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Critiques de Yves Frémion (13)
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Pierre le voleur

L’écologie occupe une place primordiale dans la vie d’Yves Frémion. Actif et engagé dans sa lutte , il dispose aussi d’une certaine notoriété dans le monde littéraire . Ecrivain pour un public jeune , Rédacteur en chef pour des magazines .

Son parcours se poursuit avec la publication d’un nouvel ouvrage “Pierre le voleur “dans la collection rester vivant chez le Muscadier éditions.

Dans un village cévenol se trouve un homme au nom de Pierre que tous les habitants connaissent pour son vilain défaut , il pratique gentiment et en toute innocence la Cleptomanie qui se définit par l’obsession de voler des objets , dont l’usage est superflu pour sa personne .

Les villageois lui pardonnent toujours ces soi-disants cambriolages prenant en considération ses intentions non-malignes jusqu’au jour où l’arrivée de nouveaux habitants dans le coin ne verront pas ces agissements de cet oeil. Suite un nouveau vol , ils déposent une plainte et une enquête sérieuse suit son cours …

Voler est une manie chronique chez Pierre , mais la mythomanie ne fait pas partie de son langage , elle l’horripile au plus haut point , ce qui lui vaut le soutien de tout le monde . Ils clament son innocence , témoignent , jusqu’à mener leur propre investigation …

“Pierre le voleur” expose un sujet d’actualité considéré comme inquiétant en minimisant les faits afin de ressortir l’essentiel de l’être humain . Le comportement de l’ héroïne est certes ambigu mais révèle tout de même le sens des responsabilités face à certaines situations qui pourraient nuire à la réputation des autres.

Yves Frémion propose une lecture divertissante avec une plume immersive, des personnages loufoques , un ton enjoué, et des dialogues rythmés . L’ambiance est agréable dans ce village où la bienveillance et l’entraide sont de mise contrecarrant la diffamation envers autrui . Il émane de ce récit une chaleur humaine , l’acceptation de l’autre , une certaine réconciliation avec soi , la mise en lumière de la repentance est évidente quelque part .


Lien : http://chroniqueuse6.canalbl..
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Pierre le voleur

Pierre est un jeune homme qui ne peut s'empêcher de voler des objets, même à ses amis, dès lors qu'ils se trouvent à portée de main.



Pourtant, tout le village l'aime bien, et la plupart vont simplement récupérer leurs biens en le lui demandant ou pas.



L'arrivée de nouveaux habitants puis celle d'un nouveau policier vont changer la donne. Surtout lorsqu'un coffret plein de bijoux disparaît...



Un roman qui nous dresse le portrait d'un voleur pas ordinaire. Plutôt que voler, on peut dire que pierre va prendre ce dont il a besoin ou envie en fonction de ses déambulations.



Il a en réalité une autre conception de la propriété. Par ailleurs, il n'hésite pas une seconde à reconnaître ses chapardages. Mais aussi à dire quand ce n'est pas lui.



Le village va se montrer solidaire de cet être hors norme, irritant parfois mais toujours attachant.



J'ai aimé que le livre déploie l'idée d'une liberté qui se moque des valeurs actuelles de la société, concentrées sur les biens matériels.



Nous ressentons la tendresse de l'auteur pour son personnage, mais aussi pour tout le village.



Car le vrai fil de l'histoire devient très vite celui de l'entraide et de l'acceptation des différences. Avec aussi une très jolie fin.



À lire !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Territoires du tendre

Voici une anthologie bien fichue, tournant autour d'un thème universel, l'amour, mais de manière singulière.

Tous les textes réunis ici sont emplies d'une certaine poésie et de qualités stylistiques qui en font des textes très agréables à lire, même si un ou deux sont assez biscornus pour arriver à nous perdre.

Pareil pour la façon qu'on chacun des auteurs pour aborder le thème imposé. Chacun est d'une originalité et d'une inventivité appréciable, mais de temps en temps cela va si loin que c'est difficilement compréhensible voir pas du tout (comme par exemple "Tout saigne dans l'huile" de Jean-Pierre Hubert, perso j'ai rien pigé à son histoire d'Alteramant).



En conclusion c'est une bonne anthologie qui hélas à un peu vieillie, mais qui reste tout de même assez originale et avec un sujet central intemporel et universel qui la rend toujours intéressante à lire de nos jours. Par contre sa lecture en est si riche qu'il me semble difficile de l'ingurgiter en une seule fois. Prévoyez donc plusieurs jours/séances de lectures
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C'est la lune finale ! Anthologie (L'Utopie..

En 1980, treize auteurs français de Science-Fiction, de Christin à Jeury, de Frémion à Bernard Blanc relèvent le défi de demain : celui de l'imagination au pouvoir - un monde meilleur tout de suite.

Six illustrateurs de talents viennent prêter main forte à ces textes - Andrevon, Mézières, Remy, Sole, Volny et Willem.

Quoiqu'un peu daté ce recueil est une superbe plongée dans les années 80.
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Ronge

Franchement, est-ce qu'une critique limite haineuse des clubs de vacances et des gens qui les arpentent méritait tout un livre de SF ? Et même un livre tout court ? Perso, je ne le pense pas, et pourtant l'auteur l'a fait.



Car, faut être honnête, les 3/4 de ce roman ne parle que de ça. La grande majorité des chapitres étant tous découpés pareils : un mélange de descriptifs du fonctionnement d'un club de vacances et de portraits des clients, animateurs et autres personnes pouvant être rencontrés dans ou autour de ce genre de lieux ; et tout cela de manière assez corrosive, voir méchante par moment.

Soit un sujet dont on se fout, et même si au départ on est du même avis que l'auteur. Surtout qu'il n'y a même pas mis l'humour qu'on s'attendait à y trouver ; en tout cas moi je le cherche encore.



Bon ! me direz-vous, mais il reste encore 1/4. Oui ! mais non, c'est pas meilleur, pas plus intéressant, toujours pas SF, très peu crédible, trop, Déjà vu, et j'en passe...

Pour faire simple, c'est un amoncellement de catastrophes qui tombent sur le club et ses occupants sans aucune explication, sans aucune logique, sans rien, sauf peut-être du gore, car oui ça y en a ; mais toujours pas de SF.



A se demander si l'auteur n'a pas écrit ce roman juste pour cracher toute sa haine envers ces lieux, suite à une mauvaise expérience personnelle. Tout en y ajoutant une fin où il se venge en leur faisant subir les pires horreurs qui lui sont passés par la tête.



Puis il y a cette fausse bonne idée d'avoir nommé les clients avec un mots raciste (bougnoule). Je comprends bien l'idée de départ et la trouve même plutôt bonne, mais lire ce mots de façon aussi récurrente devient très vite dérangeant. Un moins insultant, mais tout aussi significatif, ou moins insister en l’utilisant beaucoup moins aurait été plus digeste.



En ce qui concerne le sexe, le lieux a beau se nommer Faluce, le roman débuter par une scène de fellation, c'est bien vide, bien fade. Ça ne donnerait même pas sa première érection à un gamin prépubère, mais ça pourrait en choquer un plus jeune.



Pour l'écriture, y a du bon et dans l'ensemble ce n'est pas trop mauvais, mais y un côté encyclopédie auquel je n'ai pas accroché du tout.



Pour finir, comment pourrais-je vous conseiller un livre sans véritable histoire, sans personnages principales, sans logique, sans but, sans humour, et, surtout, sans SF... Le pourriez-vous, vous ?



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Images interdites

Fascinant et triste à la fois.

Même si l'on est déjà conscient, les nombreux exemples montrent comme la censure est toujours aussi présente dans le monde, bien évidemment chez nous aussi même si c'est dans une moindre mesure.

On pourra peut être regretter le manque de documentation sur l’Afrique subsaharienne.
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Ronge

Yves Frémion n'aime pas le Club Med' et il entend qu'on le sache.

Or donc, après une rafale de citations et d'avant-propos destinée à nous convaincre qu'il n'a pas que les numéros du Fluide dans sa bibliothèque, l'auteur nous compte les malheurs du Klub (le lecteur de FNA est bouché, forcément bouché) Faluce.

Et les malheurs de ce pauve Klub sont innombrables. Dans ce haut lieu de la distraction industrielle, défile toute une série d'individus ou plutôt d'archétypes sans épaisseur dont le comportement moutonnier et stupide va attirer la fureur de leur créateur.

Tel le dieu jaloux de l'ancien testament, Frémion décide que le Klub - et accessoirement ses occupants - doit disparaitre sans laisser de trace. Mais là où le dieu des juifs la jouait ptit bras en frappant Sodome et Gomorrhe de la seule foudre céleste (Jimmy Guieu aurait dit une ogive nucléaire...), Frémion lui, en dieu philosophe, convoque les quatre éléments pour anéantir l'infâme village, le feu (laves du volcan), l'eau (raz de marée), la terre (les termites rongeurs), l'air (la révolution chez les "autochtones"). Ce dernier point doit nous interpeller car des esprits chagrins pourraient y voir la métaphore que "la révolution c'est du vent" ce qui serait clairement un réflexe petit-bourgeois fractionniste.

Tout comme Loth et sa famille sauvés de la destruction de Sodome, l'auteur épargnera un membre de ce malheureux troupeau (un shooté qui passera un trip de 4 jours au fond d'une barque) et une poignée d'autochtones et de révolutionnaires.

Mais quels crimes les "bougnoules" et les "paras" ont-ils bien pu commettre pour mériter un sort aussi affreux ?

On croit comprendre que c'est la vulgarité et la bêtise. Petit souci : comparer sans rire les spectacles nocturnes organisés par les "paras" aux grand-messes nazies de Nuremberg quand on sait que le Klub/Club a été fondé par un ancien résistant belge de confession juive, il fallait tout oser avec le risque d'aller rejoindre direct le troupeau.

En résumé un pamphlet méprisant et haineux destiné à être tracté à la sortie des agences de voyages.

Et la SF dans tout ce foutoir me direz-vous ?

Bin...petit dialogue totalement fictif entre le conseiller d'édition du FNA (appellons-le JPA) et YF :

JPA : Allo Y, salut c'est JP. Oui j'ai bien reçu ton truc. Génial évidemment, Nicole va adorer. Bon y'a juste un p'tit souci parce que c'est quand même la collection Anticipation. Tu pourrais pas...

Y : Ah non, tu m'avais promis que tu me ferais pas chier avec ça..

JPA : ok, ok mais bon j'peux pas toujours faire ce que je veux, c'est juste deux ou trois trucs pour faire genre, de toute façon il n'y a pas de relecture et les lecteurs sont tellement cons...

Y : Ouais, on pourrait peut-être dire que le camp est sur un astéroïde et j'ajouterais 2, 3 engins bidons...

JPA : Ah tu vois, c'est pas si compliqué..

Y : ouais, ouais, j'te fais ça dans la semaine...

JPA : nickel à plus...



La seule note ironique de l'histoire, c'est la suite.

Un an après sa parution, Frémion devenait député européen Les Verts et trouvait enfin un emploi à la hauteur de ses capacités.

Le Club Med' à partir des années 90 ira de galères financières en restructurations à la hache pour finalement tomber dans les mains d'un obscur groupe chinois et il aura cessé depuis bien longtemps d'être LA référence des clubs de vacances.

Comme quoi, cris de haine ou cris d'amour, il y a parfois quelqu'un pour les entendre et les exaucer.

PS : je mets un demi point pour le papier, il y a des arbres qui sont morts pour ce bouquin...
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Pierre le voleur

Avec ce roman young adult, Yves Frémion nous plonge dans le monde de la ruralité. Nous y découvrons le personnage de Pierre qui est un voleur compulsif. Il vole tout et rien, surtout les choses dont il a besoin. Les villageois sont plutôt sympas avec lui et savent le prendre. Finalement, Pierre n’est pas si méchant. Il n’est même pas dangereux. Jusqu’au jour où, de nouveaux résidents ne vont pas le prendre aussi bien que cela…

Ce roman rural se lit avec une facilité déconcertante. Ni une ni deux, on se retrouve plongé dans ce village. Très vite, on a la sensation de connaître tous les habitants. Tout nous semble familier et l’on fait partie de cette petite communauté. Il faut dire que Yves Frémion a vraiment eu le truc. Avec son écriture agréable et fluide, on ne peut que se prendre dans l’histoire. Certes, l’intrigue en elle-même n’est pas très complexe. Il n’y a pas de grands rebondissements, ni de suspens. Le rythme est lent, les choses prennent le temps de se mettre en place. Et paradoxalement, en un rien de temps, on arrive à la fin du livre. On se dit « déjà ?! ». C’est presque trop court. On a envie d’en savoir plus et de continuer à suivre Pierre. Il y a un petit goût amer dans cette fin.

Le personnage de Pierre est terriblement attachant. Il paraît fragile et on a envie de le protéger, de l’écouter.

Yves Frémion et son écriture toute en douceur ont donc su me charmer et livrer un récit émouvant qui a un goût de trop peu.
Lien : https://aufildesplumesblog.w..
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Pierre le voleur

Un voleur qui rend est-il un véritable voleur ?



Eh bien Les Loulous, une fois de plus, je ne peux que saluer la qualité des histoires de la collection Rester Vivant chez les éditions Le Muscadier ! (que je remercie au passage pour leur confiance). C'est doux, délicat, plein de réflexions sur la vie et sur notre société. Une belle découverte à nouveau pour nos petites têtes blondes (ou brunes 😜 ) qui pourront, j'en suis certaine, apprécier ce livre et en prendre pleinement conscience et qui sait, faire évoluer les choses...



Nous partons à la rencontre de Pierre et de ce village au cœur des Cévennes. La modernité et les sentiments belliqueux n'ont pas encore transformés ce village et ses habitants.

Pierre c'est un homme au premier abord gentil. Mais il est atteint de Kleptomanie ! Il ne peut s'empêcher de voler. Enfin, de prendre un quelque chose, qui traîne. Qui « traîne » pour lui ! Il ne casse pas de carreaux pour aller voler une boite à bijoux ou un smartphone ou autre chose, non. En passant, si la porte ou la fenêtre est ouverte, il se sert. Et ramène chez lui les biens récoltés.

Mais comme tout le monde le connaît, ils sont bien aise d'aller frapper à sa porte et récupérer ce qui a été chapardé. Pierre est un voleur, oui. Mais il n'est pas menteur. Quand on lui demande si c'est lui qui a volé il répond oui. Mais voilà, arrive un jour où un vol est commis et où ce n'est pas Pierre ! Et il va devoir en découdre !



Les Loulous, j'ai aimé ce livre ! Le Bibou aussi et d'ailleurs, il a quelques airs de Pierre ! Ce voleur est un gentil chapardeur et on s'attache à lui. Ce village m'a rappelé un peu le mien...

Se met en place une solidarité aux côtés de Pierre. Yves Frémion nous plonge au cœur d'un village comme on en a connu et qu'on connaît encore. Où la vie est simple. Avec ses cancans, ses ragots, mais aussi ses minots, ses histoires, ses alliances et mésententes.



La plume d'Yves nous emporte délicatement dans cet univers. Il est aisé de pouvoir compter les uns sur les autres. De partager certaines choses. La réflexion est faite sur les différents modes de vie. Une communauté participative en quelques sortes. Pourquoi pas. On touche du doigt l'acceptation de l'autre et la résignation. Le partage et le besoin. Le vivre ensemble, dans la différence. En filigrane on découvre d'autres sujets et c'est ça qui me plaît dans cette collection. Chaque livre nous amène à la réflexion. Celle de nous dans notre société. Son évolution possible et ce qu'elle peut nous apporter.



Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous invite à découvrir la plume de Yves Frémion grâce à « Pierre, le voleur ». Je ne peux que vous recommander la collection Rester Vivant chez Le Muscadier. Ici, une belle plume, une chouette histoire qui nous ouvre l'esprit vers une autre fenêtre dans notre société.
Lien : https://linstantdeslecteurs...
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Ronge

ah les camps de vacance... Ahahah...

Ce livre est drôle, c'est une bonne critique sociale dans laquelle des gens de tout millieu se retrouve en espérant se faire bronzer la pillule. Depuis les bronzés dieu sait que les camps de vacance sont encore plus ringards qu'ils ne l'étaient.



Comme dans la plupart des livres Frémion le sexe y est bien présent et on ne verse pas dans sentimentalisme.



Nous retrouvons dans ce livre un certain nombre de personnages que nous pouvons croiser à peu près n'importe où: des moches intravertis en passant par les faux-beaux, les vieux beaufs... Aucun d'eux n'est sympathiques la France moyenne ne l'est pas beaucoup plus et quand survient le drame on ne regrette presque personne, car nous montons d'un cran dans la mesquinerie.



Je ne suis pas méchant en écrivant ce commentaire mais tout aussi réaliste que l'auteur. Ce livre est à mon avis bien trop court, mais cela ne peut qu'en renforcer l'éfficacité.



http://sfsarthe.blog.free.fr




Lien : http://sfsarthe.blog.free.fr
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Germaine Bouret Le bonheur de l'enfance

Un livre un peu ancien, qui retrace le parcours de cette illustratrice de génie qu'était Germaine Bouret.



C'est ma mère qui m'avait fait découvrir depuis longtemps ces petits personnages naïfs, et je voulais en savoir plus sur l'auteure.



Dans la bibliothèque familiale trônait ce livre qui met en avant également beaucoup d'illustrations de cette dessinatrice du début du 20eme siècle.
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Le guide des métiers méconnus

Un livre d'humour, un peu grinçant, à prendre au 3ème degré minimum mais qui se lit sans déplaisir
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Nos monstres

Flavien Moreau, dont c’est le premier livre, confère une inquiétante étrangeté à chacun de ses portraits à la Basil Wolverton. Le pire, c’est que dans la réalité, nous n’avons pas l’acuité de son regard. C’est pourquoi cet ouvrage est utile.
Lien : https://www.actuabd.com/Nos-..
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