H2G2, tome 1 : Le Guide du voyageur galactique

H2G2 – tome 1 : le Guide du Voyageur Galactique

De la science-fiction totalement déjantée mais crédible dans son délire ! Après tout pourquoi pas, toutes les portes sont ouvertes dans la science-fiction ! Mais si vous ne riez pas aux blagues des Monty Python, passez votre chemin !

Douglas Adams raconte les voyages et aventures de Arthur Dent, anglais lambda qui se retrouve embarqué à bord de vaisseaux extra-terrestre par son ami Ford Prefect qu'il ne savait pas être un astrostoppeur extra-terrestre coincé sur la Terre depuis 15 ans ! Avec le « Guide du Routard Galactique » que peut-il leur arriver ?

Ford Prefect l'a sauvé de la destruction de la planète par les Vogons, êtres aussi laids que bêtes et méchants ! Pas de chance ils se sont « rematérialisés » dans le vaisseau du chef ceux-ci qui ne tarde pas à les jeter dans l'espace : espérance de vie 30 secondes ! Exactement 29 secondes plus tard ils sont recueillis par le vaisseau Coeur-en-Or qui a été volé par le demi-cousin de Ford qui était jusqu'à ce moment là Président de la Galaxie.

Dit comme ça peut paraître compliqué mais dans la réalité (tout dépend de laquelle ceci dit) c'est simple : en partant du principe que tout est imaginaire, même la Terre, les choses s'éclaircissent d'elles-mêmes ! Ou pas !

Pour un roman écrit pour être diffusé en feuilleton radiophonique, il est facile à lire et si les effets sur le cerveau sont moins spectaculaires qu'en audio, c'est une lecture plaisante et de détente pour peu qu'on ne tente pas de comprendre le comment du pourquoi !

Arthur Dent est un anglais flegmatique et il lui faudra plus que la destruction de la Terre et des voyages dans la Galaxie, sans parler d'un robot paranoïde, pour lui faire perdre son flegme (à défaut de perdre le Nord, qui n'existe plus) ! du moment qu'il pense être du thé ce qu'il boit… tout va bien.

Merci Foxfire pour ce challenge bien délirant !

CHALLENGE MULTI-DEFIS 2020
CHALLENGE PAVES 2020
CHALLENGE MAUVAIS GENRE 2020

Le Guide du voyageur galactique est présenté comme "la plus fameuse trilogie en cinq volumes de l'histoire de la littérature", ce qui donne tout de suite le ton. Tout le monde a déjà entendu parler de la célèbre Réponse à la Vie, à l'Univers, et au Reste donnée après des millions d'années de calcul par l'ordinateur Pensées Profondes : 42.

L'histoire commence sur des bases plus modestes : Arthur Dent découvre un beau matin que sa maison est destinée à être rasée pour construire une déviation. Son indignation sera de courte durée puisque quelques minutes plus tard, un entrepreneur extra-terrestre annonce que la Terre se trouve sur le chemin d'une voie express hyperspaciale, et qu'elle sera rasée très prochainement. Arthur parvient à quitter la Terre grâce à son ami Ford Prefect. Ce dernier est en fait un extra-terrestre qui travaille pour le Guide du voyageur galactique, et coincé sur notre planète depuis plusieurs années, et s'arrange pour être pris en stop par un des vaisseaux chargé de la destruction de la Terre. Les deux amis vont être bringuebalés aux quatres coins de l'Univers, dans une suite d'évènements totalement improbables. Arthur va recevoir au cours du voyage des révélations saisissantes sur la Terre et l'espèce humaine.

Un chef-d'oeuvre d'humour absurde, où s'enchaînent les situations saugrenues et les dialogues sans queue ni tête.

Un Jeudi matin, Arthur Dent découvre avec stupéfaction que des ouvriers ont ordre de détruire sa maison située sur le passage d'une future déviation.
Un peu plus tard le même Jeudi, l'humanité découvre avec non moins de stupéfaction que des ouvriers extraterrestres ont ordre de détruire la Terre située sur le passage d'une future déviation spatiale.

Je le dis souvent, un livre c'est fait pour être lu et relu. Après une relecture, trois possibilités : une confirmation de notre première impression ; une déception, un livre qu'on appréciait étant jeune qui s'avère avoir mal vieilli ; ou, comme c'est le cas ici, une excellente surprise.

En effet, la première fois que j'ai lu le Guide du Voyageur Galactique, j'en avais gardé un souvenir assez mitigé. Celui d'un roman drôle mais décousu, qui serait plus une suite de gags qu'une histoire bien construite. À la même période, je découvrais les Annales du Disque-Monde et il n'y avait pas photo, Terry Pratchett surclassait Douglas Adams.

À la relecture, pourtant, je suis bien forcé de réviser mon jugement. Ce roman est une pépite d'humour, avec des trouvailles géniales à chaque page – le pot de pétunias, "Merci pour le poisson !", Marvin, quarante-deux... Un vrai régal pour l'amateur d'humour british décalé. Et l'histoire n'a rien de décousue, au contraire. Je ne comprend vraiment pas, moi qui apprêcie tant Pratchett et la Science-Fiction, comment j'ai pu être aussi tiède à ma première lecture.

Allez, pour chipoter, je dirais que la fin est un peu trop abrupte et laisse un goût de trop peu en bouche. Mais quatre tomes m'attendent alors est-ce vraiment un défaut ? le voyage est loin d'être terminé !
Lien : http://lenainloki2.canalblog..

Mouaif…… Pas vraiment convaincu.

Sans doute que l'humour anglais ne me touche pas tant que cela car si effectivement j'ai souri à de nombreux passages du livre, je suis néanmoins resté perplexe devant cette loufoquerie censée être hilarante mais qui de mon point de vue, a tellement été poussée à son paroxysme que le livre frise le ridicule. Cette histoire sans queue ni tête est tout au plus distrayante… heureusement que le livre comporte moins de 300 pages. Ce n'est d'ailleurs même pas très bien écrit.

Pourtant le 4ème de couverture me paraissait très attirant. Voilà qu'Arthur voit sa maison détruite et que dans la même journée son ami Ford qui n'est autre qu'un extra-terrestre bloqué sur la terre, lui annonce la fin du monde dans 1h30. Fin du monde qui se produira effectivement car les Vogon désirent faire passer un échangeur galactique sur cette trajectoire et la terre gêne le passage.

Ca c'est effectivement très drôle et je m'attendais à une histoire solide, bourrée de gag en tous genres mais malheureusement le scénario est du même niveau que les gag, un peu plat à mon goût.

Je constate néanmoins que ce livre a été un énorme succès, que la majorité des critiques sur Babélio sont très positives alors j'en déduis que c'est probablement moi qui ne suis pas sensible à cette loufoquerie so British :-)

Livre un peu intéressant mais par moment on se perd. J'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire. le style n'a rien de transcendant. le texte est loufoque. Certains personnages sont attachants et d'autres sont superficiels. Livre qui comporte plusieurs tome mais je ne lirai pas la suite.

Un livre de science fiction a l'humour décapant (anglais of course !) avec des personnages vaguement humanoïdes (dont un a deux têtes et trois bras mais il ne compte pas vraiment puisqu'il se les ait fait greffer), du suspense (mais pas trop parce qu'il génère du stress alors on nous dévoilera parfois à l'avance ce qu'il va se passer) et surtout des milliards d'improbabilités qui se croisent, nous réservant des surprises savoureuses. En bref, on ne sait jamais à quoi s'attendre quand on tournera la page, c'est un délire permanent au point d'en avoir la tête qui tourne.
Un livre qui commence par une mise en abime : Arthur essaie de lutter contre les bulldozers venus détruire sa maison pour construire un échangeur, tandis que la Ford se demande comment survivre à la destruction de la Terre qui se trouve sur le passage d'un futur échangeur galactique…. Et c'est le début d'une aventure totalement déjantée.
Si vous ne supportez pas l'humour anglais, type Monty Python, les grandes révélations dur la question la plus importante de la vie de l'univers et du reste, sur le fait de voir notre planète détruite, d'apprendre la vérité sur la construction de notre planète, de savoir (enfin) quelle était la race la plus intelligente de la Terre, les documentaire sur les races et régions de la galaxie dans laquelle nous voyageons et les coïncidences troublantes bien que totalement fortuites, ce livre n'est pas pour vous.
Personnellement j'ai adoré et je suis prête à lire la suite des aventures de notre équipe improbable et de découvrir la question la plus importante de la vie, de l'univers et du reste ; la question puisque la réponse on l'a déjà mais qu'elle n'est pas très explicite…
En tout cas, je crois que je penserai toujours à avoir une serviette avec moi, car j'ai déjà pu le constater, le guide avait raison en ce qui concerne son utilité !

Intéressant comme bouquin. Une sorte d'OVNI, ce qui me parait normal lorsque l'on erre dans la galaxie… Oui, mais laquelle ???

Il m'a fallu 2 lectures pour tout saisir, trop empêtrée dans toutes ces galaxies, planètes, j'avais perdu le sel de cette lecture. Car, c'est du loufoque, du vrai loufoque anglais, du Monty-Pithon.

Pas une minute de repos, il y a du swing, du rythme. Pas une page sans que le sourire n'étire mes lèvres, pas une minute sans souligner un bon mot, une phrase loufoque….
L'histoire en elle-même ?? et bien…. Elle est loufoque. Facile me direz-vous. Donc je vais essayer d'en dire plus Mais ne cherchez ni logique ni intrigue car il n'y en a pas ou je n'en ai pas trouvé.

Arthur Dent, so typique English man essaie d'arrêter les travaux de déviation d'une quelconque route ou autoroute en se couchant sous l'engin qui doit détruire sa maison. Sur ses entre faits arrive Ford Perfect, copain de café, pardon de bières d'Arthur qui lui apprend que la terre va elle-même sauter……….. pour les mêmes raisons, mais excusez du peu, dans une autre dimension : l'intergalactique. Sitôt dit, sitôt fait et voilà nos deux comparses éjectés dans la stratosphère, voire plus haut où ils sont récupérés pas un engin interplanétaire…..
J'ai oublié de vous dire, Ford Perfect se révèle être lui-même un extra-terrestre, rédacteur du fameux guide du voyageur galactique.

Maintenant, il convient de lâcher prise, détacher sa ceinture, s'envoler, nager dans la galaxie et surtout….. ne pas oublier sa serviette. La serviette est un outil indispensable pour voguer, naviguer dans la galaxie en faisant de l'astrostop.

J'espère que vous n‘avez pas oublié votre guide du voyageur galactique, car :

Le Guide du voyageur galactique est un ouvrage compilé sans grande rigueur, aussi contient-il maints passages dont la seule raison d'être est d'avoir paru intéressants aux rédacteurs de l'époque.

Rassurant n'est-il pas !!!


Ce monde est peuplé, entre autre, par les Vogons, les Taquins, les Dentrassis, les Chveuhs….. la monnaie est le dollar altaïriens. Ils adorent boire de l'Esprit-d'Nos-Aïeux, mais attention, c'est fort !!!! Les ordinateurs sont doués de paroles, les robots sont dépressifs …..Nous découvrons le Babelfish dont voici l'explication et l'usage :

"Le Babefish, expliquait tranquillement le Guide d voyageur galactique, est petit et jaune ; il ressemble à une sangsue et c'est sans doute la chose la plus bizarre de l'univers : il vit en effet de l'énergie des ondes cérébrales émises non pas par son hôte mais par tous ceux qui l'environnent. C'est en absorbant toutes les fréquences mentales inconscientes desdites ondes qu'il tire sa subsistance. Il excrète ensuite dans l'esprit de son hôte une matrice télépathique formée en combinant les fréquences des pensées consciente avec les influx nerveux recueillis au niveau des centres d'élocution du cerveau qui les a générés.
Le résultat pratique de tout cela est qu'il vous suffit de glisser un Babelfish dans votre oreille pour instantanément comprendre tout ce que l'on vous dit et ce, dans n'importe quelle langue. »

Ce qui est génial c'est que, dans sa loufoquerie, Douglas Adams sait rester cohérent. J'y ai trouvé beaucoup de références à divers contes, à certains personnages connus (que je ne nommerai pas), à certaines facettes de notre vie de terriens….

Si vous voulez savoir qui gouverne gouverna notre planète terre, et comment elle fut créée, et connaître la réponse à la Grande Question de la Vie, la réponse est dans ce précieux guide !!!

Cette deuxième lecture m'a permis d'enter dans ce monde de foldingues et je m'y suis trouvée très à mon aise, même sans appareil respiratoire. Merci à Colimasson, sans elle je serais passée à côté de ce monument de loufoquerie. C'est un vrai conte à dormir debout qui m'a tenu bien éveillée.

Une question existentielle se pose à moi maintenant : Irai-je casser une petite graine au «Dernier Restaurant avant la Fin du Monde » ?

Lien : http://zazymut.over-blog.com..

Certains déplorent se poser trop de questions. Que Douglas Adams les rassure : tout le monde se pose généralement trop de questions, même les cachalots, même les pots de pétunias. Arrivés là, nous ne pouvons que faire preuve d'humilité. L'art de se poser des questions tordues n'est pas réservé à l'espèce humaine –par contre l'espèce humaine est peut-être plus dépressive que la moyenne du règne animal dans l'univers.


Impossible de ne plus se poser de questions ? Alors on va se les poser autrement, et c'est ça qui est drôle, et c'est peut-être maintenant qu'on va éprouver un peu de plaisir à la spéculation intellectuelle. Douglas Adams fait exploser sa soupape à ratiocination : il pose les questions qui feront griller nos réseaux neuronaux pour les abreuver ensuite des réponses les plus cosmiques.

La décennie 1970 a vu apparaitre deux grands phénomènes de la littérature de voyage. Premièrement, la collection de guides de voyages australiens Lonely Planet destiné aux jeunes désireux de parcourir le monde avec un budget limité et le space opera le guide du voyageur galactique, H2G2 pour le titre original The HichHiker's Guide to the Galaxy, du très anglais Douglas Adams.

On se demande lequel est le plus loufoque : Lonely Planet qui est obligé de préciser à ses lecteurs qu'il n'y a pas de plage de surf en Suisse ou H2G2, tome 1 : le Guide du voyageur galactique où Arthur Dent, dernier survivant de la race humaine après la destruction de la Terre, cherche en vain à obtenir une bonne tasse de thé dans un vaisseau spacial. Quarante-cinq ans après, je pourrais dire à Douglas Adams qu'il est très difficile même en Angleterre d'obtenir une vraie tasse de thé. Je devrais vérifier dans la dernière édition du guide Lonely Planet de la Grande-Bretagne.

Arthur Dent est fou de rage !

Ils sont venus détruire sa maison pour construire une déviation, mais il n'était pas au courant ! Oh, la décision a bien été réglementairement affichée dans une salle des archives quelconque, tout est légal, sauf que lui, il l'ignorait, et du coup, il compte bien rester allongé devant les bulldozers le temps qu'il faudra...
Oui, mais voilà, son ami, Ford Prefect, a eu vent d'une nouvelle bien plus inquiétante encore... La Terre va être détruite, elle aussi, pour construire une voie rapide... Oh, la décision a bien été réglementairement affichée dans une salle des archives quelconque, tout est légal, sauf que...

En fait, ce qu'Arthur ignore, c'est que son ami de quinze ans Ford, n'est pas Terrien, il est natif de Bételgeuse, et il est journaliste pour le Guide du Voyageur Intergalactique.
Ford parvient in extremis à convaincre Arthur de le suivre, et, ensemble, ils embarquent en stop clandestinement à bord d'un des vaisseaux Vogons chargés de détruire la Terre. Evidemment, nos deux larrons se font repérer et, suite à une ribambelle d'incidents plus improbables les uns que les autres - qui incluent de la déclamation de poésie Vogon MAIS pour lesquels il y a une explication logique (merci le générateur d'improbabilités !) - ils se retrouvent aux côtés de Zaphod Beeblebrox, l'ex PRésident de la Galaxie, à bord du Coeur en Or, vaisseau qu'il a dérobé le jour où il devait l'inaugurer, ceci expliquant la perte de sa fonction... Car le Coeur en Or est l'ingrédient indispensable à la quête de Zaphod : découvrir la légendaire, brumeuse et mythique Magrathea...
Et comme l'univers es décidément très petit, Ford et Zaphod sont des amis de longue date. Et Arthur a lui aussi eu l'occasion de rencontrer Zaphod lors d'un de ses passages sur Terre. Ils étaient en concurrence pour séduire une jeune fille, Trillian. Aujourd'hui à bord du Coeur en Or aux côtés de Zaphod. Bonjour le moral d'Arhur, ce n'est pas l'androïde dépressif de Zaphod, Marvin, qui va pouvoir le dérider...

Ce premier volume démarre vraiment très bien ! L'humour et la dérision sont présents à chaque page, que dis-je ! A chaque ligne !

Le Guide du Voyageur Galactique, en fait, c'est une sorte de road movie à la sauce SF, et, s'il est impossible de deviner où Douglas Adams, veut nous emmener (même si on a vu le film ;-), eh ben, on est juste content d'y aller avec lui.