Citations de Stephenie Meyer (1302)
- C'est juste ce corps.. ai-je répété.
- Ce n'est pas vrai. Ce n'est pas le visage mais les expressions que tu y mets ; ce n'est pas la voix, c'est ce que tu dis. Ce n'est pas la plastique de ce corps, c'est ce que tu fais avec. C'est Toi qui es belle.
Ian à Gaby.
Je n'étais sûr que de trois choses:
-Un, Edward était un vampire.
-Deux, une partie de lui, et j'ignorais encore sa taille, voulait s'abreuver de mon sang.
-Trois, j'étais incontestablement et irrévocablement amoureuse de lui.
Il n'avait pas peur de mourir, il n'avait pas peur de vivre et il n'avait pas peur de croire.
- Ne t'inquiète pas du buveur de sang, répondit-il avec suffisance. Il est jaloux.
- Oui, admit Edward, et sa voix avait recouvré son calme, ses intonations veloutées et musicales. Tu n'imagines même pas à quel point je voudrais être à ta place, clébard.
- Chacun ses limites, plastronna Jacob avant d'ajouter sur un ton plus amer : au moins, tu sais qu'elle préférerait que ce soit toi.
- Vrai.
*- Isabella Swan ?
Il me regardait à travers ses longs cils
avec ses doux yeux d'or mais toujours brûlant d'une certaine façon.
- Je t'ai promis de toujours t'aimer tous les jours de ma vie.
Veux-tu m'épouser ?
*Look after my heart, I've left it with you.
*Sleep my Bella. Dream happy dreams. You are the only one who has ever touched my heart. It will always be yours. Sleep, my only love.
Ian à Vagabonde : "Je t'ai tenue dans ma main, Vagabonde. Tu étais si belle."
Je crois qu'il y a des choses qui ne peuvent mourir.
Le temps passe. Y compris quand cela semble impossible. Y compris quand chaque tic tac de la grande aiguille est aussi douloureux que les pulsations du sang sous un hématome. Il s’écoule de manière inégale, rythmé par des embardées étranges et des répits soporifiques, mais il passe. Même pour moi.
Edward se détendit un peu sans pour autant approcher toutefois.
- Inutile d'avoir peur, Bella, chuchota-t-il. Tu ne crains rien, je ne te ferais aucun mal.
Cette promesse cryptique ne servit qu'a m'égarer plus avant. Je le fixai comme une imbécile, incapable de saisir.
- Tout ira bien Bella, Je sais que tu es terrifiée, mais c'est fini. Personne ne te fera aucun mal, je ne te toucherai pas, je ne te ferai aucun mal.
- Pourquoi répètes tu cela ? dis-je en retrouvant enfin ma voix.
J'avançai d'un pas maladroit, il recula.
- Que se passe-t-il ? soufflai-je. Qu'est-ce que tu as ?
- Tu n'as pas peur de moi ? demanda-t-il, soudain aussi égaré que je l'étais.
"Dans un soubresaut vertigineux, mon rêve devint cauchemar.
Grand-mère n'existait pas.
C'était moi; Moi dans un miroir. Moi, vieille, ridée et fanée.
A côté d'Edward. La glace ne renvoyait pas son image, et il était d'une beauté fracassante, figé pour l'éternité de ses dix-sept ans. Il posa ses lèvres de givre aux contours irréprochables sur ma joue détruite.
- Bon anniversaire, chuchota-t-il."
L'amour était irrrationnel. Plus on aimait une personne, moins cela avait de sens. p. 351
- Il est comme une drogue, pour toi, repris Jacob, sans critique cependant. Je vois à présent que tu es incapable de vivre sans lui. Il est trop tard. N'empêche, j'aurais été plus sain pour toi. Je n'aurais pas été une drogue, mais ton air, ton soleil.
- C'est drôle, c'est ainsi que je t'envisageais, avant. Comme mon soleil qui compensait les nuages de ma vie.
- Je peux combattre les nuages, soupira-t-il. Pas une éclipse.
p.581
*I can't live in a world where you don't exist.
*Je n’étais pas en train de rêver, cependant, et à la différence d’un mauvais songe, je ne cavalais pas pour sauver ma peau mais quelque chose d’infiniment plus précieux. Ma propre survie ne pesait rien du tout à mes yeux, ce jour-là.
*Voilà pourquoi il m’importait peu que nous fussions cernés par des ennemis si extraordinairement dangereux. Lorsque la cloche se mit à sonner l’heure, déclenchant des vibrations sous la plante de mes pieds maladroits, je compris que j’arriverais trop tard et je fus soulagée qu’un destin sanglant attendît dans la coulisse. Car en échouant, je perdais tout désir d’exister.
Pourquoi avais-je tant besoin de cet amour ? Tout ce que je savais , à présent , c'est que l'amour que je recevais valait mille fois les risques et les souffrances qu'il m'avait coûtés. L'amour était encore plus exaltant que je ne l'imaginais .
Il était Tout .
Qu'est-ce qu'elle était bizarre, nom d'un chien! Elle était mariée! Avec celui qu'elle aimait, qui plus est! Ajoutez à cela qu'elle était enceinte jusqu'aux yeux. Alors, pourquoi fallait-il qu'elle soit aussi ravie de me retrouver? A croire que j'avais embelli sa fichue journée rien qu'en franchissant le seuil. Si seulement elle avait manifesté de l'indifférence! Mieux, même, si elle avait rejeté ma présence. Il m'aurait été beaucoup plus facile de m'éloigner, du coup.
Tu sais comment on noie une blonde, Rosalie ? En collant un miroir au fond d'une piscine.
« - Je l'aime, rétorquai-je. Pour lui, pas parce qu'il es beau ou riche. Je préférerais d'ailleurs qu'il ne soit ni l'un ni l'autre. Cela comblerai un peu le gouffre qui nous sépare, même si ça n'empêcherait pas qu'il soit encore l'être le plus aimant, le plus généreux, le plus brillant et le plus décent qu'il m'ai été donné de rencontrer. Alors oui, je l'aime. Évidemment que je l'aime. C'est si difficile à admettre ? »
Quel revirement.
Disons que… J’ai décidé, puisque je suis voué aux Enfers, de me damner avec application.
" On ne sait jamais combien de temps on a devant soi."
- Moi, l'âme Vagabonde, je t'aime, toi Ian l'humain. Et ce sera pour toujours, quoi qu'il advienne de moi. (...) Même si j'étais devenue Dauphin, Ours ou Fleur, cela n'aurait rien changé. Je t'aurais aimé pour toujours, tu serais resté à jamais gravé dans ma mémoire. Parce que tu es, et seras, mon seul et unique compagnon.