Un livre consolant à défaut de consoler.
L'essentiel est de connaître ses capacités à consoler et à l'être.
Écrit avec doigté, coeur et bienveillance constante.
Je retiens des petites phrases sonnantes et percutantes, telles
La souffrance isole, le lien console
Une consolation a un effet retard
Le consolant propose, le consolé dispose.
J'ai aimé les historiettes vécues, les lettres apaisantes à des patients inconsolables, le cheminement vers des mots et des attitudes adéquates, agis au bon moment, avec empathie compassion et amour ou affection.
J'ai surtout réalisé le cadeau que nous fait la vie de pouvoir passer de la désolation à la consolation., de la tristesse dure à la tristesse douce, de la désorientation à la reconnexion vitale.
Un peu trop long diront les vites consolés...
Tellement riche, rétorqueront les aspirants aux
consolations bien posées.
À garder sous la main, pour les jours un peu moins bien. Et si vous ouvrez ce livre ces jours-là, c'est que vous êtes disposés à aller un peu mieux, voire mieux.