Il y a des jours comme ça où on referme un livre sans trop savoir quoi en penser.
J'ai du mal à comprendre l'enthousiasme qui entoure cet ouvrage.
Certes, on ne peut pas dire que ce soit mal écrit. Je n'ai pas envie de l'étriller. Mais certaines images me laissent quand même incrédule, en voici un exemple : " [des] chevaux dont les robes bai sont si brillantes qu'elles font penser à des marrons glacés" (p.21). Comparaison peu convaincante !
Il émane de cette histoire une profonde tristesse, une solitude, soulignée de façon lourde par le narrateur sur un ton démonstratif et misérabiliste.
Trop pour moi.
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