Citations de Stephenie Meyer (1302)
« Avant toi, Bella, ma vie était une nuit sans lune. Très noire, même s'il y avait des étoiles- des points de lumière et de raison... Et puis, tout à coup, tu as traversé mon ciel comme un météore. Soudain, tout brûlait, tout brillait, tout était beau. Quand tu as eu disparu, quand le météore est tombé derrière l'horizon, tout s'est de nouveau assombri. Rien n'avait changé, sauf que mes yeux avaient été aveuglés par la lumière. Je ne distinguais plus les étoiles, et la raison ne signifiait plus rien. »
*Quand la vie vous a fait don d'un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin.
*Et le lion s'éprit de l'agneau ... Quel idiot cet agneau. Quel fou ce lion.
*If I could dream at all, il will be about you.
- Quel âge as-tu ?
La réponse fusa.
- Dix-sept ans.
- Et... Depuis combien de temps ?
- Un bon moment, admit-il, amusé.
Je... je t'aime aussi. Moi, le petit ver argent lové à l'arrière de son crâne. Mais mon corps, lui, ne t'aime pas. Il ne peut t'aimer. Je ne pourrai jamais t'aimer dans ce corps [...]. Je suis déchirée. C'est insupportable.
Cette Terre était à la fois le plus noble et le plus vil des mondes; on y trouvait les émotions les plus belles, les plus délicates, et en même temps, les pulsions les plus noires, les plus sinistres. Peut-être était-ce inévitable? Peut-être sans le Très-Bas ne pouvait-on toucher au Très-Haut?
« N'aie pas peur, murmurai-je. Nous sommes faits l'un pour l'autre. »
L'instant était si parfait, si juste qu'il était impossible d'en douter.
Ses bras se refermèrent autour de moi, me pressant contre lui...
« À jamais », renchérit-il.
Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m'en melerai plus. Ce sera comme si je n'avais jamais existé.
" Je n'ai jamais beaucoup réfléchi à la manière dont je mourrais - même si, ces derniers mois, j'aurais eu toutes les raisons de le faire - mais je n'aurais pas imaginé que ça se passerait ainsi.
Haletante, je fixai les yeux noirs du prédateur, à l'autre bout de la longue pièce. Il me rendit mon regard avec affabilité."
Il te faut reconnaître ça, Bella. Les vampires partis d'ici, n'importe qui aurait été soulagé. Toi, non, il faut que tu te mettes à traîner avec les premiers monstres qui te tombent sous la main.
Sa main libre se plaça délicatement sur mon cou. Je ne bronchai pas. La froideur de ses doigts me fit vibrer, comme si la nature exigeait que j'eusse peur. Mais, dans le maelström de mes émotions, la peur n'avait pas sa place.
-En chemin, je réflechissais...
-A la meilleure façon d'éviter les arbres, j'espère.
-Petite sotte. Courrir est une deuxième nature chez moi. Je n'ai pas besoin d'y penser.
-Frimeur, répétai-je.
-Non, enchaîna-t-il en souriant, je réfléchissais à un truc que jai envie d'essayer.
Sur ce, il reprit mon visage entre ses mains en coupe. J'arrêtai de respirer. Il hésita-pas d'une façon normale, pas d'une façon humaine, pas comme un homme pourrait tergiverser avant d'embrasser une femme, afin de jauger sa réaction, de voir comment elle va le prendre. Ou pour prolonger l'instant, ce moment parfait d'anticipation, parfois meilleur que le baiser lui-même. Edward, lui, hésita pour se tester, pour vérifier que s'était sans danger, qu'il contrôlait sa soif. Puis ses lèvres de marbre froid se posèrent tout doucement sur les miennes.
Ce à quoi ni lui ni moi n'étions prêts, ce fut ma réaction.
Mon sang bouillonna sous ma peau, incendia ma bouche. Mon souffle devint heurté et erratique. Mes doigts aggripèrent ses cheveux, collant sa tête contre la mienne. Mes lèvres s'ouvrirent, et j'inhalai à fond son odeur capiteuse. Aussitôt, il se pétrifia. Ses mains, douces mais fermes, me repoussèrent.
Rouvrant les yeux, je vis qu'il était sur ses gardes.
Si je savais rêver, je ne rêverais que de toi. Et je n'en aurais pas honte.
'' If you can live Forever, What do you Live For ? ''
La vie est nulle, et ensuite on meurt.
Tu parle je n'aurais pas cette chance.
En quoi ça peut m'aider de vous dire que je vois son visage à chaque fois que je ferme les yeux? Que je me réveille en larmes parce qu'il n'est pas là ?
Je me suis rarement demandé comment j'allais mourir, mais mourir à la place d'un être cher me semble une fin enviable. Je n'ai jamais beaucoup refléchi à la manière dont je mourrais; même si, ces deniers mois, j'aurais eu toutes les raisons de le faire mais je n'aurais pas imaginé que ça se passerait ainsi. Haletante, je fixais les yeux noirs du prédateur,à l'autre bout de la piéce.Il me rendit mon regard avec fiabilité. C'était surement une bonne facon d'en terminer. A la place d'un autre d'un que j'aimais.Noble pourrait-on dire. Ca devrait compter en ma faveur. Quand la vie vous a fait don d'un rêve qui a dépasser toutes vos ésperances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin. Ce fut avec un sourire aimable et tranquille que le chasseur s'approcha pour me tuer.
– Je suis une « femme », ai-je poursuivi d’une voix lasse. J’en ai ma claque que vous m’appeliez le mille-pattes !
Jared a battu des paupières, interdit. Puis son visage s’est durci aussitôt.
– Parce que tu occupes un corps de femme ?
Wes s’est tourné vers Jared.
– Parce que j’en suis une ! ai-je rétorqué.
– Selon quels critères ?
– Les mêmes que les tiens ! Dans mon espèce, je suis celle qui porte les enfants. Ça te suffit comme critère ?
Ça l’a fait taire. Une soudaine satisfaction m’a envahie.
Bien joué ! a approuvé Mélanie. Il s’est comporté comme un goujat.
Merci.
Entre fille, il faut se serrer les coudes.
- Comment l'as-tu appelée ?
Jacob s'éloigna encore, l'air penaud.
- Ben... le prénom que tu lui as donné est compliqué, alors...
- Tu as surnommé ma fille comme le monstre du loch Ness ? écumai-je.
J'aimerais te dire à quel point tu m'es essentielle, à quel point ta présence est devenue mon addiction personnelle et à quel point je suis fou. Fou de tout mais tellement de toi...
En tous ces millénaires, les humains n'ont jamais pu définir l'amour. Quelle est la part physique ? Quelle est la part mentale ? Est-ce le fruit du hasard ou du destin ? Pourquoi des unions parfaites sur le papier s'écroulent elles ? Pourquoi des couples improbables résistent-ils à tout ?