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Voici mon retour de lecture sur Guerrière de Cécile Alix.
Nekeli et Soulaï, 12 ans, sont jumeaux. Ils vivent tranquillement dans un village loin de tout.
Ce temps fait de bonheur et d'insouciance cesse quand leur communauté est anéantie.
Les adultes sont tués, les enfants sont quand à eux enlevés pour devenir des enfants soldats.
Guerrière c'est l'histoire de Nekeli, une jeune fille dont toute la vie va changer du tout au tout quand son village est exterminée.
Elle va apprendre à devenir une enfant soldat. Puissante et déterminée, Nekeli la guerrière est née.
Le ton est parfois naïf, on a vraiment l'impression que c'est une enfant de douze ans qui nous narre sa vie. Elle nous fait part de ses peurs, de ses doutes, de sa colère aussi, évidemment.
Les mots sont bien choisis et nous avons ici un roman vraiment très fort.
J'ai été bouleversée par l'horreur vécue par cette jeune fille. Elle est touchante, attachante.
Elle a douze ans, est entrainée pour devenir une enfant soldat, elle est entrainée pour.. tuer !
Il est impossible de rester indifférent face à ce roman pour ados / jeunes adultes.
Guerrière est un très bon roman que je recommande à tous et note cinq étoiles.
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Nekeli et son frère jumeau, 12 ans, vivent heureux et insouciants dans un village africain au fin fond de la brousse jusqu'à ce que la guerre et un groupe rebelle au gouvernement fasse irruption, massacre tous les villageois et enlève le frère et la soeur. Commence alors un apprentissage inhumain et cruel pour en faire des enfants-soldats déshumanisés, drogués pour tuer et défier la mort sans peur. Nekeli s'échappe de l'enfer au bout de deux longues années, est recueillie, blessée et épuisée physiquement et moralement, par le peuple des forêts pacifiste puis part à la recherche de son frère.
"Guerrière" est le 92ème ouvrage écrit par Cécile Alix dont, honte à moi, je n'avais jamais entendu parler. A ma décharge, son public de prédilection sont les enfants, les adolescents et les jeunes adultes.
"Guerrière" est un roman profondément dérangeant, ce que ne laissent pas anticiper les couleurs vives de la couverture, par son thème, les enfants-soldats et la violence omniprésente. Il nous est présenté à hauteur d'une enfant de 12 ans et certaines scènes sont insoutenables. L'auteure, à travers la fiction, dénonce avec force un fléau, un de plus, engendré par les guerres, dont les enfants sont les premières victimes et dont ils ne se remettront jamais même s'ils échappent à leurs tortionnaires, s'ils s'en sortent physiquement.
L'auteure décrit, à travers la voix enfantine de Nekeli, le processus de déshumanisation fondée sur la violence subie, sur la peur, sur la drogue ingurgitée, sur l'instinct de survie.
Malgré l'horreur, la plume de l'auteure sait se faire poétique lorsque la forêt redevient le refuge qu'elle était pour Nekeli après avoir été menaçante pendant les embuscades et les raids. Elle sait aussi se faire douce lorsqu'elle évoque l'immense amour qui unit le frère et la soeur ou la tendresse que Nekeli ressent pour les autres enfants du village enlevés en même temps qu'eux.
Le roman pose, en filigrane, une question moralement difficile et dérangeante : ces enfants desquels on a extirpé humanité et innocence doivent-ils être considérés comme des victimes ou des bourreaux?
Ce livre, catégorisé comme roman ado, est à mettre entre toutes les mains pour une prise de conscience de cette réalité souvent mise sous le boisseau tout en prenant la précaution de prévenir que certains passages sont très difficiles à lire.
#Guerrière #NetGalleyFrance
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Peut-on aimer un roman comme "Guerrière" ? le sujet des enfants-soldats est terrible et délicat, complexe et important.
Je l'avoue, j'ai parfois eu du mal à poursuivre ma lecture. La violence subie par ces enfants est à la limite du soutenable. On aimerait que ce ne soit qu'un roman. Mais, bien sûr, comme le rappelle Cécile Alix à la fin de son livre, c'est l'affreux quotidien de nombreux enfants.

Par sa délicatesse, le point de vue qu'elle adopte et son travail sur la langue, l'auteure parvient tout de même à insuffler des miettes de douceur, puis d'espoir au fil du parcours de ses personnages. Les expressions qu'elle a choisies pour les passages les plus terribles comme le "coucher-obligé" sont remarquables de justesse. Ils disent la violence avec des expressions enfantines, laissant le lecteur comprendre par lui-même l'horreur de l'acte. Car si Cécile Alix se met à hauteur d'enfant, elle ne cache rien des sévices subis.

Heureusement, elle parvient tout de même à créer des bulles de respiration grâce aux liens entre ses personnages, le rapport à la nature (les chapitres chez le peuple des arbres sont merveilleux), les rencontres, et le bouleversant duo formé par les jumeaux Nekeli et Soulaï. Étrangement, c'est d'ailleurs dans les moments où le danger s'éloigne que surgit l'émotion. Comme si ces respirations permettaient à notre cerveau, comme à celui de Nekeli, de réaliser la violence traversée.

Cécile Alix aime se confronter à des sujets difficiles, et le fait avec talent. "Guerrière" est un roman que l'on lit comme en apnée tant il est difficile de s'en échapper, et tout autant d'y revenir. Une expérience de lecture qui bouscule, interroge et pousse à remettre en question ses valeurs. Car si le meurtre ne peut être toléré, qu'en est-il de la responsabilité de ces enfants endocrinés ?
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Guerrière, c'est Nekeli et ce livre, c'est son histoire qu'elle va nous raconter d'une seule voix, de peur de ne pas en être capable à nouveau après ça. Nekeli a un frère jumeau, Soulaï, ils ont douze ans et vivent une vie ordinairement heureuse jusqu'à ce qu'un groupe opposé au gouvernement débarque dans leur village pour semer la panique. Les adultes seront tués, les enfants enlevés pour devenir des enfants soldats.

Avec ses mots enfantins et en même temps pleins de force, Nekeli raconte la peur, les doutes, la colère et en tant que lectrice, je découvre l'horreur, l'injustice ainsi qu'une violence sans nom. Comment peut-on enrôler de si jeunes enfants pour en faire des monstres sanguinaires ? Comment peut-on avoir envie de tout détruire pour tout remodeler à son image ? L'image d'un tyran. Et une question se pose... Un enfant enrôlé à douze ans, qui tue, est une victime mais ce même enfant devenu grand, qui tue encore, est-ce toujours une victime ? Quelle vision en avons-nous ?

Je n'ai pas été aussi touchée par ce roman que ce que j'avais espéré mais je crois que de moi-même, j'ai pris de la distance avec l'horreur. Parce que « Guerrière » est un roman extrêmement fort avec des passages bouleversants où l'émotion submerge face à cette vérité dérangeante. Et Nekeli a été une rencontre émouvante, j'ai été touchée par son innocence qu'elle garde précieusement au fond d'elle et admirative de sa volonté de vie, de sa force à rester fidèle à elle-même.
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Les romans ado de Cécile Alix vous happent dès la première page. Ce fut le cas avec Animal, et à nouveau avec Guerrière.

C'est une lecture qui bouscule, qui touche, qui donne envie de hurler devant tant de violence et d'injustice. Impossible de rester insensible, c'est une lecture dont on ne sort pas indemne. Et pourtant à côté de toute l'horreur, un peu de poésie affleure. Une lueur d'espoir. Ténue. Infime. Mais présente.

Sur les enfants soldats, j'avais découvert Une arme dans la tête, de Claire Mazard, qui nous raconte aussi l'"après", l'oubli impossible, les séquelles. Ici, Cécile Alix nous dépeint la "formation" d'enfant-soldat.

Nekeli et son frère jumeau Soulaï grandissent heureux dans leur village. Jusqu'au jour où une troupe de rebelles y fait irruption, massacre la population, et oblige les deux adolescents à tirer sur leurs parents. Ils sont ensuite emmenés de force, et contraints d'apprendre à combattre. Un apprentissage qui les déshumanise, entre violences, massacres et drogues.

La question sous-jacente posée par l'autrice est dérangeante, insoluble : ces enfants-soldats sont-ils victimes, ou coupables ?

C'est une lecture ardue, certes, et la difficulté des thèmes abordés, la violence, en font une lecture que je ne conseillerai pas avant 14-15 ans. Mais c'est aussi une lecture que je trouve indispensable.
Parce qu'on ne doit pas taire ces atrocités. Parce qu'il est important de les connaître. Parce qu'il est nécessaire de savoir quelles horreurs les guerres engendrent...
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Quel splendide roman à la fois dur et sensible sur un fléau méconnu des européens : l'enlèvement, la torture et l'endoctrinement des enfants en Afrique pour en faire des enfants-soldats. En 2023, l'Unicef estime qu'environ 300 00 enfants-soldats sont détenus par des groupes rebelles mais également par des armées gouvernementales. Un nombre qui fait froid dans le dos…

Cécile Alix, avec son écriture poétique et d'une grande force, nous retrace le parcours de Nekeli et Soulaï, jeunes jumeaux enlevés après le massacre de leur village de brousse. Torturés, entrainés à devenir des machines de guerre, ils seront séparés. Nekeli, devenue Tigresse, n'aura de cesse de retrouver son frère et de retourner sur les lieux de son enfance brisée pour honorer ses ancêtres.

Un livre émouvant, percutant comme un tir de ces « kalachs » mis dans les mains d'enfants innocents au nom de la guerre.
J'ai joué le jeu de la playlist pendant ma lecture (un ou plusieurs titres proposés par chapitre) et j'ai découvert de très beaux morceaux de musique africaine. Immersion garantie !

La couverture réalisée par @hina.hundt est juste magnifique et colle parfaitement au texte.

Bravo aux éditions Slalom, une maison d'édition Young Adult dont j'aime beaucoup la ligne éditoriale et qui propose des livres engagés de belle qualité.
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Elle s'appelle Nekeli et cette histoire est là pour que vous n'oubliez pas sa voix ni celles des autres enfants devenus soldats. Cécile Alix nous offre avec “Guerrière” un roman puissant qui parle d'un sujet difficile, celui des enfants soldats. Avec ses personnages et son histoire elle pose des questions aux lecteurs : que penser de ces enfants, de ce qu'ils vivent et de ce qu'ils font…

Le résumé éditeur parlait d'une vie détruite mais ne donnait aucune indication sur le thème de cette histoire. Avec cette couverture magnifique je m'attendais presque à lire un roman de fantasy. J'ai donc découvert le sujet de “guerrière” au moment de la lecture. Il est difficile mais je ne regrette pas du tout de l'avoir lu. Cécile Alix adapte son écriture à son personnage car c'est Nekeli qui raconte ce qui lui est arrivé. Avec “Guerrière” l'autrice ne voulait pas donner un jugement sur les enfants soldats mais souhaitait soulever des questions. Une lecture coup de poing réhaussée par la plume sensible de Cécile Alix.

Une guerrière malgré elle
Le livre m'apprend qu'il y a 300 000 enfants enrôlés de force dans une armée aujourd'hui. 300 000 enfances brisées comme l'a été celle de Nekeli, personnage fictif qui raconte malheureusement une réalité. Perçue très vite comme une guerrière par ses bourreaux elle ne connaitra pas le sort des autres filles comme son amie Temona. Elle ne sera pas obligée de subir le “coucher-obligé” (pour ne pas dire viol). Elle est avec les garçons et on lui apprend à devenir une guerrière. Dans la violence les enfants apprennent à s'endurcir et à tirer.
Ce qui la fait tenir c'est sa relation avec Soulaï, son frère jumeau. Et l'espoir de réussir un jour à s'échapper pour rejoindre sa maison et récupérer les symboles de son village. Son père les avait cachés pour les protéger car ils sont importants. S'ils sont détruits c'est la mémoire du lieu et de ses habitants qui disparaissent.

Les enfants-soldats
A travers le récit de Nekeli nous passons du temps auprès des autres enfants enrôlés comme Soulaï, Temona, Noumou, Nyele et les autres. Nous les voyons changer. le jeune Noumou, si jeune et si innocent, obligé de tuer ses propres parents à la machette. L'arme devient la sienne lors des combats. La violence devient son quotidien.
La question des enfants soldats est sensible et délicate. Ils sont victimes d'adultes sanguinaires qui les kidnappent, massacrent leurs proches, les violentent et les obligent à tuer pour ne pas être tué. Mais ensuite ils tuent et sont tellement détruits psychologiquement qu'ils peuvent basculer de l'autre côté. Et que se passe-t-il quand ils deviennent adulte ? Pour l'exemple, un chef de guerre a été arrêté pour avoir enrôlé des enfants et massacré. Or il était un ancien enfant enrôlé lui aussi.
A la fin du roman Cécile Alix nous raconte son travail d'écriture et le contexte de “Guerrière”. Je vous laisserai découvrir, c'est très intéressant. Mais vous pouvez déjà en apprendre plus sur le site des éditions Slalom.

Le conseil de la bibliothécaire : “Guerrière” peut être lu par les adolescents à partir de 13 ans (environ. Tout dépend de la sensibilité de chacun.) L'écriture est accessible mais je précise que le sujet est difficile et que l'autrice n'édulcore pas les scènes même si elle ne décrit pas tout (les viols notamment qui sont suggérés avec ce “coucher-obligé”.) Je vous laisse donc juge. Mais un super roman qui peut être une manière d'évoquer le sujet avec les plus jeunes.
Lien : https://journaldunebibliothe..
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Coup de coeur pour un roman coup de poing sur les enfants-soldats !
Une plume en prose poétique que reflète la superbe couverture colorée !
A conseiller à un public young adult, mais pas uniquement.

Je tiens d'abord à préciser que certaines scènes de violence peuvent choquer les plus sensibles car elles décrivent des actes de barbaries de manière très réaliste.

Il s'agit d'un roman émouvant et dérangeant inspiré de faits réels, ce qui donne de la vraisemblance au récit de Nekeli et son frère jumeau Soulai. Tous deux sont enrôlés à l'âge de douze ans, après avoir assisté au massacre de toute leur famille ainsi que l'ensemble de leur village. Ils sont enlevés par un groupe de rebelles et entrainés pour faire la guerre au gouvernement en place.

L'intrigue pose la problématique de la responsabilité de leurs actes puisqu'ils ont à la fois victimes et bourreaux. Soumis à un endoctrinement dès leur plus jeune âge, ils suivent un entrainement très violent qui vise à enclencher un processus de déshumanisation. Ils n'ont d'autre choix que de tuer pour ne pas être tués.

J'ai beaucoup aimé la plume addictive de l'autrice qui nous plonge en apnée, comme si nous étions en immersion, durant tout le récit de manière efficace. Grâce à ce livre engagé, elle rend hommage à tous ces enfants soldats sacrifiés et qui continuent à l'être dans certains pays d'Afrique.

Le dénouement apporte cependant une faible lueur d'espoir puisque Nekeli parvient à s'échapper et rencontre le peuple des arbres à l'âge de seize ans. Une lecture dont on ne ressort pas indemne, difficile mais nécessaire !
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Alors que Nekeli et son frère jumeau Soulaï s'occupent des chèvres, leur village est sauvagement attaqué par des mercenaires en guerre contre la politique de leur pays. Massacrant à coup de kalachnikov ou de machettes les habitants, réduisant en cendre les habitations, ils usent d'une force brute pour arracher les enfants à leur famille qu'ils sont souvent contraints de tuer eux-mêmes, avant d'être enlever pour rejoindre des camps dans lesquels les garçons seront formés pour devenir soldats et les filles seront réduites à l'état d'esclaves sexuelles.

J'ai abordé la lecture de Guerrière sans vraiment savoir à quoi m'attendre, la quatrième de couverture ne révélant finalement que bien peu sur le sujet abordé. On comprend très rapidement que la lecture ne sera pas facile car la récit est chargé de toute la violence à laquelle sont soumis ces enfants, parfois guère plus âgé de six ans, brutalisés, violés, drogués, formés à tuer pour une cause qui les dépassent.

Au travers d'une écriture poétique et imagée, Cécile Alix aborde le sujet avec une certaine pudeur, sans pour autant épargner son lecteur qu'elle confronte à une réflexion sur la culpabilité des enfants-soldats. S'ils tuent de façon souvent ignoble et barbare, ils sont eux-mêmes victimes d'une situation à laquelle ils ne peuvent qu'obéir pour rester en vie…

Violent et révoltant, le récit se nourrit cependant de la force de son héroïne qui trouve son origine dans le lien qui l'unit à son jumeau. Nekeli veille sur Soulaï et Soulaï protège Nekeli. Elle se voit ainsi épargner la situation des autres filles, envoyée à l'entrainement avec son frère qui, toujours, s'assure de tuer pour deux, permettant ainsi à Nekeli de rester elle-même et de garder espoir de pouvoir s'enfuir. Cet espoir apparaît dans des fenêtres que le texte met à notre disposition comme pour nous permettre de reprendre pied avec notre réalité, de reprendre notre souffle après des scènes d'une violence crue, insoutenable.

Guerrière est un roman difficile mais essentiel. L'histoire aborde un sujet terrible qui mérite d'être d'avantage médiatisé pour sauver ces enfants des horreurs auxquelles ils sont confrontés.
Lien : https://sirthisandladythat.c..
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Guerrière est un récit terrible dans lequel nous suivons une enfant-soldat. le frère de Nekeli se voit obligé d'abattre ses parents, face à l'invasion de leur village par des rebelles. le frère et la soeur se retrouvent ensuite enrôlés. Ils vivent alors un entraînement militaire : un entraînement à tuer. Débute alors une véritable lutte pour leur survie.

Les deux enfants sont tiraillés entre les horreurs qu'ils doivent faire subir et celles qu'ils subissent eux-mêmes. Un dilemme moral que Cécile Alix cherche à nous faire ressentir. Comment se positionner face à leurs actes ? Par ailleurs, comment peut-on embrigader des enfants dans un monde d'extrême violence ?

(Ce roman me rappelle d'ailleurs énormément la BD le ciel dans la tête, lue récemment.)

Voilà un sujet fort, servi par la plume efficace, parfois insoutenable, de Cécile Alix. On vit tout cela du point de vue de la jeune Nekeli, ce qui rend les événements encore plus palpables.

Cécile Alix est une autrice que je prends plaisir à découvrir. J'avais aussi beaucoup aimé son roman a(ni)mal. Elle sait susciter des émotions chez son lecteur, en partant de situations réelles, celles d'enfants et d'ados d'aujourd'hui, hors d'Europe, qui vivent des situations impensables (et pourtant réelles).
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