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EAN : 9782918682097
242 pages
Arkhe editions (18/03/2011)
3.39/5   9 notes
Résumé :

Dehors des rangées d'immeubles entières s'assombrissent, se dégradent, se délitent et s'effondrent dans un ciel poussiéreux où brillent des dizaines de soleils, et les soleils se rejoignent devenant une boule de feu gigantesque, pendant un instant, il n'y a plus que de la lumière, et puis la nuit tombe, une nuit presque solide, tangible, et la lune devient plus petite et s'éloigne, les étoiles s'estompent, et i... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Il y quelques mois j' ai été contactée par l' auteur, Philippe Bartherotte, pour recevoir gratuitement ce livre en échange d' une critique. La quatrième de couverture ne dévoilait pas grand chose, si ce n' est rien, mais j' ai tout de même accepté, sans trop savoir ce qui m' attendait...

Je peux dire sans trop d' hésitations qu' il s' agit de la fiction la plus violente et incensée qu' il m' est été donné de lire jusque maintenant. Ames sensibles s'abstenir!



David Ruskin est un véritable cas social. A 30 ans, il ne fait absolument rien de ses journées, perçoit le RSA, préfère occuper ses journées à se masturber devant des sites pornographiques sur le web plutôt que de chercher un travail. Si on lui demande s' il a une activité, il répond écrivain sans plus de précisions.

Un jour il décide de s' inscrire dans un club de tir. Une idée a germé peu à peu dans son esprit : s' entrainer pour accomplir l' oeuvre de sa vie, celle de réaliser un massacre, un bain de sang non pour des revendications politiques, sociales ou religieuses mais pour exécuter une oeuvre d' art. Après de nombreux repérages les galeries Lafayette lui paraissent un lieu privilégié..





Derrière ce paumé, qui retrouve une maigre consolation dans les crocodiles haribo se cache un véritable pervers et psychopathe, en particulier par son addiction totale à la pédo-pornographie. Il ne peut s' empêcher de tenir des propos pervers et d' éprouver des érections incontrôlées par le simple fait de croiser des jeunettes pré-pubères aux formes naissantes et bien fermes, en particulier si elles paraissent venir de l' Est..



C' est un type foncièrement frustré qui n' admet pas forcément que la solitude lui pèse énormément. En tant qu' asocial il tente de justifier son absence totale de rapport aux autres par la critique de cette masse informe appelée humanité, qui a perdu tout repère et toute valeur, soumise à différents diktats.



Le lecteur se prend tout en pleine face : une critique féroce de notre société de consommation on ne peut plus vraie, le quotidien d' un pervers à la fois déconnecté de la réalité et pourtant en contact permanent avec l' actualité à travers les messages d' alerte intempestif d' SFR l' informant sur une catastrophe naturelle, l' augmentation de la TVA, ou le meurtre d' un quidam dans des conditions atroces...



C' est un livre d' une violence extrême, qui devient écoeurant par les thèmes omniprésents comme la mort, le sexe avec toutes ces scènes sordides vécues ou imaginées de masturbations, éjaculations faciales, fellations, sodomies, viols; la drogue aussi est assez présente et surtout la pédophilie.



Honnêtement au bout d' un moment, je ne me posais plus qu' une question : qui est le plus fou? L' auteur qui a écrit celà ou moi qui continue à lire malgré l' overdose?



Malgré tout ce livre a la particularité de nous mettre face à l' absurdité humaine de façon très crue certes, mais il me donne cette impression que la réalité et la fiction s' entrechoquent, et je pense que c' est surtout cela qui

provoque un sentiment de mal à l' aise.



On sent derrière la plume de l' auteur l' ironie, un humour noir voir glauque pour certains, une volonté de ridiculiser à l' extrême par la description de scènes absurdes dans un monde absurde.



Le narrateur ne fait pas vraiment preuve de mauvaise foi, il est crédible dans sa façon de dévoiler ses pires vices et perversions, il peut se le permettre dans ses écrits. C' est un personnage troublant qui exerce une certaine fascination. Il fait pitité par le fait qu' il ne fasse aucun effort pour ce sortir de ce marasme, en même temps il est très lucide, capable de réfléxions poussées sur des thèmes d' actualité. On se rend compte une fois de plus de toute la complexité humaine.



Ma conviction est qu' il ne s' agit pas d' une simple fiction sur beaucoup d' aspects, beaucoup sont tapis dans l' ombre et ne passeront jamais à l' acte pour des raisons diverses...



C' est un livre qui m' a beaucoup interpellée. Je me suis demandée tout le long quel message voulait faire passer l' auteur? J' ai cru saisir une violente critique de notre société actuelle avec la perte d' identité et de valeurs, avec l' idée que les plus mauvais ne sont pas toujours ceux auxquels on pense. Que différents facteurs comme l' environnement, les études, les rapports avec les autres, l' éducation, conditionnent notre personnalité à nos dépens mais que celà n' explique pas tout. En l' espèce on avait surtout le sentiment que le personnage se résignait à ce mode de vie, qu' il l' a choisi en toute connaissance de cause, mais finalement il en ressort qu' il n' était pas plus blâmable que les autres!



En conclusion je dirais que l' imagination de l' auteur est assez surprenante... on fraule l' overdose.

Mais je n' ai pas saisi ça réelle motivation... qu' a-t-il voulu prouver?





Je le remercie en tout cas pour l' envoi de ce livre qui m' a été dédicacé!
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Publié en mars dernier, "Sugar Baby" est le premier roman de l'écrivain français Philippe Bartherotte, également auteur de l'essai " La tentation d'une île, derrière les caméras de la téléréalité".

Les journées de David Ruskin, parisien trentenaire au chômage, se suivent et se ressemblent, partagées entre les dvd's loués au vidéoclub du coin, les nombreuses heures passées sur internet à se masturber devant des films (pédo)pornographiques et les 3 minutes de conversation téléphonique avec sa mère.
Pour tromper son ennui et sa solitude, il décide de s'inscrire à l'Association Nationale de Tir pour y obtenir sa licence. Son rêve ? Perpétrer un massacre aux Galeries Lafayette le premier jour des soldes.
Mettra-t-il ce fantasme à exécution ou se laissera-t-il rattraper par la réalité ?

Antihéros par excellence, David Ruskin est un individu qui dès le départ ne suscite pas la moindre sympathie.
Eternel chômeur dénué d'ambition si ce n'est celle d'écrire un jour un roman, pervers à outrance, incapable de la moindre émotivité (si ce n'est peut-être vis-à-vis de sa tortue d'eau), on le perçoit à la fois comme insignifiant au regard d'une société homogène et marginal en ce qu'il en refuse les règles du jeu.
En décrochage social complet, David se nourrit presque exclusivement de fantasmes sexuels ou violents (voire sexuellement violents) qui le conduisent petit à petit à commettre des crimes.
Narrateur de sa propre histoire, il balade le lecteur dans une logique et une réalité qui lui sont propres, résultat de sa perception de l'actualité comme de comportements dictés avant tout par ses pulsions.
Réfléchi, il échafaude un plan bâti sur une série de rêves dans lesquels il endosse le rôle vedette de l'exterminateur ouvrant le feu avec sang froid sur toutes les personnes rencontrées sur son passage.
Je me suis présenté David Ruskin comme le personnage central d'un jeu video évoluant dans un monde où les autres n'existeraient qu'en tant que cibles potentielles.

Comme d'autres lecteurs avant moi, j'ai souvent pensé à Patrick Batman, personnage de "American Psycho" de Bret Easton Ellis ( que je n'ai pas encore lu mais dont j'ai vu l'adaptation ciné).
Il y a cette même violence tour à tour refoulée puis assumée, cette même amoralité et ce même goût pour la modernité et les citations de marques (qui ne me dérangent pas outre-mesure mais qui m'ont carrément énervée dans un passage "sponsorisé" du roman).
Les références à l'actualité sont légion dans la bouche du narrateur, abonné à des alertes infos SFR, qui se sert de faits divers pour appuyer son raisonnement.
Fidèle au genre transgressif, "Sugar Baby" apparaît comme un concentré de tous les dysfonctionnements propres à notre société. Un monde animé par une déshumanisation toujours plus flagrante et au sein duquel la violence côtoie une sexualité constamment assimilée à de la pornographie. Aussi attendez-vous à quelques scènes trash à la Despentes...

Malheureusement le récit souffre de quelques coquilles et fautes d'orthographe (certains s'en fichent éperdument mais moi ça m'agace). le thème de la crise identitaire et du pétage de plombs des 30-40 ans sur fond de solitude urbaine commence doucement à s'émousser (Beigbeder, Rizman, Laurain et j'en oublie certainement...).
La fin retombe un peu à plat (tant qu'à faire, je m'attendais à ce que l'auteur pousse le sensationnalisme et assume les travers de son personnage jusqu'au bout).

Je peux néanmoins affirmer qu'au-delà des scènes violentes (peu plaisantes mais néanmoins nécessaires pour coller au récit et au profil du coco), d'autres m'ont franchement fait sourire comme celle où David demande un coffret des plus beaux viols de l'histoire du cinéma à une vendeuse de la FNAC (avec l'explication qui s'ensuit) ou quand il jauge les gens dans les administrations ou les endroits publics.
Lien : http://contesdefaits.blogspo..
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Premier roman de Philippe Bartherotte, déjà par ailleurs auteur d'un document-témoignage sur la téléralité, Sugar Baby est un véritable ovni, qui jette sa modernité à la face du lecteur et ne lui en épargne rien, ou tout du moins pas grand chose... Un roman au premier abord cru, brutal et d'une violence presque absurde : trash.

Mais quand on s'enfonce un peu dans la vie de ce narrateur (et le pas est vite franchi), au fil des alertes SFR sensationnalistes et des pages de son journal, cet aspect qui s'affirme prend sens et reflète une réalité quotidienne.
Pour autant Bartherotte ne tombe pas dans le piège de certains romans dits "modernes" juste parce qu'ils sont capables de choquer et d'aligner des vulgarités à outrance.

On sent l'intention de décrire (sans même décrier) un des aspects de notre époque, ses côtés les plus sombres : le virtuel qui isole et désinhibe à la fois, la pornographie addictive, les rapports humains faussés par l'image, la solitude des grandes villes...
Un peu trop même parfois, de manière brutale et répétitive, ce qu'il faut pour ne pas être réellement en empathie avec ce narrateur et presque au point d'être au bord de l'écoeurement.

Au final, on ne sait pas trop quoi penser de ce personnage que tour à tour on plaint, comprend qui finalement agace, répugne puis fascine...
Entre victimisation, marginalité, sociopathie et perversion la frontière est parfois mince.

Parallèlement, au-delà même de ce côté un peu trash, la plume de Bartherotte sait se faire légère et se laisse aller à l'ironie, l'humour aussi.
Quelques situations rocambolesques (avec les administrations notamment) contrebalancent également les aspects pessimistes-morbides tout en en étant au fondement même : ce qui suscite ce désir de mort qu'il arrive à tout à chacun de ressentir, ne serait-ce que succinctement, face à certaines situations.

Pulsions et vices entretenus par l'époque et la société sont donc bien explorés, le tout s'inscrivant dans une intrigue à laquelle on se laisse facilement prendre.
La lecture est rapide, mais bien dosée (quelques 240 pages) : malgré quelques effets répétitifs on évite l'écueil dangereux de la surenchère outrancière.

Il est probable que la violence sous-jacente rebute certains lecteurs. Pour ma part elle fait sens et même si elle reste dérangeante elle coïncide avec ce parfum d'air du temps que l'auteur instaure...

[Mon avis complet dans la suite]
Lien : http://www.perdreuneplume.co..
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David Ruskin, célibataire et frère du chanteur d'un groupe de rock un peu connu, n'a pas de travail, pas de petite amie et pas de vie. Il végète dans son appartement, vit des aides de l'état, passe son temps à surfer sur des sites pornos et à rêver à ce qu'il aimerait faire. le problème, c'est qu'il adorerait sortir armé pour ensuite choisir un lieu fréquenté et tirer sur tous les gens présents. du coup, il s'inscrit dans un stand de tir pour s'entrainer …
Voilà un roman pour lequel je vais avoir beaucoup de mal à vous parler de mon ressenti. En fait, je ne sais pas trop si j'ai aimé ou non ! Dans l'ensemble, je ne me suis pas vraiment ennuyée lors de cette lecture et j'ai tourné les pages à un bon rythme, ce qui est, en général pour moi, plutôt un bon signe. Par contre, le personnage principal n'est vraiment pas sympathique (on pourrait d'ailleurs dire la même chose de tous les personnages du roman !) et du coup, difficile quand même de s'attacher à lui et à ses états d'âme assez glauques. J'aurais pu alors avoir envie de le voir plonger, de le voir « puni » mais non, même pas assez intéressée par lui pour ça … ce qui paraît paradoxal vu que j'ai lu son histoire sans déplaisir. Je crois que j'ai quand même eu une petite lassitude à cause du côté répétitif (meurtres et sexe) dans la vie de David Ruskin … au bout d'un moment, j'ai eu un peu la sensation de tourner en rond et c'est peut-être pour ça que je ne me suis pas soucié de ce qui pourrait finalement lui arriver. Pourtant, le style d'écriture est agréable et très actuel, avec des références variées (films, musique, évènements) qui m'ont bien plu (sauf quand j'ai vu écrit « Le retour du Jedy » !!!!! ouh, la faute de frappe !). Par contre, je suis restée très perplexe à la fin … je crois que je n'ai pas tout compris mais j'ai quand même trouvé qu'elle restait bien dans la lignée du personnage et dans l'ambiance du roman … un peu bizarre, un peu folle et difficile à cerner !
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Gentillement envoyé et dédicacé par l'auteur, je me suis plongée dans la lecture de ce roman dont j'ignorait tout, l'auteur m'ayant prévenu que la quatrième de couverture ne reflétait en rien l'atmosphère du roman.

C'est un bel objet que ce livre : tout mignon avec une seconde et troisième de couverture bleu pastel, un titre couleur bonbon. La tête de mort aurait dû m'allerter.

Il est en effet question d'un jeune homme qui, ne travaillant pas, passe sa vie sur les sites pornographiques - de préférence avec de jeunes filles - et qui s'entraîne au tir pour faire "un carton" aux Galeries Lafayette au moment des soldes - moment fort bien choisi, ceci dit.

Et tout est à l'avenant : de jolies jeunes filles forcément bien roulées que le héros sodomise (si avec ça je ne fais pas grimper mes stats de blog...), l'imagination débridé de ce-dit héros qui se voit faisant un carnage tout en mangeant ses bonbons Haribeaux, sans oublier le faux profil Face-de-book pour rameuter des nanas.

Vous l'aurez compris, il faut prendre ce roman au second degré. Car ce que cherche à "faire voir" l'auteur - car c'est un roman très imagé - c'est notre société de consommation : violence-sexe-bouffe.

Parfois, on frise l'overdose de sexe, notamment avec la scène du viol d'une mineure vue du point de vue de l'homme ; ou encore celle de l'ado qui adore ça (ben voyons).

Ce n'est pourtant pas un roman qui met "mal à l'aise" car ce que décrit l'auteur est malheureusement plausible mais jamais vulgaire (il appelle un chat un chat, enfin dans le cas présent, ce serait plutôt au féminin).

Trève de grivoiseries, ce roman est très ancré dans l'année 2010-2011 (de nombreuses références à l'actualité, comme pour rappeler que le héros est totallement déconnecté). Un peu trop d'ancrage donc, car je me demande si ce livre vieillira bien. Il a le mérite de se faire poser des questions : est-il important d'être allerté par flash-info à la minute près de la libération des mineurs colombiens ?

En résumé, trop d'infos tuent l'info, ou, comme le dirait mon prof de com à la fac : "plus on communique, moins on communique".

Sur ces belles paroles, je vous laisse méditer...

L'image que je retiendrai :

Celle de la chanson des Rubettes qui m'a trotté dans la tête chaque fois que je prenais le livre pour le lire
Lien : http://motamots.canalblog.co..
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Et, dans l'esprit de certains hommes, alors que la plupart se soumettent et ne sont là que pour reproduire l'espèce, il naît le germe d'une idée, qui devient pensée, et puis obsession, et parce que cette idée finalement est étrangère, l'homme n'en étant que le réceptacle, l'amphore, et parce que cette idée préexiste et vibre dans l'univers et pénètre indifféremment le vivant et la matière, elle est plus forte que la vie "biologique", et fait accomplir à certains hommes, indifféremment des notions du bien et du mal, la Volonté Divine, et pour elle, certains hommes se sacrifient et se jettent des nuages tels des diables en pierre...
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On les appelle les locked in, les "enfermés à l'intérieur", ceux qui ne peuvent rien faire d'autre que cligner des paupières pour vous parler. Je n'ai pas comme eux perdu la mobilité de mes jambes et de mes bras, ni l'usage de la parole, mais considérez-moi comme un locked in. Dans la ville, la multitude n'est là que pour définir et mettre en relief mon incapacité à nouer des contacts avec les autres.
Dans ma solitude, au milieu de la ville, devant mon ordinateur, j'ai parfois l'impression que l'effort que je fais pour raconter ma vie - compte tenu de mes facultés intellectuelles - est équivalent à celui que devrait produire un tétraplégique qui entreprendrait l'ascension de l'Everest. Mais cet effort est la seule chose qu'il me reste. La seule chose qui me permet d'affirmer mon identité et d'être un homme. p.73
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Hier il faisait pas loin de 40 degrés. C'est la canicule, les vieux tombent comme des mouches et pourtant, il y a toujours autant de vieilles peaux aux cours d'aérobic.
Le fait de nager juste après qu'elles se sont largement ébrouées dans la piscine avec leurs vagins ménopausés a quelque chose de dégoûtant. J'ai fait une allusion plus ou moins fine au type qui surveille le bassin. " Ne vous inquiétez pas on met beaucoup de produits dans l'eau !" m'a-t-il répondu avec un large sourire très maître nageur bien dans sa peau. Cela ne m'a pas rassuré pour autant.
A chaque fois que je bois la tasse, je me demande si je n'ai pas en même temps avalé un bout de muqueuse. p.54
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Aujourd’hui tout le monde veut nous faire croire que la tristesse est un sentiment anormal qu’il faut chasser, parce que la tristesse est le premier pas vers l’autre et la générosité
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Un livre assez déjanté et plaisant à lire. Prémonitoire aussi puisqu'il annonce avec 3 mois d'avance la tuerie qui va se produire à Oslo. Le personnage du livre envisageant lui de faire un carton aux Galeries Lafayette avec la même arme... le fameux GLOCK !
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Video de Philippe Bartherotte (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Philippe Bartherotte
Invité à Arrêt sur Images, Philippe Bartherotte décrit les dessous de la téléréalité, à laquelle il a participé pendant 7 ans.
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