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Critiques de Yann Queffélec (633)
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Disparue dans la nuit

la descente aux enfers d'une adolescente paumée, un peu dérangée, délaissée par ses parents. Raconté sur un ton noir très juste, cette histoire qui se passe dans une cité HLM de banlieue marseillaise, sur fond de drogue et de violence, parmi des sans-papiers, n'a pas pris une ride même si elle a été écrite il y a 24 ans...
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Disparue dans la nuit

Un livre qui nous presente la vie des quartiers sans artifice avec un style direct et cru et qui ne vous laissera aucun repit dans sa premiere partie Malheureusement le rythme tombe un peu par la suite laissant un petit gout d'inacheve a l'ensemble.Pour un premier livre de cet auteur j'ai neanmoins ete eavi de ma decouverte,je recommande meme si ce titre n'est pas le plus connu de l'auteur.
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Disparue dans la nuit

la vie dans les bas fonds de Marseille quand on a plus rien à quoi se raccrocher. Histoire très dure et pénible. Angoissant
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Disparue dans la nuit

J'avais lu' Les noces barbares' et j'avais adoré. Alors ici, je suis déçu. L'histoire du roman ici, se passe à Marseille. Rien que du noir, rien de positif, déprimant oui, ce roman, je n'ai pas aimé. Une gamine de 13 ans, fuit ses parents, se trouve dans les milieux chauds, la drogue, la prostitutions, les étrangers, les pauvres, les dealers, le banditisme, les 'keufs', le tout écrit en 'verlan', language que je n'apprécie pas ! alors voilà, je ne le conseillerai pas ce roman, désolé !
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Disparue dans la nuit

Une lecture brutale au parler "cru" qui vous emmène dans les banlieues a travers les petits délinquants, la précarité, la drogue et toute la différence sociale qui puisse exister.

On va y suivre "momo" enfant marseillais sans autre repère que son frère, un terrible dealer sans scrupules qui le mènera a une issue irrévocable.

Et on va y rencontrer la jeune Léna en révolte sociale avec un père flic, qui fuguera suite a la séparation de ses parents.

Pour exister au yeux de son père, elle est prête a tout, mensonge, drogue, manipulation et cela la conduira sur la route de "momo" qui lui promet une vie meilleure au Maroc...

Mais a quel prix ce duo va t-il pouvoir s'en sortir ?

A bord d'une voiture volée, et avec toute la violence qui en incombe le piège prendra se refermera.

Un roman coup de poing qui peut choquer par toute la vulgarité de son récit mais qui malheureusement est criant de vérité sur la vie cachée de ses banlieues abritant sordidement des êtres en perte d'identité et de repères sociale, les abritant dans une délinquance qui fait rage.
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Disparue dans la nuit

Pour fuir la souffrance du quotidien, Léna fugue. Agée de 13 ans seulement et déjà une vie brisée. Son père l’a laissée tomber en l’abandonnant avec sa mère. Alors quand on est au plus bas, plus rien n’a d’importance. Pour Léna, le pire est déjà derrière elle. Elle va fréquenter les bas et sombres quartiers de Marseille. Elle y rencontrera Momo, lui aussi en fuite dans une voiture volée. Deux gamins avec pour bagage un profond mal être.

Comme la plupart des lecteurs, j’ai été moi aussi choquée par la vulgarité de l’écriture. Mais dans ce contexte, cela semble normal. Un roman décapant.

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Et la force d'aimer

Mona Zigler ,incarcérée dans la cellule 207 pour avoir tué son ami,purge une peine de prison de 20 ans .Elle s'évade lors de son transfert pour la révision de son procès et se retrouve à Paris où elle rencontre Emmanuel Ax qui l'héberge .Il tombe follement amoureux de Mona mais leur liaison est tumultueuse. Mona n'a de cesse de retourner dans le sud pour y retrouver sa fille qu'on lui a enlevé après son accouchement en prison.Un roman qui se lit,sans plus.
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Et la force d'aimer

Au hasard d'un transfert, Mona Zigler s'évade. Elle avait été condamnée à vingt ans de prison pour le meurtre de son amant. A Paris où elle se réfugie, toujours par hasard, elle rencontre Emmanuel Ax. Cet homme à femmes non seulement la cache dans l'appartement de ses parents décédés, mais tombe éperdument amoureux d'elle. Il la désire, la met à la porte, la retrouve, la reprend chez lui, ils se disputent, il la dénonce, ainsi de suite jusqu'au jour où ils partent ensemble.

Dans le sud, Mona a une fille de cet amant qu'elle aime encore mais qu'elle a tué, une fille née en prison, après le procès, et qu'elle se résignait enfin à faire adopter. Elle veut la revoir, Évelyne, cette "grenouille" qu'elle n'a tenue que quelques minutes dans ses bras. La retrouvera-t-elle avant la fin?



Pour être tout à fait honnête, ce roman me laisse un avis mitigé. Non qu'il m'ait ennuyé ou que l'histoire m'ait déplu, mais j'ai tout simplement pas réussi à l'apprécier pleinement. J'ai eu, du début à la fin, la vague impression qu'il manquait "quelque chose", je ne saurais dire quoi, aux personnages, pour qu'ils soient réellement attachants et intéressants.

La fin n'est pas une surprise mais elle est habilement amenée. Les dernières pages parviennent tout de même à nous entraîner dans un flot d'émotions.

Bref, malgré cela, ce roman m'aura laissé un goût de pas assez.



Challenge ABC 2016/2017

Challenge Petits plaisirs
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Et la force d'aimer

Je n'arrive pas à m'habituer au style de cet auteur. Je le trouve confus, par moments désuet. Je ne ressens pas non plus d'empathie pour les deux personnages principaux. Emmanuel Ax (pourquoi avoir donné à ce personnage le nom d'un pianiste mondialement connu ?) est un séducteur macho et un patron odieux, Mona l'évadée de prison ne semble pas vraiment savoir ce qu'elle veut ...

Désolé, mais j'abandonne.
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Et la force d'aimer

Malaise de beauté. Une quête insatisfaite d'un ailleurs indéterminé pour un avenir de lendemain...
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Et la force d'aimer

avis mitigé sur ce road movie de Paris à la provence ... on a déjà lu cette intrigue mais où ?
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Et la force d'aimer

"Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu'il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l'hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l'amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ?

Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l'impossible pour s'approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ?

Emmanuel se décide à l'emmener au sud, où vit la petite, mais il ne trouve pas la bonne route, et les saisons passent dans un pays soudain vaste comme l'Amérique."

Très bon roman de cet écrivain. J'ai déjà lu des romans de Yann QUEFFELEC et celui-ci est aussi bon que ceux que j'ai déjà lu.



Le style est parfait.



Auteur à suivre
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Et la force d'aimer

Un avis bien partagé! D'un côté Quéffelec sait mettre le lecteur dans une ambiance qui exerce une fascination. Malgré une hésitation à mi-parcours, j'avais quand même envie d'en terminer la lecture. Pourtant il manque quelque chose à l'histoire: tout est dit à demi-mot et de façon obscure. Le côté pathologique, torturé et mystérieux des personnages voile l'intrigue. Je n'étais pas toujours au clair sur ce qui était concrètement entrain de se passer. Au final, ce livre me laisse avec un arrière-goût de relations toxiques. L'envie de l'oublier et de retourner à une vie plus lumineuse.
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Happy Birthday Sara

Pas du tout aimé!

Monsieur Queffelec a une écriture désorganisée, compliquée (et pas parce que c'est de la grande littérature à phrases à rallonge!), rébarbative. Le contenu est brouillon et il faudrait qu'il écrive dj porno pour éviter de nous en glisser des petites touches version ridicule à tout bout de champ et hors contexte.
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Happy Birthday Sara

Je n'ai pas du tout aimé.



Le style m'a beaucoup déplu: c'était confus, j'avais souvent besoin de retourner en arrière pour essayer de tirer tout ça au clair. Certes, on cerne très bien ainsi la confusion qu'il y a eu vraisemblablement à bord lors du naufrage mais, du coup, je ne suis pas certaine d'avoir suivi le fil de tous les évènements.



Dommage, l'histoire était très bien ...
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Happy Birthday Sara

Grosse déception. J'ai trouvé l'ensemble confus et la lecture heurtée. Mais bon, c'est du Queffelec. La lecture n'est pas toujours sans heurts ! La déception provient surtout du décalage brutal entre mes attentes et la réalité.



Mes attentes ?



En faisant allusion dès l'épitaphe de départ au terrible naufrage en mer baltique du paquebot Estonia qui sombra, en moins d'une heure de temps, dans la nuit du 28 septembre 1994, provoquant la mort de 859 passagers sur les 989 à bord, je me suis imaginé que ce roman évoquerait un message, une direction, une opinion, même ténu, en lien avec cet événement. D'autant que, bien que l'enquête officielle ait conclu à un accident, les circonstances de ce naufrage suscitent toujours autant de questionnements et théories du complot diverses, que le débat autour du non renflouage ne cesse par ailleurs d'alimenter.



La réalité ?



J'ai été incapable de cerner les motivations de l'auteur. Simple hommage ? Version d'une de ces théories du complot x ? Hypothèse sur la cause de ce naufrage ? Réhabilitation ? Coïncidence ? Je n'ai pas su démêler ou il voulait en venir. C'est comme s'il avait utilisé des éléments qui font référence aux faits réels, un nom de paquebot (Estonia), un trajet (Tallin et Stockholm), un naufrage, pour créer une fiction lambda sans aucun rapport avec les événements réels. Sauf qu'en choisissant d'y faire référence, il devient difficile d'en faire abstraction.



Je n'aurais pas eu connaissance de ce naufrage, j'aurais certainement abordé cette lecture de manière complètement différente, comme n'importe quelle fiction, en me laissant porter (entrainer?). Et c'est probablement de cette manière qu'il faut l'appréhender. Ne "voir" que l'histoire d'une jeune fille de 18 ans, Sara, qui cherche à comprendre pourquoi son père, le capitaine Oleg Johanson, alors maître de l'Estonia, s'est fait radié de la marine pour avoir pris la décision d'interrompre la croisière et de rebrousser chemin, sans jamais s'en expliquer ; et que son enquête mène, de déconvenues en revirements, vers des révélations & des découvertes lugubres.



Peut être suis-je tout simplement passé à coté de cette histoire ? Je ne sais pas quoi en penser. En tout cas, je n'arrive pas à me départir d'un désagréable arrière gout d'inachèvement. Bien sur, cela n'engage que moi.

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Happy Birthday Sara

L'intrigue est plutôt pas mal mais je n'ai pas accroché au style d'écriture de Yann Queffélec et aux personnages et cela m'a gâché ma lecture (méli-mélo de pensées et d'actions des personnages difficiles à suivre et vulgarité sans intérêt).
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Happy Birthday Sara

J'ai eu beaucoup de mal à aller au bout du livre : le style ne m'a pas plu , l'écriture est spéciale , les personnages peu attachants et que de longueurs !

Sara s'est embarquée sur un ferry le jour de ses 18 ans pour prouver que son père qui a été capitaine sur ce bateau a été injustement renvoyé . Elle ne sait pas à qui se fier parmi les anciens employés et va naviguer à l'aveugle alors que la mer est déchaînée .
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Happy Birthday Sara

une histoire préjugée mièvre d'une jeune fille qui cherche à disculper son père. d'après la quatrième de couverture, je pensais ne pas du tout aimer mais c'est de Queffélec quand même ! je décide tout de même d'embarquer. c'est alors que l'Estonia prend l'eau. les passagers tanguent. en quelques pages, en quelques flots, la houle se fait plus forte et le romancier applique une cadence haletante. on se laisse sombrer.



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Happy Birthday Sara

Un roman au rythme du TicTac, une écriture hachée que je n’ai pas pu lâcher. D’ailleurs, il vaut mieux ne pas lâcher car ça pulse, ça bouge, c’est confus, ça part dans tous les sens et, en plus, il y a du mystère. Pourquoi le père de Sara a-t-il fait demi-tour ? Pourquoi Sara abandonne tout pour aller sur l’Estonia ? Quel est le problème avec l’étrave de l’Estonia ?

Des écolos, des bandits, et les gens autour.



Challenge MultiDéfi : Un livre d'un auteur enfant d'écrivain (Yann Queffélec fils d'Henri (1910-1992))

Challenge ABC 2015-2016
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