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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C'est l'auteur, Amélie Antoine, qui m'a proposé la lecture de son roman, à l'occasion de sa sortie en livre de poche sous le titre "Les Silences". Celui-ci avait initialement été publié aux Editions Michel Lafon sous le titre "Quand on n'a que l'humour". Je remercie chaleureusement Amélie Antoine ainsi que les éditions le livre de poche pour cette découverte.

Je ne suis, naturellement, pas là pour faire une étude comparée des différents titres attribués à ce roman. Pourtant, pour la première fois, j'ai pris conscience de la réelle importance de ces derniers. Pour ma part, je trouve un intérêt à chacun d'eux même si je dois avouer une préférence pour "Les silences" plus proche, me semble-t-il, du thème abordé dans le roman.

Si Edouard Bresson est un humoriste idolâtré par des spectateurs de plus en plus nombreux, si sa notoriété est toujours plus affirmée, si ses spectacles se révèlent toujours plus brillants, on ne peut pas dire que sa vie personnelle soit une réussite. Il a quitté femme et enfant, ou plutôt sa femme lui a demandé de partir. Alors, ne voulant, ne pouvant se résoudre à abandonner sa vie d'artiste il a obtempéré. Seulement voilà, l'absence de son fils qui ne souhaite plus le côtoyer lui pèse de plus en plus. Et l'auteure, dans une construction en deux parties, nous narre l'histoire de la famille Bresson à travers la voix d'Edouard, d'abord, faite de retours en arrière continuels puis d'Arthur, qui part en quête de ce père que, finalement, il ne connaît pas.

Je peux dire que j'ai beaucoup aimé ce roman délicat, émouvant, attachant. La romancière excelle dans la manière de parler de l'absence, du manque et surtout du silence, des silences, toujours, "Et le "pardon" d'Edouard n'était jamais sorti, il l'avait gardé au fond de lui, tout au fond de son coeur, tout au fond de sa mémoire, enfoui sous la plus épaisse couche de culpabilité qu'il ait jamais été donné à un enfant de porter." Si Edouard souffre, chaque soir, de voir une place vide au premier rang, celle de son fils, qui jamais ne répond à ses invitations, il ne réussit pas pour autant à exprimer sa peine, à dire ses erreurs.Arthur n'est pas en reste qui non plus ne fera pas le premier pas. Et nous allons suivre sa rencontre avec son père savamment orchestrée par Amélie Antoine.
Ce récit de la non communication à la fois poignant, douloureux, glaçant parfois est par là même universel qui raconte beaucoup de familles et la douleur de leurs non-dits.

Ce roman subtil, à l'écriture simple et limpide, est une belle réflexion sur l'importance des mots dans nos rapports avec les autres.

Lien : http://memo-emoi.fr/
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Quand on a que l'humour est un roman cruel de réalisme, il nous renvoi à nos propres attitudes et nos propres réactions. Les mêmes réactions qui nous font bondir lorsque ce ne sont pas les nôtres.... Mais quand on se regarde en face et objectivement, on a tous une leçon à recevoir de cette histoire. Même si ça nous fait mal de l'admettre!!!
Cette histoire, j'ai eu du mal à rentrer dedans car ma lecture était dans un premier temps décousue, je lisais peu de pages et ne revenais pas assez souvent pour la lire. Aujourd'hui, je regrette un peu ce rythme car ce livre aurait mérité de ma part plus d'attention car je pense que mon implication aurait été d'autant plus grande. Malgré ce "regret", j'ai reçu une belle claque littéraire et je ne peux qu'en recommander sa lecture. C'est un roman plein d'empathie et qui fait se questionner....tout ce que j'aime. C'est ce que j'appelle un roman utile et en même temps qui détend : la classe!!!
Attention pour celles et ceux qui seraient intéressés par ce roman, le titre de sa version Poche n'est pas le même et je ne crois pas dire de bêtises en vous annonçant que c'est "Les Silences" (a vérifier quand même...;) )
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Magnifique, émouvant....
Nous avons ici la vision du père, qui ne voit plus son fils; il nous décrit son enfance, sa vie, pourquoi il a fait ces choix. Nous avons également la vision du fils, pleins de reproches envers son père, peu présent dans son enfance.
Les parents ne sont pas parfaits, ils font ce qu'ils peuvent avec leur histoire familiale; et les enfants s'en rendent compte une fois devenus parents à leur tour.
A plusieurs reprises j'ai eu la larme à l'oeil , on ne peut s'empêcher de transposer sa propre histoire personnelle....
Je découvre la plume d'Amélie Antoine avec ce roman, une plume simple mais qui touche droit au coeur; elle ne fait pas dans le larmoyant mais se contente de décrire simplement le ressenti, les émotions de chaque personnage.
Je crois que je vais mettre ses autres romans dans ma PAL!
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C'est un roman en deux parties, chaque partie étant racontée par un personnage différents. Sur la première, on suit Edouard, humoriste, père de famille, n'ayant qu'un seul but faire rire autour de lui à cause d'une événement grave intervenu dans son enfance. Et sur cette première partie, j'ai failli abandonner ma lecture, la mélancolie d'Edouard commençant à me gagner, ce qui n'est pas le but pour moi lorsque je lis. Mais cette lecture ou plutôt cette auteure étant recommandée par Virginie Grimaldi, auteure que j'apprécie bien sûr, j'ai persisté. Sur la seconde partie, c'est le fils d'Edouard qui prend les commandes et là, par contre, j'ai immédiatement était prise dans l'histoire. Son père, lui a organisé une chasse au trésor grandeur nature pour lui faire comprendre qui se cache derrière cet homme perçu comme le plus drôle de cette dernière décennie. Les personnages deviennent plus attachants, plus touchants. On perçoit la relation père/fils avec la vision des deux protagonistes. Les non-dits, les pas vues, les incompréhensions, les regrets et bien entendu les SI. Si j'avais su... Je ne sais pas SI je retenterai un Amélie Antoine de si tôt. Mais SI vous l'avez lu, avez-vous noté la phrase cachée dans la seconde partie du livre ? Et SI ce n'est pas le cas saurez-vous la retrouver ?
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« Quand on n'a que l'humour » c'est tout d'abord l'histoire d'un humoriste adulé de tous, mais dont l'humour n'est qu'une bouée de sauvetage, une façade qui dissimule un homme blessé. Au sommet de sa gloire, alors qu'il doit jouer devant un Stade de France comble, pour un spectacle de surcroît retransmis sur TF1, Edouard Bresson se souvient de son enfance douloureuse et regrette d'être aimé de tous, sauf de son fils…

« Quand on n'a que l'humour » c'est également l'histoire d'un garçon qui souffre des absences de ce père qui multiplie les tournées et les spectacles. Arthur ira même jusqu'à renier son nom de famille, trop difficile à porter… le nom d'un père qu'il ne connaît pas…

La construction en deux parties est intéressante. La première, relatant la soirée au Stade de France, parsemée de flashbacks revenant sur l'enfance et le parcours de l'humoriste, fait progressivement tomber le masque de ce personnage qui arbore un sourire sur scène, mais qui côtoie la solitude et la tristesse en coulisses. La seconde, offrant le point de vue du fils délaissé, se déroule sur plusieurs mois et jette une nouvelle lumière sur des évènements dévoilés lors de la première partie, que l'on pensait initialement anecdotiques…

« Quand on n'a que l'humour » est donc l'histoire d'une quête de soi et d'un père et d'un fils qui ne se sont pas trouvés. C'est l'histoire d'un monde où la notoriété et l'argent ne font pas forcément le bonheur, où les apparences sont souvent trompeuses et où le rire n'est pas nécessairement le prolongement du bonheur, mais un ultime cri de détresse issu d'une blessure beaucoup trop profonde. Si j'ai surtout aimé la première partie, qui offre le point de vue du père, la deuxième partie, dédiée au fils, est également très bien car elle permet à ces deux êtres séparés par la gloire et les paillettes de se rapprocher au fil des pages…

Amélie Antoine, dont j'ai subitement envie de lire le précédent roman « Fidèle au poste », retranscrit les sentiments de ses personnages avec grand brio. Cette capacité à saisir les émotions avec autant de justesse et à brosser le portrait de personnages d'une authenticité remarquable, crée énormément d'empathie envers des personnages que l'on prend plaisir à côtoyer et à découvrir au fil des pages.

Lecture fortement conseillée !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Que reste-t-il quand le rideau tombe ? Que reste-t-il quand le masque est retiré, quand le maquillage est effacé, quand l'homme se retrouve nu face à sa vérité, débarrassé des projecteurs et des artifices ? Que reste-t-il quand on a enlevé cette pellicule protéiforme qui nous sépare des autres ? Elle est parfois un sourire, parfois un mensonge. Elle nous protège et nous isole. Que reste-t-il ?
Edouard Bresson est l'humoriste du moment, tout lui réussit ! En apparence. Très vite, le lecteur comprend que le succès et les paillettes recouvrent des failles profondes et l'alternance des chapitres portant sur le présent et le passé nous aident à les découvrir. C'est le premier tour de force de ce roman à la narration très habilement maîtrisée, comme si les chapitres étaient cousus les uns aux autres pour mieux nous présenter le canevas que constitue la vie de notre personnage principal. Et puis, c'est au tour du fils d'envahir la scène dans la seconde partie du roman. Lui ne connaît pas tous les détails de l'enfance de son père. A vrai dire, il ne connaît pas non plus l'homme qu'il est devenu au fil des années car la charge de travail, les absences et les non-dits ont finit par éloigner le père et le fils... C'est une histoire de retrouvailles, d'une tristesse et d'une beauté infinies.
Je découvre avec Quand on n'a que l'humour… la plume d'Amélie Antoine et je suis séduite par l'habilité avec laquelle elle a construit son histoire. J'aurais aimé avoir l'idée qui lui a permis de passer d'une époque à l'autre avec une telle fluidité, mais je n'écris pas alors je suis bien contente qu'elle l'ait eue. J'ai aimé être surprise à un moment où je ne m'y attendais pas et j'ai aimé lire deux fois la même page, pour être sûre. J'ai par-dessus tout aimé les thèmes abordés dans ce roman dont le personnage principal n'est finalement pas seulement Edouard mais l'homme dans toute la complexité des liens qui l'unissent aux autres. Ce que j'ai préféré, je crois, c'est ce portrait de clown qui arrive à berner tous les inconnus qui l'adulent, qui reste insaisissable pour ceux qui lui sont proches et qui affiche tant d'assurance et de joie de vivre alors qu'il n'est que solitude.
C'est un roman d'une grande justesse qui a su résonner en moi…

Lien : http://aperto.libro.over-blo..
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Edouard Besson est un humoriste qui n'a pas vraiment confiance en lui.
Il remplit des scènes et a du succès, mais il espère secrètement que les gens ne découvriront jamais la supercherie.
Cela remonte à l'enfance, un père brutal et un bégaiement traumatisant qui lui a valu les pires humiliations.
Lors de bravades entre gosses, un drame survient...

Je comprends parfaitement le stress ressenti avant de rentrer dans l'arène, c'est sûr que ça semble paradoxal pour quelqu'un dont c'est le métier.
Dans ce roman, il y a le rire en façade et ce qui se trouve derrière, en coulisse, est complexe, à vif et difficile.

Edouard va passer sa vie avec un poids énorme sur l'estomac et sa conscience ne le laissera pas en paix.
L'auteure s'engage sur une voie qui peut être douloureuse avec la relation père/fils.
Comment se construire sans l'attention et l'amour d'un père?
Le coeur est ébréché et pourtant il faut faire avec et avancer.

J'ai ressenti la douleur, les remords et un beau gâchis.
De nombreuses personnes cherchent à éviter à tout prix, de reproduire les erreurs de leurs chers ascendants.
Exercice au combien difficile.

J'ai aimé cette lecture, elle fait sacrément réfléchir, j'ai d'ailleurs, une image qui me vient à l'esprit en refermant ce roman, celle d'un clown triste qui pleure.
Comme quoi, la célébrité et le l'argent ne font pas tout, quand on sait que l'auteure s'est inspirée de Robin Williams suite à son suicide, ça donne vraiment des frissons.
On croit connaitre les gens, mais ce n'est pas une évidence...


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Dans Les silences, Amélie Antoine retrace la carrière d'un humoriste au sommet de la gloire, un homme brisé qui cherche à tout prix à renouer avec son fils duquel il s'est éloigné au fil des années.

Divisé en deux parties, le roman nous permet de suivre tout d'abord Edouard le soir de son spectacle, avec de nombreux allers et retours dans les moments clés de sa vie. Et dans la deuxième partie, c'est au tour d'Arthur d'être au centre du récit.

C'est un roman qui m'a bouleversé, l'histoire est très touchante et la plume d'Amélie Antoine que je découvre ici est toute en finesse et pudeur. L'autrice dépeint fort bien la psychologie de ses personnages, ils sont intéressants et attachants, ils ont des failles, ils ne sont ni tout blancs ni tout noirs mais tout en nuances.

Le récit est bien construit avec d'habiles retours dans le passé qui expliquent comment Edouard et Arthur se sont construits et la relation difficile qu'ils entretenaient, faite d'incompréhensions mutuelles.

La construction est habile et j'ai beaucoup aimé aussi le fait que la dernière phrase d'un chapitre soit la première du chapitre suivant. Beaucoup aimé aussi le jeu de piste que nous propose l'autrice.

Amélie Antoine joue très bien sa partition en nous proposant un roman plein d'émotion sans jamais tirer sur la corde du pathos, elle nous raconte une histoire toute simple et cela suffit. L'émotion que l'on ressent est puissante, certaines scènes sont très marquantes et on s'attache aussi bien à Edouard qu'à Arthur.

C'est un roman qui happe, à la fois dur et tendre, qu'il est difficile de le reposer tant on a envie de suivre Edouard puis Arthur, de mettre à jour tous les secrets qui émaillent la vie de l'humoriste.

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Coup de ❤️

Un soir au stade de France, Édouard Bresson, se produit en spectacle devant un public en effervescence.
Ce jour-là, c'est la consécration. le spectacle sera diffusé en direct sur une grande chaîne de télévision.
Faire rire les autres, c'est ce qu'a toujours souhaité Édouard. Et être enfin reconnu pour son humour, voilà qui devrait faire de lui le plus heureux des hommes.
Mais les choses parfois ne sont pas ce qu'elles paraissent.

Amélie Antoine nous emmène au côté de l'artiste, dans sa loge, puis sur scène et le lecteur l'accompagne tout au long de ce spectacle hilarant où le rire est omniprésent. Les rires fusent, les visages s'illuminent. Tout le monde passe un super moment de détente et de divertissement.
Mais si on prenait la peine de gratter un peu le maquillage de spectacle, on découvrirait le visage triste de l'artiste.
Et c'est exactement ce que fait Amélie Antoine, elle gratte au fil des chapitres et peu à peu, le vrai visage d'Edouard se révèle au lecteur.
Parce que son fils n'est pas venu l'applaudir ce soir là, Édouard se sent plus seul que jamais malgré les milliers de fans venus assister à son spectacle.
Malgré son sourire de façade, l'humoriste porte le fardeau des blessures d'enfance difficiles à imaginer derrière l'image joviale qu'il véhicule.
Rire, toujours sourire. Faire le clown pour divertir les gens quand la vie n'est pas forcément drôle pour soi même.
C'est à ça que se résume la vie d'Edouard.
La scène et le public ont pris le contrôle. Édouard se doit de donner toujours plus au détriment de sa vie personnelle et familiale jusqu'au jour où ce n'est plus possible.

Dés les premières lignes, j'ai été happée par cette histoire et la construction est telle qu'il m'a été difficile de lâcher ce livre.
Dans la première partie, Amelie Antoine nous fait naviguer entre deux époques. On oscille entre le soir de ce fameux spectacle et l'enfance d'Edouard.
C'est admirablement bien construit.
Chaque fin de chapitre introduit le début du suivant.
Un fil d'Ariane qui tisse le lien entre passé et présent.
Quant à la seconde partie, nous la vivons au côté du fils d'Edouard qui nous entraîne avec lui dans un jeu de piste passionnant et intriguant.

Ce livre est un magnifique roman sur un père et son fils qui m'a inéluctablement fait penser à la toute aussi magnifique chanson de Lynda Lemay " ton père ton ennemi "
Lisez ce livre, écoutez cette chanson. Il est impossible de ne pas faire le lien entre les deux.
C'est un roman poignant, émouvant, empli d'empathie qui nous fait prendre conscience de combien il est important de dire à nos parents et à nos enfants combien on les aime.

Une bien belle lecture sur le thème du manque et du pardon.
Et cette superbe couverture assortie à un titre très à propos pour ce roman profond et sensible.
Laissez vous embarquer sur la scène du stade de France et partager quelques heures de votre temps avec cette belle brochette de personnages que pour ma part, je ne suis pas prête d'oublier.
Attention cependant à ne pas vous méprendre, avec " Quand on a que l'humour", Prévoyez vos mouchoirs.
❤️
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L'auteure a réussi à me faire entrer dans l'histoire de cette famille, ces 3 générations d'hommes que tout semble opposer et qui pourtant sont liés. Elle m'a fait réfléchir aux événements qui influent sur notre vie, comment notre famille proche, par rejet ou par amour, peut avoir un fort impact sur les choix que nous faisons et la vie que nous menons.

Le style est très fluide et le livre se lit facilement, le personnage d'Edouard est attachant et très réaliste (j'ai pensé a des humoristes que nous connaissons tous) et on l'imagine très bien dans son pull marinière, qu'il ne quitte plus depuis qu'il a réussi sa toute première audition en le portant.

J'ai beaucoup aimé avoir la vision du père, puis celle du fils – qui nous montre qu'on peut avoir une idée toute faite sur des gens, sans les connaitre vraiment. Certains souvenirs d'Arthur sont complètement faussés, soit par une déformation de la mémoire, soit par manque d'éléments et c'est forcément notre cas à tous.

La petite originalité d'écriture de la première partie est que chaque dernière phrase des chapitres est également la première du chapitre suivant. Et pour la deuxième partie, se cache dans le titre des chapitres un petit message, une sorte de conclusion du roman.

C'est un bon roman, mais c'est dommage, il manque un je-ne-sais-quoi qui me ferait passer des heures à lire sans m'arrêter!
Lien : https://www.leslecturesdevi...
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