Viviane Koenig

J'adore inventer des machines en utilisant tout ce qui me tombe sous la main: un bout de bois ou de métal, des cordes...

Voilà mon principal défaut : vouloir atteindre la perfection, faire plusieurs choses à la fois, commencer de nombreux projets et les finir rarement !

Mon plus grand rêve serait de voler!

Je comprends vite qu'un artiste doit savoir tout faire : peindre, sculpter, travailler l'or et l'argent, dessiner des plans de bâtiments. .. Mais on m'explique que le plus dur, c'est de satisfaire celui qui a commandé une oeuvre tout en montrant son talent.

''Oui, mon petit! Du bouillon bien chaud'' J'ai pris cette citation car les deux personnage font une promesse.

Guillaume.S

C'est un sacré boulot, mais si on veut la qualité, il faut ce qu'il faut.
Maud.B

Une étrange rencontre
Quand le soleil surgit à l’horizon, le prince Setné* quitte le palais royal. Il semble pressé.

Au murmure du vent dans les sycomores, au bruissement des palmiers répond le crissement de ses pas sur la terre sèche. Setné longe temples majestueux, statues colossales, sphinx* protecteurs, pylônes* de pierre et mâts gigantesques aux oriflammes colorées... Il se faufile entre les maisons de brique où s’entassent fonctionnaires, artisans ou ouvriers. Des bruits de poteries s’entrechoquent, des éclats de voix et de rire retentissent : le peuple se réveille. Une dure journée de travail l’attend.

Bientôt le prince franchit l’enceinte entourant Memphis*. Il s’arrête un instant pour admirer la muraille qui protège la vieille capitale égyptienne depuis des siècles : vingt mètres de haut ! quinze d’épaisseur ! Il aperçoit la digue qui retient les crues du Nil*. Plus loin dans les champs cultivés poussent le blé doré, le lin aux fleurs bleues, l’orge, les légumes...

Setné sourit aux canards sauvages si nombreux dans les papyrus qui poussent sur les berges du fleuve. Il se dirige vers le désert sec, sans vie, le désert de tous les dangers où il adore se promener.

Grand, mince, le visage fier et le regard brillant, le prince allonge le pas. Il devra rentrer au palais avant que la chaleur ne devienne trop étouffante.

Setné est un homme respecté : savant renommé, excellent magicien et Grand Prêtre* de Ptah* !

On l’admire. On l’envie.

Pourtant, il n’est pas satisfait. Il veut toujours apprendre de nouvelles choses. Voilà pourquoi, dès l’aube, il étudie des papyrus, déchiffre des stèles* couvertes de textes, visite des temples aux murs gravés de hiéroglyphes*. Il inspecte des chapelles ornées de peintures et de formules magiques... Rien ne lui échappe.

Aujourd’hui, guidé par le hasard, Setné se dirige vers le cimetière aux tombes vieilles parfois de 1 500 ans !

Tous savent que les dieux puniront le meurtre d'un roi, la plus grave des fautes.

Ils n’ont pas le droit d’aller par là. Ils le savent. Mais désobéir ne leur fait pas peur.

Ils veulent entrer dans le temple de la déesse Athéna pour voir sa nouvelle statue, presque terminée. Tout le monde en parle, mais personne ne l’a vue.

Pour Mélia, c’est exceptionnel. En général, les filles restent à la maison. Mais la petite est si douée avec les pinceaux et les couleurs que les meilleurs peintres d’Athènes l’acceptent parmi eux.

Mélia et Théo se dépêchent. Ils se glissent sous de gigantesques échafaudages et se faufilent entre de hautes colonnes.

Ils n’ont pas le droit d’aller par là. Ils le savent. Mais désobéir ne leur fait pas peur.

Ils veulent entrer dans le temple de la déesse Athéna pour voir sa nouvelle statue, presque terminée. Tout le monde en parle, mais personne ne l’a vue.

« Par ici », murmure la fillette à l’oreille de son ami.

Elle avance, souple comme un serpent. Il la suit en silence. Son cœur bat trop vite, mais la curiosité le pousse.

Bang… Bang…

Le temple d’Athéna, appelé le Parthénon1, est en pleins travaux.

Bang… Bang…

Que de bruit du côté des sculpteurs ! Les hommes chantent en travaillant au milieu d’un nuage de poussière de marbre. Ils tapent, ils frottent les belles pierres placées au-dessus des colonnes, juste sous le toit. Ils leur donnent vie. Voici des dieux, des hommes, des femmes, des enfants et des bêtes joliment sculptés !

Bang… Bang…

De l’autre côté du temple, il n’y a ni poussière ni bruit. Les sculpteurs sont partis. Les peintres ont pris leur place. Ils mettent en couleurs cette longue frise. Ils peignent ici un cheval, là des prêtres, des jeunes filles ou de vieilles gens. Ils utilisent beaucoup de bleu et de rouge.

Je suis heureux de ma nouvelle vie .

Car il faut vivre heureux , ne jamais baisser les bras.
Margot.W

Ne gémis pas, agis.

"Dieu le veux !"




MERCAN Dilem

Mathilde B.

Ma chandelle est presque entièrement consumée, et la force me manque pour la changer.

Au plus vite ,les paysans ferrent leurs boeufs ,comme des chevaux et les attèlent à une charette à deux roues où s 'entasse enfants et bagages .

GING NOAH 5e4

Elle n'a pas encore l'âge d'aller étudier à la Bibliothèque d'Alexandrie que déjà elle porte un regard très critique sur les actions de Pharaon... et se rêve reine d'Égypte.

Je n'en crois pas mes oreilles. Quatre solutions : je rêve, je suis folle, j'ai de la fièvre... ou c'est la vérité : la peinture parle !

Pour les Egyptiens, c'est le dieu Thot qui a inventé les hiéroglyphes. Ils l'appellent le Maître-des-mots. Ce dieu savant est le protecteur des scribes.
Comme tous les dieux, Thot prend la forme qu'il veut : un jour ibis, un jour babouin !

Maitre Martin a dit à Tristan que son vrai trésor était ses toiles.
Romaric.B