Yuu Watase

Il y a quelques années, j'avais lu cette série Fushigi Yugi : la légende de Gembu de Yuu Watase.En tombant par hasard sur un site, j'ai commandé la suite des aventures de cette prêtresse.Durant cette période, j'étais accro aux oeuvres de cette mangaka. Dans le tome 3, Namamé, une nouvelle étoile fait son apparition. La jeune Takiko va devoir apprivoiser cet enfant et fuir les assassins du Kuto. Heureusement, la Sage lui donnera des conseils pour retrouver les étoiles plus facilement. Un pur plaisir de retrouver ces personnages de Watase.

Un bon moment de détente.



J'avais quelques doutes sur ce manga, pré-sentant une histoire clichée et hyper-sexualisé, mais finalement je m'étais trompée.



Le premier tome de Lui ou rien, met en place le décors, les protagonistes. Une Riiko un brin colérique et impulsive, un Sôshi calme et réfléchie, et enfin Night, poupée de plaisirs, mais pas que ! Des personnages attachants et loin d'être superficiels.



Contre toute attente le trio fonctionne, les situations sont comiques, l'idée de départ est originale et le tout est fun, voir drôle. J'ai passé un moment de pur détente et de musculation des zygomatiques aux côtés de nos personnages et c'était bon.



Le graphisme, tantôt épurée, tantôt détaillé, apporte à notre triangle la gamme d'émotions nécessaire pour nous toucher. Les dessins prenant même le pas sur les dialogues par moments, laissant place au silence et à la vue pour ressentir les émotions.



En bref un premier tome sympathique, qui ouvre à la lecture du second !



Bonne lecture à tous.

Une histoire très kawaai. Après, Yuu Watase revisite le mythe d’Alice et de la magique girl. Alice doit lutter contre le mal et vit en parallèle une histoire d’amour compliqué. Sa sœur et elle sont amoureuses du même garçon. Originalité, c’est encore moyen, mais nous sommes encore au tome 7 mais le lecteur appréciera la qualité des dessins qui est toujours au rendez-vous.

Ouf, j'ai l'impression de sortir d'une plongée en apnée en refermant ce tome qui conclut la série.



J'ai aimé cette série encore plus que la première (Fushigi Yugi) tant je me suis sentie vibrer avec les personnages, tant les surprises sont nombreuses et bien amenées. J'ai aimé Takiko, une héroïne forte et altruiste.



La tension est progressive jusqu'à un bouquet final. J'ai pleuré comme une madeleine à la fin, alors que je savais comment ça allait se terminer.

Attention manga pour public averti, les scènes de sexes sont nombreuses, explicites et souvent violentes.



Un thème classique finalement : l'amour peut-il sauver ? Mais traité d'une façon qui l'est moins.



Dans une atmosphère glauque à souhait, l'ingénu devient adulte, le pervers ne l'est pas autant qu'on pourrait le penser. À part le héros, ils ont tous un grain dans cette histoire.



L'intrigue est bien menée, avec une montée en puissance des sentiments et un final réussi. J'ai été fascinée malgré moi par le jeune noble, malgré certains actes inacceptables je n'ai pas réussi à le détester.



Finalement je suis arrivée au bout des 3 tomes sans m'en rendre compte, avec un pincement au cœur pour la conclusion.

Je ne suis pas forcément déçue de ce tome mais je m'attendais à mieux !

Je ne l'ai pas trouvé brouillon, ni quoi que ce soit dans ce genre, mais je n'y ai pas trouvé la petite étincelle des tomes précédents .. Pourtant, y'a plus d'action et tout et tout, mais je suis moins sous le charme.



De la même façon, je m'attendais à en apprendre un peu plus sur Bobby et Mei-Lin, mais c'est raté...

Par contre, c'est très sympa de découvrir la part sombre du passé de Frey : c'est cool d'en savoir un peu plus sur lui.



Je ne peux qu'admirer le travail de dessinatrice de Yuu Watase : dans ce tome les scènes sont vraiment très complexes ! Surtout celle avec Mayura : la toile géante (je ne vois pas trop comment appeler ça) à dû être un vrai cauchemar à dessiner...

Et dire que j'arrive déjà au dernier tome...
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Toya est complètement perdu et décide de partir de son côté alors qu'Aya tente de se reconstruire et de continuer sa quête. Seulement le fondateur va une fois de plus lui mettre des bâtons dans les roues. Combien de personnes le génome C va-t-il encore tuer ?

Yuu Watase est surtout connue pour sa série Alice 19th, série découverte récemment grâce à Matilda. Ainsi, lorsque j’ai vu son nom dans la liste proposée par Babelio lors de la dernière opération Masse Critique, je me suis assurée qu’il s’agissait d’un premier tome et je me suis lancée.

Une bonne idée que j’ai eue, car ce premier tome introduit une histoire qui promet de beaux moments de lecture. Je vais d’ailleurs m’empresser de me procurer la suite, dès que j’en aurai l’occasion !



Le résumé annonce l’ouverture d’Arata, jeune garçon qui va devoir perpétuer une tradition familiale en se faisant passer pour une fille. Alors qu’il s’enfuit pour échapper aux gardes du château qui le pensent coupable du meurtre de la princesse du pays, il se réfugie dans une forêt soi-disant dangereuse…

Au même moment, dans notre monde, le jeune Arata découvre que son nouvel ami se joue en fait de lui et complote dans son dos avec son ennemi de toujours… Détruit par cette révélation qui lui rappelle sa solitude de toujours, il souhaite disparaître… et le voilà qui ouvre les yeux à la lisière d’une forêt inconnue. Il comprend bien vite qu’il a échange sa place avec son double ; ce ne sont plus des histoires de bizutages scolaires qu’il doit affronter, mais l’accusation de meurtre de la princesse du pays !



J’ai été très surprise en découvrant que le résumé de la quatrième de couverture n’avait pas grand-chose à avoir avec la « vraie » intrigue de ce premier tome. En effet, alors qu’on pense que c’est ce Arata brun aux cheveux longs qui va être le héros qu’on va suivre, on se rend vite compte que le personnage principal - du moins dans ce premier opus - c’est l’autre, le Arata lycéen aux cheveux courts, souffre-douleur et mal dans sa peau. Et je dois reconnaître que c’est tant mieux, car des deux Arata, c’est bien celui de notre monde que je préfère, pour le moment.

Le jeune garçon qui subit les brimades d’un autre élève de sa classe (figure qu’on retrouve également comme ennemi dans le monde parallèle) m’a beaucoup touchée. Très solitaire malgré des parents et une petite sœur attentionnés, il se renferme sur lui-même et ne fait plus confiance à personne. Lorsqu’il arrive dans l’autre monde, il rencontre la meilleure amie de l’autre Arata - Kotoha - et retrouve peu à peu la force de faire confiance ; c’est très émouvant. De plus, il semblerait que le garçon timide soit capable de réveiller un vieil objet - un dieu - alors que son double appartenant à ce monde, n’en ait jamais été capable.

De l’autre côté, on apprend peu de choses sur l’arrivée de l’autre Arata dans notre monde et ses premiers moments dans sa nouvelle famille et au lycée… mais je pense qu’on aura la joie de découvrir tout ça dans le tome suivant !

Outre la recherche d’un moyen pour rentrer chez lui, chaque Arata va avoir beaucoup à faire dans son monde d’adoption et découvrira sans doute beaucoup de choses sur lui et sur les personnes qui l’entourent…

Bien plus qu’une simple aventure dans un univers de fantasy, Yuu Watase nous offre des personnalités fortes et touchantes ; c’est le gros point positif de cette histoire.



Autre point positif de cette nouvelle série : les dessins.

Si le Arata aux cheveux longs et aux traits fins (et oui, il se fait passer pour une fille !) est déjà bien mignon, l’autre est carrément adorable ! C’est vrai que c’est souvent le cas avec les figures masculines dans les mangas, mais comme la personnalité de l’adolescent me plaît également beaucoup, c’est encore mieux ! Mais s’il y a un personnage (féminin) que j’ai trouvé absolument magnifique, c’est Kotoha avec sa coiffure, son costume… à croquer !

Du côté des expressions, Yuu Watase s’en sort à merveille. Je l’avais déjà noté dans Alice 19th, mais la mangaka sait très bien mettre en avant les émotions, notamment lorsque ses personnages sont mélancoliques, tristes…

Les décors et paysages ne sont pas toujours présents, mais lorsqu’ils le sont, on les remarque bien, notamment dans le monde parallèle : la grande tour où vit la princesse, la forêt inquiétante,…



J’aurais presqu’envie de faire de cette découverte un coup de cœur, mais j’attends que les points positifs soient confirmés dans le tome suivant. Un grand merci à Babelio et aux éditions Kurokowa pour cet envoi ; je suis ravie !
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j'aime beaucoup ce livre et j'ai très envie de découvrir la suite. L'histoire est génial et on s'attache rapidement aux personnages.

Concernant la couverture, je la trouve jolie, avec des couleurs chaudes et un trait qui représente parfaitement le talent de la mangaka.



Concernant les graphismes, ils sont magnifiques, fins et délicats. Je ne suis peut-être pas très objective, mais je trouve que Yuu Watase est une des mangaka au meilleur coup de crayon. Je n'ai jamais été déçue par ses œuvres et ai été témoin, au fil des tomes, de son évolution graphique. J'ai aimé qu'elle ponctue le tout de quelques plans des personnages en chibi avec des traits exagérément expressifs, qui n'est pas sans rajouter pas mal d'humour.



Comme dit dans le résumé, nous sommes à l'époque Edo et Yuzura a été abandonnée à la naissance, accompagnée de Kongomaru, un étrange bâton. Trouvée par un couple de pharmaciens, ces derniers l'on adoptée et élevée comme leur fille. Le papa adore inventer des objets farfelus et m'a fait rire à plusieurs reprises.



Maintenant âgée de 15 ans, Yuzura est devenue "la pourfendeuse de regrets", autant garçon manqué qu'impulsive, mais avec le cœur sur la main. Avec son fidèle Kongomaru, qui lui confère ce pouvoir, la jeune fille est capable d'effacer la tristesse qui hante le cœur des gens puis de la retourner contre ceux qui en sont à l'origine. C'est aussi sans compter sur son assistant, Minekichi, qui apporte une touche conséquente d'humour à l'histoire.



Un jour, elle est amenée à croiser la route de Samon, un samouraï en danger. Leurs routes ne se séparerons plus après ça. Le jeune homme est gentil et serviable et va rapidement s'attacher à Yuzura. Ses moments de jalousie sont en général savoureux et rajoutent au côté comique du manga.



L'arrivée de Kazanosuke, un ninja, apportera un côté un peu sérieux de par sa situation, mais il rajoutera lui aussi beaucoup de petites touches d'humour à cette histoire.



L'histoire en elle-même n'est pas la plus recherchée ni la plus complexe, Yuu Watase le reconnait elle-même, mais elle n'est pas bâclée non plus. Yuzura et ses comparses vont devoir faire avec un "fantôme", des fausses piste et des voleurs... le tout saupoudré d'essais de la jeune fille pour en savoir plus sur son passé et le pourquoi de son abandon bébé.



Une autre chose qui m'a beaucoup fait rire, c'était les petites cases où l'on pouvait voir Yuu Watase tenter de rajouter des choses modernes au manga, en plein dans l'histoire, et se faire rabrouer par son éditeur, par exemple. J'ai adoré ces petits ajouts !



J'ai beaucoup aimé, à la fin du T3, la petite histoire bonus qui introduit l'univers d'Alice 19th, manga que j'ai plus qu'adoré !



En résumé, j'ai passé un bon moment entre les pages de ce manga en trois tomes. Ce n'est peut-être pas la saga la plus travaillée de Yuu Watase, mais je ne l'ai pas trouvée bâclée pour autant, car l'histoire de fond est celle de la recherche des origines de Yuzura et de Kongomaru. Les personnages sont très attachants et plein d'humour, les situations peuvent passer du plus sérieux à des passages plus loufoques, à des moments de tension ou d'émotion à une envie de rire. À lire pour passer un bon moment détente.
Lien : http://booksfeedmemore.eklab..

Concernant la couverture, je la trouve jolie, avec des couleurs chaudes et un trait qui représente parfaitement le talent de la mangaka.



Concernant les graphismes, ils sont magnifiques, fins et délicats. Je ne suis peut-être pas très objective, mais je trouve que Yuu Watase est une des mangaka au meilleur coup de crayon. Je n'ai jamais été déçue par ses œuvres et ai été témoin, au fil des tomes, de son évolution graphique. J'ai aimé qu'elle ponctue le tout de quelques plans des personnages en chibi avec des traits exagérément expressifs, qui n'est pas sans rajouter pas mal d'humour.



Comme dit dans le résumé, nous sommes à l'époque Edo et Yuzura a été abandonnée à la naissance, accompagnée de Kongomaru, un étrange bâton. Trouvée par un couple de pharmaciens, ces derniers l'on adoptée et élevée comme leur fille. Le papa adore inventer des objets farfelus et m'a fait rire à plusieurs reprises.



Maintenant âgée de 15 ans, Yuzura est devenue "la pourfendeuse de regrets", autant garçon manqué qu'impulsive, mais avec le cœur sur la main. Avec son fidèle Kongomaru, qui lui confère ce pouvoir, la jeune fille est capable d'effacer la tristesse qui hante le cœur des gens puis de la retourner contre ceux qui en sont à l'origine. C'est aussi sans compter sur son assistant, Minekichi, qui apporte une touche conséquente d'humour à l'histoire.



Un jour, elle est amenée à croiser la route de Samon, un samouraï en danger. Leurs routes ne se séparerons plus après ça. Le jeune homme est gentil et serviable et va rapidement s'attacher à Yuzura. Ses moments de jalousie sont en général savoureux et rajoutent au côté comique du manga.



L'arrivée de Kazanosuke, un ninja, apportera un côté un peu sérieux de par sa situation, mais il rajoutera lui aussi beaucoup de petites touches d'humour à cette histoire.



L'histoire en elle-même n'est pas la plus recherchée ni la plus complexe, Yuu Watase le reconnait elle-même, mais elle n'est pas bâclée non plus. Yuzura et ses comparses vont devoir faire avec un "fantôme", des fausses piste et des voleurs... le tout saupoudré d'essais de la jeune fille pour en savoir plus sur son passé et le pourquoi de son abandon bébé.



Une autre chose qui m'a beaucoup fait rire, c'était les petites cases où l'on pouvait voir Yuu Watase tenter de rajouter des choses modernes au manga, en plein dans l'histoire, et se faire rabrouer par son éditeur, par exemple. J'ai adoré ces petits ajouts !



J'ai beaucoup aimé, à la fin du T3, la petite histoire bonus qui introduit l'univers d'Alice 19th, manga que j'ai plus qu'adoré !



En résumé, j'ai passé un bon moment entre les pages de ce manga en trois tomes. Ce n'est peut-être pas la saga la plus travaillée de Yuu Watase, mais je ne l'ai pas trouvée bâclée pour autant, car l'histoire de fond est celle de la recherche des origines de Yuzura et de Kongomaru. Les personnages sont très attachants et plein d'humour, les situations peuvent passer du plus sérieux à des passages plus loufoques, à des moments de tension ou d'émotion à une envie de rire. À lire pour passer un bon moment détente.
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Concernant la couverture, je la trouve jolie, avec des couleurs chaudes et un trait qui représente parfaitement le talent de la mangaka.



Concernant les graphismes, ils sont magnifiques, fins et délicats. Je ne suis peut-être pas très objective, mais je trouve que Yuu Watase est une des mangaka au meilleur coup de crayon. Je n'ai jamais été déçue par ses œuvres et ai été témoin, au fil des tomes, de son évolution graphique. J'ai aimé qu'elle ponctue le tout de quelques plans des personnages en chibi avec des traits exagérément expressifs, qui n'est pas sans rajouter pas mal d'humour.



Comme dit dans le résumé, nous sommes à l'époque Edo et Yuzura a été abandonnée à la naissance, accompagnée de Kongomaru, un étrange bâton. Trouvée par un couple de pharmaciens, ces derniers l'on adoptée et élevée comme leur fille. Le papa adore inventer des objets farfelus et m'a fait rire à plusieurs reprises.



Maintenant âgée de 15 ans, Yuzura est devenue "la pourfendeuse de regrets", autant garçon manqué qu'impulsive, mais avec le cœur sur la main. Avec son fidèle Kongomaru, qui lui confère ce pouvoir, la jeune fille est capable d'effacer la tristesse qui hante le cœur des gens puis de la retourner contre ceux qui en sont à l'origine. C'est aussi sans compter sur son assistant, Minekichi, qui apporte une touche conséquente d'humour à l'histoire.



Un jour, elle est amenée à croiser la route de Samon, un samouraï en danger. Leurs routes ne se séparerons plus après ça. Le jeune homme est gentil et serviable et va rapidement s'attacher à Yuzura. Ses moments de jalousie sont en général savoureux et rajoutent au côté comique du manga.



L'arrivée de Kazanosuke, un ninja, apportera un côté un peu sérieux de par sa situation, mais il rajoutera lui aussi beaucoup de petites touches d'humour à cette histoire.



L'histoire en elle-même n'est pas la plus recherchée ni la plus complexe, Yuu Watase le reconnait elle-même, mais elle n'est pas bâclée non plus. Yuzura et ses comparses vont devoir faire avec un "fantôme", des fausses piste et des voleurs... le tout saupoudré d'essais de la jeune fille pour en savoir plus sur son passé et le pourquoi de son abandon bébé.



Une autre chose qui m'a beaucoup fait rire, c'était les petites cases où l'on pouvait voir Yuu Watase tenter de rajouter des choses modernes au manga, en plein dans l'histoire, et se faire rabrouer par son éditeur, par exemple. J'ai adoré ces petits ajouts !



J'ai beaucoup aimé, à la fin du T3, la petite histoire bonus qui introduit l'univers d'Alice 19th, manga que j'ai plus qu'adoré !



En résumé, j'ai passé un bon moment entre les pages de ce manga en trois tomes. Ce n'est peut-être pas la saga la plus travaillée de Yuu Watase, mais je ne l'ai pas trouvée bâclée pour autant, car l'histoire de fond est celle de la recherche des origines de Yuzura et de Kongomaru. Les personnages sont très attachants et plein d'humour, les situations peuvent passer du plus sérieux à des passages plus loufoques, à des moments de tension ou d'émotion à une envie de rire. À lire pour passer un bon moment détente.
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Un volume émouvant où Hargas se sacrifie pour son frère. De nombreuses révélations sur Takiko. Va-t-elle tenir le coup ? Une réconciliation entre le père et le fils ? On sent le dénouement approcher avec cet avant dernier volume. Une héroïne qui va sans doute me manquer malgré une édition chaotique!

Pour trouver le tome 10, j’ai dû faire des kilomètres et des nombreuses recherches au préalable. Je me suis rendue à la bibliothèque de Koekelberg de Jeunesse pour pouvoir l’emprunter à défaut de l’acheter. En effet, ce tome est quasi introuvable sauf à des prix exorbitants (70 à 200 €) et en seconde main sur des sites web. Autant vous dire que je ne l’ai pas risqué à ce prix. Revenons à l’histoire proprement dite, ce volume nous renseigne sur le passé du père et de l’oncle de Rimudo. Takiko va-t-elle sauver le père et le fils ainsi que le pays du Hokkan. À quand une réédition de l’œuvre de Watase ?

Je n'ai pas eu droit à une rectification dans le tome 7. Je ne saurais jamais ce qui s'est passé pendant la rencontre de Takiko et d'Hargas. Quelle est l'histoire d'Hargas et son frère. Vu que mon tome 6 présente un gros problème (40 pages d'Ayashi No Ceres au lieu de ma saga dont les 20 dernières sont en double). Enfin après ma déception, je me suis lancée dans un tome 7 où Takiko est capturée une nouvelle fois aux côtés de Soluenn. Il s'agit d'un tome déchirant où un précieux allié mourra. J'espère également qu'un jour qu'il y aura une nouvelle édition des oeuvres de Watase où la maison d'édition sera un peu plus sérieuse. Mais je ne fais pas d'illusions à ce sujet, elle a moins le vent en poupe depuis quelques années.

Un début très sympathique, quoique l'entrée en matière est un peu brutale, les enjeux ne sont donc pas évident à "capter" du premier coups, les explications étant assez succinctes.

Le personnage d’Alice est très attachant, et le parallèle entre cette histoire et celle d'Alice aux pays des merveilles plaisant.

Bref une lecture agréable.

Une série de fantasy classique comme Yuu Watase sait si bien les faire.



J'aime le fait que l'on voit évoluer le héros, le Arata du Japon moderne, qui prend peu à peu confiance en lui et en l'humanité.

Le fait que son double du monde de fantasy se retrouve dans notre monde m'intrigue, j'en suis dans ma lecture au moment où il va aller à l'école pour la première fois.



Les graphismes sont superbes, la mangaka a bien évolué depuis ses premières séries.

Sur un principe entre "Narnia" et "L'histoire sans fin", Miaka se retrouve dans un livre dans une Chine imaginaire.



Une histoire fantasy d'aventure comme je les aime, avec la touche de romantisme que Yuu Watase sait si bien mener, bref un plaisir à lire !

Je ne suis pas très fan de Yuu Watase, je trouve que ses illustrations manquent de vie, ces personnages sont dénués d'expressions (hormis les traits principaux). En revanche l'histoire m'a emballé. J'aime ce côté romance sombre qu'elle a su donner à Sakura-Gari. De plus, dans la forme, c'est un magnifique manga relié.

Et là c'est le drame.... Toya a retrouvé une grosse partie de ses souvenirs mais comme redouté il a oublié Aya et pire encore il a retrouvé une jeune fille à laquelle il tient. Aya va-t-elle faire un croix sur lui et continuer ses recherches sans lui ?