés et sensibles m’arracha un léger soupir. [...] un long membre tumescent venait de se coller à ma hanche ». Trois pages et on donne déjà dans le membre tumescent. Elle le croise tous les jours dans l’ascenseur. Ce matin-là il lui colle la main dans la culotte comme si de rien n’était : « Je connus alors l’orgasme de ma vie dans une exclamation étranglée. » Bien sûr, bien sûr...



Le soir même, rebelote. Il la surprend dans le parking souterrain. Ça commence par « Lachez-moi ou je hurle » (elle) et ça finit par « Sucez-moi » (lui). Entre les deux, elle a adoré ce simulacre de viol : « je jouis avec une force incroyable, secouée par des vagues successives de plaisir. » Pas à dire, le fantasme du viol dans le parking souterrain, ça marche à tous les coups. Et attendez, c’est pas fini !



Troisième round le lendemain. Alors qu’elle se présente pour trouver un job, devinez qui fait passer l’entretien d’embauche... son apollon, évidemment. « Levez-vous et penchez-vous sur le bureau, en appui sur vos coudes... » Et paf ! Le fantasme de l’entretien d’embauche qui se transforme en casting porno. Tout ça en moins de 30 pages. Si après la ménagère n’est pas échaudée, c’est à n’y plus rien comprendre. Effroyable image de la femme renvoyée tout le long du roman. Pour tempérer les choses, l’héroïne est surprise de sa docilité, elle fait même « appel à toute son indignation de femme » quand le patron la culbute sans lui demander son avis. Mais au fond elle adore ça la cochonne. Bien sûr, bien sûr...



Je crois que cette fois-ci j’ai touché le fond, le degré zéro de l’érotisme livresque. Et encore je ne vous parle pas du scénario totalement con avec une histoire de trafic d’armes et de luttes intestines au sein de la famille du milliardaire sans aucun intérêt. Je ne sais pas pourquoi je suis allé jusqu’au bout. Une forme de masochisme sans doute. L’impression de flageller mon amour de la belle littérature avec une ceinture à clous. L’écriture de Sara Fawkes est affligeante de médiocrité. C’est simple, en comparaison Sylvia Day ferait presque du Flaubert.
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j'ai lu la série par épisode, mais je trouve que c'est plus simple de faire une critique générale.

ça ressemble à cinquantes nuances de grey, mais pour moi, en mieux. ça va très vite, en à peine qq pages, les héros couchent ensemble. Ici, dans les 5 épisodes, il y a du suspens, des rebondissements, des scènes de sexe, bref, il n'y a pas de temps mort, à l'inverse de fifty shades.

J'ai lu dans certaines critiques que l'on donnait une mauvaise image de la femme. Je ne trouve pas spécialement, ici, on est dans le fantasme, un peu de Cendrillon. Ce n'est pas la réalité.

J'apprécie les psg, Jérémiah, Lucas, Lucy; même si je dois avouer que la fin du tome 5 m'a frustrée. C'est une fin ouverte ou il y aura une suite?

/!\ Spoilers

J'ai aimé le commencement du livre : on ne tourne pas autour du pot : les deux protagonistes passent à l'action dès le début et ce n'est pas plus mal, on plonge aussitôt dans l'histoire.

Petit bémol, je n'ai pas réussi à m'attacher à Jeremiah que je trouve très froid, trop distant avec Lucy. Par exemple, il ne la tutoie pas une seule fois et cela m'a vraiment gêné.

Heureusement qu'intervient Lucas, le frère de Jeremiah. Il amène de la fraîcheur et de l'humour.

J'ai été assez déçue du coup que Lucy finisse avec Jeremiah plutôt que Lucas, qui, à mon sens, était un meilleur personnage.

Finalement, c'est tout de même un bon livre avec une histoire comme on en lit beaucoup mais qui fait toujours plaisir à découvrir au fil des pages.

C'est un petit livre assez plaisant mais pour adultes, donc il faut s'attendre à un langage cru. Pour ma part rien de choquant, j'ai apprécié cette lecture courte mais qui va à l'essentiel.

Je précise tout de même, qu'il y a rien d'extraordinaire donc faut pas rêver, hein. On passe juste un petit moment de détente entre deux livres.

Le seul hic avec cette nouvelle de 61 pages, c'est la nana qui a encore une fois le mauvais rôle dans l'histoire (limite la victime) et l'homme, le meilleur comme toujours. Celui qui donne, qui provoque, qui assure ou qui fait du bien à l'autre.

Du coup, mes premières pages n'ont pas été évidentes à lire car j'ai eu cette sensation étrange quand leurs premiers ébats ont commencé comme par exemple dans l'ascenseur ou le parking. Mais au final, tout le monde trouve sa place, son jouet, son fantasme..... même si la fin ...euh comment dire était un peu too much pour moi.

Donc, on passe quand même un bon moment. 20mn top chrono pour une pause entracte. Je lirai la suite avec plaisir.

j'ai bien aimé ce livre, je l'ai lu en 1 journée, tellement tu est pris dedans tu veut en savoir toujours plus....

Bon, pas tres concluant....je me met un peu à la lecture erotique, mais il me faut qd meme une histoire à me mettre sous la dent.

Et ici....ben elle est legerement courte l'histoire. Ok, c'est un roman feuilleton...mais c'est quoi au juste ??

Cette histoire serait mieux ds un magazine, en guise de petit "feuilleton", pour amener le lecteur par la suite à acheter LE livre contenant la suite.

Avec seulement une trentaine de pages à lire (ca pique pas les yeux), on se sent un peu "volé" pour le prix.

En conclusion legerement decue, par le format, le prix, l'histoire, et meme les scenes erotiques sont pas detaillées, c'est du vite fait bien fait .

( Spoil : dans l'ascenseur, caché dans le parking, sur le bureau....)



Je lirai qd meme la suite, mais alors "vite fait". (je ne pense pas me souvenir de ce livre tres lgtps.

Depuis quelque temps, j’étais en manque de romance new adult, alors dès sa sortie j’ai succombé pour cette histoire touchante. L’auteure Sara Fawkes m’était familière, puisqu’elle avait écrit une saga de nouvelle érotique. Le résumé est ce qui m’a attiré en premier, car en dit à la fois trop et pas assez.



Lacey St. James a une vie vraiment pourrit et injuste. Depuis la mort de son père survenu 4 ans plus tôt, elle vit dans le mobile-home de sa grand-mère Diane, avec sa mère et son petit frère Davy. Contrainte de cumuler deux jobs, elle subit la rancœur de Diane, qui ne cesse de la rabaisser à longueur de journée, sans que sa mère n’intervienne. Fatiguée de lutter contre une mauvaise réputation, elle laisse son petit ami Mason la traiter comme un moins que rien, car elle juge ne pas mériter mieux, tant en amour qu’en amitié, se laissant complètement dominer par son « amie » Ashley, qui se sert d’elle.



C’est donc avec immense plaisir que j’ai accueillis le moment où elle coupe les ponts avec ces parasites, qui lui pourrissent la vie. Sa rencontre avec Everett Ward va être déterminante dans ce revirement. Rapidement, il va mettre un peu de couleur et de joie, dans cette vie assombrie et totalement en vrac. Il va lui montrer qu’elle vaut mieux que n’importe qui, il va la soutenir, l’écouter et la protéger et peu à peu lui redonner goût à la vie. Mais le plus dur dans cet apprentissage, c’est de savoir faire confiance à ce beau brun, qui semble avoir tout pour lui. Abîmée par la vie, Lacey va tenter de mettre une distance entre eux et de solides liens vont se créer, ils vont se découvrir et se rapprocher.



L’écriture est un peu hésitante et certains passages maladroits, des moments romantiques entre les personnages sont gâchés par un vocabulaire brusque, voir vulgaire. Pour autant, on se laisse rapidement entraîner dans la vie de Lacey, qui est révoltante et injuste. Contre toute attente, lorsque l’histoire bascule au profit de Everett, l’auteure passe au point de vue masculin nous laissant entrevoir un personnage torturé avec ses propres démons et secrets. Je dois dire que je ne m’attendais pas du tout à cette double narration tardive, même si l’auteur ne lui accorde pas autant de chapitre, on le découvre sous un nouvel angle et se montre plus vulnérable qu’il n’y paraît.



Le début du roman, m’a complètement conquise et j’envisageais déjà mon premier coup de cœur pour 2015. J’ai tout de suite été charmée par Everett et touchée par les souffrances de Lacey. Pourtant et c’est vraiment à contre cœur qu’à la moitié du roman, l’histoire s’essouffle, j’ai eu le sentiment que ça virait au mélodrame. Les tourments de Everett étaient pour moi la solution de facilité, compte tenu du passé de Lacey. Et le coup de cœur, s’en est allé, pour laisser la place à une bonne lecture, mais qui ne m’a pas transcendée. Le chapitre final, laisse envisager que Clare pourrait avoir ses propres secrets, idéal pour une éventuelle suite et je me laisserais très certainement tenter.
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Bonjour,un livre court qui met tout de suite dans l'ambiance !

Je n'ai pas du tout aimé,l' héroïne n'a aucune personnalité et se donne a un inconnu sans réfléchir...

Bref,des frasques sexuelles sans intérêts.

La maison d’édition Marabout a choisi de publier cette histoire érotique en la scindant en cinq parties dont voici l’entrée en matières. Un petit format de soixante pages probablement pour tenir le lecteur en haleine et faire au passage un maximum de profit ou bien pour abréger les souffrances des autres ! Car en effet, malgré les quelques minutes nécessaires pour en venir à bout quelle hâte d’en finir !



Un scénario digne des pires films érotiques simplement pour « justifier » des scènes de sexe un peu bestial où l’homme ne cesse de grogner et la femme n’oppose aucune résistance : pathétique ! Je résume : une employée intérimaire d’une grande firme croise tous les matins dans un ascenseur un homme charismatique jusqu’au jour où, se retrouvant seuls dans ledit ascenseur, notre Christian bis (ah oui il fait avoir lu 50 nuances de Grey pour se rendre compte que l’on a affaire à une très pâle copie alors même que l’on se demande comment l’original a pu devenir un best seller !) se plaque contre elle lui faisant ressentir son « membre tumescent » pour lui faire ensuite connaître l’orgasme de sa vie. Il faut dire que Lucy est loin d’être une experte en sexe et que cet assaut imprévu révolutionne son quotidien bien peu palpitant. Bien évidemment, tout ceci se passe sans qu’une parole ne soit échangée et sans que notre « héroïne » n’oppose la moindre résistance.

Comme si cela ne suffisait pas, nous avons droit à une seconde scène, à la sortie de son travail, lorsque Lucy traverse le parking de la firme, un homme (le même) se jette sur elle et la viole pratiquement. Ah non pardon, le sombre inconnu lui demande vaguement son accord, l’honneur est sauf !

Finalement, le suspens insoutenable est levé le lendemain lorsque l’intérimaire est amenée dans le bureau du grand patron et surprise ! Elle découvre que c’est l’homme qui n’arrête pas de se la taper depuis la veille. On ne s’en doutait pas une minute ! Le contrat de Lucy arrivant à son terme (comme par hasard) il lui soumet une « opportunité » d’emploi, elle pourrait devenir « son assistante TRES personnelle ». Après une rapide confrontation avec sa conscience, Lucy accepte puisqu’après tout c’est la crise et qu’il faut bien payer son loyer! Il lui fait alors passer un « entretien pratique », conscience professionnelle oblige, et la sodomise sur son bureau. On hésite entre rire nerveusement et lever les yeux au ciel tant c’est peu crédible.



Finalement on ne retiendra que la couverture attrayante de cette arnaque, pour le reste passez votre chemin !


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Ayant été séduite par le tome 1 de Fifty Shade, je voulais essayer une autre histoire de ce genre lorsque je suis tombée sur ces petits livres.





En premier lieu, c'est les couvertures qui ont immédiatement retenu mon regard. Puis j'ai trouvé le résumé de l'histoire attirant. Le prix m'a également surprise sur le coup mais bon, en y réfléchissant 4 euros x 5 ( puisque 5 tomes sont annoncés) cela revient à 20 euros le livre complet .





Dans ces deux premiers tomes, on en sait très peu sur les personnages principaux. Lucy et Jeremiah ne font pas dans la dentelle ( ou presque) et rentrent très vite "dans le sujet". En effet, l'histoire commence à la page 7 et à la page 10, ils font vite " connaissance" ! J'ai été surprise de plongée aussi vite dans le vif du sujet mais bon, je le savais, on était un peu là pour çà aussi alors pourquoi tourner pendant 2 jours autour du pot... (surtout que le livre ne faisant que 24 pages, valait mieux ne pas trop traîner non plus...)

Dans le tome 2, on voit les prémices d'une relation plutôt SM se mettre en place entre nos deux protagonistes. Nous retrouvons en effet un Jeremiah très autoritaire et Lucy s'y soumet petit à petit.





Malgré la multiplicité des scènes de sexe ( très sensuelles et crues) et le peu de détails sur les personnages et l'histoire, j'ai aimé cette lecture. Je me suis enfilé les 2 tomes d'affilés et j’attends avec impatience la suite.


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Je suis ravie de lire ce dernier dans la foulée, car sinon je ne pense pas que je l'aurai lu un jour.



L'histoire reprend après une attaque dans la maison dans laquelle nos personnages étaient. Encore une fois les événements jusqu'à se calmer un peu pour que Lucy et Jeremiah fassent le point sur ce qu'ils veulent pour le futur.



J'ai bien aimé ce tome-là, car tout se calme. Cela peut nous faire souffler un peu. Puis, je trouve qu'il conclue bien les neuf mini-tomes de cette saga.



La fin est juste extraordinaire, même si j'en aurai voulu un peu plus pour être sur que nos personnages vivent à jamais heureux comme à cette instant-là.



Lucy est encore perdue, mais quand elle met les choses à plat, elle sait enfin ce qu'elle veut. Je trouve qu'elle reprend aussi le dessus grâce à son caractère bien trempé, qui avait un peu disparu depuis un ou deux tomes. J'aime bien ce personnage, elle a un caractère que j'apprécie.



Jeremiah reste absent avant de savoir qu'il veut Lucy à ses côtés pour la fin de ces jours. Il va alors montrer qu'il peut être romantique. Je le trouve trop choux surtout qu'il a beaucoup évolué depuis le premier tome.



Le style d'écriture reste toujours aussi pauvre en descriptions...



En général, une excellente conclusion pour cette petite saga que j'ai dévoré en quelques heures.
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Après avoir lu la série Tout ce qu'il voudra de Sarah Fawkes, j'ai commencer Un nouveau souffle en pensant avoir - encore une fois - affaire à une romance érotique du même genre. Pour le coup, les premiers chapitres m'ont vite fait comprendre mon erreur et, je dois le dire, un peu déroutée voir déçue. J'aime lire pour rêver, pour rire et si je pleure c'est plutôt d'émotion ou de rire. Mais le titre laissait entrevoir une fin plus heureuse, j'ai donc persévéré.

Le nouveau souffle de Lacey, jeune femme à la dérive, maltraitée physiquement et psychologiquement par sa famille et son petit ami, viendra donc bien d'un homme mais aussi de deux femmes, deux amies, qui vont, chacun à leur façon, lui redonner confiance en elle et en les autres.

Une belle histoire, bien écrite malgré quelques inexactitudes dans la chronologie, mais au final une bonne surprise que cette lecture de vacances.

691 pages en moins de 24 heures. Pour moi, mieux que 50 nuances, très bon moment.

J'ai dévoré ce livre en une journée. Malgré sa ressemblance avec 50 nuances de Grey, j'ai tout simplement adoré! La fin est tout simplement savoureuse et je crois que notre Lucy va faire une bêtise. Petit conseil pour mieux apprécier le livre sans en faire comparaison, ne pas lire après 50 nuances, se livre mérite à mon avis d'être jugé pour ce qu'il contient.

Je vais faire un avis sur les deux car ils sont vraiment petits !



J’avais vu cette sortie qui paraissait en même temps que les gros attendus : 50 nuances de Grey et Dévoile-moi. Alors, si je dois le comparer, ce sera à Dévoile-moi (je n’ai pas encore lu 50 nuances) que j’ai totalement adoré, mais ce récit en est bien loin !!!!



J’ai été assez déçu de ma lecture car on ne s’attache pas aux personnages, déjà pour moi ça c’est assez gênant. Ensuite le mâle, je vous le laisse.



L’histoire ne m’a pas plu ! C’est assez cru par moment, ce qui ne me gêne pas forcément mais là, étant donné qu’avec les personnages, ça ne passait pas, et bien les passages « hot » ne sont pas passés non plus.



L’héroïne a un semblant de caractère mais qui n’est même pas exploité, elle s’écrase totalement devant le personnage masculin. Il n’y a pas de fond d’histoire pour ma part, ils se voient, il l’a baise ! Oui désolée, il n’y a pas d’autres mots !!! L‘auteur essaye de nous titiller avec les ressentis de la jeune femme pendant l’acte mais là encore, les pratiques ne m’ont pas enchantée !



Le comble de mon agacement est l’embauche de la jeune femme, alors là, ça a été le pompon !!! Dans l’épisode 2, ce fut dans la chambre d’hôtel, quand il s’énerve contre elle à un moment donné. Et elle, elle reste comme un bon toutou et accepte.



Ils ne se connaissent absolument pas et elle tolère des choses sans broncher, l’auteur nous dit qu’elle aime ces nouvelles expériences. Oui d’accord, ben pas moi car ton héroïne me laisse de glace et ton héros, je lui mettrai bien un coup de batte de baseball !!



Ensuite, je comprends que cela ne soit pas approfondi vu que les épisodes ne font seulement que 65 pages chacun mais je pense qu’il manque de contenu pour me contenter. C’est de l’érotique, oui, effectivement mais axé pornographique pour ma part qui n’amène pas les frissons que l’on peut avoir avec d’autres lectures érotiques.



Pas concluant pour le moment ! Je lirai la suite car bien sur, je veux voir s’il va y avoir un sursaut de sentiments chez l’un ou chez l’autre et également où tout cela mène quand même.
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Rien de nouveau sous le soleil avec cette romance qui se lit bien malgré tout.

Si je n'ai pas été très emballée par le début de l'histoire qui est trop rapide et surfait, je me suis laissée prendre par le récit au fur et à mesure des pages.



Lucy travaille en tant qu'intérimaire dans une grande entreprise. Tous les matins elle prend l'ascenseur avec un bel inconnu sur lequel elle fanstasme. Et un beau jour qu'elle se retrouve seule avec lui, devinez....eh oui le fantasme de l'ascenseur devient réalité. Elle n'a pas besoin de réfléchir trop longtemps, Lucy se donne à cet homme. le lendemain elle se fait convoquer par le grand patron, Jeremiah Hamilton, qui oh quel hasard, se retrouve être en fait l'homme de l'ascenseur avec lequel elle s'est envoyé en l'air également dans le parking.

Bon, là il lui dit qu'il vire tous les intérimaires mais qu'il lui propose un poste d'assistante personnelle, qui sous-entend bien sûr qu'il profitera plus du "personnelle" que de l'assistante. Si elle accepte, elle devra faire tout ce qu'il voudra, mais bien sûr elle aura un gros salaire...

Bref passons les séances de sexe à répétition qui en fait n'apportent rien à l'histoire.



Pour les personnages, j'ai bien aimé Lucy qui n'est encore pas trop naïve, mais j'ai eu plus de mal avec Jeremiah qui souffle sans cesse le chaud et le froid avec Lucy. J'ai eu du mal à comprendre son attachement possessif envers Lucy qu'il connaît depuis seulement quelques jours.

Les relations qu'il entretient avec son frère Lucas auraient mérité un peu plus d'attention.

Le peu d'action sur la fin n'est pas assez exploité et je suis plutôt déçue par cette fin inachevée qui me laisse sur ma faim et légèrement frustrée quand même.

Je enchaînais avec celui-ci très rapidement après avoir finis le sixième tome. Autant dire que l'histoire devient un peu du tout et n'importe quoi...



L'histoire continue jusqu'à ce que nos héros se retrouvent à Dubaï pour les affaires de Lucas. Ce tome met en avant un trio amoureux. Lucas tente de conquérir Lucy, alors que Jeremiah est sur de pouvoir la récupérer, même si celui-ci n'est pas encore prête.



Les événements s’enchaînent comme toujours et les personnages n'ont pas le temps de réfléchir à ce qui se passe, à leurs sentiments. Et puis, les événements sont un peu irréaliste. J'ai eu un peu plus de mal avec ce septième tome. Malgré tout, je suis faible, car je veux savoir avec qui va finir Lucy.



A la fin, Jeremiah apprend quelque chose qui va le mettre surement en colère par la suite. Donc on a vraiment envie d'en savoir plus sur la suite.



Lucy est vraiment indéterminée dans ce tome-là, comme perdu au milieu de ces deux hommes. Elle refuse toute relation, pour faire le point. Elle est sure d'une chose : vouloir rentrer chez elle. On peut facile comprendre la situation dans ce tome-là... Cela n'est pas toujours facile de faire un choix...



Jeremiah fait tout pour reconquérir Lucy. Il va même lui révéler un peu de sa personnalité pour qu'elle le comprenne mieux... Mais cela ne va pas être facile pour lui. Je l'aime beaucoup ce personnage meurtri, qui veut évoluer pour le bonheur de Lucy.



Lucas m'énerve ! On dirait un gamin, qui veut embêter son frère. On se demande comment il peut être aussi idiot et a la tête d'un trafic d'armes...



Le style d'écriture reste toujours aussi vague...



En général, je ne sais pas trop quoi penser de ce tome. Donc je continue...
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J'ai adoré ce livre, quand j'ai commencé à le lire, je ne pouvais m'empêcher de vouloir savoir la suite et hmmmmm.



Je vous le conseille.

"Tout ce qu'il voudra" semble être un livre érotico-BDSM au premier à bord mais on se rend vite compte, qu'il n'y a pas qu'une histoire de sexe ! Il y a un mélange d'intrigues policières/familiales et d'érotisme !

On rentre tout de suite dans le vif du sujet, ça change un peu des autres romances qui brodent parfois pendant des plombs ! Comme dans tous les livres de romances, un richissime, beau et sexy PDG d'une grande holding tombe sous le charme d'une jeune femme belle et naïve à souhait ! Lucy travaille en intérim dans l'entreprise de Jeremiah. Elle ignore qu'il est le PDG dans l'entreprise dans laquelle elle travaille. Lucy a des vues sur lui, un jour, ils feront l'amour et le lendemain elle apprend qu'elle va se faire licencier car l'entreprise n'a plus besoin d’intérimaire... C'est Jeremiah qui le lui apprend et il lui fait une proposition pour un job en or à priori : être l'assistante personnelle de ce dernier... Son job consiste à faire "tout ce qu'il voudra" ! Bien évidemment, elle accepte le job qu'il lui propose, signe le contrat et s'envole pour Paris ! On pourrait croire que ça va vite, très vite mais c'est le tempo que nous impose l'auteur et ce n'est pas dérangeant, bien au contraire, c'est très riche et fort en rebondissements d'ailleurs !

Ce qui m'a beaucoup dérangé, ce sont les pratiques érotiques de Jeremiah, en effet, n'étant pas adepte des lectures M/M, j'ai eu parfois du mal avec des scènes s'y approchant... Surtout que Lucy étant novice, je n'ai pas du tout saisie son engouement (et non sans mal) de cette pratique... je suis franchement dubitative à ce niveau ! Est-ce que dire que l'histoire va trop vite à ce niveau ? A cause de ce détail qui m'a fait hérisser le poil : oui. Mis ce soucis de côté, j'ai beaucoup aimé ma lecture !

En revanche, la fin est assez ambiguë, elle laisse le lecteur dans la confusion la plus totale et force le lecteur curieux (moi en l’occurrence, vous commencez à me connaître maintenant

😉

) à savoir ce qui va se passer
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Lucy jeune intérimaire dans une grande entreprise new-yorkaise aime arriver tous les jours à la même heure au travail, la raison un bel homme ténébreux dans l’ascenseur. Ce jour elle se retrouve seule avec lui et cède à cet homme dont elle ignore le nom. Cet homme n’est autre que le PDG Jeremiah Hamilton qui lui propose un contrat spécial vu que son poste d’intérimaire est supprimé. Ce contrat : être son assistante personnelle et faire « tout ce qu’il voudra ».



Tout s’enchaine très rapidement, elle est avec lui pour du sexe, beaucoup de scène hot très bien décrite et de la sensualité.



Ce livre est divisé en deux temps fort, je veux dire le début ou on commence à connaitre les deux protagonistes et leur contrat et ensuite les galères s’enchainent. On découvre le frère de Jeremiah, Lucas qui trempe dans des affaires louches.



Les scènes de sexe sont pimentées à souhait, on a du suspens, des rebondissements, des personnages au caractère bien trempé avec une héroïne qui pourrait être n’importe qui d’entre nous.



J’ai beaucoup aimé ce livre quand je l’ai fermé j’ai dis : il me faut la suite car le seul bémol à dire de ce livre est qu’il se termine abruptement.