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La ferme des animaux

La Ferme des animaux est un livre paru en 1945 et écrit par George Orwell, un auteur anglais né en 1903.

Le roman raconte la vie d’animaux de ferme qui, un jour, décident de se rebeller afin de ne plus être soumis à l’homme. Pensant mettre fin à une dictature, ils ne se rendent pas compte qu’une nouvelle se met peu à peu en marche.



La Ferme des animaux est un roman à succès qui présente de nombreuses qualités.

La particularité évidente du livre est son système allégorique. George Orwell se focalise sur des animaux intelligents (qui se veulent plus ou moins anthropomorphiques) mais, de manière sous-jacente, il devient vite évident que l’auteur met en exergue des comportements humains. Si l’exercice n’est pas forcément inédit (tous les romans n’ont-ils pas une dimension allégorique ?), force est de constater que le style simple de l’auteur permet de se plonger avec beaucoup d’entrain dans l’histoire dont les contours se dessinent rapidement. George Orwell a par ailleurs admis que son livre se voulait être une critique directe de la révolution russe et de ses conséquences. Néanmoins, dans le contexte géopolitique mondial actuel, le livre semble intemporel.

Outre la critique des régimes dictatoriaux, l’auteur met également en exergue d’autres caractéristiques humaines : la convoitise, la domination, la naïveté voire la cruauté. Il est en effet question d’animaux bons et dévoués et d’autres, en l’occurrence les cochons, antipathiques et manipulateurs.

Il faut également saluer l’aspect synthétique du livre. Si ce n’est que rarement ce qu’il est possible d’attendre d’un roman, sa dimension politique aurait pu le conduire à un écueil courant consistant au caractère indigeste des textes relevant de ce domaine.



Il est difficile d’émettre des reproches sur l’œuvre de George Orwell. Peut-être est-il possible de regretter un certain manque de subtilité. La critique des régimes russes et plus généralement autoritaires est évidente pour un adulte voire un adolescent. Seuls les très jeunes lecteurs pourront passer à côté. Si cela peut être vu comme une des qualités du livre, il est également possible d’être gêné par cette trop grande subtilité qui laisse finalement peu de place à l’interprétation du lecteur.



À travers La Ferme des animaux et, plus tard, 1984, George Orwell a réussi à s’imposer comme un romancier de référence pour toutes les personnes à la recherche de critiques politiques habillées en récits. Malgré un potentiel manque de subtilité, l’allégorie de l’histoire, couplée à un style sobre, à des critiques multiples et à un format court, est séduisante.
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Dracula

Jonathan Harker rend visite au comte Dracula en Transylvanie, qui veut acheter une maison en Angleterre. Sauf que son séjour ne se passe pas comme prévu. Il va se rendre vite compte qu’il est prisonnier du comte, et que ce dernier n’est pas ce qu’il prétend être.



Comme beaucoup, je connaissais le nom du comte, je savais que c’était un vampire, mais sans vraiment connaître l’histoire. Bien que l’action se déroule au XIXè siècle, la lecture n’est pas difficile et j’ai été tenue en haleine tout le long. La seule chose qui m’a empêchée de finir l’histoire plus vite, c’est que c’était une lecture commune. J’ai enfin pu découvrir la perversité et l’intelligence de Dracula, et la véritable identité de Van Helsing que je n’imaginais pas comme ça (merci le film). Encore une lecture que je n’aurais pas faite seule mais que je ne regrette pas.
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Raison et sentiments

Elinor et Marianne Dashwood sont deux soeurs qui sont chassées de chez elles, avec leur mère et leur benjamine Margaret. Leur père étant mort, la maison revient à leur demi-frère, seul homme de la famille. Les quatre femmes partent donc habiter dans le Devonshire. Elinor laisse derrière elle l'homme qu'elle aimait, alors que Marianne tombe amoureuse d'un homme qu'elle pensait connaître. Le coeur va leur jouer des tours.



Il est agréable de retrouver la société à cette époque. Jane Austen manie bien la plume pour retranscrire les sentiments et les déboires amoureux de l'époque.



C'est Elinor qui m'a le plus marquée, elle qui doit se montrer présente et forte pour sa mère et ses soeurs. Et surtout, qui se retrouve à cacher sa peine de coeur. Elle devrait pouvoir s'effondrer et donner libre cours à ses émotions, mais elle préfère se contenir et rester forte pour sa soeur et sa mère. Quelle femme courageuse !
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