Fleurs captives, tome 1 : Fleurs captives

Voilà une lecture qui me laisse une étrange sensation....
Ce livre est le premier d'une saga de 5 tomes, parue en France à la fin des années 80, qui a connu un succès mondial et qui bénéficie d'une réédition avec une couverture très attractive...L'histoire, qui doit plaire aux lecteurs de Lucinda Riley si on en croit la couverture est assez triste. Christopher décède dans un accident de voiture, laissant derrière lui sa femme et leurs 4 enfants. Sa femme, surendettée, ne trouve qu'une solution, retournée chez ses parents qui sont de très riches héritiers en Virginie. Mais son père n'a jamais pardonné son mariage, et ne doit absolument pas savoir qu'elle a eu 4 enfants. Elle va donc les cacher dans le grenier, avec la complicité de sa mère, jusqu'au décès de son père. Mais la situation dure...Les deux aînés, un garçon et une fille, vont alors avoir d'étranges sentiments l'un pour l'autre...C'est là que ça devient un peu trop dérangeant pour moi comme lecture. J'ai trouvé le démarrage du livre assez lent...tout est racontée du point de vue de la fille aînée, et des enfants qui s'ennuient à longueur de journée, c'est vite assez répétitif....Les choses sont devenues plus intéressantes quand elle se rebelle contre l'attitude de sa mère.
Merci à Netgalley et Livre de poche pour cette lecture.

"Fleurs captives" (dont le titre original est "Flowers in the Attic") est le Tome 1 d'une saga familiale de Virginia C. Andrews composée de 5 Tomes. le premier est paru en France dès la fin des années 80 et il a connu un grand succès à l'époque. Une réédition en 2022 chez @livredepoche m'a permis de le découvrir et je les en remercie. Sur la couverture, l'éditeur précise que cette saga assez sombre est conseillée aux fans de Lucinda Riley et, en effet, le ciel plombé annonce la couleur mélodramatique du roman.

L'histoire est racontée du point de vue de Cathy Dollanganger, 12 ans, qui mène une vie paisible avec ses frères et soeurs : Chris, 14 ans et les jumeaux, Cory et Carrie, 5 ans.... Jusqu'au jour où leur mère très dépensière, Corinne, se retrouve veuve et sans un sou. La solution : retourner vivre chez ses parents, les Foxworth, très riches, habitant un luxueux manoir en Virginie. le problème : Corinne a été déshéritée quand elle a décidé de s'enfuir de chez elle, quinze ans auparavant, pour se marier avec son demi-oncle, le père de ses quatre enfants...

Comme le père de Corinne n'a jamais voulu lui pardonner ce mariage contre-nature, il ne doit absolument pas savoir qu'elle a eu quatre enfants de cette union incestueuse. Pensant que son père est sur le point de mourir, Corinne, avec la complicité de sa mère, Olivia, va donc les cacher dans une chambre isolée du manoir dont ils ne sortiront que pour aller jouer dans un grenier poussiéreux peuplé de souris et d'araignées... Cette captivité tourne vite au cauchemar quand Corinne les délaisse et qu'ils se retrouvent livrés à eux-même...

L'intrigue est composée de deux parties dont la première, très longue et assez répétitive, décrit l'atmosphère angoissante de ce huis-clos étouffant qui devient de plus en plus pesant au fil des pages. le lecteur éprouve vraiment ce sentiment de claustrophobie et ressent de la pitié pour ces enfants maltraités qui luttent pour leur survie. La seconde partie, plus courte et encore plus dramatique, se termine sur leur évasion. Mais à quel prix ?

Ce premier tome donne envie de découvrir la suite des aventures de cette famille "dépravée" dans le tome 2 intitulé "Pétales au vent", même si j'ai trouvé que le premier tome avait du mal à démarrer et était assez répétitif. le thème récurrent de l'inceste est aussi assez dérangeant car il est traité avec beaucoup trop de légèreté et crée un climat plutôt malsain.

A la mort de son mari, Corinne est obligée de retourner vivre dans la demeure parentale en compagnie de ses quatre enfants car elle n'a plus les moyens de subvenir à leurs besoins puisqu'elle ne travaille pas et l'ensemble de leurs biens vont leur être retirés puisqu'ils vivaient au-dessus de leurs moyens.
Afin de recouvrir sa part d'héritage, cette mère va devoir enfermer ses enfants en leur faisant espérer que cette situation sera de courte durée c'est-à-dire le temps que le grand-père décède et qu'elle se réconcilie avec lui.
Cette situation qui ne devait durer que quelques jours se transformera en semaines, en mois voire des années.
Alors que les deux enfants les plus âgés, Catherine et Christopher, font en sorte de magnifier cette circonstance, ils n'ont qu'une idée en tête celle de s'échapper à n'importe quel prix.
Ce premier volume de la série littéraire Fleurs captives de Virginia C. Andrews est très addictif car le lecteur est en attente de réponses à savoir par exemple si les enfants vont s'échapper et de quelle manière ? Dès le début, le lecteur s'interroge, par le biais du personnage principal, quant à l'existence des grands-parents dont il n'est pas fait mention pendant une bonne partie de la vie de Corinne et sur la raison pour laquelle elle a été reniée par ses parents.
Le lecteur vit l'histoire au travers de Catherine, personnage principal âgé de douze ans, et partage ainsi le quotidien de quatre enfants séquestrés, terrorisés par la grand-mère. Ce dernier éprouve diverses émotions car il ressent selon les circonstances de la compassion voire de la pitié pour ces jeunes enfants maltraités et également l'espoir qu'ils s'en sortent.

C'était LE roman interdit quand j'étais ado : sujet controversé, histoire malsaine ou peu crédible, scènes trop crues... à le relire aujourd'hui, c'est plutôt de la littérature de gare, et on n'en sort pas choqué, mais pas grandi non plus !

Un roman poignant !

Lorsque l'histoire débute, on fait la connaissance d'une famille. Corinne et Christopher sont les parents de 4 enfants. Christopher l'aîné, Cathy de deux ans plus jeunes et Cory et Carrie des jumeaux de 5 ans. Ils vivent en harmonie, le père est souvent en déplacement pour le travail. Mais un jour, leur vie va basculer.

Alors contraint de retourner vivre dans la famille de Corinne la mère de famille, la fratrie pense qu'ils vont avoir des grands parents, et le luxe qui plus est d'une famille fortunée. Mais la vérité est bien loin. Parce que les Foxworth cachent bien des secrets sordides. Et les enfants vont payer pour les erreurs du passé.

Je ne conseillerais pas ce roman à tous. Tout simplement parce que les sujets abordés peuvent être assez sensibles. Notamment, l'enfermement, la maltraitance et le conditionnement mental. Mais aussi les liens et relations familiales.

Pour ma part, j'avais déjà vu les adaptations en téléfilms et je n'ai pas été surprise ni choquée connaissant déjà l'histoire.

Ce roman est une histoire poignante, une histoire qui nous montre à quel point certains faits peuvent avoir des répercussions. Sur plusieurs générations.

L'autrice nous fait vivre aux côtés de ces frères et soeurs, ces enfants qui n'ont rien demandé et qui vivent un enfer. Qui survivent comme ils peuvent. On ne peut pas rester insensible face à tout cela. Mon avis est positif, mais cela reste bien entendu un récit de fiction.

Lu à l'âge de 13 ans, j'avais aimé l'ambiance "huis-clos" et le fait que des enfants se retrouvent livrés à eux-mêmes. Maintenant, avec le recul, ce livre me met un peu mal à l'aise, de par sa facilité à traiter de l'inceste et de l'abandon, et à en faire en quelque sorte, une apologie par le biais de la mièvrerie... Ce livre est quand même un roman culte.

Qu'est-ce qui a bien pu m'attirer vers ce roman ? le petit macaron jaune apposé sur la couverture, évidemment ! Comment résister à cet appel : "pour les fans de Lucinda Riley". Ni une, ni deux, sans même lire la quatrième de couverture, je me suis jetée dessus, comme une "mort de faim", à présent orpheline que je suis de mon auteure adorée... RIP Mme Riley, et merci de nous avoir offert puis légué tous vos fabuleux romans.

Après ce vibrant hommage, venons-en aux fleurs captives de Mme Andrews !

Alors pour commencer, il est évident que la qualité de plume n'équivaut en rien celle de Lucinda Riley. le style est plus lourd, souffrant de quelques longueurs, mais le plus dommageable reste le nombre de fautes d'orthographe, de syntaxe et de concordance des temps qui émaillent le texte de la première à la dernière page. Est-ce uniquement dû à la traduction !? Peut-être...

Sur l'histoire en elle-même, on est également bien loin des intrigues "léchées" de Lucinda Riley. Ici, la quasi-totalité des faits se déroulent entre les quatre murs d'une chambre et d'un grenier, perchés sous les toits d'un manoir. Quatre frères et soeurs y sont enfermés à clé, et ce, pendant des années, pour une sombre histoire d'héritage. Leur mère, déshéritée par son père dès sa majorité atteinte, veut, à la mort de son mari, renouer avec le patriarche afin d'être de nouveau couchée sur le testament. Mais voilà, pour reconquérir sa place de fille à papa, elle doit cacher sa progéniture. Et quoi de mieux que de l'enfermer à l'étage de la demeure familiale, pendant que "maman" se balade, se pame, parade et pavoise !

Je ne m'attendais pas à un aspect aussi sombre et dérangeant à la lecture de ce roman. Certains passages sont vraiment très durs émotionnellement. Exit la légèreté, l'insouciance et la jolie morale de fin de roman... Et bienvenue tragique, horreur et sidération.

Toutefois, ce que j'ai trouvé admirable de la part de Virginia C. Andrews, est le fait d'arriver à maintenir une tension sous-jacente qui va-et-vient au fil des pages, dans un simple huis clos de quelques mètres carrés.

En résumé, ce roman est intéressant par certains aspects, mais gâché par d'autres. Et pour les fans de Lucinda Riley, sachez qu'ici vous ne retrouverez absolument pas son univers !

Avant tout, il faut, avec ce roman, remettre les choses dans leur contexte. La saga « Fleurs captives » a été écrite dans les années 1970-1980 et elle a connu un très grand succès en France pendant ces années là. Forcément aujourd'hui le livre a, selon mon ressentie personnel, très mal vieillit et par conséquent il peut faire polémique.

Dans ce premier tome on va suivre Corinne et ses enfants qui, à la mort de son mari, n'ont pas d'autre choix que de retourner vivre dans la grande maison familiale, Corinne ne pouvant pas subvenir à elle seule aux besoins de ses quatre enfants. Une fois sur place, la mère de famille va enfermer ses enfants dans un grenier afin de les cacher de leur grand-père et espérer recevoir l'héritage de sa famille. Ce que ne devait durer que quelques jours va durer des années.

J'ai trouvé ce roman très malaisant alors que je suis une grande lectrice de thriller, de roman noir et de livre d'horreur, donc il en faut beaucoup pour me mettre mal à l'aise dans un bouquin. Et pourtant, j'ai été assez perturbée par ce récit. L'histoire est racontée du point de vue de Cathy qui a 12 ans au moment des faits et l'intrigue se divise en deux parties. J'ai trouvé la première partie assez longue à démarrer. En effet, durant cette première partie, on va suivre le quotidien des quatre enfants de Corinne, qui sont enfermés dans le grenier, par conséquent les pages se suivent et se ressemblent un peu. Bien que Virginia C. Andrews instaure ici une atmosphère oppressante et étouffante l'on constate qu'au fil des pages l'intrigue est assez répétitive. le quotidien des enfants est assez monotone et j'ai donc ressentie, par moment, de l'ennuie en lisant ce bouquin. Pour autan, j'avais envie de connaitre la suite, de savoir ce qui allait arriver aux enfants, de connaitre les choix que Corinne fera par la suite etc. La plume de Virginia C. Andrews est assez vieillotte, lourde par moment et manque un peu de fluidité. Il m'a fallu quelques chapitre afin de me sentir complètement à l'aise avec l'écriture.

Le seconde partie est quant à elle beaucoup plus dynamique. Elle est plus courte que la première mais dans celle-ci les choses s'accélèrent un peu plus, des drames arrivent, la grand-mère finit par perdre peu à peu son emprise sur les enfants et ces derniers prennent conscience que les choses ne sont pas normales, ils décident donc de se ressaisir et d'agir, enfin. J'ai adoré cette partie là. J'étais enfin plongée dans l'histoire et je voulais absolument connaitre la fin. Je possède d'ailleurs le deuxième tome dans ma PAL et il ne tardera pas à sortir à mon avis.

Fleurs Captives n'est, pour moi, pas un livre a mettre entre toutes les mains ! Même si dans l'ensemble j'ai apprécié cette lecture malgré ses longueurs et ce côté un peu répétitif de l'intrigue, il ne faut pas omettre le fait que dans ce roman Virginia C. Andrews nous parle d'inceste et de maltraitance. En effet, le personnage de la grand-mère est infecte et ce qu'elle fait subir à ses petits-enfants est choquant. Il en est de même pour Cathy et son frère Chris qui, forcément, vont ressentir l'un pour l'autre des sentiments qu'ils ne devraient pas ressentir. C'est en cela que ce roman est malaisant. Je ne suis pas quelqu'un qu'on arrive a choquer aussi facilement, mais j'avoue que ce genre d'histoire me laisse très souvent perplexe et je ne sais pas quoi en penser une fois que je referme le livre. C'est difficile de dire que l'on a aimer ce genre d'histoire mais en même temps dire que j'ai détesté serait un énorme mensonge. Je dirai que ce livre m'a interpellé de part ses thématiques assez dures et je lirai volontiers la suite car je veux savoir ce que les enfants deviennent.
Lien : https://hautecommetr0islivre..

Four children locked up in an attic, hidden, waiting for their grandfather to die. Locked up for more than three years, slowly being poisoned by their beloved mother. There is also a horribly inhuman grandmother that takes out a whip when needed and has a wide array of other cruelties, physical and psychological. This book goes through themes like incest, viciousness, family secrets, revenge and betrayal. Loads of reviews are very enthusiastic about this novel, but I found it dark and disturbing, not at ease with the story at all.
Lien : https://redheadwithabrain.ch..