Frank W. Abagnale/5
5 notes
Résumé :
Frank Abagnale, alias Frank Williams, Robert Conrad, Frank Adams et Robert Monjo, décide de mener une vie de pacha sur le bras des compagnies d'aviation et des grandes banques. Maître du camouflage, il se fait tour à tour passer pour un pilote, un pédiatre, un professeur de sociologie et un avocat. Virtuose de la fraude, il sème dans son sillage près de trois millions de dollars en faux chèques. Le tout avant sa majorité ! Récit de tromperies et d'artifices dans leq... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Je viens de terminé le livre de J'avais des ailes, mais je n'étais pas un ange de Frank W. Abagnale, il a sortie la même biographie mais sous un nom différernt soit: Arrête moi si tu peux sortie en 2000. Un an plus tard, il écrit L'Art de la fraude un livre tout aussi pertinent aujourd'hui. J'ai passé un agréable moment de lecture, on rit beaucoup durant celle-ci. Je me souviens pourquoi j'avais donné cinq étoiles et beaucoup apprécier le film de Leonardo di Caprio surtout que le dernier film de lui que j'avais lui il faisait encore un fraudeur dans le Loup de Wall Street. J'ai bien aimé qu'il se sert de ces aptitude pour aider les gens une fois libérer de prison, un escroc avec une conscience.
Citations et extraits (5)
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Un de mes programmes de télévision favoris s'appelle M*A*S*H. Il s'agit d'une série racontant les aventures tragi-comiques d'une unité médicale fictive de l'armée américaine travaillant sur le front de Corée. Je ne peux pas regarder un des épisodes de M*A*S*H sans me rappeler ma "carrière médicale" à Smithers.
En effet, je n'étais pas plus pilote de la Pan Am que lancier du Bengale. J'étais un imposteur, l'un des criminel les plus recherchés sur quatre continents et, à cet instant, je me livrais à mon ocupation favorite: entuber de braves gens à la puissance dix.
Dans le lagage du milieu, on pouvait me classer dans la catégorie des tapissiers professionnels, sans doute parce qu'avec tous les faux chèques que j'avais mis sur le marché on aurait pu recouvrir les murs d'un grand appartement.
Et puis... la poursuite du bonheur ne constitue-t-elle pas l'un de ces privilèges inaliénables dont tout citoyen américain devrait être en mesure de bénéficier ? D'un seul coup, je me sentais privé d'un droit constitutionnel.
Il faut dire que la modestie n'a jamais fait partie de ma panoplie de vertus et préciser qu'en ce temps-là la vertu elle-même ne pesait pas lourd dans mon existence.
Video de Frank W. Abagnale (1)
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Bande annonce du film Arrête-moi si tu peux
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