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Critiques de Sylvain Prudhomme (477)
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Une nuit à Manosque

Ce recueil de nouvelles, publié chez Gallimard, rassemble plusieurs auteurs invités du festival Les Correspondances de Manosque. À l'occasion des 20 ans du festival, il leur a été demandé d'écrire sur le thème d'une nuit à Manosque, et pas moins de 22 auteurs et autrices ont répondu à l'appel. Certains textes sont presque mélancoliques, d'autres décrivent parfaitement la ville, l'ambiance qui y règne pendant le festival fin septembre, tandis que d'autres font froid dans le dos à coups de légendes et de fantômes qui hantent des lieux dans la ville.





La fiction se mêle aux réelles expériences des auteurs et j'ai trouvé cette double dimension très attirante. On ne sait pas ce qu'il s'est passé, on ne le saura sans doute jamais, reste à deviner ce qui est complètement inventé…





C'est un bel hommage au festival, à Manosque même, qui fait voyager les lecteurs et donne envie d'en découvrir plus sur la ville. le seul petit bémol à mes yeux est que les nouvelles sont souvent trop courtes, ressemblant plus à des extraits de romans qu'à de véritables histoires avec un commencement et une vraie fin. Mention spéciale toutefois à « Rencontre avec un personnage », de Miguel Bonnefoy.
Lien : https://www.instagram.com/av..
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Une nuit à Manosque

Ce recueil de nouvelles, publié chez Gallimard, rassemble plusieurs auteurs invités du festival Les Correspondances de Manosque. À l’occasion des 20 ans du festival, il leur a été demandé d’écrire sur le thème d’une nuit à Manosque, et pas moins de 22 auteurs et autrices ont répondu à l’appel. Certains textes sont presque mélancoliques, d’autres décrivent parfaitement la ville, l’ambiance qui y règne pendant le festival fin septembre, tandis que d’autres font froid dans le dos à coups de légendes et de fantômes qui hantent des lieux dans la ville.





La fiction se mêle aux réelles expériences des auteurs et j’ai trouvé cette double dimension très attirante. On ne sait pas ce qu’il s’est passé, on ne le saura sans doute jamais, reste à deviner ce qui est complètement inventé…





C’est un bel hommage au festival, à Manosque même, qui fait voyager les lecteurs et donne envie d’en découvrir plus sur la ville. Le seul petit bémol à mes yeux est que les nouvelles sont souvent trop courtes, ressemblant plus à des extraits de romans qu’à de véritables histoires avec un commencement et une vraie fin. Mention spéciale toutefois à « Rencontre avec un personnage », de Miguel Bonnefoy.
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Par les routes

🎶 J’étais sur la route toute la sainte journée,

Je n’ai pas vu le doute en toi s’immiscer.🎶



Ce roman est moitié road trip, moitié sur place ; je m’explique : alors que Sacha, écrivain, la quarantaine fringante mais un peu flemmarde, quitte Paris et s’installe à V., village en Provence, afin de trouver l’inspiration pour son xième roman, il retrouve un ami perdu de vue depuis quinze ans, ami surnommé l’auto-stoppeur. Dans leur vie de jeunes adultes, ils ont parcouru des milliers de kilomètres dans des voitures de passage à hauteur de leur pouce levé. Leurs chemins se sont séparés à la demande de Sacha. Pourquoi ?



Dès les retrouvailles, l’amitié renaît de ses cendres, et Sacha est rapidement intégré dans le cercle familial de son ami, marié à Marie, et heureux papa d’Agustín, leur garçon d’une dizaine d’années. Une vie confortable et plutôt sédentaire pour cet homme ayant la bougeotte.

L’arrivée de Sacha va servir de catalyseur à l’auto-stoppeur, sa passion nomade se ravive, le démange au point de laisser sa famille au bord du chemin et parcourir les routes de France sac au dos, cheveux au vent, au gré des itinéraires des conducteurs qui acceptent de parcourir un bout de chemin avec cet insolite passager dans leur habitacle.

C’est un roman particulier, qui m’a plu, sans que je puisse expliquer vraiment pourquoi : l’humanisme qui s’en dégage, le temps qui passe, la poésie d’un texte attendrissant, la musicalité des noms de villes, villages, hameaux français traversés par l’auto-stoppeur, le hasard de belles rencontres et la bienveillance transparaissant à chaque page; la mayonnaise a pris et je l’ai dégustée avec plaisir.

Un roman qui fait du bien à l’âme, sans prise de tête.



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Par les routes

Ce livre m'a globalement plu et tenu en haleine pour plusieurs raisons. Tout d'abord le style d'écriture est simple, ce qui permet une immersion rapide dans l'histoire. Ensuite, les sujets traités sont plutôt simples aussi, mais sous un angle très original. Cet autostoppeur a des habitudes hors normes !

Belle découverte.
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Par les routes

"par les routes" m'a semblé être une impasse. Je n'ai pas compris l'intérêt de ce livre, certes complètement atypique mais complètement insipide.

On suit les tribulations d'une personne nommée l'auto stoppeur qui fugue son foyer conjugal (stéréotypé au possible) pour s'offrir des émotions (effectivement on le comprend) et partir en auto stop à l'improviste (thug life^^).

Certes déconcertant mais sans intérêt. L'écriture sauve la donne et on veut néanmoins connaître la fin, espérant y voir une chute, un accident de la route mais rien...
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Par les routes

«  Le monde se divise en deux catégories .Ceux qui partent . Et ceux qui restent . » .



Très court commentaire : tout a été dit déjà, vu le nombre de billets : Sacha, la quarantaine quitte Paris pour s’installer dans une petite ville du Sud - Est de la France .

À peine installé , il retrouve par hasard ? son ami d’enfance et de jeunesse qu’il nomme l’auto-stoppeur .

Celui , ci désormais vit avec Marie , la mère de son jeune fils Augustin . Ils se sont habitués à ses fuites , disparitions, au cours de voyages en auto - stop , un homme très curieux , irritant , et attachant à la fois….



L’arrivée de Sacha bouleversera ce fragile équilibre psychologique . …. Ce livre est bien écrit, l’écriture est simple, calme et attentive mais je me suis profondément ennuyée .



Même s’il parle d’éloignement volontaire, de prise de distance , d’attraction ou de répulsion , voire de fuite en avant ……qui s’opérerait entre les êtres , de liberté, de vagabondage, cela reste trop simple et banal, original ——-je ne sais pas…——-..des lignes de vie qui se déroulent comme une vraie carte routière.avec ses carrefours, ses voies secondaires , ses embranchements

… Au fond , j’ai trouvé le tout peu grisant , trop scolaire , la relation entre les deux personnages maladroite mais touchante.



Peut - être . Le doute est le véritable héros de ce roman que j’ai peiné à finir, je ne saurais dire …

Famille ou liberté , peut - on raisonnablement concilier les deux ?

On m’a prêté ce livre.

Je ne dois pas être, en ce moment , dans l’esprit de cet ouvrage.





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Par les routes

Sacha est un écrivain quarantenaire, il quitte Paris pour s’installer dans un village dans lequel il a connu l’autostoppeur il y a une vingtaine d’année. Ce dernier est papa, et marié à la jolie Marie qui accepte les excentricités de son époux à vouloir partir à droite, à gauche, faire du stop pour rencontrer des gens et voyager. Il rentre peu car il a un besoin viscéral de partir, ce n’est pas qu’il n’aime pas sa famille, c’est qu’il est comme ça … Il prend des photos des personnes rencontrées pour garder un souvenir et il les envoie à ses proches pour dire qu'il va bien.

Sacha et Marie vont se rapprocher et peu à peu la famille de l’autostoppeur va changer de visage mais tout se fera dans une sorte de normalité assez déroutante.

Le roman explore ainsi les thèmes de la quête de soi, de l'amitié, de l'écoute de l'autre et de la découverte de nouveaux horizons.

L'écriture de Sylvain Prudhomme est particulièrement poétique et sensible. Il sait rendre compte des détails du quotidien avec une grande finesse et sait trouver les mots justes pour exprimer les émotions les plus intimes de ses personnages. "Par les routes" est un roman profondément humaniste, qui invite à la contemplation et à la réflexion sur la place que chacun peut occuper dans le monde.

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Les orages

D'une écriture fluide, agréable, Les Orages est un recueil de nouvelles écrites sur le ton de la contemplation et qui se rapportent chacune aux moments d'introspection d'un narrateur. Des tranches de vies on pourrait dire. Chacune est intéressante, et bien amenée, mais le regard d'observateur systématique m'a paru au final froid, extérieur. Et ne m'a pas laissé rentrer à l’intérieur de l'ensemble. Au final, je ressors avec l'impression que chaque texte pourrait être pris comme un élément qui animerait un livre, un autre, mais que tout ceci ressemble plus au carnet de notes d'un auteur qu'à un ouvrage abouti.
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Par les routes

Un roman étonnant abordant un thème assez particulier, comme on l'aurait compris par le titre Par les routes, il s'agit d'un autostoppeur, un homme dont la soif de toujours partir, d'aller vers l'inconnu, explorer des terres vierges est d'une grande incompatibilité avec la vie conjugale alors qu'il est marié avec une adorable femme qui s'appelle Marie et le couple à un petit garçon, Augustin. La douce Marie s'est accommodée à la vie de cet homme qui disparait toujours un beau jour et revient toujours un bon matin...

Mais l'arrivée de Sasha, notre narrateur, écrivain de profession, ami de jeunesse de l'autostoppeur, avec qui ils ont eu à utiliser le moyen de l'auto-stop pour voyager par la France. Sasha s'en est guéri en grandissant, de cette folie de jeunesse mais notre autostoppeur en est resté passionné, comme si, une espèce de nulle part est toujours à ses trousses….

Un roman bien construit, avec lequel on passe un agréable moment, car, plusieurs interrogations s'en dégagent au point qu'on se dise la nature humaine est toujours surprenante…
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Les orages

Treize nouvelles de moments de vie où tout peut basculer, par choix, à cause du destin, par espoir ou désespoir. Une chose est certaine, les personnages connaissent tous un grand sentiment de solitude quelque soit l'entourage. Leur vie va basculer, on retient notre souffle, on a peur pour eux, comme si on anticipait la catastrophe et je crois que c'est la force de ces orages, le talent de cet écrivain, la chute n'est peut-être pas celle qu'on attendait.



Un coup de cœur pour souvenir de la lumière avec ce père dans un certain déni face à la maladie de son enfant et de sa certitude de la guérison face aux médecins et sa femme complètement désarmés et Awa beauté pour l'abnégation de cette femme.



Le taille-haie avec ce petit-fils qui suit son grand-père sur un terrain escarpé pour récupérer l'engin en vain, m'a beaucoup fait sourire.



Ces scènes de la vie quotidienne qui deviennent des orages sont inquiétantes, voire menaçantes mais surtout pour nous lecteurs. Les personnages se contentent de vivre et de faire face.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Par les routes

Longtemps je me suis demandée où le récit nous menait, avant d'accepter qu'il puisse être un conte moderne, une sorte de parabole. Des descriptions de "passants" qui donnent envie d'aller au-devant d'autrui. Seul bémol, la place de l'enfant, tout juste effleuré, banalisée, simplifiée. Une très belle écriture.
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Par les routes

Sacha, adolescent quadragénaire, débarque à V., qui ressemble comme deux gouttes d’eau à Arles. Le hasard lui fait retrouver un ami de jeunesse, l’auto-stoppeur, en couple avec Marie, un enfant de 8 ans, Agustín. On ne saura pas grand-chose de ce qui a décidé Sacha à couper les ponts, jadis. Une fascination s’installe entre les trois êtres, malgré un début de relation avec Jeanne, amie commune.

D’une plume délicate, tendre et souriante, Sylvain Prudhomme nous conte l’amour, l’amitié, la liberté, la blessure. Sans jamais asséner de vérité. Sans jamais laisser percevoir la rancoeur possible de ses personnages, qui en deviennent presque irréels à force de patience, de douceur et de résilience.

Cette fable parcourant la France et ses villages aux noms fabuleux (mais véridiques) m’a envoûtée au point que, même malade, je n’ai pu la poser. La poésie et la légèreté profonde de Sylvain Prudhomme auront été les plus forts.
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Par les routes

L’amitié, l’amour. Le désir fou parfois de tout larguer, l‘étourdissement face à toutes ces vies que l’on pourrait vivre. Par les routes parle de tout cela. D’un homme qui arrive, d’un autre qui passe sa vie à partir.. et à revenir, peut-être.



Sacha s’installe dans le Sud et retrouve par hasard son ami de jeunesse, celui qu’il a toujours appelé « l’auto-stoppeur ». Un homme aujourd’hui père de famille, mais qui continue, inlassablement, à prendre la route sans savoir où elle le mènera. Revient-il ? Oui. Mais lui même ne sait pas quand.



Lumineux. Le roman de Sylvain Prudhomme éblouit. Une plume limpide, des dialogues posés là qui s’affranchissent des codes habituels de ponctuation. Au point que c’est au lecteur de choisir le rythme, d’instaurer les pauses, de délier les mots. Un roman sur la bienveillance. Un roman libre, une fin solaire, humaine, mélancolique.



J’ai compris à cette lecture que c’est aussi le retour qui donne son sens au voyage.
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Les orages

L'immersion est totale et l'investissement du lecteur nécessaire en ce texte sans ponctuation interrogative qui pose quand même beaucoup de questions... Des textes fins, presque brodés, sans chute contrairement aux nouvelles classiques, car le bouleversement est intérieur, un chamboulement tsunamiesque, qui retombe dans le quotidien presque aussi facilement qu'il était apparu. C'est la leçon à tirer : quoi qu'il arrive, quoi qu'il t'arrive, la vie continue, pour les autres d'abord et même pour toi ensuite, peu importe la force de l'orage...
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Légende

Je découvre Sylvain Prudhomme à l'occasion de cette lecture.

Je suis enthousiaste. Un décor original, la plaine de la Crau, rempli d'anecdotes et d'histoires.

On suit le destin de deux frères qui se haïssent avec en toile de fond une boîte de nuit.

L'écriture est très fine et nous fais partager admirablement la nostalgie et la perte de ce deux vies. Mais en filigrane, c'est surtout la disparition de la Crau, terre de tradition, abîmée par le modernisme, sans espoir de retour qui nous est contée.

Superbe
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Par les routes

En recherche d'inspiration, Sacha, écrivain, s'installe dans une ville du sud de la France. Il y retrouve, par hasard, un ami de jeunesse, surnommé l'autostoppeur, qui vit avec Marie, traductrice de romans, et leur fils Agustin. Malgré sa famille, entre deux jobs, l'autostoppeur continue à partir à l'aventure sur les routes et à revenir quelques jours plus tard.

L'apparition de Sacha semble rompre un équilibre : l'autostoppeur s'absente de plus en plus, tandis que la littérature rapproche Marie et l'écrivain...



Le roman est centré sur quatre personnages : Sacha, l'autostoppeur, Marie et le petit Agustin. Dès le début, l'issue de l'intrigue semble prévisible. Mais l'auteur s'ingénie à brouiller les cartes sur les sentiments de Marie et la capacité de l'autostoppeur à entrainer avec lui son vieil ami.

L'analyse de ces personnages est plutôt fine. On s'interroge avec eux sur ce que sont leurs objectifs et leurs choix de vie.

L'environnement est volontairement laissé dans le flou. On pourrait être au bord du Rhône, à Arles, Beaucaire ou Avignon, ou ailleurs.

L'écriture est belle, facile à lire. Bien qu'il n'y ait que très peu d'action, Sylvain Prudhomme a su donner du rythme à son texte.

Un roman déroutant, mais qu'il faut lire !
Lien : http://michelgiraud.fr/2022/..
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Par les routes

Laissez-vous embarquer



‘Par les routes’ nous ouvre à l’espace joyeux de la rencontre soudaine, aux scories originales de l’humain dans toutes ses possibilités, dans toute sa bonté. Dans l’étroite intimité de l’habitacle porté par la vitesse, comme dans le calme apparent d’une petite ville de province, les destins se croisent et se répondent, les sentiments éclosent, la vie bourgeonne et fonce.



Tableau d’une France mouvante, conceptuelle. Une France d’autoroute, abstraite, celle que vivent certains sans jamais la connaître, celle que vivent ceux qui ont choisi tant l’humain que la solitude. Une carte routière comme destination, des noms de villes sur fond bleu pour tout voyage. Un récit qui semble vouloir donner raison à P. Pollet-Villard « Dans un voyage ce n'est pas la destination qui compte mais toujours le chemin parcouru ».



Un rythme cadencé, par moments hachurés, nous tient en haleine dans cette quête fugitive d’un « moi » qui ne trouve sa raison de vivre que dans le « nous » qu’il forme avec l’étranger. Dans l’instantané et la spontanéité d’un moment partagé. Oscillant entre le calme de la stagnation et la frénésie du voyage, le récit nous plonge tranquillement dans la rectitude de l’expérience, tout en nous invitant à voir plus loin qu’une barrière d’autoroute.



Un appel à la vie qui chante, à la vie simple. Oui, il est toujours possible de rencontrer, presque par hasard, des hommes et des femmes ouverts, touchants, aidants. Récit de trajectoires qui se percutent, de fragments d’humanité, de ‘presque’ dont on se nourrit sans jamais vraiment se rassasier.



Un livre réussi qui nous embarque à 130 sur une route d’aspérités typiquement humaines. Sommes-nous fait de trous ou de pleins ? Cherche-t-on à créer du vide ou à remplir des creux vaille que vaille ? Des questions sous-jacentes auxquelles l’autostoppeur, dans sa simplicité et son amour instinctif du prochain, ne ressent pas le besoin de répondre. La vie passe et nous aussi, faut-il en faire un drame ? Fuite, mouvement, immobilité, réflexion : diriger sa vie à toujours était le plus grand souci des Hommes. Une interrogation existentielle pour laquelle la réponse se trouve, peut-être, par les routes.
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Par les routes

J'ai eu un coup de coeur pour ce roman. Sylvain Prudhomme a écrit un très beau texte. On se laisse emporter par l'histoire et sa poésie.

On se laisse séduire par cet autostoppeur si original.

Les personnages sont attachants.

Les mots séduisants.

ne vous privez pas de ce petit plaisir de tout juste 300 pages
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Les orages

Traversées par des hommes et des femmes de tous lieux, les histoires de Sylvain Prudhomme qui se présentent sous forme de nouvelles, nous offrent des fragments de vies plutôt importantes, voire décisives.



Qu’il soit question de maladie, d’amour ou d’adultère, d’enterrement ou même de vacances, de déménagement, de présent ou de futurs,de souvenirs, ou de rencontre fortuite, ou même de sacrifice, l’auteur amène ces hommes et ces femmes à affronter les tempêtes plus ou moins sévères qui traversent leurs vies, les amenant parfois vers un basculement, vers une fin, une dernière fois.



Mais avant de les plonger dans la tourmente, on découvre parfois leurs coups de cœur et leurs coups de foudre , leurs parcours de vie avant les orages, avant que la pluie les inondent sans jamais s’annoncer.



Des nouvelles pleine de sensibilité, présentées tout en délicatesse et avec beaucoup de bienveillance, qui prouvent que Les orages de cet écrivain si discret ont de beaux jours devant eux dans le paysage littéraire.



Qu’on se le dise.

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Par les routes

Une lecture douce, une écriture soignée, une histoire un peu étonnante et pleine de sensibilité.



L'auteur aborde les rapports au sein du couple, l'amitié, l'amour, mais aussi l'évasion, les villages, la recherche organique de sens, et les liens de fraternité (l'humanité).



Un bon moment de lecture, simple et touchant.
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